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22 janvier 2008

Quand John McCain tacle Chuck Norris

MIAMI (AP) -- John McCain n'a pas froid aux yeux. Le sénateur républicain de l'Arizona et sérieux prétendant à la Maison Blanche n'a pas hésité à défier le roi du kickboxing, l'ancien champion de karaté et acteur Chuck Norris, qui, alors qu'il fait campagne pour Mike Huckabee, a estimé que McCain était trop vieux pour gérer la pression de la fonction présidentielle.

"Je crains de devoir envoyer ma mère âgée de 95 ans lui passer la bouche au savon", a dit le vétéran du Vietnam lundi soir en feignant un geste d'humeur en direction de la vedette de la série télévisée "Walker, Texas Ranger".

Dimanche dans son ranch texan de Navasota, Chuck Norris était l'hôte d'une collecte de fonds en faveur de l'ancien gouverneur de l'Arkansas et pasteur baptiste Mike Huckabee. Il avait alors déclaré: "Je n'ai pas choisi John (McCain) parce que j'ai eu peur que le vice-président finisse par prendre sa place durant son mandat".

Norris, 67 ans, a quatre ans de moins que McCain qui fêtera ses 72 ans en août prochain. Quant à Huckabee, il aura 52 ans en août. AP

Source Lycos

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23 janvier 2008

Microsoft recrute un spécialiste linuxien de la sécurité

Crispin Cowan, expert Linux à l'origine de logiciels de sécurité réputés, a rejoint les rangs de la firme de Redmond. Il travaillera sur la sécurité des produits Windows, au sein de l'équipe dédiée à cette question.

Ce spécialiste a contribué au développement des logiciels StackGard et AppArmor, et est également le cofondateur de la société Immunix, qui propose une distribution Linux du même nom. Immunix a été rachetée en 2005 par Novell, intéressé par le potentiel de ses technologies.         

Ces dernières années, peut-on lire sur son blog personnel, il s'est attaché à renforcer la sécurité des systèmes en cas d'attaques. Un travail qui a abouti à la création de l'Immunix OS, protégé par StackGuard contre les dépassements de la mémoire tampon (buffer overflow), conséquences de nombreuses attaques lancées de l'extérieur.

Son embauche a été saluée par la communauté, même si certains parlent d'une grande perte pour le monde Linux étant donné ses compétences.                               

Par la rédaction, ZDNet France

 

Source zdnet

 

23 janvier 2008

BFM porte la polémique politique sur Dailymotion

BFM TV et BFM Radio s'associent avec Dailymotion pour la diffusion d'une émission politique dominicale sur la plate-forme de partage de vidéos en ligne. Le format retenu par les deux filiales du groupe NextRadio TV (par ailleurs propriétaire de 01net.com) mise sur l'interactivité. Car, si les invités seront interrogés, comme il est de coutume, par trois journalistes (Hedwige Chevrillon, Ruth Elkrief et Olivier Mazerolle), la parole sera aussi donnée aux internautes. Ceux-ci pourront poser leurs questions sous la forme de clips vidéo, visibles sur Dailymotion. Les questions sélectionnées passeront à l'antenne.

Les plates-formes de vidéos en ligne, dont l'audience et l'exposition sont désormais considérables, sont de plus en plus choisies pour relayer la parole politique. Aux Etats-Unis, certains débats pour de la course à l'investiture démocrate et républicaine pour l'élection présidentielle, sont actuellement diffusés en direct sur YouTube. En France, l'an passé, Karl Zéro (ex-animateur du « Vrai Journal » de Canal Plus), avait tenté un come-back sur le portail du fournisseur d'accès AOL. Son émission hebdomadaire, « Le Club du Net », accueillait des personnalités politiques et donnait elle aussi la parole aux blogueurs et aux internautes.

Source OI

24 janvier 2008

Google et Publicis main dans la main dans la pub en ligne

Google et Publicis, quatrième groupe de publicité au monde, ont décidé de coopérer sur le marché du marketing en ligne. Ce partenariat a été annoncé le 22 janvier lors d'une rencontre avec la presse, à Paris. Pour l'occasion, le patron de Google Eric Schmidt, s'était déplacé pour rencontrer Maurice Lévy, le président de Publicis.

Très peu de détails ont été dévoilés sur la nature de cette coopération. Selon Reuters, les deux partenaires se sont contenté d'indiquer que Google apportera son savoir-faire technologique - comprendre ses solutions d'enchères sur mots-clés -, tandis que Publicis fournira « son expertise en matière d'analyse et de media planning ».                            

Selon le site Cercle Finances, qui cite des sources proches du dossier, le moteur de recherche va détacher une équipe qui sera chargé exclusivement de travailler avec Publicis. Eric Schmidt a révélé qu'environ 80 % des revenus de Google en Europe proviennent de l'achat de mots clé par des groupes de publicité, indique les Echos.

Les deux sociétés travaillent sur ce dossier depuis plus d'un an. L'objectif est de « développer les activités de ses clients grâce à une meilleure utilisation d'internet, en envoyant le bon message au bon moment », a expliqué Maurice Lévy, selon Reuters.

 

Par La rédaction, ZDNet France

Source zdnet

24 janvier 2008

Facebook dans le collimateur de la Cnil

La Cnil considère que le réseau social présente des risques au regard de la protection des données privées. Elle lui réclame des informations sur la conservation des données de ses membres et sur leur utilisation à des fins publicitaires.   

La Commission nationale informatique et liberté (Cnil) se penche sur le dossier des réseaux sociaux sur internet, dont le plus connu est Facebook. Ces plates-formes « sont source de nouveaux enjeux en terme de protection de la vie privée » car « ils offrent des services innovants, et généralement gratuits, souvent en contrepartie d'une utilisation commerciale de vos données personnelles », souligne la commission.

Elle recommande donc la plus grande vigilance aux internautes. Concernant le cas Facebook, la Cnil demande aux responsables du célèbre réseau social des précisions sur la gestion des données personnelles de ses membres. Cela « afin d'évaluer les risques qu'un tel service peut comporter au regard de la protection des données ».         

La Cnil veut obtenir des informations sur la durée de conservation des données personnelles des utilisateurs, des adresses IP traitées et des adresses de courrier électronique des personnes invitées par un membre.

