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8 mai 2008

Vente liée : Asus France condamné à rembourser Windows

Nouveau jugement en faveur d’un particulier qui s’est fait rembourser l’OS Windows préinstallé sur son ordinateur : Asus France a été condamné à lui verser 100 euros. Plus d’une dizaine de procédures similaires sont en cours.

Et de quatre, se félicitent les opposants à la vente liée des PC avec un OS préinstallé. Un particulier vient d'obtenir devant une juridiction de proximité le remboursement des logiciels équipant sa machine, dont Windows.

Le constructeur Asus France a été condamné par le tribunal de proximité de Caen, le 30 avril, à lui verser 100 euros pour la licence Windows XP, plus 30 euros pour d'autres logiciels, peut-on lire dans le jugement.

Rappel des faits : le plaignant acquiert en octobre 2006 un ordinateur portable de marque Asus chez ASE Informatique, petit revendeur de Caen. Il refuse d'utiliser le système d'exploitation fourni ainsi que les autres logiciels, comme le prévoit le contrat de licence utilisateur final (Cluf). Il procède au formatage du disque dur et efface de manière irréversible tous les programmes préinstallés.

La quatrième décision en faveur des consommateurs depuis 2006

Il envoie ensuite une demande de remboursement à Asus, en réclamant 150 euros pour les logiciels ; en réponse, le constructeur lui propose seulement 25 euros. Une somme qui, selon le plaignant, ne reflète pas la valeur des logiciels concernés ; il réitère donc sa demande qui reste sans suite. Le plaignant se tourne alors vers le conciliateur de justice du tribunal d'instance de Caen qui, faute d'obtenir une réponse d'Asus France, saisit au final le juge de proximité.

Il s'agit de la quatrième décision en ce sens depuis 2006. Trois autres procès similaires ont été gagnés dont deux déjà contre Asus France qui a dû rembourser un consommateur, tout comme Acer France ; les montants allant de 100 à 300 euros. Un cinquième procès devrait aboutir à Paris courant mai. Et plus d'une dizaine d'autres procédures sont en cours, concernant notamment le fabricant Lenovo.

« Je pense que c'est le début d'une série de jugements allant dans le même sens », se réjouit Alain Coulais, un des responsables de Racketiciel (anciennement collectif GdT Détaxe). « Les constructeurs vont devoir commencer à sérieusement réfléchir à proposer l'OS en option ou à s'habituer à devoir le rembourser. »

Ce jugement intervient alors que s'ouvre à Paris le procès opposant l'UFC-Que choisir à Darty, également sur la problématique de la vente liée.

                               

Par Christophe Guillemin, ZDNet France

Source ZDNet

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8 mai 2008

Le Nokia Music Store obtient l'aval de la Sacem

Lancé simultanément ou presque dans plusieurs pays d'Europe, d'Asie et jusqu'en Australie, le site de téléchargement de musique créé par Nokia a conclu un accord avec la Sacem avant son ouverture en France.

La Sacem a officialisé la signature, avec ses consoeurs SDRM (reproduction mécanique) et Sesam (multimédia), d'un accord avec le groupe finlandais Nokia, peu avant l'ouverture de son Nokia Music Store en France. Le fabricant de téléphones mobiles a lancé le déploiement sur tous les fronts de cette nouvelle plate-forme de musique en ligne, qui propose du streaming illimité sur abonnement et du téléchargement avec DRM, en Europe, en Asie et en Australie.

D'une durée d'un an, l'accord signé avec la Sacem prévoit de rémunérer les auteurs, compositeurs et éditeurs de musique sur la base des conditions contractuelles habituelles en matière d'écoute illimitée ou de téléchargement à l'unité.

Il ne concerne en rien, pour l'heure, l'offre « Come With Music » que prépare le groupe finlandais en partenariat avec les majors du disque, pour inclure un accès étendu à leurs catalogues dans le prix de ses combinés.

L'ouverture de Nokia Music Stores un peu partout dans le monde est la suite logique du rachat par Nokia, il y a deux ans, du grossiste numérique américain Loudeye ; il avait lui-même avalé son homologue européen OD2, compagnie fondée par Peter Gabriel. Par ce rachat, le fabricant de mobiles a non seulement hérité de catalogues numérisés et d'accords de distribution déjà signés, mais aussi de la compétence des équipes d'OD2, restées pour partie aux commandes.

                               

Par Philippe Astor, ZDNet France

Source ZDNet

15 mai 2008

Résultat record pour Sony, malgré la division jeux vidéo déficitaire

Après un exercice 2006/2007 difficile, le géant de l'électronique japonais renoue avec une forte rentabilité sur son dernier exercice clos le 31 mars 2008. Sony a enregistré une résultat net record de 369,44 milliards de yens (2,4 milliards d'euros), contre seulement 126 milliards de yens sur l'exercice précédent (+ 192,4 %). Un résultat très supérieur aux prévisions annonncées.

Le chiffre d'affaires grimpe, quant à lui, à 8 871,41 milliards de yens (57 milliards d'euros), soit une croissance de 6,9 % sur un an.

Sony a développé surtout ses revenus sur son coeur de métier historique : les appareils numériques audiovisuels comme les téléviseurs LCD (Bravia), les appareils photo CyberShot ainsi que les ventes d'ordinateurs Vaio. Cette division dite « Électronique » a vu ses revenus grimper de 8,9 % pour atteindre un résultat net positif de 356 milliards de yens.

