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24 août 2007

Le successeur de Windows Vista prévu pour 2010

Lors d'une conférence organisée pour ses commerciaux en Floride, Microsoft a laissé entendre que le successeur de Windows Vista devrait arriver d'ici à 2010, selon des sources proches. Cette future version majeure du système d'exploitation est appelée, en interne, Windows 7 ; auparavant son nom de code était Vienna.

« Microsoft a défini une période de trois ans pour le développement de Windows 7. La date précise de sortie sera fixée par la suite en fonction des exigences de qualité établies », a indiqué un représentant de l'entreprise par e-mail.

L'éditeur compte se tenir à un calendrier de sortie plus serré, et communiquer davantage auprès de ses partenaires et clients au sujet de l'avancée des développements. Baliser les étapes devrait permettre, espère-t-il, de ne pas revivre les pluies de critiques concernant les multiples retards dans la finalisation de Windows Vista.

Comme la version actuelle de l'OS, Windows 7 existera dans des moutures pour le grand public et les professionnels, et pour les systèmes 32 et 64 bits.

D'ici là, la prochaine grande échéance pour Microsoft est la sortie du premier Service Pack pour Windows Vista, le SP1, dont la version finale est attendue avant la fin de l'année. Une première mouture non définitive - bêta 1 - était programmée pour la mi-juillet, mais n'est pas encore sortie.

Par Mike Ricciuti, CNET News.com

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31 août 2007

Un agriculteur attaque des policiers avec son épandeur de fumier

BERLIN (Reuters) - Un agriculteur allemand rendu furieux par une tentative de saisie de son tracteur a détruit trois véhicules de police et échappé aux policiers pendant sept heures avant qu'une unité d'élite ne parvienne à le maîtriser, déclare un porte-parole de la police.                           

Cet homme de 53 ans avait été pris par des policiers en train de conduire son tracteur sans permis, au mépris de plusieurs avertissements. Les policiers ont appelé en renfort trois autres voitures puis demandé au paysan de quitter son véhicule.

Il a refusé et s'est mis à enfoncer les voitures de police avec son tracteur, faisant usage également de son épandeur de fumier et de sa fourche hydraulique. Les policiers ont dû se mettre à l'abri précipitamment.

L'agriculteur est ensuite parti en trombe vers une forêt où il a réussi à narguer les autorités, qui avaient déployé deux hélicoptères et un véhicule blindé, pendant sept heures.

Il a finalement été intercepté par une unité d'élite de la police dans une grange de sa ferme de Lauterbach, dans le centre du pays.

"Dans la campagne, nous avons l'habitude des gens qui attaquent la police avec des épandeurs de lisier, mais là c'était quelque chose", a déclaré un porte-parole de la police.

L'agriculteur pourrait être inculpé d'agression et de refus d'obtempérer.

22 septembre 2007

Apple dégagerait 60 % de marge sur l’iPod Nano

Selon la société d'étude iSuppli, la baisse de prix de la majorité des composants permet à Apple de baisser le coût de production de 18,5 % pour sa nouvelle gamme iPod Nano, doté d'un écran vidéo. D'après ses calculs, la version 4 Go aurait un coût de production de 58,85 dollars. Vendu 149 dollars outre-Atlantique, chaque baladeur dégage donc une marge de 60 %. Nouveau record de rentabilité pour la firme de Steve Jobs

Pour le modèle de 8 Go, la marge atteint 58 %. avec un prix de vente de 199 dollars pour un coût de production de 82,85 dollars. 

Cette évaluation des frais de production, n'inclut pas les coûts de marketing et de R&D, qui sont en général plutôt conséquents chez Apple. Pour autant, cet iPod est l'évolution d'un modèle existant, avec des coûts de R&D et de marketing en partie déjà amortis.

La société d'études table sur 23 millions d'iPod Nano écoulés dans le monde cette année, et environ 28 millions en 2008.

Lors de la sortie de l'iPhone, iSuppli avait révélé qu'Apple dégageait 50 % de marge sur son smartphone, avant la récente baisse de tarif de 200 dollars.

Source zdnet

25 octobre 2007

Sandisk prépare un baladeur Flash de 32 Go

Plusieurs sites précisent aujourd'hui que le fabricant Sandisk aurait un baladeur à mémoire Flash de 32 Go dans ses cartons. Sur le site officiel « Sansa Store » de la marque, plusieurs références à un baladeur Sansa View de 32 Go ont effectivement été aperçues. Ces références ont toutefois été évincées par le fabricant depuis que l'information s'est propagée.

Le Sansa View est un baladeur qui a été annoncé début septembre (voir Baladeur : Sandisk dévoile le Sansa View Slim 16 Go). Lors de son annonce, Sandisk a uniquement communiqué sur des capacités de 8 et 16 Go qui devraient se retrouver normalement en magasin début novembre.

D'après nos informations, la version 32 Go pourrait être annoncée à l'occasion du CES 2008 pour une disponibilité prévue pour le premier trimestre 2008. Si tout va bien, cette mouture devrait être commercialisée au prix de 330 dollars US, alors qu'il faut compter 149,99 et 199 dollars US pour les versions 8 et 16 Go. Le Sansa View 32 Go pourrait donc venir faire de l'ombre à l'iPod Touch 16 Go d'Apple vendu actuellement 392,90 € (voir aussi iPod Touch : l’iPod passe au tout tactile, un iPhone sans téléphonie ?). Rappelons enfin que les capacités mémoires des Sansa View peuvent être étendues grâce à l'utilisation d'une carte MicroSDHC (jusqu'à +8 Go pour l'instant).

Source clubic

11 octobre 2007

En 1ère Mondiale ! OP clés USB en îdF


En 1ère Mondiale ! OP clés USB en îdF
Vidéo envoyée par IledeFranceTV

Le 8 octobre, la Région a distribué des clés USB dotées d’un bureau mobile à 155 000 lycéens et apprentis. Après la gratuité des manuels scolaires, la Région a décidé de fournir début octobre une clé USB aux 155 000 lycéens de seconde en lycées publics et privés et aux 18 000 apprentis de première année, ainsi qu’aux 40 000 professeurs de lycées et CFA franciliens. Cette initiative est unique au monde. Aucune institution ni collectivité n’a jamais réalisé une distribution de cette envergure. Elle va permettre d’optimiser le travail au quotidien des élèves et professeurs car la clé USB est un véritable outil de travail, adapté aux nouveaux besoins de formation des jeunes en matière de TIC. Pour Jean Paul Huchon, Président de la Région Ile de France, « il s’agit d’équiper lycéens et apprentis d’un véritable cartable électronique pour améliorer l’égalité d’accès des jeunes au numérique et leur permettre d’utiliser les principaux logiciels libres ».