Par ailleurs, elle souhaite s'informer sur la manière dont Facebook analyse les profils de ses membres afin de leur délivrer des publicités ciblées. À ce sujet, elle indique que les utilisateurs concernés doivent être informés de la finalité des fichiers, des destinataires des données et de l'existence d'un droit d'accès et de rectification.

La Cnil a déjà rencontré à l'automne dernier des représentants de Facebook ; depuis elle leur a adressé un courrier, dont elle attend les réponses.

Rappelons qu'en décembre 2007, le réseau social a fait l'objet de nombreuses critiques lors du lancement de son programme publicitaire Facebook Ads, dont la fonctionnalité Beacon permettait de suivre le parcours de ses amis sur des sites partenaires de Facebook.

Depuis, les responsables du réseau social ont fait leur mea culpa et proposer à leurs membres de désactiver définitivement la fonction.                               

Par Christophe Guillemin, ZDNet France

Source ZDNet

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25 janvier 2008

YouTube s'ouvre un peu plus largement aux mobiles

Fort d'une première version mobile allégée lancée en 2006 avec certains partenaires comme Nokia, puis du portage de certains de ses contenus vers l'iPhone d'Apple en juin 2007, le service d'hébergement vidéo YouTube annonce aujourd'hui que n'importe quel utilisateur muni d'un téléphone mobile capable de lire des vidéos en streaming est en mesure d'accéder à son portail mobile. Ce dernier serait désormais accessible, via l'adresse m.youtube.com, en onze langues à travers dix-sept pays.

La version mobile de YouTube s'étoffe donc de façon à offrir à n'importe quel téléphone doté de la capacité de lire des vidéos en streaming la quasi totalité des contenus proposés sur le site Web traditionnel de YouTube. Certaines vidéos sont disponibles au téléchargement, tandis que l'utilisateur retrouve la possibilité d'annoter les vidéos, de se connecter à son compte et même d'envoyer des vidéos, à condition de répondre à certaines conditions techniques.

En parallèle, YouTube a présenté cette semaine une application Java « YouTube for Mobile », destinée aux terminaux compatibles tels que les Nokia E65, N95 et N73 ou les Sony Ericsson K800 et W880. Actuellement en version bêta, cette application est pour le moment réservée aux marchés britanniques et américains.

Source Clubic

PS : je vous conseil une connexion par wifi

26 janvier 2008

Passe d'armes entre éditeurs de logiciels propriétaires et libres autour du rapport Attali

En préconisant de renforcer l’adoption des solutions open source dans le secteur public, le rapport Attali relance la polémique entre les défenseurs du logiciel propriétaire et ceux du libre.

Les éditeurs de logiciels propriétaires s'élèvent contre les recommandations du rapport Attali sur la « libération de la croissance », qu'ils accusent de faire la part belle aux logiciels libres.

Ce rapport préconise en effet de mettre en concurrence logiciels propriétaires et logiciels libres dans les appels d'offres, notamment publics. Et fixe comme objectif d'avoir 20 % des applications « nouvellement développées ou installées au profit du secteur public en open source » d'ici à 2012.         

Une proposition qui n'est pas du goût des éditeurs propriétaires. « En défendant la promotion exclusive et discriminatoire du logiciel libre, la Commission Attali fait manifestement, à l'inverse de nos partenaires européens, le choix du désinvestissement dans l'innovation », commente l'Association française des éditeurs de logiciels (Afdel).

L'Afdel, qui se revendique comme le « porte-parole de l'industrie du logiciel en France »,  est née en octobre 2005, sous l'impulsion notamment des éditeurs français Cegid et Dassault Systèmes ainsi que Microsoft.

Des marchés publics « fermés à l'industrie du logiciel propriétaire »

« Reposant économiquement sur un modèle de service, le logiciel libre n'a ainsi, de l'avis des spécialistes, pas débouché à ce jour sur des innovations de rupture », poursuit-elle. L'association souligne ainsi que la plupart des logiciels libres sont des clones parfois améliorés de produits déjà existants sous modèle propriétaire. Un modèle de développement qui ne participerait que marginalement à l'innovation. Et d'affirmer que les éditeurs propriétaires investissent entre 20 et 30 % de leur chiffre d'affaires en R&D, une source de création d'emplois et de valeur.

Autre critique : l'Afdel estime que les appels d'offres publics sont déjà discriminants vis-à-vis des solutions propriétaires, et le rapport Attali ne fait qu'accentuer cette « discrimination dont pâtissent déjà  les 2 500 entreprises françaises dans leur accès aux marchés publics ».

Après ces attaques à charge, l'association souhaite que « la France sorte définitivement de ce débat stérile et franco-français qui veut opposer les différents modèles » et favorise plutôt leur convergence.

Des allégations infondées de l'Afdel, pour les éditeurs libres

Dans le camp de l'open source, on réagit très vivement à ces déclarations. « Les éditeurs de logiciels libres français dénoncent les allégations infondées de l'Afdel », peut-on lire dans une lettre commune signée par une dizaine d'éditeurs de logiciels libres français, dont Mandriva et Nuxeo, et soutenue par l'association Aful (*).

Ils considèrent que l'Afdel caricature les propositions du rapport Attali et mène un « combat d'arrière-garde contre une des tendances lourdes du marché de l'informatique ».

« L'Afdel est de mauvaise foi et ne défend pas les intérêts de ses membres. Elle devrait voir les logiciels libres comme une opportunité et non une menace », commente pour ZDNet.fr, Stéfane Fermigier, président de l'Aful. Il rappelle que, selon le cabinet Gartner, au moins 80 % des logiciels commerciaux contiendront des briques open source en 2011.

« Le libre profite donc même au éditeurs français "traditionnels" qui l'intègre de plus en plus dans leurs solutions. Mais il est vrai que ceux qui n'entreprennent pas dès maintenant de s'appuyer sur le logiciel libre risquent de se voir très fortement marginalisés dans les années à venir », analyse-t-il.