Forte augmentation des ventes de PS3 et de PSP

Quant à l'activité jeux vidéo, elle a réduit ses pertes grâce à une forte augmentation des ventes de PS3 et de PSP, ainsi que des jeux. Ses revenus ont augmenté de 26,3 %, mais son résultat net reste négatif de 124,5 milliards de yens. Environ 9,24 millions de PS3 ont été vendues dans le monde durant l'exercice, soit un total de 12,85 millions depuis son lancement fin 2006.

Enfin, la branche Sony Pictures, enregistre une baisse de 11,2 %, avec 54 milliards de yens de bénéfices.

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

19 mai 2008

Asus dope le démarrage de ses PC avec Linux sur la carte mère

Les PC du constructeur américain vont être progressivement équipés d'une solution de démarrage rapide. Embarquée sur leur carte mère, elle est basée sur Linux et permet d'accéder en quelques secondes aux applications web basiques, sans lancer l'OS.

Faire démarrer sa machine en quelques secondes pour accéder presque immédiatement à ses applications web favorites : c'est ce que va proposer sur ses machines le constructeur Asus en intégrant, sur leur carte mère, une version allégée et rapide de Linux, appelée « Splashtop ».

Splashtop est un environnement propriétaire dit de « pré-boot » (ou prédémarrage), développé par la société DeviceVM. Il permet de gagner du temps au démarrage de la machine, puisqu'il évite de lancer le système d'exploitation ; il s'exécute ainsi à partir du BIOS de la carte mère, et est capable d'exécuter certaines applications telles qu'un navigateur web dérivé de Firefox et le programme de VoIP Skype.

Splashtop permet aussi de consulter une messagerie, visionner des vidéos ou encore converser par messagerie instantanée.

Un million de cartes mères équipées chaque mois

Lors du démarrage de l'ordinateur, un écran invite l'utilisateur à choisir entre les applications Splashtop (dont Skype et le navigateur de Splashtop) et l'exécution de l'OS principal. L'opération peut se faire en quelques secondes selon la configuration de la machine, assurent Asus et DeviceVM.

Asus a déjà adopté cette solution pour ses cartes mères haut de gamme depuis octobre dernier (P5E3 Deluxe/WiFi-AP@n). Et c'est suite à des commentaires très positifs de ses utilisateurs qu'il a décidé d'en équiper progressivement l'ensemble de ses cartes. Il compte charger en masse cette solution, qu'il a rebaptisée « Express Gate », sur un million de cartes mères par mois.

Dès ce trimestre quatre modèles vont en bénéficier : P5Q Deluxe, P5Q-WS, P5Q3 Deluxe et P5Q-E.

                               

Par David meyer, Silicon.com

Source ZDNet

25 mai 2008

Eurovision 2008 Finland

eurovision 2008 Finland - 2ième essai - Teräsbetoni

2ième essai à Belgrade 
Teräsbetoni - Missä miehet ratsastaa - Chanson representant la Finlande à l'Eurovision 2008      
GROUPE EUROVISION 2008:         
http://www.dailymotion.com/group/eurovision2008       
Huh – hah – huh – hah       
Huh – hah – huh – hah       

Olkoon myrsky sekä viima       
ja tuvassa lämmin kamiina       
On kunnia ja miehuullisuus       
suorittaa velvollisuus       

Maailma on kylmä vaikka       
on ehkä lämmölläkin paikka       
Kentät kutsuu sankareita       
eikä suinkaan pelkureita       

Missä miehet ratsastaa       
Siellä lampaat ei voi laiduntaa       
Missä miehet ratsastaa       
Siellä kuulee susien ulvontaa       

Huh – hah – huh – hah       

Olkoon edessä tuhoa       
ja takana lemmen lumoa       
On miehellä velvollisuus       
muistaa urhoollisuus       

Ei kukaan voi välttää kipua       
ja vain elämän virrassa lipua       
Kentät kutsuu sankareita       
eikä suinkaan pelkureita       

Missä miehet ratsastaa       
Siellä lampaat ei voi laiduntaa       
Missä miehet ratsastaa       
Siellä kuulee susien ulvontaa       

Missä miehet, missä miehet ratsastaa       
Missä miehet, missä miehet ratsastaa       

Missä miehet ratsastaa       
Siellä lampaat ei voi laiduntaa       
Missä miehet ratsastaa       
Siellä kuulee susien ulvontaa       

Missä miehet ratsastaa       
Siellä lampaat ei voi laiduntaa       
Missä miehet ratsastaa       
Siellä kuulee susien ulvontaa       

Missä miehet hah – huh – hah       
Missä miehet hah – huh – hah      
 

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25 mai 2008

Eurovision bosnie 2008

eurovision bosnie 2008 (sf1) - Laka

Chanson qui a participé à la demi-finale du 20 mai et qui participera à la finale du 24 mai 
Laka - Pokusaj - Chanson representant la Bosnie Herzegovine à l'Eurovision 2008         
GROUPE EUROVISION 2008:         
http://www.dailymotion.com/group/eurovision2008      
(Ne silazi sa čardaka)    
(Rek'o mi je pjevač Laka)    
(Ne klepeći nanulama)    
(Nemoj da se praviš dama)    