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12 février 2008

Free perd une place mais réalise un chiffre d'affaires en forte croissance

En 2007, Iliad, la maison mère de Free, s’est fait doubler sur le marché de l’ADSL par Neuf Cegetel. Mais ses revenus progressent de 29,7 % et l’opérateur reconnaît étudier un éventuel rachat d’Alice en réaffirmant son objectif : 4 millions d’abonnés en 2010.

Dernier round des résultats annuels des opérateurs : Iliad, la maison mère de Free, affiche un chiffre d'affaires 2007 de 1,212 milliard d'euros, en hausse de 29,7 %. La quasi-totalité (97 %) de ses revenus provient de son activité haut débit, qui progresse de 36,2 %. Son activité de téléphonie traditionnelle, elle, a généré seulement 34 millions d'euros.

Free revendique un total de 2,9 millions d'abonnés à l'ADSL, dont 81,5 % sont connectés à son service via une liaison dégroupée. Le fournisseur d'accès détient désormais une part de marché de 19,7 % et abandonne sa deuxième position sur le secteur au profit de Neuf Cegetel, qui progresse notamment grâce aux rachats successifs d'AOL et de Club Internet.

En revanche, l'opérateur peut se targuer d'avoir l'un des Arpu (revenu moyen mensuel par abonné) le plus élevé du secteur à 36,3 euros (en hausse de 1,8 euro par rapport au quatrième trimestre 2006). Côté concurrence, Neuf Cegetel indique, sans plus de précision, que le sien dépasse 36 euros ; Orange affirme atteindre 30,6 euros.

Un revenu par abonné en hausse

« Cette hausse s'explique par le nombre toujours plus important d'abonnés dégroupés, une forte utilisation des services optionnels à valeur ajoutée existant (comme la télévision par ADSL) et le lancement de nouveaux services ayant reçu un accueil favorable des abonnés comme Free Home Vidéo » (service de vidéo à la demande par abonnement, Ndlr), précise l'opérateur.

Iliad rappelle son objectif à moyen terme : atteindre 4 millions d'abonnés haut débit d'ici à la fin de 2010. Pour y parvenir, la direction de l'opérateur n'exclut pas une opération de croissance externe, en visant Alice, la filiale française de Telecom Italia, à la recherche d'un repreneur.

« Nous confirmons notre intérêt pour Alice, mais nous ne ferons pas de folie », a expliqué à Reuters Thomas Reynaud, le directeur financier d'Iliad. « C'est toujours la même approche pragmatique : c'est une base d'abonnés intéressante, mais on verra le prix. »

L'opérateur devra, par ailleurs, composer avec les offres que feront ses concurrents : Bouygues Télécom a indiqué qu'il regardait le dossier d'Alice, tandis que les rumeurs de la presse économique donnent les mêmes ambitions à Numéricâble et Neuf Cegetel. Mais Maxime Lombardini, patron d'Iliad a prévenu, au micro de BFM : « Nous n'avons pas besoin de fusionner, d'aller acheter ou autre, même pour le déploiement de la fibre optique. »

                               

Par Estelle Dumout, ZDNet France

Source ZDNet

                       
12 février 2008

Les scénaristes américains obtiennent le doublement de leurs droits pour internet

Après trois mois de bras de fer avec les studios hollywoodiens, les scénaristes américains sont en passe de reprendre le travail. Les responsables du syndicat Writers Guild of America (WGA) ont signé à l'unanimité une proposition d'accord avec l'alliance des producteurs de cinéma et de télévision (AMPTP). « C'est un accord qui protège un avenir où l'internet devient le mode principal de création et de distribution », a expliqué l'un d'entre eux, Michael Winship.

Le nouveau contrat prévoit de doubler les droits d'auteurs des scénaristes pour les films et les séries diffusés en ligne. Ainsi, ils percevront notamment 1200 dollars par an (pour un programme ou épisode d'une heure) au cours des deux premières années de diffusion, et par la suite un pourcentage de 2 % des recettes dégagées par le distributeur, toujours sur le Net. Parallèlement, ils ont obtenu une augmentation de 3,5 % du tarif syndical minimum pour l'écriture des scénarios.

Cet accord doit encore être ratifié par les quelque 10 000 membres du syndicat WGA, avant le milieu de cette semaine. Ce qui augure d'une reprise du travail d'ici au week-end, et devrait permettre la tenue de la cérémonie des Oscars le 24 février. Selon les estimations de la presse américaine, la grève des scénaristes, qui a notamment bloqué le tournage de nombreuses séries à succès, aura coûté plus d'un milliard de dollars à l'industrie.

                               

Par La rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

10 janvier 2008

Pas de réaction des FAI et opérateurs après l'annonce d'une taxe internet par Nicolas Sarkozy

Le président de la République a exprimé, le 8 janvier, le projet de modifier le mode de financement des télévisions publiques, en supprimant la publicité sur leur antenne. Et pour compenser le manque à gagner, évalué à 800 millions d'euros, il propose de taxer les revenus publicitaires des chaînes privées, mais aussi de créer une nouvelle taxe « infinitésimale », sur le chiffre d'affaires des fournisseurs d'accès internet et des opérateurs de téléphonie mobile.

Les principaux concernés font profil bas : aucun des opérateurs ou FAI interrogés par ZDNet.fr n'a voulu commenter l'information ; de même pour les associations professionnelles les représentant. Tous souhaitent attendre d'en savoir plus avant de se lancer, vraisemblablement, dans un nouveau bras de fer avec le gouvernement.

Mais au lendemain de cette annonce floue, les précisions se font attendre : le gouvernement n'a pas fixé de « calendrier précis sur la réforme de l'audiovisuel public », a expliqué à la presse Laurent Wauquiez, son porte-parole, à l'issue du conseil des ministres.

