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24 février 2009

L’union européenne étudie la possibilité de mettre la VoIP sur écoute

Pour contrer les nouveaux modes de communication du grand banditisme, l’Union Européenne envisage de pouvoir mettre sur écoute les dispositifs de Voix sur IP (VoIP). L’Italie va coordonner une étude de faisabilité à l’échelle du continent

Eurojust, l'unité de coopération judiciaire de l'Union Européenne, a lancé une grande étude de faisabilité à l'échelle de l'Europe pour évaluer s'il est techniquement et légalement possible de mettre sur écoute des conversations passées sur un réseau IP.( voix sur IP)

Skype et d'autres outils de VoIP seraient en effet utilisés par des criminels et trafiquants du grand banditisme. Conséquence : ces conversations restent pour l'instant à l'abri des écoutes administratives mandatées par la justice dans les différents pays de l'UE.

L'Italie en première ligne 

C'est l'Italie, très impliquée dans la lutte contre la mafia et le grand banditisme, qui mène la coordination de cette étude de faisabilité au sein de l'Union.

Carmen Manfreda, membre d'Eurojust pour l'Italie, a justifié cette étude, lors d'un colloque la semaine dernière à Milan : « la possibilité d'intercepter des conversations téléphoniques via Internet va devenir un outil essentiel dans le combat contre le crime organisé à l'intérieur de l'Europe et au delà. Notre but n'est pas d'empêcher les utilisateurs de profiter de la téléphonie Internet, mais d'éviter que des criminels utilisent Skype ou d'autres systèmes pour planifier et organiser leurs actions contraires à la loi. »

Skype prêt à collaborer

D'après les autorités italiennes, le logiciel de VoIP de la filiale d'eBay serait en effet de plus en plus utilisé par les réseaux criminels, et Skype était directement visé par les policiers italiens dans le rapport préliminaire qui a débouché sur la lancement de l'étude de faisabilité par Eurojust.

Joint par ZDNet UK, un porte parole de Skype a réfuté les articles de presse indiquant que sa société aurait refusé de travailler avec les autorités européennes. Il a indiqué que « Skype reste intéressé dans une collaboration avec Eurojust malgré le fait qu'ils ont choisi de ne pas nous contacter avant de publier un rapport infondé. »

               

Par Vincent Birebent,

Source ZDNet

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18 février 2009

The Dark Knight Trailer. IN LEGO!!!

18 février 2009

Audience du 18 fev 2009

audience

18 février 2009

Les eurodéputés s'engagent pour un « accès sans réserve à Internet »

Le rapport d'un député visant à garantir aux citoyens le « droit d’accéder à l’ordinateur et à l’Internet » a été adopté par la commission des libertés civiles du Parlement européen. Une nouvelle expression du refus de voir notamment s'appliquer la riposte graduée.

Une nouvelle fois, les eurodéputés expriment leur vigilance et leur désaccord face aux projets de lois de certains Etats de l'UE tentés de limiter l'accès à Internet.

La commission des Libertés civiles, de la Justice et des Affaires intérieures a adopté à l'unanimité de ses 44 membres un rapport du député grec Stavros Lambridinis (groupe PSE). Il vise à garantir aux citoyens européens « un accès à Internet sans réserve et sûr », à renforcer « l'engagement résolu de lutter contre la cybercriminalité », mais aussi à porter « une attention constante à la protection absolue et à la promotion renforcée des libertés fondamentales sur Internet ».

Ce rapport servira de base pour des recommandations au conseil de l'Europe et devra encore faire l'objet d'un vote du Parlement en assemblée plénière.

Source ZDNet

18 février 2009

Facebook recule sous les critiques

Le changement des conditions d'utilisation prévoyait que Facebook conserve ses droits sur tous les contenus postés, même retirés par ses membres. Devant les critiques, Mar Zuckerberg, son fondateur, annonce le retour provisoire aux anciennes conditions.