(Ne silazi sa čardaka)    
(Rek'o mi je lično Laka)    
(Ne silazi sa čardaka)    
(Dok ti ljubav nije jaka)    

Na moju omiljenu foru    
Prevarim faunu i floru    
Da život nije postao u moru    
Nego od ljubavi    
Ljubavi, ljubavi    
Od ljubavi    

Kolike protračismo dane    
Ležeći, jedući banane    
Pa spadosmo na niske grane    
Bez ljubavi    
Ljubavi, ljubavi    
Bez ljubavi    

Pokušaću da te poljubim a ti se pravi luda    
Pokušaću da te poljubim a ti se pravi luda    
Pokušaću da te probudim a ti se pravi budna    

(Ne silazi sa čardaka)    
(Rek'o mi je pjevač Laka)    
(Ne klepeći nanulama)    
(Nemoj da se praviš dama)    

(Ne silazi sa čardaka)    
(Rek'o mi je lično Laka)    
(Ne silazi sa čardaka)    
(Dok ti ljubav nije jaka)    

Pokušaću da te poljubim a ti se pravi luda    
Pokušaću da te poljubim a ti se pravi luda    
Pokušaću da te probudim a ti se pravi budna    

Pokušaću da te poljubim a ti se pravi luda    
(Ne silazi sa čardaka)    
(Rek'o mi je pjevač Laka)    
Pokušaću da te poljubim a ti se pravi luda    
(Ne klepeći nanulama)    
(Nemoj da se praviš dama)    
Pokušaću da te probudim a ti se pravi budna    


 

11 juin 2008

Mac OS 10.6 : Apple privilégie la performance aux nouvelles fonctionnalités

Lors de la conférence des développeurs WWDC, Apple a dévoilé les grandes caractéristiques de Mac OS X Snow Leopard : il devrait être plus performant et optimisé pour les processeurs multicoeurs.

Même si l'iPhone 3G a été le moment fort du discours inaugural de Steve Jobs à la conférence des développeurs WWDC 2008 (9-13 juin à San Francisco), Apple a aussi levé le voile sur Mac OS 10.6, la prochaine version de son système d'exploitation.

Répondant au nom de code de Mac OS X Snow Leopard (Léopard des neiges), l'évolution majeure est à chercher du côté de sa rapidité. « Plutôt que d'introduire un grand nombre de nouvelles fonctionnalités, Snow Leopard s'attache à faire progresser les performances de Mac OS X », indique la firme à la pomme.

Si aucun résultat de benchmark n'est pour l'instant communiqué, Apple précise que Snow Leopard est « optimisé pour les processeurs multicoeurs », qu'il « exploite l'énorme puissance de calcul des unités de traitement graphique (GPU) » et « accepte des quantités inédites de mémoire RAM ».

Compatibilité accrue avec les processeurs multicoeurs

Dans le détail, Mac OS 10.6 assurera une compatibilité accrue avec les processeurs multicoeurs, grâce à une nouvelle technologie baptisée « Grand Central ». Il s'agit d'une techno censée « faciliter la tâche des développeurs chargés de créer des programmes tirant pleinement parti de la puissance des ordinateurs Mac équipés de processeurs à plusieurs coeurs ».

Côté graphique, la technologie OpenCL (Open Computing Language) doit permettre à toute application d'exploiter la puissance de calcul des processeurs graphiques intégrés à l'ordinateur. Une puissance de calcul qui servira désormais au-delà des seules applications graphiques. Enfin, Snow Leopard pourra gérer jusqu'à 16 To de RAM (en 64 bits).

Notons également que Mac OS 10.6 intègrera QuickTime X, qui est censé optimiser la lecture des formats audio et vidéo. Snow Leopard assure également la prise en charge de Microsoft Exchange 2007 dans ses applications Mail, iCal et Carnet d'adresses, afin de faciliter l'intégration des ordinateurs Mac au sein d'entreprises.

Mac OS 10.6 est attendu pour 2009, sans plus de détail. Contacté par ZDNet.fr, Apple Europe n'a pas été en mesure d'indiquer si ce système sera compatible exclusivement avec les Mac équipés de puces Intel.

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

21 juin 2008

Windows 7 et Internet Explorer 8 sous la surveillance de la justice américaine

Le Département de la justice américaine (DOJ) va continuer à surveiller les agissements de Microsoft concernant deux futurs produits majeurs : Windows 7 et Internet Explorer 8. C'est ce que rapporte le site américain Networkworld.com, sur la base d'un document juridique publié par le DOJ.

La justice veut vérifier si l'éditeur n'enfreint pas la législation locale sur la concurrence avec IE 8 et Windows 7, et s'il respecte bien les engagements pris lors du compromis signé en 2002 avec les autorités antitrusts.

Cette surveillance sera assurée par un comité technique auquel Microsoft s'engage à communiquer les informations sur le développement des deux logiciels. Ce comité portera une attention particulière à l'intégration d'Internet Explorer 8 dans Windows. Il va aussi vérifier l'exhaustivité des informations communiquées par Microsoft aux autres éditeurs concernant les protocoles de communication de Windows 7, afin qu'ils puissent développer des logiciels interopérables avec le prochain OS.