Interrogée sur Europe 1, la ministre de la Culture, Christine Albanel n'a pas été plus précise. Tout juste a-t-elle indiqué que « l'internet et la téléphonie mobile dégagent au minimum 17 milliards d'euros de chiffres d'affaires, et la publicité sur les chaînes privées rapporte aujourd'hui 3,2 milliards ». Si l'on reprend ces chiffres, il est facile de calculer qu'une taxe de seulement 2 % sur les acteurs des télécoms rapporte immédiatement 340 millions d'euros.

Source zdnet

Pour en savoir plus, voir le Blog d'Estelle Dumout, Web Side Story.

                               
23 janvier 2008

L'UMP d'Ile-de-France se prend les pieds dans Photoshop

Comme disent les Anglo-saxons, « le diable se cache dans les détails ». Et il en est un qui n'a pas échappé à un lecteur du site d'actualités Rue89 en parcourant la dernière livraison de la lettre d'information de Roger Karoutchi, président du groupe « Majorité présidentielle » au conseil régional d'Ile-de-France.

Un article intitulé « Les Verts surtaxent, les Franciliens payent ! » fustige la proposition faite par Denis Baupin, candidat écologiste à la Mairie de Paris, de rendre payant le  périphérique pour « financer les transports publics » . Jusque-là rien d'anormal. Mais les choses se gâtent quand on regarde de plus près la photo qui illustre le papier.

Le cliché (voir la photo), présenté comme un instantané du périphérique parisien, est censé renvoyer l'image d'une agglomération parisienne pliant sous le trafic automobile... Sauf que, sauf que... un agrandissement de la photographie fait apparaître plusieurs véhicules roulant allégrement à contre-sens et sur les deux voies ! Voilà ce qui arrive quand on ne maîtrise pas Photoshop, quand l'on fait de la mise en page à la va-vite et quand on cherche à faire du buzz autour du nom d'une personnalité politique qui souffre encore d'un déficit de notoriété auprès des électeurs...

Source OI

14 juillet 2008

Il faut sauver le soldat Ryan

envoyé par cinematocteam

Cinematoc : la saison 2* !
ou comment résumer un film célèbre en moins de 4 mn. POUR VOIR "INDEPENDENCE DAY" CLIQUEZ SUR L'AVATAR ou rendez-vous sur http://cinematoc.canalblog.com

Choisissez le prochain Cinematoc en votant sur http://cinematoc.canalblog.com/

* un concept de Yves Hirschfeld et Ramon Pipin. Ecrit et réalisé par Yves Hirschfeld.

16 juillet 2008

Centrino 2, privé de Wimax pour les marchés européens

La nouvelle plate-forme d’Intel n'intègre pas le support du Wimax dans les pays européens. Le fondeur a choisi de développer une version fonctionnant seulement avec les spécificités américaines et japonaises, là où le marché a le plus fort potentiel.

Centrino 2 débarque, avec un peu de retard, sur le marché mondial des PC portables. Mais si la plate-forme d'Intel apporte son lot de nouveautés, elle est curieusement exempte d'un module de communication Wimax, pourtant annoncé.

Aux États-Unis, une carte additionnelle permettra aux constructeurs d'ajouter, dans six mois, la compatibilité avec cette technologie de communication sans fil haut débit. Mais pour l'Europe, ce composant n'est pas prévu. « Nous n'empêcherons bien entendu pas un constructeur de nous l'acheter, mais nous n'anticipons pas de commandes car il n'y a quasiment pas de réseaux compatibles », explique-t-on chez Intel France.

Le fondeur rappelle qu'il existe d'importantes différences techniques entre le Wimax européen et américain, et qu'il a fait le choix de développer un module correspondant au marché présentant le plus fort potentiel.

« Le Wimax fonctionne sur la bande de fréquences 2,5 Ghz au États-Unis, au Japon et en Russie, alors qu'en Europe, il utilise la bande des 3,5 Ghz », poursuit-on chez Intel France.

Autre spécificité : le Wimax est privé de mobilité en Europe. La version mobile du Wimax (802.16e) n'a pas été autorisée par les régulateurs nationaux européens, dont l'Arcep en France. Elle permet de garder la connexion lors d'un déplacement (handover) et, par exemple, de rester connecté dans un taxi en ville.

La mobilité sera proposée avec la 4G

Sur le Vieux Continent, les régulateurs n'ont validé que le Wimax fixe et nomade. Pour mémoire, le fixe permet de connecter sans fil un bâtiment, par exemple une maison, en plaçant une antenne sur le toit. Le Wimax nomade, lui, permet de se connecter à des hotspots Wimax, sur le même principe que des hotspots WiFi. Si l'utilisateur se déplace d'un réseau à un autre, il perd la connexion.

En Europe, c'est la 4G LTE qui devra permettre une connexion mobile en haut débit, dont la 3G présente déjà les prémisses. La base technique de cette 4G s'appuiera d'ailleurs en partie sur le Wimax, mais sur la bande 2,6 Ghz. Elle est censée offrir des débits de plus de 100 Mbits/s sur des distances de plusieurs centaines de mètres.

Des premières licences sur cette bande de fréquences ont été octroyées en Norvège à la fin de 2007 et en Suède au début de 2008. En France, l'Arcep lancera une consultation publique sur le sujet au début de 2009. La 4G en Europe n'est pas attendue avant 2012.

Si Centrino 2 n'intègre pas le Wimax en France, des nouveautés sont tout de même au menu. La plate-forme se compose toujours de trois composants à intégrer par les fabricants pour disposer du logo Centrino : un processeur, un chipset (jeu de composant) et un module de communication sans fil.

Centrino 2 se dote de l'accélération HD

Avec Centrino 2, Intel propose également six processeurs cadencés de 2,2 à 3 Ghz. Deux puces sont issues de la précédente gamme Centrino Duo et présentent une consommation de 35 watts. La nouveauté est donc à chercher du côté de trois nouveaux processeurs consommant 25 watts, censés augmenter l'autonomie du PC. Intel n'a cependant pas été en mesure de nous préciser ce gain. Autre nouveauté, une puce haut de gamme consommant 44 watts et atteignant les 3 Ghz de fréquence d'horloge.