Pour fêter ses cinq ans et ses 175 millions de membres, le réseau social Facebook s'est offert une controverse de grande ampleur. Le 4 février, il a modifié discrètement ses conditions d'utilisation, a révélé le 15 février le site d'une association américaine de consommateurs, Consumerist.com.

Or, la modification de cette page rébarbative des CGU (conditions générales d'utilisation), qu'on lit rarement avant de cliquer sur « J'accepte », n'était pas anodine : après le passage sur la « licence irrévocable, perpétuelle, non exclusive, transférable et pour le monde entier » de copie, modification et distribution accordée à Facebook pour « n'importe quel contenu déposé sur le site », la suite a été supprimée.

Suite qui disait qu'en cas d'effacement par l'utilisateur de son contenu sur le site, « la présente licence prendra fin automatiquement mais vous acceptez que la Société puisse conserver des copies archivées ».

Des contenus utilisateurs cédés pour toujours

Autrement dit, avec cette nouvelle version, libre à l'utilisateur de poster un texte, une vidéo, une photo, etc. sur le réseau social, mais elle devient dès lors la propriété de Facebook pour toujours, même si l'internaute l'efface ou même se désinscrit. Une perspective qui a entraîné une pluie de critiques contre le site, les départs annoncés de membres et la création de... groupes Facebook opposés à cette nouveauté (comme celui-ci).

Facebook, mis en cause en 2007 pour le caractère indiscret de son programme publicitaire Beacon (là aussi, l'entreprise avait reculé) et dans le collimateur de la Cnil, fait machine arrière : sur le blog de l'entreprise, son fondateur Mark Zuckerberg écrit la nuit dernière : « Il y a quelques semaines, nous avons modifié nos conditions d'utilisation, en espérant clarifier certains passages pour les utilisateurs. Ces derniers jours, nous avons reçu beaucoup de questions et de commentaires sur les changements et ce qu'ils signifient pour les gens et leurs informations. A partir de ces retours, nous avons décidé de revenir à nos conditions d'utilisation précédentes pendant que nous travaillons à résoudre les problèmes soulevés par les gens. »

Dans la version française (*) des conditions d'utilisation, on lit bien : « Facebook ne revendique aucun droit de propriété sur votre Contenu utilisateur. En vertu des présentes Conditions d'utilisation, vous demeurez propriétaire de votre Contenu utilisateur et des droits d'auteur ou autres qui lui sont associés. »

« Le sixième pays le plus peuplé du monde »

Mark Zuckerberg ajoute sur son blog que « plus de 175 millions de personnes utilisent Facebook. Si c'était un pays, ce serait le sixième plus peuplé du monde. Nos conditions ne sont pas juste un document pour protéger nos droits, c'est le document qui règle la façon dont le service est utilisé par tous dans le monde entier. »

Le jeune (24 ans) P-DG de Facebook promet une révision dans les prochaines semaines du texte, qui devra refléter les principes qu'il a décrits dans un autre message (« Notre philosophie est que les gens possèdent leurs informations et contrôlent avec qui ils les partagent »). En promettant que les conditions seront écrites « dans un langage que tout le monde peut comprendre » et que les utilisateurs seront associés à l'élaboration de ces nouvelles conditions.

Selon une étude comScore sur les réseaux sociaux en France, Facebook est en tête avec près de 12 millions d'utilisateurs en décembre 2008.

(*) Version qui commence par la phrase : « La traduction de ce document en français est fournie à titre purement indicatif. En cas d'incohérence, la version anglaise de ce document (disponible ici) sera la seule version régissant votre relation avec Facebook au plan juridique. »

               

Par Thierry Noisette, ZDNet France


Source ZDNet

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16 février 2009

Lycos France a fermé son portail

Le portail internet, autrefois parmi les grands acteurs du Net français avec la messagerie Caramail et son moteur de recherche, a fermé dimanche l’ensemble de ses pages.

