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22 septembre 2007

Vente liée : Acer France condamné à rembourser Windows XP

Le fabricant de PC a dû verser plus de 300 euros à un client qui ne souhaitait pas utiliser les logiciels fournis avec sa machine, dont Windows XP. Une décision motivée par le contrat même d’Acer spécifiant la possibilité d’être remboursé.

Acer France a été condamné le 23 juillet par le tribunal de proximité de Puteaux (92) à rembourser à un client l'ensemble des logiciels fournis avec une de ses machines, parmi lesquels Windows XP. « Il s'agit du jugement le plus dur obtenu en France », commente pour ZDNet.fr Alain Coulais, un des principaux responsables du Groupe de travail Détaxe (GdT Détaxe), dont certains documents d'aides ont servi à la procédure.

Émanation des associations de défense des logiciels libres Aful et April (1), ce collectif anime depuis 1999 la liste de diffusion Détaxe consacrée à la problématique de la vente liée. En juin 2006, elle a lancé une pétition contre les « racketiciels », qui a obtenu plus de 24.000 signatures. Selon le collectif, la justice française avait jusqu'à présent rendu deux décisions favorables à des consommateurs, avec des remboursements compris entre 100 et 300 euros, et deux défavorables.

Le jugement du tribunal de Puteaux tranche avec les décisions précédentes. Acer France doit ainsi rembourser l'ensemble des logiciels vendus avec la machine, y compris ceux fournis en version démo et au prix d'une version complète ; ce qui constitue une première.

Dans le détail, le fabricant de PC doit verser : 135,20  euros pour Microsoft Windows XP Home (dont 49,90 euros pour l'installation) ; 60 euros pour Microsoft Works ; 40,99 euros pour PowerDVD ; 38,66 euros pour Norton Antivirus ; 37 euros pour NTI CD Maker. Le total s'élève à 311,85 euros, une somme substantielle comparée au prix d'achat de la machine : 599 euros.

La procédure de remboursement jugée dissuasive

Le juge de proximité a, en outre, condamné Acer France à verser 500 euros à titre de dommages et intérêts, plus 150 euros pour les frais engagés par le consommateur dans son action juridique.

Sa décision a été motivée par le fait que le contrat d'Acer indique clairement qu'il est possible d'être remboursé des logiciels dont le client n'a pas l'usage. Dans le cas de ce modèle (Acer Aspire 3613WLMi 80), le contrat ne prévoyait le remboursement que du système d'exploitation.

Les discussions ont donc surtout porté sur le prix de l'OS et sur le respect par le client de la procédure de remboursement, laquelle a, par ailleurs, été jugée trop dissuasive par le tribunal de proximité. Elle imposait notamment de ne jamais activer le produit, de renvoyer l'ordinateur à ses frais...

Le remboursement des autres logiciels a été exigé car les publicités d'Acer étaient de nature « trompeuse » dans la mesure où elles ne précisaient pas clairement qu'il s'agissait de versions de démonstration.

Quant à la DGCCRF (2), dont l'avis sur la question de la vente liée a été sollicité, elle poursuit ses auditions des différentes parties prenantes. Après les associations de consommateurs fin 2006, elle a commencé à rencontrer les industriels. À ce jour, le gendarme de la concurrence n'est pas en mesure de prendre position, nous a indiqué un de ses porte-paroles.

En 2003 déjà, HP avait dû rembourser un client également sur la base de clauses contractuelles sur le remboursement. Une affaire similaire est en attente de jugement auprès du juge de proximité de Caen ; la décision doit être prononcée la semaine prochaine.

De son côté, l'association UFC-Que Choisir poursuit sa procédure pour vente liée à l'encontre de HP, Auchan et Darty. Contactée par ZDNet.fr, l'association a indiqué qu'elle en était pour l'instant aux échanges d'informations entre avocats. Aucune audience n'a encore été fixée.