Côté chipset, deux versions sont prévues. La première est le GM45 qui intègre un processeur graphique d'Intel capable d'accélérer l'affichage de vidéo en haute définition, notamment celle d'un DVD Blu-ray. Pour les jeux 3D de dernière génération, ce chipset peut être complété par une carte graphique plus puissante. Le second chipset proposé est le PM45, qui n'a pas de puce graphique.

Centrino 2 intègre un module de communication pour réseaux sans fil désormais compatible avec les normes 802.11 a, b, g et n. La norme 802.11n, toujours en cours de ratification au sein de l'IEEE, était déjà en option dans Centrino Duo. Deux variantes du module WiFi sont proposées, avec des différences justement du côté de la compatibilité 802.11n. Une version est compatible avec des réseaux allant jusqu'à 300 Mbit/s et l'autre avec ceux atteignant 450 Mbit/s.

Enfin, Intel lance aussi une version pro de Centrino 2, dotée de la technologie vPro, qui offre des possibilités de téléadministration et de sécurisation renforcées des postes nomades.

Les PC portables Centrino 2 sont commercialisés dès aujourd'hui par les principaux constructeurs : Lenovo, Acer, HP ou Toshiba.                               

Par Christophe Guillemin, ZDNet France

Source ZDNet

24 juillet 2008

DirectX 11 optimisé pour les processeurs multicœurs

Microsoft a levé le voile sur DirectX 11, prochaine version de la bibliothèque d'API (interface de programmation) exploitée par bon nombre d'applications multimédias pour Windows, à commencer par les jeux.

Au menu de cette mouture : la possibilité pour les développeurs de jeux d'utiliser la puce des cartes graphiques comme second processeur. DirectX 11 est également censé tirer davantage partie des processeurs multicoeurs. Enfin, Microsoft a précisé que les jeux DirectX 11 pourront fonctionner avec des cartes graphiques DirectX 10 et 10.1. Une bonne nouvelle après la rupture qu'a représentée DirectX 10, une exclusivité de Vista totalement incompatible avec une carte graphique DirectX 9.

DirectX 11 sera décliné à la fois pour Windows Vista et son successeur, Windows 7. Sa publication devrait coïncider avec le lancement de Windows 7 attendue pour le début de 2010.

Cette nouvelle version était présentée au Gamefest 2008, événement organisé par Microsoft à Seattle (22 au 23 juillet).

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

25 mai 2008

La Russe gagne l'Eurovision 2008

PARIS (AP) - Le chanteur russe Dima Bilan a remporté haut la main samedi soir à Belgrade (Serbie) la 53e édition du Concours Eurovision de la chanson, offrant le titre à son pays pour la première fois, avec un total de 272 points au classement final.

Dans son costume ajusté immaculé, Dima Bilan a interprété "Believe" avec un professionnalisme assumé, jouant de regards langoureux et d'airs compassés, portés par une chorégraphie au millimètre tout en arabesques.

Accompagné du champion de patinage artistique russe Evgeni Plushenko, il a su conquérir le public avec jetés au sol chemise ouverte, ralliant les votes des jurys internationaux et des téléspectateurs, qui pouvaient s'exprimer par Internet et SMS.

Dima Bilan est une star en Russie où lui ont été décernés en septembre 2005 deux MTV Russian Music Awards, mais aussi deux MTV Europe Music Awards en août 2006, notamment comme meilleur chanteur russe de l'année, et meilleure chanson de l'année pour son titre "Never Let You Go".

Chou blanc en revanche pour la France et son très attendu représentant Sébastien Tellier, entouré de cinq choristes affublées de barbes postiches. Arrivé 19e, le chanteur estampillé "bobo" avait créé un tollé dans l'Hexagone, choisissant de chanter son titre "Divine" en anglais (excepté un demi-couplet), ainsi que le permet le règlement.

Sébastien Tellier signe cependant la meilleure prestation française depuis cinq ans. La France n'a plus remporté le Concours depuis Marie Myriam "L'oiseau et l'enfant" (1977), si ce n'est une première place ex aequo d'Amina en 1991 avec "C'est le dernier qui a parlé qui a raison". Sébastien Tellier est issu de la mouvance électro française, à l'instar du duo versaillais Air ou des Daft Punk.

Autre prestation remarquée, celle de la Suède, représentée par la sculpturale Charlotte Perrelli. Cette ancienne lauréate du Concours en 1999 sous le nom de Charlotte Nilsson, a séduit avec un titre fleurant bon les lourdes productions "eurodance", spécialité de l'Europe septentrionale dans la lignée du légendaire groupe Abba.

En dépit de la diversité des pays représentés, quinze des 25 finalistes avaient choisi de chanter en anglais.

Entre la soul du Royaume-Uni (Andy Abraham), la pop sucrée de l'Allemagne (No Angels), et la chorégraphie kitsch l'Islande (le duo mixte Euroband), la cérémonie, commentée pour la France par un Julien Lepers et un Jean-Paul Gaultier débonnaires, a parfois frisé le ridicule, contribuant sans nul doute, second degré oblige, à son succès en terme d'audience.

Autres prestations hautes en couleurs, celle des Lettons de Pirates of the Sea, avec « Wolfes of the Sea », encore un morceau au rythme endiablé, tout comme les Azerbaïjanais Elnur Gusseinov & Samir Javadzadeh, dans une mise en scène à grands renfort de plumes de poulets.

C'est la chanteuse serbe Marija Serifovic, entourée de 21 danseuses, victorieuse l'an dernier, qui a donné le coup d'envoi de cette 53 édition. Elle l'avait emporté à Helsinki (Finlande) avec « Molitva » (La Prière), faisant de la Serbie le pays organisateur, où le concours, préparé avec ferveur, avait pris depuis plusieurs semaines l'allure de l'événement national de l'année.

Des 43 pays inscrits au départ de la compétition, il ne restait que 25 chansons (et pays) en lice après des demi-finales, dont la France, pays du « Big 4 », co-fondateur de l'Eurovision, est systématiquement dispensée, au même titre que l'Allemagne, l'Espagne, et le Royaume-Uni, en plus de la Serbie, pays organisateur. AP

xrao/cov/pf

Regardez le clip de Sébastien Tellier "Divine" dont l'interprétation n'a pas convaincu les 43 pays.