(*) Association francophone des utilisateurs de Linux et des logiciels libres                               

Par Christophe Guillemin, ZDNet France

1 février 2008

Microsoft déconseille l'utilisation de vLite pour alléger Vista

Face à la popularité grandissante de vLite, un utilitaire gratuit qui désactive certains composants de Windows Vista, Microsoft a réagi. L'éditeur déconseille l'usage de cette application, qui séduit nombre d'utilisateurs découragés par la lenteur de Windows Vista.

vLite agit avant l'installation de Vista sur un ordinateur, en permettant de paramétrer les fonctionnalités à écarter afin qu'elles n'alourdissent pas le système. Tout en préservant les fichiers système indispensables. L'OS est censé être allégé de moitié et donc plus réactif.         

Les applications pouvant être mises de côté sont, par exemple, Windows Media Player, la galerie de photos Windows, MSN Installer, Wallpapers, le Diaporama et Windows Mail.

« Microsoft ne recommande pas l'usage de tout outil qui dépouille Windows Vista de ses applications avant son installation, car cela risque de nuire aux téléchargements de mises à jour de Windows et de ses Service Packs. Le système peut en outre devenir instable », a prévenu l'éditeur dans un e-mail à nos confrères de CNET News.com.

Dans les faits, les créateurs de vLite sont très clairs : leur outil n'est pas fait pour les néophytes, car les paramétrages sont définitifs.

Ils s'étaient déjà fait remarquer avec nLite, un utilitaire au principe similaire pour Windows XP.

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

1 février 2008

Linus Torvalds estime que Linux est désormais plus vert

Lors de la conférence « linux.conf.au », qui est la plus grande manifestation Linux en Australie, Linus Torvalds a été interviewé sur des sujets divers, notamment la gestion de l’énergie par les distributions.

Torvalds a joué la carte de l'honnêteté en annonçant d’emblée que les systèmes Linux ont été en retard pendant bien des années en ce qui concernant la gestion de l’énergie et donc des économies qui en découlent. Il indique cependant que le plus gros du travail a été fait et qu’une infrastructure solide a été mise en place : « Nous avons les outils pour mesurer la consommation, relever quand elle est supérieure et pourquoi, ce qui est relativement important ».

Il est vrai que les demandes dans ce domaine ont été très nombreuses pendant des années, car les états de veille des processeurs n’étaient par exemple pas bien gérés. Il faut compter également avec la course folle du renouvellement matériel très rapide et des nouvelles technologies qui l’accompagnent. Avec l’explosion de l’informatique mobile et des ventes d’ordinateurs portables, la création d’une infrastructure solide de gestion de l’énergie était très attendue.

Interrogé également sur le futur de Linux, Torvalds s’est estimé satisfait que la pression ait largement diminué concernant le kernel, car la plupart des grands éléments sont en place : « Nous travaillons toujours sur un grand nombre de choses, en particulier avec le nouveau matériel. Mais je pense, globalement, que beaucoup de bases sont présentes. Nous travaillons sur une meilleure capacité de maintenance et l’amélioration du code pour ajouter ensuite plus tard de nouvelles fonctionnalités plus facilement. »

Enfin, le père de Linux a estimé que la machine était désormais lancée et pouvait très bien fonctionner sans lui s’il devait partir, ce qu’il ne compte pas faire pour le moment. Selon lui, d’autres peuvent très bien reprendre le flambeau, avant d’ajouter avec humour « J’aimerais pouvoir dire qu’ils sont moins bons. »


Source de l'INformation : ZDnet

2 février 2008

Microsoft-Yahoo : les raisons d'une OPA

Atteindre la masse critique sur le secteur publicitaire et être plus réactif en terme de R&D sont les principales motivations des dirigeants de Microsoft pour justifier l'OPA sur Yahoo. Des arguments décryptés par Vincent Bonneau, analyste à l'Idate.

« C'est la prochaine étape majeure dans le processus de transformation de Microsoft. » Steve Ballmer présente ainsi l'offre de rachat lancée ce vendredi 1er février par son groupe sur son rival Yahoo. « Nous discutons déjà depuis plus de dix-huit mois », a indiqué le P-DG de l'éditeur lors d'une conférence de presse téléphonique. « Microsoft et Yahoo partagent la même vision concernant la publicité en ligne. »

Jusqu'à présent, le portail internet a toujours refusé les avances de son rival - de la mise en place d'un partenariat commercial à la fusion. Mais la publication de résultats annuels en berne et l'annonce de la suppression de 1 000 postes en début de semaine, ont fragilisé Yahoo. « Nous pensons qu'il n'y a pas de meilleur moment pour faire cette offre », reconnaît Steve Ballmer.

« Nous sommes prêts au dialogue », ajoute-t-il, sans préciser si Microsoft acceptera de revoir sa proposition à la hausse dans le cas où les dirigeants et les actionnaires de Yahoo font la sourde oreille.

Une offre trop faible pour Yahoo ?

Pour Vincent Bonneau, analyste à l'Institut de l'audiovisuel et des télécommunications en Europe (Idate), « si Yahoo croît vraiment à la réussite de Panama, sa plate-forme lancée il y a quelques mois, il n'est pas certain que l'OPA fonctionne à la première tentative. L'offre de Microsoft est basée sur un niveau de l'action au plus bas ».

Un sentiment renforcé par les révélations de la presse américaine. Au printemps dernier, Microsoft aurait approché les administrateurs de Yahoo avec une offre à 50 milliards de dollars.

Microsoft +Yahoo = 988 millions de visiteurs uniques

La firme de Redmond affirme que cette acquisition est essentielle pour les deux groupes dans leur course derrière Google. « Atteindre une masse critique est essentiel sur le secteur de la publicité en ligne », argumente Kevin Johnson, président de la division Plates-formes et services. Selon lui, si Microsoft et Yahoo sont capables de proposer une plate-forme publicitaire unifiée, cela ne sera que bénéfique pour les annonceurs. En particulier sur le long terme lorsque les deux groupes auront développé des solutions pérennes en terme de publicité comportementale.

« L'opération fait sens si on regarde les points forts de Microsoft et de Yahoo qui se complètent bien sur les services - portail, webmail, messagerie instantanée - et sur la répartition géographique - USA, Europe et Asie » analyse Vincent Bonneau. « Les deux groupes ont le même modèle publicitaire basé sur l'audience. En se rapprochant, ils créent un leader mondial du display (bannières, carré, etc.) car le marché est très fragmenté en termes d'audience. N'oublions pas que chacun dispose en plus de partenaires forts, notamment Microsoft avec Facebook.

