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5 octobre 2008

Les grandes comptes européens pensent déjà à Windows 7

Une étude réalisée auprès de grands comptes européens montre que la migration vers Windows Vista ne progresse pas : ils sont seulement 4% à l'avoir adopté. Et 30% des entreprises sondées étudient déjà Windows 7.

Au lendemain du mea culpa de Microsoft sur les défauts de Windows Vista, un sondage enfonce le clou, confirmant le taux d'adoption toujours décevant de l'OS. Presque deux ans après son arrivée, il reste loin derrière Windows XP dans les entreprises en Europe qui sont 58 % à l'utiliser. Seules 4 % ont installé Vista, a constaté le Corporate IT Forum (Tif) dans son rapport Reality Checker (*), qui se base sur les réponses de ses membres, tous des grands comptes européens.

Les entreprises sont 35 % à se déclarer « pas encore intéressées » par Vista. Elles sont même 12 % à tester encore ou migrer vers Windows XP, contre 5 % pour Vista. Plus intéressant encore, elles sont plus nombreuses à s'informer sur son successeur, Windows 7 (30 %), contre 14% pour Vista.

Sept pour cent des entreprises exploitent ainsi toujours Windows 2000, même si d'autres (19 %) sont en train de migrer vers une autre version ou un autre OS.

Pas d'impératif professionnel justifiant la migration vers Vista

Rappelons que Vista est disponible depuis novembre 2006 pour les entreprises. Après une adoption timide tout au long de 2007, des études publiées depuis ont révélé que seulement un quart des entreprises avait l'intention de migrer dans le courant 2008.

Quant aux autres, pour justifier la décision de ne pas migrer, elles invoquent une absence d'impératifs professionnels qui rendraient l'opération nécessaire.

Microsoft rencontre aussi des difficultés avec la dernière version de son navigateur, Internet Explorer 7. Un cinquième des entreprises interrogées, toujours utilisatrices d'IE6, ne se déclarent pas du tout intéressées. Près des deux tiers (65%) utilisent toujours IE 6, contre 4% pour IE 7. Mais 14% assurent le tester actuellement.

Enfin près d'un quart des sociétés sondées (23 %) indiquent étudier son successeur IE 8. Sa deuxième version bêta est sortie, avec une mouture finale prévue d'ici la fin de l'année.

(*) 43 grands comptes pour cette étude

Retrouvez toute l'actualité de Windows 7 par ZDNet.fr

Téléchargez Internet Explorer 8 bêta 2 pour Windows XP
Téléchargez Internet Explorer 8 bêta 2 pour Windows Vista

                               

Par Tim Ferguson, ZDNet France

Source ZDNet

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5 octobre 2008

Apple obligé d'augmenter les tarifs de l'iTunes Store ?

Nouveau bras de fer entre la firme de Steve Jobs et les ayants droit de la musique aux États-Unis. La National Music Publishers Association exige que les royalties collectées sur la vente en ligne d'un morceau de musique passe de 9 à 15 cents, soit une augmentation de 66 %. L'association qui représente quelques 700 éditeurs et auteurs américains a envoyé une demande formelle en ce sens au Copyright Royalty Board. Il doit trancher dans la semaine.

Apple s'élève contre cette initiative depuis de nombreux mois. Il a déjà menacé plusieurs fois de fermer sa plate-forme de musique en ligne iTunes Store, si l'augmentation est accordée. Le groupe informatique vend ses morceaux à 0,99 dollars l'unité, et estime qu'une telle augmentation ne ferait que réduire des marges déjà très faibles. Dans son modèle, qui couple iTunes Store et iPod, ce sont les baladeurs qui rapportent l'argent, d'où sa menace de fermer la plate-forme.

Apple prêt à fermer l'iTunes Store ?

Reste qu'elle est très peu prise au sérieux par le marché : tout d'abord parce qu'Apple est le leader incontesté dans le monde du téléchargement de musique, avec une part de marché de 85 % aux Etats-Unis. Difficile d'envisager dans ce contexte une fermeture du service. Par ailleurs, ce monopole permet au groupe d'avoir suffisamment de poids dans les négociations avec l'industrie du disque pour, par exemple, forcer les maisons de disques à rogner sur leurs marges au profit des auteurs, plutôt que sur les siennes.

Cette dernière péripétie conduira peut-être Apple à modifier sa politique de prix unique, qui a fixé le standard mondial 0,99 cents, auquel cas, ce sera le client qui devra payer plus cher.