         

(1) Aful pour Association francophone des utilisateurs de Linux et des logiciels libres - April pour Association pour la Promotion et la Recherche en Informatique Libre

(2) DGCCRF pour Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes

Source zdnet

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22 septembre 2007

Apple dégagerait 60 % de marge sur l’iPod Nano

Selon la société d'étude iSuppli, la baisse de prix de la majorité des composants permet à Apple de baisser le coût de production de 18,5 % pour sa nouvelle gamme iPod Nano, doté d'un écran vidéo. D'après ses calculs, la version 4 Go aurait un coût de production de 58,85 dollars. Vendu 149 dollars outre-Atlantique, chaque baladeur dégage donc une marge de 60 %. Nouveau record de rentabilité pour la firme de Steve Jobs

Pour le modèle de 8 Go, la marge atteint 58 %. avec un prix de vente de 199 dollars pour un coût de production de 82,85 dollars. 

Cette évaluation des frais de production, n'inclut pas les coûts de marketing et de R&D, qui sont en général plutôt conséquents chez Apple. Pour autant, cet iPod est l'évolution d'un modèle existant, avec des coûts de R&D et de marketing en partie déjà amortis.

La société d'études table sur 23 millions d'iPod Nano écoulés dans le monde cette année, et environ 28 millions en 2008.

Lors de la sortie de l'iPhone, iSuppli avait révélé qu'Apple dégageait 50 % de marge sur son smartphone, avant la récente baisse de tarif de 200 dollars.

Source zdnet

22 septembre 2007

L'USB 3.0 sera 10 fois plus performant que l'USB 2.0, promet Intel

A l'occasion de l'Intel Developer Forum *, le fondeur a présenté les premiers éléments sur le développement de l'USB 3, prochaine génération du principal standard de connectique des périphériques informatiques.

Selon Intel, le transfert de donnée en USB 3.0 sera dix fois plus performant qu'avec l'actuel USB 2.0, soit 4,8 Gigabits par seconde (plus de 600 Mo/s). Un débit atteint notamment en utilisant la fibre optique en complément de la connectique classique en cuivre.

Les premières spécifications techniques sont attendues pour la première moitié de 2008. Elles seront rédigées par "USB 3.0 Promoters Group", un consortium créé pour l'occasion par Intel, Microsoft, Hewlett-Packard, Texas Instruments, NEC et NXP Semiconductors.

Intel a cependant précisé qu'il fallait compter un délai d'un à deux ans entre la publication des spécifications et l'arrivée des produits sur le marché. Les premiers périphériques USB 3.0 ne sont donc pas attendus avant 2009, voire 2010.

L'USB 3.0 sera rétro-compatible avec l'USB 2.0, a précisé Intel.

 

Source zdnet

22 septembre 2007

Orange pourrait s'allier à Thomson et Sagem autour de la domotique

Orange songerait à la création d'une coentreprise avec Thomson et Sagem afin de créer un standard commun de communication des équipements domestiques, de l'informatique à l'électroménager.

Ce standard couvrirait l'ensemble des fonctions dites de "domotique". Tous les appareils domestiques communiqueraient ainsi entre eux et seraient connectés à internet et aux réseaux mobiles. Il serait par exemple possible de contrôler à distance sa machine à laver ou son chauffage domestique depuis internet ou son téléphone mobile.

Selon Les Echos : «Le projet d'une alliance est à l'étude mais n'est pas du tout avancé ». Le quotidien économique croit savoir que la coentreprise serait baptisée HNSA (Home Network Software Applications). Sagem et Thomson détiendraient chacun 20% de la nouvelle entité. L'opérateur historique les 60% restants.

Contacté par ZDNet.fr, Orange se refuse à commenter mais confirme avoir « l'ambition d'accélérer le développement du "Digital Home Network" (infrastructure permettant aux équipements domestiques d'interagir entre eux et d'être accessibles à distance) en favorisant l'émergence d'un standard commun ouvert avec ses partenaires ».

Orange est le leader mondial des modems multimédias, les fameuses "box", avec un parc de 5 millions de Livebox réalisées en partenariat avec Sagem Communications et Thomson, principaux fabricants mondiaux de ce type d'équipements.