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

2 juillet 2008

Linux : le canadien Xandros rachète Linspire

Selon le site américain Ostatic.com et d'autres sources concordantes, Xandros, éditeur de la distribution Linux commerciale éponyme, va s'offrir l'éditeur open source californien Linspire. Le prix de l'opération n'est pas encore connu.

Anciennement baptisé Lindows, Linspire a changé de nom en 2004 sous la pression de Microsoft.

Ce petit éditeur américain a ensuite passé en 2007 avec Microsoft un pacte de protection juridique, dans l'esprit de ceux signés avec Novell. Notons que Xandros, qui le rachète aujourd'hui, a également signé un accord de ce type avec la firme de Redmond.

L'éditeur canadien a récemment été sous le feu des projecteurs car sa distribution équipe la première version de l'Eee PC d'Asus (modèle 701).

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

8 juillet 2008

Vente liée : Nexedi propose une solution pour activer Windows lors de l'achat du PC

Activer ou pas un OS pré-installé sur un PC, c'est le souhait exprimé par Luc Chatel pour démêler la problématique de la vente liée. La société Nexedi propose une solution basée sur GRUB2, le programme libre de multiboot.

La société française Nexedi rebondit opportunément sur les récentes déclarations du secrétaire d'État à la Consommation concernant la vente liée de PC et de l'OS, en particulier son souhait de mettre en place  « un dispositif où le système d'exploitation, éventuellement installé d'origine, puisse être activé par un simple code remis en magasin ».

Spécialisée dans les logiciels libres, elle propose aux fabricants de PC une solution pour activer, ou non, l'OS au premier démarrage du PC. Concrètement, il s'agit d'un dérivé du logiciel libre GRUB2, qui permet de faire cohabiter plusieurs OS sur un PC et de choisir au démarrage celui que l'on souhaite utiliser (Multiboot boot loader). Nexedi lui a ajouté une couche logicielle d'activation.

« Lors de l'achat du PC, si le client souhaite acheter le système d'exploitation proposé, un code d'activation lui est remis. Au premier démarrage du PC ce code doit être entré. L'OS est alors accessible. Cette activation peut être faite en magasin par le vendeur, comme pour les téléphones mobiles », explique à ZDNet.fr, Jean-Paul Smets, P-DG de Nexedi.

Afin que Windows ne puisse pas être accessible sans activation, une partie de la partition de l'OS est chiffrée ; c'est le code qui va lancer le déchiffrement de ces données nécessaires au démarrage du système.

Un OS libre proposé en alternative à Windows

« Notre système a un coût à peine mesurable pour les constructeurs de PC. Ils n'ont pas besoin de modifier le Bios, pas besoin de modifier Windows ou tout autre OS installé, et ils n'ont pas besoin de modifier leur chaîne de production. Il leur faut juste quelques minutes pour ajouter GRUB 2 à leur image système installée en série sur les PC. »

L'objectif pour Nexedi est bien entendu de leur vendre cette solution. « Nous voulons lever tout éventuel blocage technique à la mise en oeuvre des orientations données par le ministre », conclut Jean-Paul Smets.

La solution de Nexedi permet aussi d'embarquer sur le PC un OS libre que l'acheteur peut choisir d'activer en alternative à Windows. Mandriva serait pressenti pour rejoindre Nexedi dans cette opération commerciale et diffuser ainsi son OS Mandriva Linux.

                               

Par Christophe Guillemin, ZDNet France

Source ZDNet

10 juillet 2008

Linux : la distribution Gentoo version 2008 sur les rails

La version finale 2008.0 de la distribution Gentoo est disponible en téléchargement. Présentée comme plus rapide, elle est basée sur la version 2.6.24 du noyau linux et intègre ainsi de nouveaux pilotes pour les équipements commercialisés depuis la dernière version 2007.0.

Ses créateurs mettent en exergue la souplesse de l'OS qui permet à l'utilisateur de personnaliser son installation. Le module Portage permet de faire une sélection des composants à installer sur le système.

Pour tester l'OS, Gentoo est disponible en version LiveCD. Une version allégée, qui économise de l'espace disque en passant de l'environnement utilisateur Gnome à son alternative Xfce, expliquent les développeurs de Gentoo. La mise à disposition d'un LiveDVD, un temps envisagée, n'est pas au programme pour le moment.

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

29 juillet 2008

M6 Replay enfin compatible avec Mac et Linux

Le service M6 Replay, qui permet de revisionner sur le Net les programmes déjà diffusés par la chaîne, est désormais accessible depuis une ordinateur sous Mac OS ou Linux. Cette catch-up TV, ou « télé de rattrapage », avait été lancée en mars dernier uniquement sur plate-forme Windows. Plus précisément, M6 avait retenu la technologie Windows Media de Microsoft et ses contrôles DRM, utilisable exclusivement via Windows Media Player.

M6 propose désormais son propre lecteur "Flash M6 Replay", qui, comme son nom l'indique, est basé sur la technologie Flash d'Adobe, qui a le mérite d'être multiplateformes. Ce lecteur n'utilise plus de DRM. La plate-forme de M6 vérifie seulement que seul Flash M6 Replay est utilisé pour charger la vidéo.

Le lecteur n'est cependant disponible pour l'instant qu'en version Bêta. S'il se révèle pleinement fonctionnel, toutes les vidéos ne sont pas accessibles par ce biais. Cela se fera progressivement et l'ensemble des contenus a vocation à être disponibles en Flash.