Source Yahoo

9 septembre 2008

Virtualisation : l'Hyper-V de Microsoft devient gratuit

Microsoft change de stratégie pour s'imposer sur le secteur de la virtualisation, face à VMware, numéro un mondial. Son outil phare, l'Hyper-V Server 2008, sera désormais proposé en téléchargement gratuit, d'ici trente jours (informations à venir sur ces pages). Disponible pour les machines sous Windows ou Linux, l'Hyper-V, auparavant facturé 28 dollars, est accompagné d'une version allégée Server Core de Windows Server 2008.

Une décision annoncée à l'occasion d'autres présentations de nouveautés, toujours dans le champ de la virtualisation. Un secteur que Microsoft investit en frappant fort puisqu'il s'est entouré d'une vingtaine de partenaires pour l'épauler et promouvoir ses solutions, dans le cadre du programme « Get Virtual ». Dans la liste, on trouve AMD, Citrix, Dell, HP, IBM, Novell ou encore Sun Microsystems.

L'éditeur a également levé le voile sur son System Center Virtual Machine Manager (SVCMM) 2008, qui permet aux entreprises de centraliser l'administration de leurs infrastructures virtuelles. L'outil est compatible avec les produits Microsoft (Windows Server 2008 Hyper-V, Server 2008 Hyper-V ou Virtual Server 2005 R2), mais aussi avec VMware Virtual Infrastructure 3, solution de VMware.

Microsoft a pris un virage résolument offensif dans sa stratégie de virtualisation, après avoir pendant longtemps freiné les entreprises qui en étaient adeptes ; l'éditeur leur facturait un temps des frais pour l'utilisation de différents systèmes d'exploitation virtuels.

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

25 mars 2009

La crise aide Linux à séduire les DSI

La récession consécutive à l'éclatement de la bulle internet en 2001 avait favorisé l'adoption de Linux sur les serveurs. Selon IDC, la crise actuelle pourrait aussi contribuer à son déploiement dans les entreprises. Mais la fenêtre pour agir serait étroite.

La crise économique et les tensions qu'elle engendre sur les budgets informatiques des entreprises concourent-elles à rendre Linux plus avantageux aux yeux des DSI ? C'est ce qu'a souhaité savoir le cabinet IDC, pour le compte de Novell, éditeur de la distribution SUSE.

D'après le rapport publié par IDC, la récession qui avait suivi l'éclatement de la bulle Internet entre 2001 et 2002 s'était traduite par une plus forte adoption de Linux sur les serveurs, aux dépens notamment des architectures Unix RISC.

La virtualisation dans Linux comme levier d'adoption

La crise actuelle réunirait donc des caractéristiques susceptibles de rendre Linux plus séduisant aux yeux des DSI en quête de coupes budgétaires. Pour les 330 entreprises et administrations de plus de 100 employés interrogées par IDC, le climat économique serait effectivement un facteur favorable à l'OS Open Source.

53% des personnes interrogées envisagent ainsi d'accroître l'adoption de Linux sur des serveurs, et 48% pour le poste de travail. Simples déclarations ou volonté réelle de mettre en oeuvre des projets de migration ? Le cabinet d'études se veut prudent, qualifiant ces projections d'optimistes. Il juge néanmoins que ces résultats fournissent un indicateur sur l'avancée des déploiements.

Questionnées sur les principales raisons motivant le déploiement de Linux sur des serveurs, les entreprises répondent à 24% la réduction des coûts, à égalité avec l'interopérabilité avec Windows et les autres OS, et devant la qualité du support technique (23%).

La crise une opportunité à saisir, mais vite

Mais selon IDC, Linux pourrait bien aussi devoir son salut à une autre technologie de crise : la virtualisation. Pour quasiment 50% des sociétés interrogées, le recours à la virtualisation accélérerait leur adoption de Linux. Cela se traduira-t-il pour autant par des réalisations concrètes ? La formulation retenue par IDC ne permet guère de trancher.

Le cabinet évalue ainsi à 88% les entreprises projetant d'évaluer, déployer ou accroître leur utilisation des logiciels de virtualisation au sein des systèmes Linux, au cours des 12 à 24 prochains mois. IDC conclut son rapport en expliquant que les architectures standardisées profiteront de la crise : une dénomination qui englobe ainsi les châssis pour serveurs lames, les serveurs x86, Linux et les logiciels de virtualisation, standardisés.

Red Hat, au moins, envisage sérieusement cette opportunité qu'est la crise. A l'occasion de l'Open Source Business Conference, le patron de l'éditeur, Jim Whitehurst, a toutefois déclaré que la fenêtre était limitée dans le temps. Selon lui, les budgets informatiques revenus à leur niveau normal, les DSI retrouveraient leurs anciens réflexes, ignorant certaines pistes d'économies.

               

Par Christophe Auffray, ZDNet France

Source ZDNet

25 avril 2010

Un avion plonge de 60 mètres avant que le pilote ne reprenne le contrôle

Les passagers du Boeing 777 ont eu une grosse frayeur et quelques contusions...    

   

Les passagers d’un avion de la compagnie Emirates ont eu la peur de leur vie. Leur Boeing 777, soumis à de fortes turbulences entre Dubaï et l'Inde, a fait un plongeon de 60 mètres en quelques minutes dimanche, blessant 20 personnes à bord, ont indiqué des responsables de l'aviation.

Le Boeing 777 avec 350 passagers et 14 membres d'équipage a finalement atterri sans encombre à sa destination de Cochin (sud de l'Inde) peu après l'incident aérien qui s'est produit au large de l'Etat de Goa. L'avion «a connu une brève période de fortes turbulences» alors qu'il volait à un peu plus de 10.000 mètres, a indiqué Majid Al Mualla, vice-président d'Emirates, dans une déclaration. Il a brusquement perdu 60 mètres en altitude et 20 passagers ont été «légèrement blessés», a-t-il dit, précisant que des équipes médicales avaient soigné ces personnes à leur arrivée à l'aéroport.

Des informations initiales, citées par un responsable aérien local à Cochin, avaient indiqué que l'avion avait plongé de 4.600 mètres avant que le pilote ne reprenne le contrôle de l'appareil, mais d'autres hauts responsables ont plus tard catégoriquement nié ce chiffre.