Une alliance pourrait leur permettre d'imposer leur technologie de "Digital Home Network" comme standard du marché.  Car l'accès à distance des appareils domestiques se ferait via ce type de "box", qui ferait office de centre de contrôle de l'ensemble des communications.

13 septembre 2007

Microsoft s'explique sur l'«écran noir» des versions pirates de Vista

L'éditeur détaille le système antipiratage WGA suite aux informations parues dans la presse. Si la copie de Windows Vista est détectée comme une version pirate, le système ne bloque pas l'OS mais n'affiche plus que IE sur un fond noir.

« Il n'y a pas d'écran noir pour les versions pirates de Vista mais un mode "fonctionnalités réduites", avec juste l'icône d'Internet Explorer sur un fond noir, sans bureau, ni barre d'état », explique à ZDNet.fr, Nicolas Mirail, chef de produits Windows

Microsoft France réagit aux récentes informations publiées par le site américain Computer World, et que nous avons relayées dans notre édition du 11 septembre. « Peut-être n'avons-nous pas suffisamment détaillé ce mécanisme, mais il n'y a rien de nouveau », poursuit le responsable.        

Le quotidien spécialisé indiquait que Vista se désactivait au bout d'une heure en cas de détection d'une version pirate, et que l'utilisateur n'avait alors plus qu'un écran noir. En fait, il lui reste toujours la possibilité de lancer Internet Explorer (voir photo ci-contre), précise l'éditeur. Et cette situation n'intervient qu'au bout d'un maximum de 60 jours, si l'utilisateur n'authentifie pas sa copie de Vista.

Microsoft France tient à rappeler la procédure d'activation de Vista, basée sur la technologie WGA (Windows Genuine Advantage), dans une version cependant beaucoup plus contraignante que celle de Windows XP.

Première étape : l'utilisateur est invité à entrer sa clé d'activation durant l'installation du produit. S'il annule cette opération, il dispose d'une « période de grâce » de 30 jours calendaires pour activer ultérieurement son produit. Avant la fin de délai, des avertissements tels que « Procédez à l'activation, sinon certaines fonctionnalités ne seront plus disponibles » s'affichent de plus en plus souvent dans des fenêtres.

Activation du mode « RFM » après 60 jours maximum

Ensuite, Vista passe en mode dit « non original », si l'utilisateur n'entre finalement pas de clé valide, si elle est blacklistée par Microsoft, ou si la structure système de Windows semble avoir été modifiée (version dites « hackées » de Windows).

L'interface 3D Aero est alors désactivée, tout comme les mises à jour de l'anti-spyware intégré (Windows Defender) et la fonction Ready Boost. Une fonction qui permet d'augmenter les performances de Vista en connectant une clé USB au PC. La mémoire de cette clé sert alors de mémoire cache pour le système.

Ce mode « non original », qui propose donc une utilisation dégradée de Vista, se poursuit durant une nouvelle période de 30 jours calendaires. En bas à droite de l'écran, un compte à rebours s'affiche avec une mention du type : « Attention cette copie n'est pas originale ».

Si au cours de ce nouveau sursis, l'utilisateur ne régularise toujours pas sa situation avec une clé valide, Vista passe dans le fameux mode « fonctionnalités réduites » (RFM) assimilé par Computer World à l'écran noir.

En mode RFM, seul Internet Explorer (IE) est accessible ; une session ne dure qu'une heure avant d'être fermée par Vista. L'utilisateur doit ensuite la relancer.

Pourquoi laisser l'accès à IE ? « L'utilisateur pourra l'utiliser pour acheter Vista en ligne », explique-t-on chez Microsoft France. L'utilisation d'IE n'est pas bridée et d'autres sites que Microsoft peuvent être visités.

En outre, en tapant "C:/" à la place d'une URL dans le navigateur, l'utilisateur peut accéder à son disque dur en mode « commande », par exemple pour sauvegarder des données. Autre astuce : redémarrer en mode « sans échec » permettra d'utiliser son ordinateur de manière limitée, mais avec la plupart des fonctionnalités de base.

