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13 février 2008

Novell adapte Microsoft Silverlight pour Linux

Après .NET, l’équipe de Novell s’est attelée à créer une version Linux de Silverlight, rival du Flash d'Adobe, baptisée Moonlight. Grâce à elle, Microsoft couvre les principaux OS - Linux, Mac OS, Windows - et navigateurs - Safari, Firefox, et IE.

Miguel de Icaza et son équipe avaient défrayé la chronique il y a quatre ans en adaptant la plate-forme .NET pour Linux, dans le cadre du projet Mono. Les trublions de Novell ont réitéré cette fois l'opération avec Silverlight, le client riche de Microsoft, concurrent du Flash d'Adobe.

Baptisée Moonlight, cette implémentation de Silverlight 2.0 (ex-1.1) pour Linux poursuit plusieurs objectifs : « permettre aux applications Silverlight de fonctionner dans un navigateur au dessus de Linux, mettre un kit de développement à disposition des développeurs, et réutiliser Moonlight pour créer des applications de bureau », détaille Miguel de Icaza.

Un grand service rendu à Microsoft

Cette fois, Microsoft et Novell ont conclu un accord de coopération technique. Microsoft a en effet tout à y gagner puisqu'il laisse un partenaire améliorer la portabilité de son client riche. La version officielle de Silverlight n'est en effet disponible que pour Internet Explorer et Firefox sous Windows, Safari et Firefox sur Mac OS.

Microsoft a fourni à Novell la spécification technique complète de Silverlight (pour éviter un long travail de reverse engineering, ou décompilation) et une suite de tests qui permettront à l'équipe de Moonlight de garantir la compatibilité de leur implémentation. Ils disposeront également des versions binaires des codecs de Microsoft pour pouvoir lire des flux multimédias. Et même si ce sont les équipes de Novell qui développeront seules Moonlight, Microsoft leur promet le support de ses propres équipes techniques en cas de besoin. De son côté, Novell s'est engagé à redistribuer Moonlight au-delà d'OpenSuSE : des packages RPM et DEB seront également disponibles.

De nombreux langages supportés

Au-delà du support de Mac OS, Windows et désormais Linux, Silverlight 2.0 introduit un autre changement de taille. Tandis que la version 1.0 exécutait uniquement un code Javascript, Silverlight 2.0 supporte différents langages : C#, VB.NET, Ruby, Python, PHP, etc. Microsoft travaille avec Zend pour mettre au point un compilateur JIT PHP pour .NET (Phalanger). Et il a recruté John Lam, auteur du compilateur IronRuby qui convertit du code Ruby en code intermédiaire .NET (MSIL).

Les langages statiques sont traduits en code MSIL lors du déploiement de l'application. En revanche, un nouveau compilateur juste à temps (JIT) traduit les langages dynamiques (Python, Ruby, etc.) à la volée. « Le Dynamic Language Runtime (DLR) compile dynamiquement un code Python ou Ruby en MSIL qui est ensuite interprété par la machine virtuelle (CRL) de Silverlight 2.0 », explique Laurent Ellerbach, responsable marketing de la division plate-forme et écosystèmes.

Silverlight 2.0 pourra donc exécuter des applications écrites en PHP, Ruby, Python, C#, et VB.NET... sous Windows, Linux, et Mac OS. Il est ainsi possible de mélanger les langages au sein d'un même client Silverlight 2.0 pour réutiliser des librairies ou des logiciels existants. Cette flexibilité permet aussi « d'utiliser le meilleur langage dans un contexte précis ou d'utiliser le langage avec lequel on est le plus l'aise », complète Laurent Ellerbach.

                               

Par Carole Buret, ZDNet France

Source ZDNet

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13 février 2008

Danger épaule Microsoft sur les logiciels mobiles

En attendant de voir si son projet de rachat de Yahoo finira par aboutir, Microsoft a mis la main sur la société californienne Danger, qui édite des logiciels pour l'internet mobile. La firme de Redmond n'a pas indiqué le montant de la transaction. Aux Etats-Unis, Danger fournit la suite logicielle dont est équipé le Smartphone Sidekick vendu par T-Mobile, qui a particulièrement séduit la catégorie des jeunes adultes. Sa force : des logiciels de navigation sur internet, de gestion d'e-mails ou de messagerie instantanée.