En revanche, ils ne reviendront pas sur Google sur le « search » et le marché des liens sponsorisés. « Dans le secteur de la publicité en ligne, ce sont deux marchés différents ». Selon les  chiffres de l'institut Comscore, l'audience mondiale cumulée des sites de Microsoft et Yahoo serait de 988 millions de visiteurs uniques par mois contre 528 millions pour les  sites de Google.

Quid de la marque Yahoo ?

Microsoft compte également sur des synergies entre les équipes de recherche et développement (R&D). « Actuellement, Yahoo et Microsoft ont des ingénieurs qui planchent sur les mêmes sujets, nous pourrions combiner ces talents pour accélérer l'innovation », poursuit Kevin Johnson. « Nous aurions pu embaucher des ingénieurs, nous savons très bien le faire, mais parallèlement, nous avons le leader du marché (Google, Ndlr), qui gagne rapidement des parts de marché », renchérit Steve Ballmer.

Une équipe de R&D renforcée permettra à Microsoft et Yahoo de plancher sur de nouvelles technologies de recherche, comme les moteurs verticaux ou la recherche sémantique, rappelle Ray Ozzie, le « Chief Software Architect » de Microsoft. Mais aussi et surtout de plancher sur les dimensions sociales des applications et des sites internet, afin de créer « un web plus ouvert ». « Yahoo a des atouts énormes en terme de communauté et de contenu », rappelle-t-il.

En revanche, les dirigeants de Microsoft sont restés vagues sur les conséquences en terme d'emploi, si l'opération aboutit. De même, ils auront à prendre des « décisions spécifiques » en terme de marques, a prévenu Steve Ballmer, car entre Yahoo, MSN, Windows Live, le futur groupe se retrouvera avec un ensemble de marques très renommées.

Avec Philippe Leroy

                               

Par Estelle Dumout, ZDNet France

Source

                                       

 

5 février 2008

Google semble prêt à aider Yahoo pour contrer Microsoft

Yahoo s’est contenté d’un communiqué lapidaire pour expliquer qu’il examinait l’offre de Microsoft, ainsi que toute autre possibilité. Selon le Wall Street Journal, l’une d’entre elles serait une alliance publicitaire avec Google.

Première réaction officielle prudente de Yahoo à l'annonce de l'OPA de Microsoft à son encontre : « Il va falloir du temps pour évaluer complètement cette proposition dans le contexte des projets stratégiques de Yahoo », affirme le portail sur son site.

La société entend étudier toutes les « alternatives stratégiques », y compris celle de rester indépendante ; ce processus pourra prendre « assez longtemps », peut-on lire. Pour l'instant, ses dirigeants refusent de commenter l'impact qu'aurait une telle fusion pour ses utilisateurs, ses annonceurs ou ses éditeurs partenaires.

Dans l'attente, la spéculation continue pour savoir qui serait en mesure de rivaliser avec l'offre de Microsoft. TechCrunch fait état de rumeurs selon lesquelles News Corp pourrait essayer de monter un groupe d'investisseurs pour faire une offre concurrente. Le géant des médias aurait considéré, il y a quelques temps, la possibilité de fusionner son réseau social MySpace avec Yahoo.

Un retour en arrière en forme de désaveu stratégique ?

Parallèlement, le Wall Street Journal croit savoir qu'une alliance stratégique entre Yahoo et Google pourrait être envisagée par le portail comme moyen de défense. Selon le quotidien, le P-DG de Google Eric Schimdt aurait appelé son homologue chez Yahoo Jerry Yang pour lui proposer son aide. Dans ce scenario, le moteur de recherche pourrait mettre de l'argent sur la table ou bien garantir une source de revenus au portail, via un pacte par lequel Yahoo utiliserait les services de recherche et de publicité de Google.

Yahoo aurait déjà négocié, au cours des dernières semaines, pour confier la gestion de ses liens sponsorisés en Europe à Google, selon des sources proches du dossier interrogées par le quotidien financier. Le WSJ affirme que les investisseurs demandent à Yahoo d'abandonner son propre système de liens sponsorisés depuis l'année dernière, pour utiliser celui de Google. Toujours selon la même source, les discussions entre les deux groupes devraient donc se poursuivre, même s'ils sont en désaccord sur le partage des revenus.

Mais cette option sonnerait comme un désaveu cinglant de la stratégie poursuivie par le groupe depuis quatre ans. Si à  l'origine, Yahoo utilisait bien la technologie de recherche de Google, il avait décidé en 2004 de déployer son propre service. Et l'année dernière, il avait lancé sa plate-forme publicitaire Panama, fruit de longs mois de développement, pour tenter de rivaliser avec le service Adwords de Google.

De plus, il y a fort à parier qu'une telle implication de Google vis-à-vis d'un rival important sera considérée avec beaucoup d'attention par les régulateurs de la concurrence, aux États-Unis comme en Europe.

Par Estelle Dumout, ZDNet France

Source ZDNet

5 février 2008

Fusion Microsoft-Yahoo : Google s'inquiète d'éventuelles entraves à la concurrence

Le moteur de recherche n'a pas tardé à réagir à la proposition de Microsoft de racheter Yahoo pour 44,6 milliards de dollars. Une telle fusion pourrait menacer le principe d'ouverture sur lequel est basé l'internet, estime David Drummond, le directeur juridique de Google. Cette offre « hostile » soulève « des questions troublantes », écrit-il sur son blog.

« Est-ce que Microsoft voudrait essayer maintenant d'exercer la même sorte d'influence illégale et inappropriée sur l'internet que celle qu'il a eu sur les PC ? Alors que l'internet récompense l'innovation concurrentielle, Microsoft a souvent cherché à établir des monopoles propriétaires - et étendre sa domination à de nouveaux marchés adjacents », peut-on lire. « Est-ce que l'acquisition de Yahoo permettra à Microsoft, malgré son passif d'infractions judiciaires et réglementaires, d'étendre ses pratiques injustes sur les navigateurs et les systèmes d'exploitation à l'internet ? »

Selon lui, Microsoft et Yahoo disposent ensemble d'une part de marché énorme sur le secteur des e-mails et de la messagerie électronique, et opèrent deux des plus gros portails web. Le dirigeant de Google craint ainsi que Microsoft utilise sa domination sur le marché des PC pour limiter injustement l'accès aux services concurrents.