Ce mécanisme d'activation concerne aussi bien le grand public que les entreprises, souligne Microsoft France. D'ailleurs, Windows Server 2008 répondra au même mécanisme d'activation. L'éditeur propose sur son site une présentation complète de ce système.

Et ce n'est pas terminé. Microsoft envisage de le compléter par une veille constante de l'authenticité des copies de Vista. Il prévoit ainsi d'effectuer des vérifications régulières, au cours des mises à jour du système. Si la version de Vista est détectée comme une copie pirate ou hackée, le système passerait en mode dégradé pendant 30 jours, puis en mode RFM.

Cette seconde étape devait initialement être mise en place d'ici la fin de l'année, mais elle a été repoussée à une date encore non précisée

Source zdnet

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12 septembre 2007

La Mozilla Fondation organise 24 heures de débats non stop sur le Net

L’organisme gérant le développement de Firefox va inaugurer le week-end prochain Mozilla 24 : une suite de conférences et de débats en Asie, aux États-Unis et en Europe retransmis en ligne pendant 24 heures. Thématique : l’avenir du web.

La Mozilla Foundation organise les 15 et 16 septembre un événement international sur le thème de « l'avenir du web ». Intitulé Mozilla 24, il consistera en une suite de conférences et de débats retransmis en direct sur le Net pendant 24 heures.

Au programme, des intervenants de marque tels que Vinton Cerf, vice-président de Google mais surtout coïnventeur avec Bob Khan du protocole TCP/IP, et considéré comme l'un des pères fondateurs d'internet.

Bien entendu, bon nombre d'intervenants sont des responsables de la Mozilla Foundation, dont Mitchell Baker, la P-DG de Mozilla Corporation, et Tristan Nitot, fondateur et président de Mozilla Europe. L'ensemble des interventions se feront en anglais.

« Notre ambition est de monter un événement fédérateur international autour du projet Mozilla mais aussi, plus généralement, autour des tendances et des technologies qui feront le futur de l'internet », explique à ZDNet.fr, Tristan Nitot.

Mozilla Japon, maître d'oeuvre

Les conférences se dérouleront successivement sur quatre sites : l'université Keio de Tokyo (Japon), l'Asian Institute of Technology (Thaïlande), la Stanford University de  Palo Alto (Californie) et l'école d'ingénieurs parisienne ENST - Sup' Telecom (1). Les réservations pour y assister sont ouvertes à tous, précise Mozilla.

« Les partenaires publics ont été intéressés par nos projets autours des logiciels libres et par le partage des savoirs qu'un tel événement permet », poursuit le président de Mozilla Europe.

En France, un amphithéâtre de l'ENST sera ouvert pour l'occasion. Les conférences seront filmées par les équipes du service audiovisuel dépendant du ministère de l'Éducation national (Cerimes - 2) et les images seront acheminées sur les principaux réseaux très haut débit de l'enseignement et de la recherche (Corap et Renater - 3).

L'organisation et la réalisation de cet événement ont été confiées à Mozilla Japon. Le budget n'a pas été communiqué, mais est « très modeste » indique Tristan Nitot.

(1) ENST - Sup' Telecom : Ecole nationale supérieure des télécommunications
(2) Centre de ressources et d'information sur les multimédias pour l'enseignement supérieur.
(3) Centre opérationnel du réseau académique parisien
- Réseau national de télécommunications pour la technologie l'enseignement et la recherche français.

Source zdnet

12 septembre 2007

Écran noir pour les copies pirates de Windows Vista

L’éditeur américain entend bloquer l’utilisation des versions illégales de Windows Vista. Si son système antipiratage WGA détecte une copie de l'OS non authentifiée, l’utilisateur a une heure pour « régulariser sa situation », sinon c’est l’écran noir.

Microsoft durcit le dispositif antipiratage WGA (Windows Genuine Advantage) intégré à Windows Vista. Il vient d'activer, a priori au niveau international, une fonction qui rend quasi inutilisable son système d'exploitation non authentifié.