« Danger apporte de parfaits compléments à nos services et logiciels existants, et renforce aussi notre stratégie qui consiste à améliorer l'expérience mobile centrée autour de nos utilisateurs et de ce qu'ils aiment », explique dans un communiqué Robbie Bach, président de la division Entertainment de Microsoft.

Microsoft a besoin de ce type de partenariats pour revitaliser sa part de marché relativement faible sur le secteur des systèmes d'exploitation mobile. Il en détient 12 %, loin derrière les 65 % du leader Symbian, et doit faire face à de nouveaux concurrents de poids : Apple et surtout Google, avec son OS Android. Les premiers téléphones équipés d'Android doivent d'ailleurs être présentés cette semaine lors du 3GSM Mobile World Congress de Barcelone.

Retrouvez chaque jour l'actualité du 22e Mobile World Congress de Barcelone.

Téléphones mobiles : découvrez les nouveautés 2008 présentées au Mobile World Congress de Barcelone sur BusinessMobile.fr

                               

Par La rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

13 février 2008

Nokia affiche ses ambitions sur la publicité mobile

Au Mobile World Congress de Barcelone, le constructeur finlandais a lancé son Global Media Network, un réseau qui rassemble plus de soixante-dix éditeurs et opérateurs. L'objectif est d'organiser la diffusion de publicités sur les pages mobiles des partenaires et sur les sites Nokia, en ciblant les cent millions d'utilisateurs potentiels qui possèdent un téléphone mobile de la marque.

« Nokia s'appuie sur une compréhension sans comparaison du consommateur mobile, nos relations avec les éditeurs et les opérateurs, et une tradition d'optimisation de campagnes publicitaires (...) pour créer une solution performante destinée aux annonceurs », affirme dans son communiqué le fabricant. Il avance d'ailleurs des performances assez prometteuses : selon lui, les taux de clics atteignent jusqu'à 10 % pour des publicités placées sur certaines chaînes.

Nokia propose d'ailleurs aux annonceurs sa propre équipe marketing pour créer leur campagne mobile. Le groupe s'appuie sur le rachat, fin 2007, d'Enpocket, spécialiste de la publicité mobile pour lancer son service et fournir des outils de mesure de campagne aux annonceurs.

Retrouvez chaque jour l'actualité du 22e Mobile World Congress de Barcelone sur ZDNet.fr.

Téléphones mobiles : découvrez les nouveautés 2008 présentées au Mobile World Congress de Barcelone sur BusinessMobile.fr

                               

Par La rédaction, ZDNet France

                                 
Source ZDNet
13 février 2008

L'office HLM de Paris propose le haut débit à un euro avec Neuf Cegetel

L’opérateur a remporté l’appel d’offres de l’Opac de Paris. D’ici à la fin de 2009, il raccordera à la fibre optique 100 000 logements sociaux. Pour un euro, leurs locataires auront accès à l’internet haut débit, à la téléphonie et aux chaînes de la TNT.

Joli coup de pub pour Bertrand Delanoë à quelques semaines des élections municipales : Paris est la « première ville au monde à offrir le triple play à un euro », se targue-t-il dans un communiqué. C'est le résultat d'un appel d'offres lancé par l'office HLM de Paris (Opac) en septembre 2007 pour assurer la fourniture d'un service « triple play social » aux quelque 100 000 logements qu'il gère. Un appel d'offres remporté par Neuf Cegetel.

Les locataires de ces logements pourront ainsi bénéficier d'un accès internet à 512 Kbps, d'un service de téléphonie sur IP (mais sans communications illimitées) et des 18 chaînes de la TNT. Il en coûtera 1 euro HT par mois, soit 1,19 euro TTC.