Prochaine étape : adapter le service pour les box ADSL, dont celles de Neuf et Free, ainsi que pour les mobiles.                             

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

24 août 2008

Le corps du présumé « Bigfoot » retrouvé en Géorgie ne serait qu’un costume de gorille

Clayton, Californie, États-Unis - La semaine dernière, deux Américains ont prétendu avoir découvert un cadavre présenté comme celui du Bigfoot. Le prétendu cadavre était prisonnier de la glace et les scientifiques ont dû attendre son dégel avant de constater qu’il ne s’agissait que d’un costume de gorille en caoutchouc.

Les deux hommes, Rick Dyer et Matt Whitton, avaient présenté leur découverte face à un parterre de journalistes vendredi dernier, affirmant avoir retrouvé le légendaire Bigfoot, créature mythique mi-homme mi-singe.

Après plus ample inspection du corps congelé par les chercheurs auxquels il avait été confié, il s’est avéré que le monstre était un faux. Accélérant le processus de décongélation, les experts ont en effet pu constater des anomalies dès le début de leur analyse : une tête jugée trop creuse et surtout des pieds faits de caoutchouc.

Selon le MailOnline, les deux "explorateurs" auraient omis de préciser qu'ils possèdent une compagnie vendant des produits dérivés inspirés de Bigfoot.

Source Lycos

24 août 2008

Microsoft lance Photosynth pour recréer des environnements photo en 3D

Photosynth est un service gratuit qui permet de transformer des photos numériques classiques en un montage en trois dimensions d'un paysage ou d'un lieu. Développée au sein des Microsoft Live Labs, cette technologie avait été utilisée l'année dernière par la Nasa pour créer une visite en 3D du pas de tir de la navette spaciale Endeavour.

Le logiciel est désormais accessible à tous gratuitement, à partir d'un navigateur (Internet Explorer ou Firefox). Sous réserve de certaines conditions techniques : il faut disposer soit de Windows XP soit de Vista. Microsoft recommande, par ailleurs, d'être équipé d'un PC doté d'1 Go de Ram et de 64 Mo de mémoire vidéo. Par ailleurs, l'application ne prend en considération que les fichiers numériques au format JPeg, pour l'instant.

La technologie est capable de repérer les similitudes présentes dans plusieurs photos telles une porte, une fenêtre, une statue, et de situer où une photo a été prise par rapport aux autres. Évidemment, il faut que les images proposées au logiciel soient prises au même format et aient un minimum de recoupement. En exploitant ces données, Photosynth recrée un environnement 3D, dans lequel l'utilisateur peut naviguer en faisant défiler les photos à 360° ou en zoomant.

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

26 août 2008

Une solution open source pour repérer les PC portables volés

Le projet open source Adeona a publié ce mois d'août une première version (bêta 0.2.1) de son logiciel permettant de localiser un PC portable dérobé. Le principe est le suivant : le propriétaire télécharge puis installe le logiciel Adeona sur son ordinateur ; l'application génére un identifiant à sauvegarder sur un support de stockage à part. Cette clé permet par la suite de rechercher sur la Toile le PC volé s'il se connecte. Le programme fonctionne donc comme une sorte de mouchard.

Le même logiciel peut être installé sur une autre machine pour retrouver l'ordinateur volé. L'application va alors tenter de communiquer avec le logiciel installé sur le PC volé grâce à l'identifiant précédemment généré. Plusieurs types d'informations pourront être communiquées au propriétaire pour retrouver sa machine : de la localisation géographique basée sur l'adresse IP, à la prise discrète de photos depuis la webcam intégrée au portable afin de voir qui l'utilise (sur Mac OS uniquement).

Selon les promoteurs de cette solution, l'avantage par rapport à des systèmes propriétaires est, outre la gratuité, le respect de la vie privée. Les solutions propriétaires utilisent le plus souvent des serveurs distants, gérés par une entreprise partenaire, sur lesquels sont stockés des identifiants de machines. Avec Adeona, aucun acteur tiers n'est mis à contribution, l'utilisateur final est seul maître de la manoeuvre.

Adeona est proposé gratuitement pour les plates-formes Mac, Linux et Windows.

Source ZDNet

29 août 2008

Serveurs : Linux grimpe à 13,4 % de parts du marché

Le système d'exploitation libre enregistre une belle croissance au deuxième trimestre sur le marché mondial des serveurs. Selon IDC, Linux occupe désormais 13,4 % du secteur (en valeur), soit une progression de 10 % par rapport à 2007 sur la même période. Les ventes de machines sous Linux ont généré 1,9 milliard de dollars sur ce trimestre.

Dans le même temps, Windows n'a progressé que de 1,7 %, mais représente 36,5 % du marché avec 5,1 milliards de dollars de revenus. Quant à Unix, il gagne 7,7 % de parts de marché et occupe 32,7 % du secteur avec 4,6 milliards de dollars.

Globalement, le marché des serveurs, lui, a gagné au deuxième trimestre 6,4 % en valeur pour atteindre 13,9 milliards de dollars de revenus. IBM maintient sa place de leader avec 33,2 % de parts de marché, suivi par HP (27,4 %), Dell (12,5 %), Sun (11,2 %) et Fujitsu Siemens (3,8 %).