« Au bout d'une heure de surf : c'est l'écran noir », indique l'éditeur dans un e-mail envoyé aux distributeurs et fabricants informatiques. Le quotidien spécialisé Computer World s'est procuré une copie de ce message titré : « Pirated Vista - A darkness descends! » (Vista piraté : une descente dans les ténèbres).

Microsoft y indique avoir activé le mode « fonctionnalités réduites » de Vista pour les copies pirates du système ; un mode qui ne prévoit « pas de menu Démarrer et pas de Bureau ».

Jusqu'à aujourd'hui, il servait principalement à désactiver l'interface Aero, mais ne bloquait pas l'accès à Internet Explorer afin de laisser à l'utilisateur la capacité d'authentifier la copie de son Windows Vista. Aucun écran noir n'avait été évoqué.

Vérifications régulières lors des mises à jour

En outre, ce mode était censé intervenir au bout de trente jours d'utilisation après l'installation de Vista. L'utilisateur dispose en effet de ce délai pour valider sa copie de Windows via internet, ou par l'obtention d'une clé d'activation par téléphone. S'il le dépasse, il passe en mode fonctionnalités réduites, nous expliquait en juillet dernier Microsoft France.

Mais l'éditeur confiait à la même époque qu'il allait « d'ici à la fin de l'année » poursuivre sa lutte antipiratage au-delà de la surveillance de l'activation de Vista. C'est-à-dire, effectuer des vérifications régulières pour authentifier la clé, sur la base d'une liste noire des clés piratées, au cours, par exemple, des mises à jour du système.

En toute logique, la firme de Redmond vient de passer à cette étape. On peut imaginer qu'elle va  vérifier à distance l'authenticité de Vista lors de certaines mises à jour. Si une copie est répertoriée dans la liste des versions pirates, un message d'alerte est envoyé et l'utilisateur dispose d'une heure pour authentifier sa copie ou acheter une version légale, sinon c'est l'écran noir. 

Contacté par ZDNet.fr, Microsoft France n'a pas été en mesure de nous fournir de plus amples informations à ce sujet.

Source zdnet

31 août 2007

40% des étudiants allemands ont accès à Linux

Novell multiplie les contrats avec des États (ou lands) d'outre-Rhin autour de la fourniture des systèmes d'exploitation pour postes clients et serveurs. Les OS Linux de l'éditeur américain sont déjà utilisés par 300.000 étudiants des lands de Bavière et de Thuringia.

Il vient de signer un nouvel accord, cette fois avec la Rhénanie-du-Nord-Westphalie pour proposer des postes informatiques à quelque 560.000 autres étudiants et plusieurs milliers de fonctionnaires.

Dans le détail, trente-trois universités du land vont être équipées en PC dotés de Novell Suse Linux Enterprise Desktop 10 (poste client), de Suse Linux Enterprise Server (serveur) et des compléments Novell Identity Manager (gestion d'identité) et Novell ZEnworks (gestion automatisée des correctifs).

Cela porte à 40%, le taux d'étudiants ayant accès à des PC sous Linux dans leur établissement, assure Novell. Selon l'éditeur, ses multiples contrats avec les États allemands représenteraient la plus importante intégration de solutions Linux par des administrations publiques en Europe.

En France, les administrations multiplient également les projets autour de logiciels libres. Derniers en dates : les députés sont en passe d'être équipés en PC Ubuntu, cela devrait aussi être le cas des élus du Conseil de Paris. Autres exemples : 400 serveurs du ministère de l'Agriculture et de la Pêche vont passer de Windows NT à Linux. Ce ministère a également décidé de migrer de Microsoft Office vers la suite libre OpenOffice.org.

Source zdnet

31 août 2007

Une erreur humaine à l'origine de la panne du système WGA

L’installation d’un programme en bêta test sur les serveurs de Microsoft a entraîné l'interruption de service du système de validation des OS Windows. Près de 15 000 utilisateurs avaient été touchés le week-end dernier.

C'est une erreur humaine qui est à l'origine de la panne du système WGA (Windows Genuine Advantage) d'authentification à distance des licences de Windows, survenue en fin de semaine dernière, a indiqué Microsoft. Selon Alex Cochis, le chef de produit en charge de ce sytème, l'installation d'un programme, encore en version bêta, sur les serveurs en production a tout déclenché.