« La volonté de l'Opac était de permettre à l'ensemble de ses locataires parisiens d'accéder à ces nouveaux médias, dans des conditions compatibles avec leurs ressources, et proches du coût actuel du service antenne (1,05 euro TTC mensuel) », explique-t-on au sein de l'organisme.

« Ce service sera progressivement déployé à partir du second semestre 2008 pour être totalement opérationnel en juillet 2009 pour la TNT, et en décembre 2009 pour le téléphone et internet », précise l'Opac.

80 % des immeubles parisiens reliés à la fibre en 2010 ?

Pour Neuf Cegetel, il s'agit d'une belle affaire : l'opérateur va s'appuyer sur la fibre optique pour proposer ses services dans les immeubles concernés. Et son accord avec l'Opac lui permet d'accéder à de nouveaux clients, sans avoir à négocier âprement avec des syndics - c'est l'un des principaux freins au déploiement actuel des réseaux en fibre optique.

Autant de foyers qui voudront, peut-être, ensuite accéder aux offres triple play classiques de l'opérateur, comprenant un bouquet de chaînes télévisées plus complet, un accès très haut débit (plus seulement limité à 512 Kbps) et la téléphonie illimitée sur IP. Selon la mairie de Paris, 44 % des locataires de l'Opac disposent actuellement d'un accès internet et des outils qui en découlent.

« Cette offre facilitera grandement la lutte contre la fracture numérique », se félicite Bertrand Delanoë, qui rappelle que « le raccordement à la fibre optique des 100 000 logements de l'Opac s'inscrit dans le programme Paris Ville Numérique ». Un plan lancé en 2006, qui prévoit que d'ici à 2010, 80 % des immeubles parisiens seront raccordés au très haut débit.

                               

Par Estelle Dumout, ZDNet France

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13 février 2008

Yahoo s'offre Maven

Le portail américain poursuit le développement de son portefeuille de technologies publicitaires. Quelques mois après le lancement de Pananma pour la gestion des liens sponsorisés, il rachète Maven Networks, une plate-forme d'hébergement de vidéos disposant d'une technologie de gestion des campagnes publicitaires.

Coût de l'opération : près de 160 millions de dollars.

Basée à Cambridge (Massachusetts), Maven dispose d'un portefeuille de clients composé d'une trentaine de groupes de médias, parmi lesquels on trouve notamment Fox News, CBS Sports et le Financial Times.

Avec cette acquisition, Yahoo souhaite améliorer sa capacité à monétiser des vidéos. Car si l'audience de ce type de contenus s'est considérablement développée ces trois dernières années, les annonceurs sont encore réticents à y insérer leur message. Ils reprochent notamment le manque d'efficacité des solutions proposées par les plates-formes.

Google (propriétaire de Youtube) et Microsoft travaillent d'arrache-pied pour améliorer la qualité de leur offre.

 

                               

Par La rédaction, ZDNet France

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13 février 2008

Le SP1 de Vista disponible pour les entreprises dès le 15 février

Microsoft a revu les conditions de mise à disposition du SP1 de Windows Vista, tout juste finalisé. Le premier Service Pack sera accessible dès le 15 février aux clients sous contrats de licences en volume, puis avant la fin du mois aux développeurs des réseaux MSDN et Technet.

Les entreprises étaient censées patienter jusqu'à la fin du mois pour se le procurer ; le SP1 devait être fourni dans un premier temps uniquement aux constructeurs de PC.

Pour le grand public, la date de sortie mi-mars reste toutefois maintenue, pour « offrir la meilleure expérience utilisateur possible lors de l'installation via Windows Update », explique le vice-président de Microsoft, Mike Nash.