Par La rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

9 février 2008

Identité numérique : Microsoft rallie la cause OpenID

L'éditeur formalise son soutien à la technologie OpenID, qui permet aux internautes d'utiliser le même identifiant pour se connecter à tous les sites compatibles. Il rejoint l'OpenID Foundation pour la promouvoir avec Google, Yahoo, IBM et Verisign.

La technologie d'identifiant unique open source OpenID, commun à tous les sites web, gagne le soutien grandissant d'acteurs majeurs des TIC. Le dernier en date est Microsoft, qui vient de rejoindre le comité de direction de l'OpenID Foundation, en même temps que Yahoo, Google, Verisign et IBM.

La fondation comptait déjà des membres tels que Scott Kveton (Vidoop), David Recordon (Six Apart), Dick Hardt (Sxip Identity), Artur Bergman (Wikia) ou encore Johannes Ernst (NetMesh).

Microsoft formalise ainsi son soutien à la technologie, après avoir participé à des groupes de travail sur certains de ses aspects. Elle connaît d'ailleurs bien le sujet du contrôle d'identité en ligne, pour avoir développé Passport, une initiative sur le même principe très critiquée et finalement abandonnée.

Le principe d'OpenID est d'alléger le processus de connexion aux sites, en recourant à un unique « log-in/mot de passe » pour tous. Il suffit à l'internaute de se créer un compte sécurisé une fois, pour ensuite utiliser le même identifiant sur tous les sites compatibles OpenID. À la différence de Passport, cette technologie est le fruit de développements communautaires, supervisés et promus depuis juin 2007 par la fondation dédiée.

Plus de 10 000 sites partenaires OpenID

Après une période de scepticisme, l'adhésion au projet de poids lourds du secteur IT laisse présager une adoption à grande échelle. D'autres acteurs devraient être entraînés par le mouvement, et le public séduit. Selon l'OpenID Foundation, plus de 10 000 sites web y adhèrent déjà. En France, Orange est partenaire.

Le standard OpenID a été mis au point en 2005 par Brad Fitzpatrick, un ingénieur qui travaillait alors au sein de la société Six Apart. Il a depuis rejoint Google, où il a participé à la création de la plate-forme OpenSocial.

« L'OpenID Foundation a la vision d'un Web facile à utiliser et reposant sur des standards ouverts accessibles à tous », indique-t-il. « OpenID ayant été conçu pour être un système d'identification décentralisé, c'est fantastique de rejoindre une fondation oeuvrant pour qu'il reste libre de toute extension propriétaire (...) Il ne doit appartenir à personne. »

                               

Par Caroline McCarthy, News.com, avec Béatrice Gay, ZDNet.fr,

Source ZDNet

13 février 2008

Le SP1 de Vista disponible pour les entreprises dès le 15 février

Microsoft a revu les conditions de mise à disposition du SP1 de Windows Vista, tout juste finalisé. Le premier Service Pack sera accessible dès le 15 février aux clients sous contrats de licences en volume, puis avant la fin du mois aux développeurs des réseaux MSDN et Technet.

Les entreprises étaient censées patienter jusqu'à la fin du mois pour se le procurer ; le SP1 devait être fourni dans un premier temps uniquement aux constructeurs de PC.

Pour le grand public, la date de sortie mi-mars reste toutefois maintenue, pour « offrir la meilleure expérience utilisateur possible lors de l'installation via Windows Update », explique le vice-président de Microsoft, Mike Nash.

Microsoft travaille toujours à la résolution d'un problème au niveau des pilotes de certains périphériques tiers, qui ne fonctionnent pas une fois le Service Pack installé. Il est lié à la façon dont ils ont été réinstallés, précise le dirigeant. « Ces pilotes fonctionnaient avec Windows Vista RTM. Ils fonctionnent aussi avec le SP1 de Vista sur les nouveaux PC où il est préinstallé. Nous travaillons avec les fabricants de ces appareils pour que leurs pilotes et leurs programmes d'installation soient mis à jour ».

Pour en savoir plus : tous les Livres Blancs consacrés à Windows Vista


                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

13 février 2008

Novell adapte Microsoft Silverlight pour Linux

Après .NET, l’équipe de Novell s’est attelée à créer une version Linux de Silverlight, rival du Flash d'Adobe, baptisée Moonlight. Grâce à elle, Microsoft couvre les principaux OS - Linux, Mac OS, Windows - et navigateurs - Safari, Firefox, et IE.

Miguel de Icaza et son équipe avaient défrayé la chronique il y a quatre ans en adaptant la plate-forme .NET pour Linux, dans le cadre du projet Mono. Les trublions de Novell ont réitéré cette fois l'opération avec Silverlight, le client riche de Microsoft, concurrent du Flash d'Adobe.

Baptisée Moonlight, cette implémentation de Silverlight 2.0 (ex-1.1) pour Linux poursuit plusieurs objectifs : « permettre aux applications Silverlight de fonctionner dans un navigateur au dessus de Linux, mettre un kit de développement à disposition des développeurs, et réutiliser Moonlight pour créer des applications de bureau », détaille Miguel de Icaza.

Un grand service rendu à Microsoft

Cette fois, Microsoft et Novell ont conclu un accord de coopération technique. Microsoft a en effet tout à y gagner puisqu'il laisse un partenaire améliorer la portabilité de son client riche. La version officielle de Silverlight n'est en effet disponible que pour Internet Explorer et Firefox sous Windows, Safari et Firefox sur Mac OS.

Microsoft a fourni à Novell la spécification technique complète de Silverlight (pour éviter un long travail de reverse engineering, ou décompilation) et une suite de tests qui permettront à l'équipe de Moonlight de garantir la compatibilité de leur implémentation. Ils disposeront également des versions binaires des codecs de Microsoft pour pouvoir lire des flux multimédias. Et même si ce sont les équipes de Novell qui développeront seules Moonlight, Microsoft leur promet le support de ses propres équipes techniques en cas de besoin. De son côté, Novell s'est engagé à redistribuer Moonlight au-delà d'OpenSuSE : des packages RPM et DEB seront également disponibles.