L'explication fournie par le responsable sur le blog officiel de WGA précise que ces serveurs auraient dû faire, au préalable, l'objet d'une mise à jour leur permettant de gérer un processus de chiffrement renforcé des clés de produits. Ils se sont donc mis à rejeter toutes les clés valides, parce qu'ils ne pouvaient en déchiffrer aucune.

Alex Cochis indique qu'une fois détecté, le problème a été corrigé dans la demi-heure. Mais il a continué à affecter l'ensemble du système de validation jusqu'au lendemain, touchant entre 12 000 et 15 000 utilisateurs, détenteurs pourtant d'une version valide de Windows.

Des points de contrôle supplémentaires

Les procédures internes de Microsoft prévoient que si les serveurs du système de validation tombent en panne, les licences sont validées par défaut. Mais ce n'est pas exactement le cas de figure qui s'est produit, puisqu'ils ont continué à fonvtionner. De nombreux utilisateurs se sont toutefois plaints de ne pas avoir bénéficié de cette procédure particulière.

« Nous avons effectué un certain nombre de changements pour traiter le problème particulier qui s'est posé ce week-end - par exemple, nous avons amélioré nos capacités de "monitoring" de manière à être avertis plus tôt lorsque ce genre de problème survient », indique Alex Cochis. Et des points de contrôle supplémentaires ont été ajoutés avant que des changements ne puissent être effectués sur les serveurs en production.

Le responsable du programme WGA confirme, par ailleurs, que les utilisateurs affectés par cette interruption de service ont été victimes de dysfonctionnements liés à la désactivation d'un certain nombre de services de leur système d'exploitation.

Source zdnet

31 août 2007

Sony abandonne son format Atrac pour le MP3, WMA et AAC

Le groupe d’électronique se plie aux standards du marché : MP3, AAC et WMA. Des formats avec lesquels ses nouveaux baladeurs seront compatibles. Sony va également fermer sa plate-forme de téléchargement de musique Sony Connect.

Après avoir farouchement défendu pendant des années son format musical Atrac, Sony fait machine arrière en décidant « d'ouvrir ses baladeurs » aux standards du marché : le MP3, le WMA et l'AAC.

L'annonce a été faite à la veille de l'ouverture de l'IFA 2007, salon de l'électronique grand public qui se tiendra à Berlin du 31 août au 5 septembre.

Le groupe japonais y présentera de nouveaux baladeurs, dont la série NWZ-A810 et NWZ-S610. Des modèles « complètement ouverts » et compatibles avec tous les fichiers WMA, même ceux protégés par le système DRM PlaysForSure de Microsoft. Ils lisent également les formats Liner PCM, AAC non protégé et l'incontournable MP3. Ils seront disponibles à l'automne.

Des transferts de fichiers simplifiés

Conséquence du retrait de l'Atrac, Sony va fermer sa plate-forme de téléchargement en ligne Sony Connect. La date de fermeture variera selon les régions, mais elle sera bouclée avant mars 2008, indique le groupe.

Au passage, il abandonne également son logiciel propriétaire permettant de transférer des morceaux depuis son PC vers le baladeur (Sony Connect Transfer Software). Les transferts se feront désormais par simple « glisser/déposer » dans Windows. Depuis juillet, son modèle NW-BD100 est déjà fourni sans ce logiciel de transfert ; ce sera le cas de toutes les nouvelles machines à l'avenir.

En 2004, Sony avait déjà commencé à rendre ses baladeurs compatibles avec le MP3 ; ce fut le cas des modèles NW-E95 et NW-E99 qui ont été les premiers à stocker et lire des morceaux en MP3. Avant cela, le constructeur fournissait avec ses machines le logiciel Sonic Stage, avec lequel l'utlisateur convertissait au format Atrac des fichiers MP3, WMA et WAV. La lecture se faisait donc toujours en Atrac.

Source zdnet

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