Microsoft travaille toujours à la résolution d'un problème au niveau des pilotes de certains périphériques tiers, qui ne fonctionnent pas une fois le Service Pack installé. Il est lié à la façon dont ils ont été réinstallés, précise le dirigeant. « Ces pilotes fonctionnaient avec Windows Vista RTM. Ils fonctionnent aussi avec le SP1 de Vista sur les nouveaux PC où il est préinstallé. Nous travaillons avec les fabricants de ces appareils pour que leurs pilotes et leurs programmes d'installation soient mis à jour ».

Pour en savoir plus : tous les Livres Blancs consacrés à Windows Vista


                               

Par la rédaction, ZDNet France

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13 février 2008

Visual Studio 2008, la plate-forme à tout faire de Microsoft

L’éditeur intègre progressivement l’ensemble de ses socles de développement au sein d’un framework, .NET 3.5, pris en charge par un seul outil de développement : Visual Studio 2008. Présentation des évolutions.

Disponible pour les développeurs depuis le 29 janvier, Visual Studio 2008 a été présenté officiellement en ouverture des TechDays, la grand-messe annuelle des développeurs Microsoft francophones (11-13 février à Paris). Il s'agit d'une version majeure, Microsoft voulant en effet fournir une seule plate-forme de développement pour toutes les applications basées sur .NET, qu'il s'agisse d'un client lourd (WPF - Vista), léger (Silverlight), web (ASP.NET et ASP.NET Ajax), pour périphériques mobiles (Compact Framework), etc.

La présence de LINQ, très attendu

Visual Studio 2008 intègre donc de nombreuses technologies existantes au sein d'un seul IDE et d'une seule API : le framework .NET 3.5. Extensible, ce dernier embarque par défaut le framework ASP.NET, ainsi que les API d'Office 2007 et Windows Vista, et LINQ (Language INntegrated Query). « LINQ est très attendu car il permet de simplifier l'accès par une seule requête sur différentes sources de données hétérogènes (objet et données relationnelles par exemple) à l'aide d'un seul langage de programmation », explique Marc Jalabert, directeur de la division plate-forme et écosystème chez Microsoft. Une approche particulièrement intéressante pour les applications composites dont les données proviennent souvent de sources très hétérogènes.

Globalement, « les évolutions majeures concernent plus les frameworks et leurs API que l'IDE lui même », estime Sami Jaber, architecte au sein du cabinet DNG Consulting. Et ce n'est que le début. A terme, « .NET 4 sera encore plus modulaire. On pourra charger uniquement les librairies que l'on utilise », précise Bernard Ourghanlian, directeur technique de Microsoft France.

Un framework en perpétuelle évolution

.NET 3.5 intègrera d'autres nouveautés en 2008, que l'on peut découvrir grâce à la version « Extensions Preview » du framework 3.5. Cette dernière comprend toutes les fonctionnalités qui seront ajoutées à ASP.NET et ADO.NET en 2008. Au menu : le support de MVC via ASP.NET MVC et ASP.NET MVC Toolkit, la génération automatique d'une application complète en fonction de son modèle de données via ASP.NET Dynamic Data (certains reconnaîtront le scaffolding de Rails), de nouvelles fonctionnalités (support du bouton "back" notamment) dans la nouvelle version d'ASP.NET Ajax, et le support de Silverlight via « Silverlight Controls for ASP.NET ».

Parmi les principales nouveautés ADO.NET, c'est clairement ADO.NET Data Services (Astoria) qui retiendra l'attention des développeurs d'applications web 2.0. Ce framework expose en effet n'importe quelle donnée au travers d'un API REST standard. Microsoft a également présenté le Microsoft Sync Framework (MSF), qui répond à un besoin croissant des clients riches de bureau (RDA) et des applications mobiles : synchroniser les données entre le client et le serveur après une période de déconnexion (transport, perte de réseau, etc.). Pour l'instant le Sync Framework ne fonctionne que sous Windows, mais Microsoft encourage ses partenaires à le porter sur d'autres plates-formes. Il devrait lui aussi être intégré à .NET 3.5 d'ici fin 2008.