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

2 octobre 2008

Ilojeu l'ile des jeux et des cadeaux

2 octobre 2008

Les start-up françaises pourront-elles échapper à la crise ?

Selon l’indicateur Chausson Finance, les investissements dans les start-up au premier semestre 2008 n'ont pas fléchi, malgré une conjoncture peu favorable. Et la crise qui s'installe ne devrait pas trop secouer le secteur, estiment les analystes.

Alors que la crise américaine déferle sur les marchés européens, la société de conseil en levée de fonds Chausson Finance publie son indicateur semestriel pour le début de 2008. Et ses données sont plutôt positives : les investissements dans les starts-up en France ont atteint 470 millions au cours des six premiers mois, en augmentation de 18 % sur un an.

Certes, ils diminuent de 17 % par rapport au second semestre 2007, mais cette baisse est à relativiser estime Chausson Finance : « Historiquement, les montants investis au cours du premier semestre sont généralement inférieurs à ceux investis au second semestre. » Au total, 312 sociétés ont reçu des capitaux, pour un montant moyen d'investissement de 1,5 million d'euros.

Selon la société, ces chiffres confirment qu'il y a « une décorélation entre cycles boursiers et capital-risque ». « Malgré la période actuelle, il y a un îlot de tranquillité dans le capital-risque, car [les investisseurs] travaillent avec des fonds propres et pas avec de la dette », souligne Christophe Chausson, président et fondateur de Chausson Finance. « De plus, les fonds de capital-risque sont levés pour des périodes allant de sept à dix ans, donc les équipes sont sereines quant à la disponibilité de l'argent pour les prochaines années. C'est une période plus difficile, mais il n'y a aucune panique dans les équipes. »

Une analyse partagée par Pascal Mercier, directeur associé et cofondateur de la société Aelios Finance. « Lorsqu'on investit dans une start-up, c'est pour aider une société qui va avoir une valeur de marché à l'horizon 2011-2012. C'est la conjoncture de sortie qui importe, et l'on sait, d'expérience, qu'un cycle de crise dure généralement deux ou trois ans. Ce fut le cas pour les crises de 1992-93, puis de 2000-2001. »

Les Cleantech à la hausse

Pascal Mercier table seulement sur un ralentissement des investissements en provenance des business angels, pour lesquels le capital-risque n'est pas forcément le métier de base ; ils devraient se recentrer sur d'autres classes d'actifs. Pour les FCPR (fonds communs de placement à risque) et les FCPI (fonds communs de placement dans l'innovation), il ne faudra compter que sur un très faible ralentissement des investissements.

« Cette crise n'aura qu'un effet marginal sur l'argent disponible à investir », confirme Philippe Collombel, associé du fonds de capital-risque Partech International « Les investisseurs se montreront seulement un peu plus prudents et un peu plus sélectifs, à court terme. Mais la loi absolue est la suivante : lorsqu'il y a un bon projet, il faut le financer. » Et si la crise se poursuit sur le plus long terme, il pourrait malgré tout y avoir un équilibre naturel : les start-up hésiteront à se lancer dans l'aventure, la demande en capital va donc baisser, selon lui, régulant ainsi le marché.

Selon Chausson Finance, le secteur de la santé est celui qui a attiré le plus les capitaux, avec 120,6 millions d'euros (26 % du total), au premier semestre 2008. Suivent les logiciels (73,7 millions d'euros, 16 %), les « Cleantech » (technologies dites propres, liées aux énergies renouvelables - 67,6 millions, 14 %), les télécoms (61,7 millions - 13 %), l'internet et l'e-commerce (49,5 millions, 11 %).

Les Cleantech sont le secteur en plus forte croissance : 44 entreprises ont reçu un financement, contre seulement 27 le semestre précédent, de la part de 18 fonds de capital-risque. En revanche, « après une année faste, en 2007, le secteur internet et e-commerce connaît ce semestre une chute de 46 % des montants investis », précise l'indicateur.

Les sociétés plus matures, plus rassurantes

Selon les stades de développement des entreprises, les deuxièmes tours représentent 67 % du montant total des investissements, soit 315,7 millions d'euros. « La raison de cette tendance est toujours à trouver du côté de la Bourse, actuellement fermée à toute introduction, qui conduit nombre d'entreprises à se rabattre sur un tour supplémentaire de private equity », explique Chausson Finance.