À l'époque du décollage du Net grand public en France, Lycos a été un portail célèbre, dont les publicités symbolisaient son moteur de recherche sous la forme d'un chien labrador. L'entreprise avait racheté l'hébergeur de pages personnelles Multimania (lui-même auparavant repreneur de Mygale, pionnier du genre en France) et également intégré, avec Caramail, un précurseur de la messagerie en ligne. Début 2001, Lycos était le plus gros annonceur du Web français.

Loin de cette célébrité passée, Lycos a reconnu en novembre 2008 son échec, après des années de perte d'utilisateurs et d'argent (en 2001 le groupe perdait 202 millions d'euros, moins les années suivantes mais sans parvenir à l'équilibre - 17 millions de pertes pour les 9 premiers mois de 2008).

Mis en liquidation le 15 décembre 2008

Faute d'acquéreur, les actionnaires de Lycos Europe - l'Espagnol Telefonica (32%) et l'Allemand Bertelsmann (20%) en tête - ont approuvé sa liquidation, le 15 décembre 2008.

La fermeture de Lycos France a eu lieu ce week-end ; les utilisateurs de Caramail n'ont plus accès au service depuis le 15 février et se voient inviter à ouvrir un compte chez GMX, qui appartient à United Internet. Ce dernier est un fournisseur d'accès Internet allemand qui a racheté l'an dernier à Lycos sa société d'enregistrement de noms de domaines, United-domains AG.

               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

16 février 2009

Pour Vivendi, la fibre optique ne sert qu'à encourager le piratage

On comprend mieux le peu d'empressement des opérateurs pour déployer la fibre après les déclarations du directeur financier de Vivendi. Philippe Capron considère qu'elle ne sert à rien, si ce n'est à inciter davantage le téléchargement illégal.

« Aujourd'hui, la fibre ne sert à rien... Il n'y a aucun revenu, aucun service supplémentaire à mettre en face d'investissements considérables. Cela peut simplement encourager un peu plus le téléchargement illégal de films. » Rapportés par le quotidien La Tribune, ces propos émanent du directeur financier de Vivendi, Philippe Capron, qui les a tenus jeudi 12 février lors d'une conférence à l'Irest (*) devant des représentants des opérateurs télécoms, des équipementiers et des universitaires.

Cette absence d'applications financièrement rentables pour les opérateurs expliqueraient, selon lui, leur manque d'empressement à déployer un réseau en fibre optique. Un diagnostic que Gervais Pelissier, directeur financier de France Télécom, lui aussi présent lors de cette conférence-débat, aurait confirmé.

Lire suite sur ZDNet

16 février 2009

Free ferme le site Beemotion après l'offensive de Luc Besson

Les attaques répétées du producteur-réalisateur contre «le visionnage de films sur Internet» et en particulier sur le site de streaming vidéo Beemotion ont entraîné la fermeture de ce dernier par son hébergeur Free.

Luc Besson a publié dans Le Monde daté du 15 février une tribune intitulée « Halte au piratage à grande échelle via Internet ! ». Il y dénonce le délit consistant à « visionner des films gratuitement sur son ordinateur via Internet » (un à-peu-près juridique qui lui vaut une réponse ironique de l'avocat-blogueur Eolas), les sites de téléchargement et de streaming, la copie de films sur la Toile, et les entreprises « complices ».

Le réalisateur du Grand Bleu cite « un site de streaming tel que BeeMotion.fr, de nationalité canadienne, [dont l'hébergement est assuré] par une grande entreprise française de télécommunication, Iliad, par l'intermédiaire de sa marque Free ». Et mentionne « Google et Allotraffic.fr qui touchent des commissions de régie de la part de marques françaises », comme PriceMinister, dont la publicité « est omniprésente sur le site de BeeMotion ».

Source ZDNet

13 février 2009

Romuald gagner Koh-Lanta, le retour des héros

Romuald : 1,2,3,4,5.

Jade : 1,2,

134_koh_lanta_romuald

Jean*Bernard
Filomene
FD
Emilie
Clémence
A l'année prochaine

13 février 2009

La finale de Koh-Lanta

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