 

      

    Avec agence

Source 20 Minutes.fr

28 août 2007

Deux minutes pour déverrouiller l'iPhone

Des pirates auraient découvert une solution logicielle pour débloquer le téléphone d'Apple et le faire fonctionner sur n'importe quel réseau GSM. Ils envisagent de se faire rémunérer.
 

Deux mois. C'est le temps qu'il aura fallu aux amateurs de défis pour débloquer l'iPhone de manière logicielle. Vendredi dernier, un groupe de pirates, baptisé iPhoneSIMfree.com, a en effet annoncé qu'il avait trouvé le moyen d'utiliser le téléphone d'Apple sur n'importe quel réseau GSM et pas seulement sur celui de l'américain AT&T, seul opérateur à commercialiser l'appareil outre-Atlantique. Cette opération de « desimlockage » permettrait également aux Européens d'utiliser l'appareil sur le Vieux Continent, avec l'opérateur de leur choix, simplement en glissant leur carte Sim dans le combiné.

Pour les auteurs de cette prouesse, il ne s'agissait pas seulement de relever un défi. Sur leur site, les développeurs de iPhoneSIMfree.com dévoilent clairement leurs intentions : ils souhaitent commercialiser leur service de desimlockage. Ils annoncent même la disponibilité du logiciel de déverrouillage pour la semaine prochaine, et affirment être les premiers à proposer une solution ne nécessitant aucun démontage de l'iPhone.

Depuis le lancement du téléphone d'Apple le 29 juin dernier, de nombreux pirates se sont lancés dans une course effrénée pour le débloquer. Non sans succès. La semaine dernière encore, un adolescent de 17 ans affirmait avoir trouvé la solution. Mais l'opération, qui   durerait plusieurs heures, se révèle périlleuse et implique des modifications importantes du logiciel interne (le firmware) de l'iPhone. Bref, on serait loin de la simplicité promise par iPhoneSIMfree.com.

En attendant l'iPhone en Europe

Le site Endgagdet.com s'en est fait l'écho ( vidéo à l'appui) dès vendredi dernier, et ses membres   précisent qu'ils ont pu constater eux-mêmes l'efficacité de la méthode développée par iPhoneSIMfree.com. « Le processus de déblocage prend juste deux minutes. Cela se fait sans aucune   difficulté », peut-on lire sur Engadget. Une fois installé sur l'iPhone, le logiciel mis au point par l'équipe de pirates permet de se connecter sur les réseaux des autres opérateurs telecoms, tels que T-Mobile. La modification reste valable si on redémarre le téléphone.

Personne ne peut encore affirmer si la méthode résistera à une éventuelle mise à jour du téléphone par Apple. Le fabricant peut en effet procéder à des modifications de son parc d'iPhone, à distance, par le biais du réseau téléphonique. En dernier recours, la firme à la pomme peut modifier les futurs modèles mis sur le marché, notamment ceux prévus pour une commercialisation en Europe. La société est en effet en discussion avec plusieurs opérateurs pour lancer son téléphone sur le Vieux Continent. En France, c'est Orange qui serait le mieux placé pour décrocher l'exclusivité de la vente. Une faille dans le dispositif de verrouillage de l'iPhone serait évidemment du plus mauvais effet.

En attendant, c'est en Europe que les petits malins pourraient profiter au mieux de la découverte de iPhoneSIMfree.com. En effet, l'iPhone utilise la technologie GSM, qui y est majoritaire, alors qu'elle est peu utilisée aux Etats-Unis où seuls AT&T et T-Mobile y ont recours.

Source OI

21 septembre 2007

L'INTERNATIONALE


L'INTERNATIONALE
Vidéo envoyée par E-Mosaique

L'internationale chantée en clôture de la réunion organisée  par les communistes à Paris Bercy devant 15 000 militants le 1 er avril 2007 en soutien à la candidature de Marie George Buffet à l'élection Présidentielle, quel magnifique hommage rendu à Eugène Pottier dont nous célébrons cette année les 120 ans de sa disparition et quel bel hommage à la Commune de Paris dont nous fêtons l'anniversaire et dont était membre le créateur de l'Internationale.

23 septembre 2007

Mandriva 2008 début octobre

Après la sortie de l’édition 2007 Spring, Mandriva Linux 2008 est la prochaine sortie majeure de Mandriva. Selon l’éditeur, elle va "tirer profit du cycle de développement de 6 mois." Disponibilité : début octobre.

A l’occasion de cette nouvelle sortie, Mandriva recentre son offre commerciale autour d’un seul produit unifié : Mandriva Linux Powerpack. Cette édition intègre une gamme unique de paquetages et services commerciaux. Le Powerpack est l’édition commerciale de Mandriva Linux et le prolongement logique pour les utilisateurs de l’édition communautaire, Mandriva Linux One.

Mandriva Linux Powerpack 2008 unifie les anciennes éditions Discovery et Powerpack+. Mandriva Linux Powerpack 2008 propose également tous les éléments serveurs et les intergiciels requis pour les développeurs et les petites entreprises, tels que les bases de données SQL ou les frameworks Web.

Mandriva Linux 2008 sera aussi disponible en CD live en téléchargement gratuit. Cette version propose tous les pilotes (libres et propriétaires) nécessaires au bon fonctionnement d’un environnement Linux complet.

Depuis 1998, Mandriva Linux est basée sur le projet de développement collaboratif Cooker, soutenu par Mandriva. Appelée Mandriva Linux Free 2008, la dernière édition ne contient aucun paquetage non libre tels que les pilotes propriétaires, les applications ou plugins à sources fermées. Elle sera disponible en ligne sur les miroirs publics de Mandriva dès le lancement de Mandriva Linux 2008.

Toutes les éditions Mandriva Linux 2008 seront disponibles en téléchargement à la même date. La Powerpack sera téléchargeable depuis le Mandriva Store en même temps que la One et la Free. La sortie de Mandriva Linux Powerpack 2008 est prévue début octobre à un nouveau prix très attractif.

Source toolinux

28 septembre 2007

The Globalisation Institute à l’Europe : dépaquetez Windows !