« En période de gros temps à l'extérieur, les entreprises lèvent généralement le pied face à leur développement, et elles risquent de reporter leur décision de lever des fonds », note Christophe Chausson. « Mais sachant que les banques vont faire de moins en moins de crédit, qu'il n'y a pas la possibilité d'entrer en Bourse, le capital restera la seule façon d'obtenir des financements. »

Les premiers tours sont en forte chute (-35 %), mais représentent toutefois 112 millions d'euros, tandis que l'amorçage enregistre une croissance de 35 % et atteint 42,2 millions d'euros.

L'arrivée de la crise en Europe ne devrait pas forcément bousculer ces tendances : « Traditionnellement dans une période trouble, les investisseurs ont tendance à se tourner vers des sociétés plus matures, pour avoir une sensation de sécurité », souligne Pascal Mercier, d'Aelios Finance. « Mais il n'y en aura pas assez pour tout le monde », note-il. Et de rappeler que le critère le plus rassurant pour un investisseur est en priorité l'équipe qui pilote la start-up.

Le choix se fera en fonction du modèle économique des start-up

« Certains investisseurs préfèreront les tours tardifs de financement, mais à l'inverse, c'est dans les périodes difficiles que l'on trouve les meilleures opportunités », rappelle Christophe Chausson. Et de souligner que Price Minister et Meetic, deux des start-up françaises les plus en vue dans le domaine de l'internet, sont nées au moment de l'éclatement de la bulle du début des années 2000.

Ainsi, même le secteur internet, dans lequel les sociétés s'appuient généralement sur un modèle économique publicitaire fragile, ne semble pas inquiéter outre mesure les fonds de capital-risque : « Les nouveaux médias ont la faveur des investisseurs », note Christophe Chausson, en rappelant par exemple que sa société vient d'accompagner la start-up Pure People, qui a levé 3,5 millions d'euros pour proposer une alternative aux Voici et autres Gala sur internet.

Sur le marché de l'internet plus spécifiquement, le choix des investisseurs se fera en fonction du modèle économique des start-up : « Les modèles entièrement basés sur la publicité ne seront viables que pour les sites qui sont capables de drainer une forte audience, comme des site tels que Dailymotion. Pour les autres, il faudra d'autres modèles qui combinent plusieurs sources de revenus », explique de son côté Philippe Collombel.

Article mis à jour mercredi 1 octobre à 12h30, pour prendre en compte les commentaires de Christophe Chausson.

                               

Par Estelle Dumout, ZDNet France

Source ZDNet

2 octobre 2008

Les studios américains réclament l'interdiction du logiciel RealDVD

La réplique des studios d'Hollywood ne s'est pas fait attendre : le jour même de la sortie du nouveau logiciel de copie de DVD lancé par RealNetworks, la MPAA (*) porte plainte contre l'éditeur devant un tribunal de Los Angeles. Le syndicat représentant les principaux studios de cinéma veut faire interdire en urgence l'application RealDVD, qui permet comme le prétend la société « de sauvegarder légalement ses DVD favoris sur le disque dur d'un PC ou une clé USB ».

Selon la MPAA, ce logiciel viole la loi américaine sur le droit d'auteur, le Digital Millennium Corpyright Act, car il contourne illégalement les protections contre la copie qui sécurisent les DVD. « Le logiciel de Real Networks, RealDVD devrait être appelé "StealDVD" (Voler les DVD) », a déclaré Greg Goeckner, le directeur juridique de la MPAA. « RealNetworks sait que son produit viole la loi et s'applique à détruire la confiance qui a mis du temps à se bâtir entre l'industrie du cinéma et la communauté technologique. »

Une décision dès le 2 octobre ?

Les studios de cinéma craignent que ce logiciel encourage encore plus les utilisateurs à louer les films, les copier, puis les rendre sans s'acquitter d'aucune compensation. Selon la MPAA, la décision du juge devrait tomber d'ici demain, jeudi 2 octobre.

Rappelons que RealNetworks fut le premier à ouvrir les hostilités, en entamant le jour même du lancement de son produit une procédure judiciaire contre les studios et l'association DVD Copy Control. Son objectif est de prouver que son logiciel est conforme à la loi américaine.

(*) Motion Picture Association of America

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

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2 octobre 2008

Microsoft : « Windows Vista a généré beaucoup de douleurs »

Pour la première fois, l'éditeur américain reconnaît publiquement les désagréments causés par Vista, comme les messages de sécurité intrusifs ou la puissance exigée, nécessitant de se rééquiper.

Pour Windows 7, Microsoft ne veut pas reproduire les erreurs commises avec Vista. « Il n'y aura pas d'autre Windows Vista chez Microsoft. Ce produit a généré beaucoup de douleurs », confie a notre confrère Les Echos, Surya Vanka, directeur général du design de Microsoft.