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

29 août 2008

La station spatiale internationale infectée par un virus

Un virus a été détecté sur au moins deux PC portables actuellement utilisés par les astronautes de la station spatiale internationale. Selon Spaceref.com, premier à rapporter les faits, il s'agit du virus W32.Gammima.AG, un ver découvert en août 2007 et classé comme peu dangereux par les éditeurs antivirus.

D'après la fiche de Symantec, son objectif est de voler des informations sensibles pour tricher à des jeux vidéo en ligne comme Maple Story ou R2 (Reign of Revolution). Autant dire qu'il n'y a, a priori,  aucun rapport avec les missions de la station spatiale et que ce virus semble être arrivé par inadvertance dans l'espace. L'enquête sur l'origine de l'infection est en cours.

Certains observateurs estiment que le plus probable est qu'il était présent sur une clé USB, emmenée par un des astronautes. La station ne dispose pas de connexion directe au Net et les communications passent par un canal ultra-sécurisé, le virus n'aurait donc pu passer par là.

Un porte-parole de la Nasa a précisé qu'il s'agissait de la première infection de virus rapportée par la presse, mais que d'autres programmes malveillants avaient déjà été décelés sur des machines utilisées par des astronautes. Il a qualifié W32.Gammima.AG de « nuisance » et précisé que les PC portables contaminés n'étaient pas reliés à des systèmes critiques de la station.

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

5 septembre 2008

Linux : le français Linagora s'implante à San Francisco

La société Linagora, qui revendique le titre de « leader français du libre », inaugure ses premiers bureaux américains situés à San Francisco, au sein de l'Atelier BNP Paribas. L'ouverture de cette filiale, baptisée Linagora Corp, s'est faite en présence d'Éric Besson, secrétaire d'État en charge du développement de l'Économie numérique.

« C'est un immense honneur et un signe de reconnaissance majeur pour nous, qu'Éric Besson ait accepté notre invitation et qu'il soit présent aujourd'hui à nos côtés pour l'inauguration de nos nouveaux bureaux », s'enthousiasme Alexandre Zapolsky, P-DG de Linagora. Le ministre est actuellement en voyage d'étude dans la Silicon Valley.

Un « recrutement très actif » en 2009

Après avoir signé avec ses premiers clients américains lors du salon Linux World 2008, Linagora Corp va réaliser un « recrutement très actif », en particulier à San Francisco, à compter de janvier 2009.

Linagora emploie aujourd'hui 160 personnes et possède des implantations en France (Paris, Lyon, Toulouse et Marseille), en Belgique et désormais aux États-Unis. La société a réalisé un chiffre d'affaires de 9 millions d'euros en 2007, sans équivalent en France pour une entreprise spécialisée dans les logiciels libres.

Alexandre Zapolsky est, par ailleurs, président de la Fédération de l'industrie du logiciel libre - Fnill -, qui est notamment l'organisateur de l'événement Paris Capitale du libre. Linagora a également été retenu par l'Assemblée nationale pour fournir la partie logiciels des PC Linux des députés.

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

5 septembre 2008

Google Chrome ou la crainte d'un navigateur Big Brother ?

Google a dû revoir les conditions d’utilisation de Chrome pour le moins opaques, après les protestations d’utilisateurs. Cette erreur réparée, l’inquiétude porte sur l’exploitation des données que Google collecte via la barre de navigation Omnibox.

Deux jours après sa sortie, Google Chrome fait déjà tiquer les défenseurs de la vie privée, notamment après la lecture des conditions générales d'utilisation du navigateur (CGU).

Elles précisaient, dans un premier temps, que Google s'arrogeait « une licence permanente, irrévocable, mondiale, gratuite et non exclusive permettant de reproduire, modifier et distribuer » n'importe quel contenu que l'internaute aurait envoyé via son navigateur. Les CGU indiquaient, par ailleurs, que ce contenu pouvait être mis à disposition d'autres sociétés partenaires de Google.

De nombreux utilisateurs ont immédiatement pointer les dérives de ce type de formulation. Du coup, le moteur de recherche a rapidement fait marche arrière. Modifiées, les CGU précisent maintenant que l'internaute conserve le copyright et tous les autres droits qu'il détient sur le contenu qu'il soumet, poste ou affiche via Chrome.

« Afin de simplifier les choses pour nos utilisateurs, nous essayons d'utiliser le même cadre légal pour un grand nombre de nos produits », a justifié Google dans une déclaration à News.com. « Quelquefois, comme dans le cas de Google Chrome, ce cadre comprend des termes qui ne s'appliquent pas correctement à l'utilisation de ce produit. »

2% des requêtes non validées conservées

Autre source d'inquiétude : l'Omnibox, la barre de navigation et de recherche intelligente de Chrome. Si l'utilisateur ne change pas les paramètres par défaut, autrement dit s'il garde la fonctionnalité de suggestion de mots-clés et laisse Google comme moteur de recherche par défaut, la société pourra connaître tout ce qui est tapé dans le navigateur, même si l'utilisateur ne valide pas sa requête.