Une organisation de réflexions, The Globalisation Institute, a recommandé que l’Union Européenne demande l’arrêt des installations de Microsoft Windows sur les nouveaux ordinateurs pour favoriser la compétition sur le marché des systèmes d’exploitation.

Prenant acte dans une note de la victoire de l’Union Européenne devant la Cour Européenne de Justice, qui impose à Microsoft le retrait de Media Player de Windows, le Globalisaton Institute indique :
“Se préoccuper d’un problème plus crucial – la manque de choix dans les systèmes d’exploitation – est maintenant nécessaire si la Commission souhaite encourager un marché sur lequel la compétition est active. Cette note souhaite que la Commission poursuive la démarche sur le monopole de Microsoft sur le système d’exploitation et aille vers la conclusion logique de supprimer la pré-installation de Windows des
ordinateurs de bureau.”
La pré-installation fait référence à la pratique courante des fournisseurs de matériel d’inclure le système avec leurs machines, pour un prix global, sans que l’acheteur ait le choix du système d’exploitation. Supprimer la pré-installation signifie découpler le
matériel et le système d’exploitation afin que chacun soit vendu séparément, avec son propre prix, ce qui laissera le choix entre deux systèmes d’exploitation concurrents au moins.
La vente liée des logiciels avec les matériels a été interdite sur les grands systèmes informatiques comme les mainframes et les grands systèmes Unix depuis près de 25 ans.
La note poursuit en remarquant qu’une saine compétition existe pour les composants des ordinateurs –puces Intel et AMD, fournisseurs de disques durs, de cartes vidéo, etc. – mais pas pour les systèmes d’exploitation à cause du monopole de Windows.
Elle indique : “Même les systèmes d’exploitation ne sont pas un monopole naturel. Comme l’évolution des standards dans le matériel permet une conjonction de compétition et de compatibilité, dans un marché compétitif de systèmes, il y aurait une large compatibilité entre les systèmes de différents vendeurs.”
Elle indique que Microsoft Windows impose des coûts plus élevé aux entreprises européennes : “Le monopole de Windows impose un surcoût sur pratiquement chaque entreprise européenne car les prix des systèmes baisseraient sur un marché plus compétitif.”
Et la conclusion est : “Les recommandations de ce document sont que la Commission Européenne devrait imposer que tous les ordinateurs de bureau et tous les portables vendus en Europe le soient sans système d’exploitation… La fin des ventes liées conduira à un marché compétitif, un choix plus large pour les consommateurs et une réduction des prix.”
Chiche ?

Source

30 septembre 2007

Google et Microsoft s'affrontent devant le Sénat américain

Les sénateurs ont entendu les dirigeants de Google sur le rachat de Doubleclick, spécialiste de la publicité en ligne. Un rachat auquel s’oppose Microsoft qui dénonce le risque d’une mainmise sur ce marché par le moteur de recherche.

Les sénateurs américains sont face à un sérieux dilemme : ils doivent trancher entre Microsoft et Google, qu'ils ont auditionnés vendredi 27 septembre à Washington, dans le cadre d'une commission. Le moteur de recherche s'est s'expliqué sur son rachat de la société DoubleClick, spécialiste de la gestion des publicités en ligne. La transaction, en cours d'examen par les autorités américaines de la concurrence, se monte à 3,1 milliards de dollars. Microsoft, de son côté, a tenu à démontrer que cette opération fait peser un danger sur le marché de la publicité en ligne.

David Drummond, directeur juridique de Google, s'est efforcé de prouver que les activités de DoubleClick étaient complémentaires et non concurrentes à celles du moteur de recherche. Selon lui, DoubleClick est un prestataire technique, tandis que Google a des activités dans l'achat et la vente de publicités en ligne. Il a donc réfuté toutes les accusations relatives à l'antitrust. Il a aussi souligné que Microsoft avait les moyens de répliquer à son offensive puisque l'éditeur a lui-même racheté en mai 2007 aQuantive, un des rivaux de DoubleClick, pour 6 milliards de dollars.         

Des arguments qui ont fait mouche, puisque les sénateurs ont renvoyé la balle à Microsoft : « Où y a-t-il un problème avec la loi antitrust ? », a demandé l'un d'entre à Brad Smith, le directeur juridique de l'éditeur. « Pourquoi ne créez-vous pas simplement un meilleur produit ? »

Google opaque sur les données personnelles ?

« Si nous pensions qu'il s'agit d'un marché sur lequel une meilleure technologie ou meilleure valeur en elle-même pourrait faire l'affaire, nous ne serions pas ici », a répliqué Brad Smith. Microsoft se retrouve ainsi à déployer des arguments que ses concurrents ont longtemps utilisé à son encontre.

Contre Google, se sont également exprimés les représentants de plusieurs grandes organisations américaines de défense des libertés civiles, comme l'EPIC (Electronic Privacy Information Center). Elles reprochent au moteur de recherche son opacité sur un point précis : l'avenir des données personnelles des utilisateurs et des informations collectées en temps réel une fois la fusion avec DoubleClick réalisée.

Au final, cette audition ne semble pas avoir éclairé les sénateurs présents. « Les deux camps ont des arguments très forts, je ne sais pas moi-même où se trouve l'équilibre », a expliqué l'un d'entre eux. Ils indiquent vouloir continuer à examiner le dossier, afin de pouvoir rendre leurs recommandations à la FTC et au ministère de la Justice américain, qui enquêtent officiellement sur le sujet.

Parallèlement, Google attend également le feu vert des autorités européennes pour cette opération. La Commission a indiqué cette semaine qu'elle rendrait ses conclusions d'ici à la mi-novembre.

                               

3 octobre 2007

Sony commercialisera le premier téléviseur OLED en décembre

Le géant de l'électronique grand public sera le premier à commercialiser un écran de salon basé sur la technologie OLED (Organic Light-Emitting Diode), au Japon le 1er décembre. Il sera vendu environ 1 200 euros (200 000 yens) avec une diagonale plutôt modeste de 11 pouces, soit l'équivalent d'un 40 pouces actuel.

Équipant déjà des baladeurs, téléphones mobiles ou appareils photo numériques, les écrans OLED sont considérés comme les successeurs des écrans à cristaux liquides (LCD). Ils ne nécessitent pas de système de rétroéclairage, incontournable dans un écran LCD à matrice active.