« Il y a tout de même plein de bonnes choses dans Vista, comme Aero, un système qui permet de naviguer avec des effets 3D, ou encore les fenêtres transparentes. En revanche, les messages de sécurité intrusifs gênent les utilisateurs. Et la puissance demandée pour que le système fonctionne sur un PC nécessitait, il y a un an et demi, de se rééquiper entièrement », reconnaît-il. 

Ce responsable est à la tête d'une équipe de 900 personnes qui regroupe, au sein de Microsoft, des scientifiques, des psychologues et des spécialistes du design. Ces derniers étudient comment les utilisateurs appréhendent les produits ; ils se répartissent en 48 équipes constituées chacune de 2 à 50 personnes et intégrées dans les différents groupes d'ingénieurs (Windows, Office, baladeur Zune, console de jeu Xbox, etc.).

Windows 7 compatible avec la base de PC installée

« Microsoft a toujours été une société technologique, mais mon rôle est d'injecter du design dans l'ADN de la société. Nous faisons cela pas comme une fonction séparée, mais bien à l'intérieur de chacune des divisions pour muscler le design des produits. Ceci est assez nouveau dans le groupe. »

Des propos qui font écho à ceux de Bill Gates en juin dernier : le cofondateur de Microsoft indiquait que la rupture technologique entre Windows 7 et Vista sera moins importante qu'entre Vista et Windows XP ; Windows 7 devra ainsi tourner avec des PC de 2008.

« Nous allons tenir compte de la base installée plutôt que d'anticiper l'évolution des composants comme nous l'avions fait avec Vista », expliquait-il.

La version finale de Windows 7 pour poste client est prévue pour la fin 2009 - au plus tard en janvier 2010.

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

2 octobre 2008

Orange propose un disque dur multimédia accessible à distance

L'opérateur historique commercialisera à partir du 10 octobre un disque dur baptisé « Home Library », dont le contenu pourra être accessible à distance. Ce dispositif est basé sur le disque dur Internet Space fabriqué par LaCie, qui dispose de 500 Go d'espace de stockage.

Le disque dur Home LibraryConcrètement, l'utilisateur connectera le boîtier par câble Ethernet à sa Livebox, elle-même connectée au Mac ou au PC (par Wi-Fi ou aussi Ethernet). L'équipement intègre le logiciel Home Library d'Orange qui va gérer l'accès à son contenu via le portail de l'opérateur. « Le client peut accéder en permanence à ses contenus lorsqu'il est connecté à Internet où qu'il soit, à la maison ou à l'extérieur », explique Orange.

Pour accéder aux données, l'utilisateur devra donc se rendre sur Orange.fr, rubrique « Mes données » et taper ses identifiant et mot de passe. Il retrouvera toutes les vidéos, musiques et autres photos stockées sur son disque dur. Ces données peuvent être simplement lues à distance ou téléchargées.

Notons que localement, le disque dur de LaCie est accessible depuis l'explorateur du fichier où il apparaît comme un disque externe. Un équipement qu'Orange va proposer à 149 euros.

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

1 octobre 2008

Richard Stallman dénonce le caractère propriétaire du Cloud computing

Après Larry Ellison d'Oracle, c'est au tour de Richard Stallman de critiquer l'effervescence autour du concept en vogue du Cloud computing. Sous un autre angle toutefois, pour l'inventeur de la licence GPL et fondateur de la Free Software Foundation (FSF).

A ses yeux, le Cloud computing est " une stupidité " dont l'effet pernicieux est de se rendre pieds et poings liés à un fournisseur. Et loin d'être synonyme d'économies, l'une des promesses du concept, ces offres coûteront finalement très cher, a-t-il déclaré au quotidien britannique The Guardian.

Elles contraignent ceux qui les adoptent à confier des informations à une tierce partie, estime l'opposant de longue date au principe des logiciels propriétaires. " Cette perte de contrôle est l'une des raisons pour lesquelles il ne faut pas utiliser les applications Web pour votre informatique. C'est aussi néfaste que d'utiliser un programme propriétaire. "

" Sur votre ordinateur, optez pour un programme qui respecte la liberté ", rappelle-t-il, comme à son habitude. " Si vous choisissez un programme propriétaire ou utilisez le serveur web d'un tiers, vous vous retrouvez sans défense. Vous êtes à la merci de leurs développeurs. "

Cet engouement pour le Cloud computing a été créé délibérément par une coalition d'entreprises, avance-t-il même, sans citer de nom. " Pire que de la bêtise, c'est une campagne marketing surfaite. "

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

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