De nombreux langages supportés

Au-delà du support de Mac OS, Windows et désormais Linux, Silverlight 2.0 introduit un autre changement de taille. Tandis que la version 1.0 exécutait uniquement un code Javascript, Silverlight 2.0 supporte différents langages : C#, VB.NET, Ruby, Python, PHP, etc. Microsoft travaille avec Zend pour mettre au point un compilateur JIT PHP pour .NET (Phalanger). Et il a recruté John Lam, auteur du compilateur IronRuby qui convertit du code Ruby en code intermédiaire .NET (MSIL).

Les langages statiques sont traduits en code MSIL lors du déploiement de l'application. En revanche, un nouveau compilateur juste à temps (JIT) traduit les langages dynamiques (Python, Ruby, etc.) à la volée. « Le Dynamic Language Runtime (DLR) compile dynamiquement un code Python ou Ruby en MSIL qui est ensuite interprété par la machine virtuelle (CRL) de Silverlight 2.0 », explique Laurent Ellerbach, responsable marketing de la division plate-forme et écosystèmes.

Silverlight 2.0 pourra donc exécuter des applications écrites en PHP, Ruby, Python, C#, et VB.NET... sous Windows, Linux, et Mac OS. Il est ainsi possible de mélanger les langages au sein d'un même client Silverlight 2.0 pour réutiliser des librairies ou des logiciels existants. Cette flexibilité permet aussi « d'utiliser le meilleur langage dans un contexte précis ou d'utiliser le langage avec lequel on est le plus l'aise », complète Laurent Ellerbach.

                               

Par Carole Buret, ZDNet France

Source ZDNet

15 février 2008

La botte secrète de Quentin pour l'emporter

Quentin Mosimann a une botte secrète pour battre Mathieu lors de la finale de la Star Academy 7, ce soir en direct sur TF1. C’est la mère de Quentin en personne qui le confie : « Quentin n'est pas superstitieux. Par contre, il a toujours une photo de son grand-papa sur lui. Pourtant, il ne l'a pas connu. Son grand-père est mort alors que j'étais enceinte de Quentin. Mais, depuis toujours, mon fils se sent protégé par lui. Il croit aux anges gardiens aussi. Cela lui permet d'avoir confiance ».

Même si Pascale, sa maman, reste confiante, elle admet que Mathieu sera dur à battre : « Ses chances de gagner? C'est difficile de dire... Mathieu est un bon adversaire; Quentin et lui n'ont pas le même public, mais je veux y croire »

Verdict ce soir, lors de la grande finale de la Star’Ac 7.

Source Yahoo

26 février 2008

Electronic Arts veut s'offrir l'éditeur de Grand Theft Auto

Electronic Arts, premier éditeur mondial de jeux vidéo, a lancé dimanche une OPA pour racheter son concurrent Take-Two Interactive Software, qui produit la célèbre série des Grand Theft Auto (GTA).

EA propose 26 dollars en numéraire par action Take-Two, ce qui représente une prime de 50 % sur le cours de clôture du titre vendredi 22 février (17,36 dollars). Le montant total de l'opération est ainsi estimé à 2 milliards de dollars.

Cette offre a été rejetée par la direction de Take-Two, estimant qu'elle sous-évalue l'entreprise et est « opportuniste ». Take-Two s'apprête à sortir la nouvelle version de son jeu vedette, à savoir la version 4 de GTA, attendue pour fin avril.

Si les discussions sont bloquées entre les directions, Electronic Arts a décidé de soumettre directement son offre aux actionnaires de Take-Two.

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

3 avril 2008

Vers un nouveau sursis pour Windows XP ?

Analyse - Un an après la sortie de Vista, Windows XP fait toujours de la résistance. Constructeurs et utilisateurs le plébiscitent dans les pays émergents et les portables à bas coût. De quoi pousser Microsoft à repousser encore sa fin de vie, au-delà de juin ?        

Alors que Microsoft  continue de pousser Windows Vista sur un marché qui résiste, tout porte à croire qu'il pourrait repousser une fois de plus la durée de vie de son prédécesseur, XP. Pour l'heure, la date butoir pour la fin de la commercialisation est le mois de juin prochain ;  celle du support technique reste inchangée, courant jusqu'en 2009, ou 2014 (support étendu payant).

Hier, Microsoft proposait une nouvelle version de la RC2 du Service Pack 3 de XP, afin de « recevoir de nouveaux commentaires d'utilisateurs » avant la publication du SP3 final, prévue pour la mi-avril selon plusieurs sources.

Initialement, Windows XP devait disparaître des nouveaux PC il y a deux mois, mais Microsoft a revu sa copie pour répondre à la demande de son marché. Actuellement, de grands constructeurs proposent avec succès XP en option pour leurs machines configurées sur mesure, notamment Lenovo, Hewlett-Packard et Dell.

Asus Eee PC et consorts : un carton grâce à XP

XP a aussi sa carte à jouer sur le marché encore jeune mais à forte croissance des ordinateurs portables à mémoire flash et à bas coût, tels que le Eee PC d'Asus. Microsoft a adapté XP pour cette machine jusque-là équipée de la distribution Linux Xandros, qui remporte un franc succès. Asus, qui vend actuellement uniquement aux États-Unis une version de son portable sous XP, table même sur des ventes records grâce à l'OS de Microsoft. Windows Vista, trop gourmand pour les ressources de la machine, a été écarté.

Les pays en développement sont un autre débouché pour XP. Microsoft a aussi repoussé l'échéance l'an passé pour sa version pour marchés émergents, Windows XP Starter Edition. Elle sera ainsi disponible jusqu'en 2010, pour un usage sur les PC à très faible coût.

« Nos partenaires constructeurs (OEM) plébiscitent toujours Windows sur ces machines, en préinstallant cette version Starter allégée et moins chère dans plus de 100 marchés émergents », expliquait Mike Nash, vice-président de Microsoft, en septembre 2007. « Nous surveillerons cette tendance, car même si les coûts de fabrication du matériel baissent constamment, cela prouve que les clients ne veulent pas tous la même chose sur leur machine ».