         

Ils sont composés de diodes électroluminescentes (LED) organiques, qui génèrent leur propre luminosité sous tension, une caractéristique synonyme d'économie d'énergie et de gain de place dans l'appareil. Cela permet d'augmenter la taille de l'écran tout en diminuant son épaisseur de près de 50 % par rapport à son équivalent LCD. Dans le cas de Sony, la dalle de l'écran ne mesure ainsi que 3 millimètres d'épaisseur.

En outre, cette technologie permet d'atteindre des niveaux de contraste bien supérieurs aux écrans LCD ou plasma.

« Je ne pense pas que les téléviseurs OLED remplacent les modèles LCD du jour au lendemain. Mais je crois fermement qu'il s'agit d'une technologie avec un très grand potentiel, quelque chose qui viendra après le LCD », a déclaré à Reuters le directeur général adjoint de Sony Katsumi Ihara.

Après Sony, Toshiba devrait proposer des écrans OLED d'ici à 2010 ; Sharp, Philips et Hitachi testent également cette technologie.

                       

Source zdnet 

11 octobre 2007

Une heure avant la fin du monde ? Famille, champagne et sexe

LONDRES (Reuters) - Que feriez-vous s'il ne vous restait qu'une heure à vivre avant qu'un astéroïde ne percute la Terre ?                               

Interrogés sur ce qu'ils feraient au cours des 60 minutes précédant la fin du monde, 54% des Britanniques ont répondu, sans surprise, qu'ils souhaiteraient passer ce moment en compagnie des personnes qu'ils aiment, ou à défaut, avoir une conversation téléphonique avec eux.                               

Ce sondage a également révélé une proportion non négligeable d'hédonistes (13%) qui, face à une catastrophe inéluctable, se contenteraient de s'asseoir pour siroter une flûte de champagne.                               

Seules 9% des personnes interrogées ont répondu qu'elles auraient des relations sexuelles et 3% qu'elles prieraient.                        

Parmi les autres réponses, plus curieusement, une minorité de sondés (2%) a répondu qu'ils en profiteraient pour manger des aliments gras et ils ont été autant à déclarer souhaiter profiter de ces derniers instants pour se mettre à piller des magasins.

Source Lycos

11 octobre 2007

Steve Ballmer met la pression sur les clients de Red Hat

Le patron de Microsoft a menacé de poursuites juridiques les clients de Red Hat lors d'une conférence qui s'est tenue la semaine dernière à Londres. La vidéo de cette déclaration est disponible sur le Net. Steve Ballmer y déclare que « ceux qui utilisent Red Hat ont, en un sens, l'obligation de nous dédommager, au moins par respect pour notre propriété intellectuelle ».

Ce n'est pas la première fois que des responsables de Microsoft font ce type de déclaration, qui reste cependant plus du ressort de la communication que de la réelle menace. En mai dernier, la firme de Redmond assurait ainsi qu'elle ne poursuivra pas les éditeurs de logiciels libres pour violations de brevets. Microsoft tentait alors de calmer le jeu après avoir révolté la communauté open source en affirmant que des logiciels basés sur Linux enfreignaient 235 de ses brevets.

Durant sa conférence londonienne, Ballmer a donné en exemple son partenariat avec Novell. Véritable pacte de non-agression, il prévoit notamment que Microsoft s'engage à ne pas faire valoir ses brevets auprès des clients ayant acheté Novell Suse Linux Enterprise ou d'autres produits de Novell. A en croire les déclarations du P-DG autour des clients de logiciels libres, Microsoft souhaite manifestement décliner cet accord avec de nouveaux acteurs.

Autre sens à y voir : un petit coup de griffe à Red Hat, alors que l'éditeur d'OS Linux voit son chiffre d'affaire progresser. Or, selon une étude récente menée par l'éditeur open source Alfresco, cela serait une conséquence directe du pacte Microsoft-Novell qui fait fuir des clients potentiels de Novell.

Source zdnet

22 novembre 2007

Internet menacé d'engorgement d'ici 2010 ?

Opérateurs et équipementiers vont devoir investir massivement d'ici deux ans pour répondre à la demande exponentielle en matière de bande passante. A défaut, le réseau mondial risque de souffrir de forts ralentissements, estime la société d'études Nemertes.
Le débit internet pourrait-il revenir  au temps -pas si lointain- du modem 56 kbps ? Selon ses conclusions d'un rapport de la société d'études américaine Nemertes,  la demande croissante des utilisateurs pour des contenus vidéo, le téléchargement et l'échange de fichiers ou encore la téléphonie par internet, risque de dépasser largement la capacité des infrastructures du réseau mondial dès 2010.
Nemertes souligne que les câbles, la fibre optique ou encore les ressources de commutation et de routage ne sont pas en cause. Il n'en va pas de même pour les infrastructures d'accès à internet : « La demande pour les services internet et sur IP augmente de façon exponentielle, tandis que les investissements dans les [infrastructures] d'accès ont une croissance linéaire », note Nemertes.

Le rapport précise que les opérateurs et les équipementiers télécoms devraient investir au moins 137 milliards de dollars, pour réussir à augmenter suffisamment les capacités en bande passante. Ce qui représente environ le double des prévisions de dépenses de ces acteurs sur les deux ans à venir. Rien qu'aux États-Unis, 42 à 55 milliards de dollars seraient nécessaires.
L'innovation technique et économique ralentie
Pour parvenir à ses conclusions, la société s'est basée sur une méthode de calcul de la bande passante et de son utilisation dérivée de la loi de Moore, qui permet de déduire les performances des processeurs.
À terme, les internautes ne doivent toutefois pas s'attendre à des coupures complètes de leur accès internet. En revanche, ils « rencontreront de plus en plus souvent des baisses de performances assez inexplicables », prévient Nemertes. Mais selon la société, une infrastructure inadéquate aura surtout pour conséquence de « ralentir le rythme de l'innovation technique et économique ». « Le prochain Google, YouTube ou Amazon risque de ne pas se développer non pas à cause d'un manque de demande, mais à cause d'une impossibilité à répondre à cette demande », prévient le rapport.

Source zdnet

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