Et Google a bien l'intention d'exploiter ces données : un porte-parole a confirmé que le moteur de recherche conserverait environ 2 % des requêtes, auxquelles seront associées l'adresse IP de l'ordinateur sur lequel elles ont été tapées. En théorie, cela signifie que si un internaute tape l'adresse d'un site dans la barre Omnibox puis se ravise, donc ne valide pas cette adresse et l'efface, son action laissera malgré tout des traces sur les serveurs de Google.

Pour éviter cela, il faut soit choisir un moteur de recherche par défaut autre que celui de Google, soit désactiver la fonction de suggestion de mots-clés. Une autre possibilité est aussi de naviguer en mode privé.

Peter Eckersley, membre de l'association américaine de défense de la vie privée Electronic Frontier Foundation (EFF), se montre malgré tout critique : « Nous sommes inquiets de voir Chrome devenir un nouveau tapis roulant géant qui déverse encore plus d'informations sur nos usages du web dans les coffres de données de Google », note-t-il. « Google en sait déjà beaucoup sur ce que tout le monde pense à un moment donné. »

Avec Ina Fried, pour CNET News.com

Télécharger Google Chrome en français sur ZDNet.fr

                               

Par Estelle Dumout, ZDNet France

Source ZDNet

6 septembre 2008

Dix améliorations à apporter à Google Chrome

Le navigateur de Google en est certes à sa première version bêta. Mais nous avons voulu détailler ce qu'il manque à Chrome pour en faire un rival sérieux des autres navigateurs du marché, Firefox et Inernet Explorer en tête.

Google a fait une entrée fracassante cette semaine sur le marché des navigateurs, avec Chrome. L'application a certainement des défauts, mais s'en sort plutôt bien pour une version bêta, en comparaison avec Internet Explorer ou Firefox. Nous avons toutefois compilé une liste de dix choses que nous aimerions voir améliorées ou ajoutées au sein de Chrome, pour qu'il puisse complètement rivaliser avec ses concurrents.

Suite ICI

9 septembre 2008

Big-bang dans une éprouvette

Si tout se passe comme prévu, demain commencera la plus grande expérience de physique de tous les temps : l'observation en laboratoire des conditions qui régnaient à la toute première seconde de la création de l'univers, il y a plus de treize milliards d'années. Comment ? Grâce à une machine infernale baptisée « Large Hadron Collider » (LHC) et située à 150 m sous terre, à la frontière franco-suisse, près de Genève.

Fonctionnant comme un accélérateur géant, elle permettra à deux faisceaux de particules circulant en sens contraire, dans un anneau de 27 km de circonférence, de se heurter de plein fouet, à une vitesse exceptionnelle, proche de celle de la lumière (300 000 km/s). A quoi bon ? s'interrogeront certains. Tout simplement à découvrir, dans les gerbes de particules qui résulteront de cette formidable collision, les secrets de la matière.

A l'image de policiers sur une scène de crime, les physiciens du Cern (Centre européen de recherche nucléaire) espèrent découvrir, en fouillant dans ces « débris », le trésor qu'ils recherchent depuis les années 1960 sans jamais avoir prouvé son existence : la « particule divine », plus savamment appelée le boson de Higgs, autrement dit la particule élémentaire qui expliquerait comment toutes les autres fonctionnent ensemble.

Mettre la main sur cette pièce manquante permettrait de terminer le « puzzle » de l'univers et de valider ou non les différents scénarios de big-bang retenus actuellement pour expliquer sa création.

Formidable machine à découvertes, le LHC permettra de résoudre également beaucoup d'autres énigmes, comme de mieux cerner la « matière noire », qui représente 22 % de la densité de l'univers, ou de prouver, ou non, l'existence d'univers parallèles. « Avec les expérimentations du LHC, le visage de la physique ne sera plus jamais le même ! », s'enthousiasme le physicien et philosophe Etienne Klein.

Polémique: et si des trous noirs s'échappaient du labo?
La fin du monde est pour demain! C'est du moins ce que pense l'association américaine Citizens against the Large Hadron Collider, qui craint que notre planète ne finisse engloutie par une erreur de calcul des physiciens. Arguant de thèses - non publiées - d'un physicien allemand, elle a porté plainte devant un tribunal fédéral et exige l'arrêt du collisionneur au nom du principe de précaution.

Elle craint en effet que le LHC ne produise de microscopiques « trous noirs », des sphères massives mangeuses de matière qui, si elles s'échappaient du laboratoire, pourraient « dévorer » notre planète.

Au Cern, on admet que « quelques théories de type spéculatif prédisent la production de trous noirs », mais les chercheurs précisent que « ces théories prévoient aussi qu'ils se désintégreraient aussitôt et resteraient sans effets ». Rassurant.                            

             

   

                  
Yaroslav Pigenet   -  ©2008 20 minutes

Source 20Minutes.fr

9 septembre 2008

Une autorité de sécurité allemande déconseille l'utilisation quotidienne de Chrome

Le navigateur de Google n'a pas la cote en Allemagne. Le BSI, l'autorité pour la sécurité des technologies de l'information, se montre très critique : Chrome « ne devrait pas être utilisé pour une utilisation quotidienne et généraliste », a affirmé au Berliner Zeitung, le porte-parole du BSI Matthias Gärtner.

Selon lui, il est problématique que Google, qui détient une si grande part de marché, mette à disposition du grand public une version test de ce navigateur, qui n'est pas encore entièrement sécurisée.