Et l'engouement ne se limite pas à ces marchés émergents, puisque, à l'évidence dans les marchés matures, les utilisateurs sont prêts à renoncer à certaines fonctionnalités de XP en contrepartie d'une machine allégée et à moindre coût, permettant de surfer sur le web facilement. Même si, pour rivaliser avec Linux, une version la plus complète possible de Windows XP est évidemment préférée.

Autant de conditions pouvant pousser Microsoft à revoir la durée de vie de XP, peut-être en l'appliquant à certains types d'ordinateurs.

                       

        Par Ina Fried, News.com, avec Béatrice Gay, ZDNet.fr,

26 avril 2008

Impact limité de la fin du HD-DVD sur Toshiba

L'abandon du format HD-DVD a eu des conséquences limitées sur l'exercice 2007-2008 de Toshiba, son principal promoteur. Entre 2007 et mars 2008, le chiffre d'affaires du groupe nippon s'est élevé à 7 668,1 milliards de yens (47 milliards d'euros), soit 7,8% de mieux que l'exercice précédent.

En revanche, le bénéfice net s'établit à 127,4 milliards de yens (779 millions d'euros) contre 137,43 milliards (841 millions d'euros) l'année précédente, soit un recul de 7,3%, imputé principalement à l'arrêt du format HD-DVD.

Toshiba a également dû faire face à la baisse des prix sur le marché des mémoires flash. Il s'est en revanche rattrapé sur l'augmentation des ventes d'appareils numériques (PC portables et téléviseurs notamment), des équipements d'infrastructures publiques (dont les matériels de centrales électriques) et des appareils électro-ménagers.

Pour l'année en cours, qui sera close le 31 mars 2009, Toshiba mise sur un bénéfice net de 130 milliards de yens (798 milliards de yens) soit +2% sur un chiffre d'affaires, espéré à 8 000 milliards de yens (49,1 milliards d'euros).

En mars dernier, le groupe était plus pessimiste et indiquait que l'abandon du format HD DVD devait représenter une perte de 110 milliards de yens, soit environ 1,1 milliard de dollars.

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

                                 
26 avril 2008

Bercy ouvre une consultation autour du .fr

Le ministère de l'Economie organise une consultation publique sur les noms de domaines nationaux. Cela concerne le ".fr", mais aussi les extensions des territoires et départements d'outre-mer (".re" pour la Réunion, ".gf" pour Guyane, etc). Il cherche à recueillir les avis des acteurs du secteur sur « les conditions d'accès aux enregistrement (faut-il imposer certaines restrictions), sur la protection de certains noms et le traitement des litiges, sur les tarifs d'enregistrement... ».

Cette concertation démarre le 25 avril, et se poursuivra jusqu'au 24 juin 2008. Elle a pour objectif d'orienter le gouvernement avant de lancer un appel à candidatures pour désigner un successeur de l'Afnic, l'organisme actuellement en charge de la gestion des ".fr".

La loi pour la confiance dans l'Economie numérique de 2004 prévoit en effet que les gestionnaires des extensions françaises doivent être désignés par le ministre en charge des communications électroniques. Mais il a fallu attendre la parution d'un décret en 2007, pour que le processus de sélection puisse être mis en action, avec comme première étape cette concertation.

                               

Par La rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

                                 
1 mai 2008

La foire de Sens 2008

La foire de Sens 2008
81 eme foire
Du 30 Avril au 5 Mai 2008

La Fête foraine

19 Avril au 5 Mai 2008

La foire-exposition de Sens, c'est 3 Km de promenade, de 200 à 250 000 visiteurs attendus,      278 exposants foire et 75 exposants non sédentaires.

L'entrée se fait boulevard du Mail.

L'entrée est gratuite.

La météo est bonne, soleil



1 mai 2008

Windows 7, le successeur de Vista, prêt en 2009 ?

Le prochain Windows pourrait être bouclé dès l'année prochaine, a confié Bill Gates lors de la conférence de la Banque de développement inter-américaine, qui s'est tenue à Miami le 4 avril.

Le cofondateur de Microsoft a déclaré : « Au cours de l'année prochaine, à peu près, nous aurons une nouvelle version [de Windows]. Je suis très enthousiasmé par ce qu'il fera dans beaucoup de domaines. »

Jusqu'alors, le successeur de Vista était plutôt attendu pour 2010, selon le cycle de renouvellement de quatre ans chez Microsoft ; Vista est disponible pour les entreprises depuis novembre 2006. Ce développement anticipé peut être interprété comme un désaveu pour Vista qui n'a pas fait l'unanimité auprès des constructeurs et n'a pas répondu aux attentes des entreprises. Seules ses ventes de licences se portent bien grâce aux nouveaux PC qu'il équipe.

Peu de détails techniques ont filtré sur Windows 7 (anciennement Vienna). Il sera optimisé pour les écrans tactiles, gérera jusqu'à 64 coeurs, intègrera le système de gestion de fichiers (WinFS) prévu initialement pour Vista. Il disposera également d'une nouvelle interface sans la barre des tâches et le menu Démarrer, mais intégrant des menus circulaires. Comme Vista, Windows 7 existera en versions 32 et 64 bits.

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

3 mai 2008

Un homme accusé d'avoir essayé de faire passer un chèque de 360 milliards de dollars!

Un homme originaire de Crowley, aux Etats-Unis, a été arrêté le 22 avril dernier pour avoir tenté de faire passer un chèque de 360 milliards de dollars.

Charles Ray Fuller est poursuivi par la justice pour falsification. Se rendant à la Chase Bank de sa ville, il a tenté de faire passer ce chèque d'un montant exceptionnel en prétendant qu'il lui avait été donné par la mère de sa petite amie pour se lancer dans les affaires.

Le personnel de la banque n'a bien évidemment pas cru à l'histoire de Charles, et a immédiatement contacté la personne qui avait émis le chèque. Celle-ci a démenti avoir donné un chèque de ce montant.

Charles Fuller a également été accusé de port illégal d'arme, ainsi que de possession de marijuana.

La police ne sait pas si Charles et sa petite amie sont toujours ensemble à ce jour.

Source Lycos

6 mai 2008

GTA 4 : nouveau canal de distribution pour la musique ?