Enfin, pour élargir la portée de .NET, Microsoft finalise actuellement un "micro framework" adapté aux applications embarquées qui disposent de très peu de ressources, comme par exemple les télécommandes, les appareils électroménager, les interrupteurs intelligents, etc.

Les développeurs disposent ainsi d'une seule API (.NET Framework) plus ou moins étendue et spécialisée selon la plate-forme cible : client lourd Vista, client léger, Ajax, web, mobile, embarqué. « La création d'un tableau de bord de voiture, d'un site web 2.0, ou d'un driver pour une prise de courant intelligente repose donc désormais sur le même langage, les mêmes API, et le même atelier de développement », synthétise Marc Jalabert.

Pour en savoir plus : Les Livres Blancs consacrés à Visual Studio

                               

Par Carole Buret, ZDNet France

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13 février 2008

Microsoft confiant sur la sécurité de l'hyperviseur de Windows Server 2008

La virtualisation est au coeur de Windows Server 2008. Particulièrement sensible, la sécurité de l'hyperviseur est déjà l'objet de toutes les précautions.

Microsoft a officiellement lancé Windows Server 2008 en avant-première mondiale aux TechDays de Paris, le 12 février. Mais toutes les informations importantes sur le produit ont été dévoilées depuis plusieurs semaines. 

Le keynote de présentation, qui a réuni plus de 4000 personnes, a donc surtout été le théâtre de démonstration de quelques fonctionnalités jugées clés pour Microsoft autour de quatre axes stratégiques : web (avec la nouvelle interface IIS qui se prend pour Apache), le streaming, la sécurité (avec bitlocker) et bien entendu la virtualisation.

Au détour d'une session technique destinée aux développeurs, Microsoft a lâché quelques informations sur l'un des sujets chaud des prochains mois : la sécurité de l'hyperviseur  Hyper-V (ex-Viridian) l'hyperviseur nouvelle génération compatible avec Xen, qui sera disponible dans 180 jours.

« On le sait depuis quelques mois, des rootkits peuvent être insérés dans un hyperviseur. Et si ce dernier est malade, c'est une catastrophe. Il faut donc, non pas s'en inquiéter, mais penser à intégrer ce risque dans sa politique de sécurité » rappelle Bernard Ourghanlian, Directeur technique de Microsoft. 

Intel et AMD impliqués

«Hyper-V est de petite taille. Une de ses originalités est qu'il n'exécute pas de pilotes »  explique-t-il.  Selon lui, la non dépendance aux pilotes (contrairement à VMware) et le fait qu'il n'y ait qu'un seul processeur par machine virtuelle font d'Hyper-V une architecture conçue pour la sécurité.

Mais monter d'un cran dans cette sécurité ne se fera pas sans les fondeurs. Intel et AMD travaillent en effet à des améliorations de leur processeurs intégrant des technologies TXT. Intel (senter) AMD SVM (skinit) sont des technologies qui permettront en effet aux hyperviseurs de se protéger eux-mêmes contre la falsification. Elles donneront au propriétaire de la machine la possibilité de contrôler quel est le code qui peut utiliser le matériel sur lequel repose la virtualisation, et bloquer un hyperviseur non autorisé

La sécurité sera l'un des axes principaux de VMWorld 2008 qui se tiendra à Cannes dans deux semaines. VMware, pionnier de la technologie de virtualisation, a en effet prévu de faire des annonces dans ce domaine.

Pour en avoir plus : consultez notre rubrique Livres Blancs consacrés à la virtualisation 

                               

Par Kareen Frascaria, ZDNet France

Source ZDNet

12 février 2008

Les scénaristes américains obtiennent le doublement de leurs droits pour internet

Après trois mois de bras de fer avec les studios hollywoodiens, les scénaristes américains sont en passe de reprendre le travail. Les responsables du syndicat Writers Guild of America (WGA) ont signé à l'unanimité une proposition d'accord avec l'alliance des producteurs de cinéma et de télévision (AMPTP). « C'est un accord qui protège un avenir où l'internet devient le mode principal de création et de distribution », a expliqué l'un d'entre eux, Michael Winship.