Mais ce qui pose surtout problème au BSI, c'est la collecte de données à laquelle Google risque de se livrer par le biais de Chrome. Le moteur de recherche a reconnu que jusqu'à 2 % des informations tapées dans sa barre de navigation Omnibox, même si elles ne sont pas validées, pourraient être enregistrées. « Pour des raisons de sécurité technique, l'accumulation de données par un fournisseur pose problème », prévient Matthias Gärtner

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

13 septembre 2008

Saint-Fiacre 2007 a Sens

Salut
Comme tout les années dans ma commue est organiser la fête de la fleur, c'est a dire qu'il y as des chars de fleurs et des épouvantails.
Des entreprises sont présents et des animations.
C'est année c'est le Dimanche 14 Septembre 2008.
Voici les photos de 2007 et apres celle de 2008.

Rendez vous au Moulin a Tan a Sens (89100)

14 septembre 2008

Numericable s'affiche en concurrent d'Orange sur le très haut débit

Le câblo-opérateur se dit prêt à concurrencer Orange sur le marché de la fibre optique, même s’il reconnaît devoir encore améliorer son service client. Numéricable lance également une division pour ouvrir son réseau à ses concurrents.

Une rentrée 2008 sous le signe de la reconquête, c'est l'ambition affichée par Numericable. La nouvelle équipe dirigeante, au grand complet, emmenée par le P-DG Pierre Danon, a présenté aujourd'hui les projets et les ambitions du câblo-opérateur. Après une longue campagne marketing, destinée à faire oublier les couacs de sa qualité de service, la société estime commencer à récolter le fruit de ses efforts.

Et de revendiquer 104 000 clients en très haut débit (jusqu'à 100 méga) raccordés via la fibre optique. Au total, l'opérateur dispose de 9,6 millions de prises chez les particuliers, dont 8,3 millions de prises triple play, et 3,4 millions de prises raccordées à la fibre optique (avec une arrivée au pied de l'immeuble). Parmi celles-ci, 2,7 millions étaient activées pour le très haut débit « grâce aux déploiements de centraux optiques dans toute la France ».

Fort de ces données, Numericable s'attribue la place de leader sur le marché français, au moment même où Orange annonce être en retard dans le déploiement de ses propres équipements en fibre (jusqu'à l'abonné). Concrètement via son réseau de prises, le câblo dessert 3,5 millions d'abonnés à la télévision payante, 930 000 à internet et 650 000 à la téléphonie.

Un nouveau forfait à 19,90 euros par mois

Son objectif est donc de renforcer cette base de clients connectés en très haut débit. Ce matin, il a présenté un nouveau forfait à 19,90 euros par mois comprenant l'accès internet jusqu'à 100 méga et le téléphone illimité vers la France et 45 destinations internationales - en plus de ses offres triple play classiques.

Passage obligé pour le nouveau P-DG : évoquer les difficultés du service clients et les plaintes concernant la qualité de service. « Des efforts ont été faits depuis quatre ans (...) et nous sommes passés d'une situation catastrophique à pas très bonne », a-t-il concédé. La semaine dernière dans une interview accordée à Reuters, il avait estimé qu'il faudrait encore « au moins un an pour mettre l'entreprise en état de marche complet - digérer Completel, amener la satisfaction du client à un niveau correct et rénover le réseau ».

Parallèlement, la société annonce la création d'une division « Opérateurs très haut débit », qui sera chargée de gérer l'ouverture de son réseau à d'autres opérateurs. Elle compte déjà comme clients British Telecom, Darty et Verizon.

Pas de licence 3G à l'horizon

Numericable souhaite progresser sur un troisième marché, le très haut débit pour les entreprises, en s'appuyant sur Completel, racheté en 2007 par Altice et Cinven, les deux fonds d'investissement qui contrôlent également le câblo-opérateur. Il revendique déjà un total de 4 450 clients, sur 19 000 sites raccordés par ses services.

Avec ces trois activités, Numericable estime pouvoir se poser en véritable concurrent de France Télécom. Il a réalisé un chiffre d'affaires de 640 millions d'euros au premier semestre 2008.

S'agissant enfin de la quatrième licence de téléphonie mobile 3G, Pierre Danon s'est montré sceptique sur l'intérêt que pourrait avoir sa société à se porter candidate à son obtention.

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

17 septembre 2008

Adobe Air disponible pour Linux

Après Windows et Macintosh, la plate-forme Air (Adobe Integrated Runtime) est désormais disponible pour les environnements Linux. En mars dernier, Adobe avait rejoint la Linux Foundation  afin de collaborer à l'intégration des technologies Web 2.0.

Air permet aux développeurs de concevoir des applications RIA (Rich Internet Applications) utilisables en ligne et hors ligne, et contenant des contenus dits riches tels que de la vidéo. Chacune d'elles peut être sortie du navigateur pour être intégrée directement au Bureau de Windows, de Mac et désormais de Linux.

L'application  reste perfectible puisqu'il s'agit d'une version bêta - toutes les fonctionnalités prévues ne sont pas encore au rendez-vous, comme la prise en charge des DRM, précise Adobe.

Ensuite, les seules distributions Linux prises en charge pour le moment sont Ubuntu 7.10, Fedora 8 et OpenSuSE 10.3.

Téléchargez Adobe Air pour Linux sur ZDNet.fr

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

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