Avec pas moins de deux cents titres de musique rock et alternative, la bande-son du très attendu Grand Theft Auto IV ne fait pas dans la dentelle, comme le jeu lui-même qui permet à ses utilisateurs d'acheter ces musiques sur Amazon.

À la suite de Rock Band et de Guitar Hero III, GTA 4, la dernière version de Grand Theft Auto, pourrait consacrer les jeux vidéo comme nouveau canal de distribution émergent pour la musique.

À lui seul, MTV Games, l'éditeur de Rock Band, qui propose plus de 80 titres en téléchargement sur Xbox Live et Playstation Store, (en sus des 58 morceaux du jeu), en a vendu plus de six millions aux États-Unis en l'espace de trois mois ; et Activision, éditeur de Guitar Hero, plus de cinq millions en huit semaines.

Mais GTA 4 boxe dans une autre catégorie. Le seul jour de sa sortie, il s'est vendu à 2,5 millions d'exemplaires aux États-Unis, selon VGCharts, quand Guitar Hero II et III pour PS2 se sont écoulés à 4,6 millions d'unités sur l'année 2007.

Une « grosse affaire » pour les labels

Autre distinction, la bande-son prévue en illustration des cent heures de jeu de GTA 4 comporte pas moins de deux cents titres. Un record dans l'histoire du jeu vidéo ! Et cerise sur le gâteau pour les labels : un bouton « Acheter » permet à tout instant, en partenariat avec Amazon, d'identifier et de télécharger le titre diffusé en fond sonore.

« C'est une très grosse affaire pour nous, confie au magazine américain Billboard un haut responsable du marketing chez EMI Music North America. Il y a des millions de gens qui achètent Grand Theft Auto, et nous espérons qu'ils vont apprécier la musique et acheter ces chansons en retour. »

L'éditeur de GTA, qui ne s'appelle pas pour rien Rockstar, met un soin particulier au choix des musiques qui illustrent son jeu. Elles relèvent beaucoup plus de la playlist du DJ underground, ponctuée d'obscures raretés, que de la pop mainstream. Lorsque le partenariat avec Amazon a été signé, son catalogue n'était pourvu que de 40 % des titres de la bande-son de GTA

GTA prescripteur de nouveaux talents et musiques

C'est encore une fois ce qui distingue GTA de Rock Band ou Guitar Hero, qui redistillent surtout jusqu'à présent, non sans succès, tous les tubes des vieilles gloires.du heavy metal des années 70 et 80. GTA est bien plus prescripteur de nouveaux talents et de musiques jeunes et alternatives. Et plus politiquement incorrect aussi, comme avec ce nouveau mode « drunk » qui simule l'ivresse au volant dans la dernière version, au coeur d'une énième polémique.

GTA 4 s'est vendu à 4 millions d'exemplaires dans le monde le jour de sa sortie, dont 1,7 million de copies écoulées en Europe, et 25 % des gamers ont acheté la version collector du jeu.

                               

Par Philippe Astor, ZDNet France

Source ZDNet

6 mai 2008

La Bourse sanctionne Yahoo après le retrait de l'offre de Microsoft

Après avoir refusé l'offre de rachat de 47,5 milliards de dollars proposée par Microsoft, Jerry Yang se prépare à mener une nouvelle bataille contre la Bourse. Enjeu : convaincre que l'avenir de Yahoo sera plus radieux sans la tutelle de la firme de Redmond.

Si il y a une prévision sur laquelle tous les observateurs sont tombés d'accord à l'issue du retrait de l'offre de Microsoft, c'est la chute du cours de l'action Yahoo dès l'ouverture de Wall Street le 5 mai. Et ils ont eu raison. A une heure de la fin de la séance, au moment de la rédaction de ces lignes, le titre cédait près de 15 %.

Fragilisé avant l'offre initiale de Microsoft rendue publique le 1er février , le titre Yahoo s'est apprécié au cours des trois mois de discussions passant de 19 dollars à une fourchette entre 26 et 28 dollars.  Les analystes reprochent au portail d'avoir fait de la surenchère sur la proposition de Microsoft et d'avoir refusé une plus value confortable pour les actionnaires.

En effet, lors des dernières discussions le 3 mai entre Yahoo (représenté par ses fondateurs, Jerry Yang, l'actuel P-DG et David Filo) et Microsoft (réprésenté par Steve Ballmer, P-DG et Kevin Johnson, responsable de l'activité Plateformes et Services), le prix proposé a atteint 33 dollars par action Yahoo soit 47,5 milliards de dollars (30,8 milliards d'euros). Soit 5 milliards de mieux que l'offre initiale du 1er février (31 dollars).

Après avoir demandé jusqu'à 40 dollars les semaines précédentes, Yahoo s'est dit prêt à céder pour 37 dollars par action. Une offre refusée par Microsoft.

Quel plan B pour Yahoo ?

Autre reproche formulé par les marchés financiers : l'absence d'un plan B stratégique et lisible à son leitmitiv des trois derniers mois "Tout sauf Microsoft". Car mis à part un test de deux semaines consistant à sous-traiter à Google la vente de publicité sur son moteur de recherche, Jerry Yang n'a proposé aucune alternative pour contrer la proposition de Redmond.

Steve Ballmer a d'ailleurs habilement pointé cette décision comme un acte de renoncement de Yahoo sur une partie de son activité. « Il porterait fondamentalement atteinte à la stratégie de Yahoo! et à sa viabilité à long terme en encourageant les annonceurs à utiliser Google par opposition à Panama, votre système de recherche payée » écrit-il dans sa lettre envoyée à Jerry Yang le 3 mai.

Et l'évocation d'un accord en cours de discussion pour le rachat d'AOL (Time Warner) ne suffit pas à changer la donne, tant elle ne permet d'espérer un gain significatif de parts de marché sur la publicité en ligne.

Réaction des actionnaires

Enfin, des représailles de certains actionnaires contre les dirigeants de Yahoo ne sont pas à exclure. Selon Reuters, un groupe de 140 investisseurs disposant de deux millions d'actions a indiqué son intention de sanctionner les dirigeants du portail lors de la prochaine assemblée générale. Une information qui n'a rien pour plaire aux marchés qui exècrent une chose : l'incertitude.

                               

Par Philippe Leroy, ZDNet France

Source ZDNet

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