Le nouveau contrat prévoit de doubler les droits d'auteurs des scénaristes pour les films et les séries diffusés en ligne. Ainsi, ils percevront notamment 1200 dollars par an (pour un programme ou épisode d'une heure) au cours des deux premières années de diffusion, et par la suite un pourcentage de 2 % des recettes dégagées par le distributeur, toujours sur le Net. Parallèlement, ils ont obtenu une augmentation de 3,5 % du tarif syndical minimum pour l'écriture des scénarios.

Cet accord doit encore être ratifié par les quelque 10 000 membres du syndicat WGA, avant le milieu de cette semaine. Ce qui augure d'une reprise du travail d'ici au week-end, et devrait permettre la tenue de la cérémonie des Oscars le 24 février. Selon les estimations de la presse américaine, la grève des scénaristes, qui a notamment bloqué le tournage de nombreuses séries à succès, aura coûté plus d'un milliard de dollars à l'industrie.

                               

Par La rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

12 février 2008

Free perd une place mais réalise un chiffre d'affaires en forte croissance

En 2007, Iliad, la maison mère de Free, s’est fait doubler sur le marché de l’ADSL par Neuf Cegetel. Mais ses revenus progressent de 29,7 % et l’opérateur reconnaît étudier un éventuel rachat d’Alice en réaffirmant son objectif : 4 millions d’abonnés en 2010.

Dernier round des résultats annuels des opérateurs : Iliad, la maison mère de Free, affiche un chiffre d'affaires 2007 de 1,212 milliard d'euros, en hausse de 29,7 %. La quasi-totalité (97 %) de ses revenus provient de son activité haut débit, qui progresse de 36,2 %. Son activité de téléphonie traditionnelle, elle, a généré seulement 34 millions d'euros.

Free revendique un total de 2,9 millions d'abonnés à l'ADSL, dont 81,5 % sont connectés à son service via une liaison dégroupée. Le fournisseur d'accès détient désormais une part de marché de 19,7 % et abandonne sa deuxième position sur le secteur au profit de Neuf Cegetel, qui progresse notamment grâce aux rachats successifs d'AOL et de Club Internet.

En revanche, l'opérateur peut se targuer d'avoir l'un des Arpu (revenu moyen mensuel par abonné) le plus élevé du secteur à 36,3 euros (en hausse de 1,8 euro par rapport au quatrième trimestre 2006). Côté concurrence, Neuf Cegetel indique, sans plus de précision, que le sien dépasse 36 euros ; Orange affirme atteindre 30,6 euros.

Un revenu par abonné en hausse

« Cette hausse s'explique par le nombre toujours plus important d'abonnés dégroupés, une forte utilisation des services optionnels à valeur ajoutée existant (comme la télévision par ADSL) et le lancement de nouveaux services ayant reçu un accueil favorable des abonnés comme Free Home Vidéo » (service de vidéo à la demande par abonnement, Ndlr), précise l'opérateur.

Iliad rappelle son objectif à moyen terme : atteindre 4 millions d'abonnés haut débit d'ici à la fin de 2010. Pour y parvenir, la direction de l'opérateur n'exclut pas une opération de croissance externe, en visant Alice, la filiale française de Telecom Italia, à la recherche d'un repreneur.

« Nous confirmons notre intérêt pour Alice, mais nous ne ferons pas de folie », a expliqué à Reuters Thomas Reynaud, le directeur financier d'Iliad. « C'est toujours la même approche pragmatique : c'est une base d'abonnés intéressante, mais on verra le prix. »

L'opérateur devra, par ailleurs, composer avec les offres que feront ses concurrents : Bouygues Télécom a indiqué qu'il regardait le dossier d'Alice, tandis que les rumeurs de la presse économique donnent les mêmes ambitions à Numéricâble et Neuf Cegetel. Mais Maxime Lombardini, patron d'Iliad a prévenu, au micro de BFM : « Nous n'avons pas besoin de fusionner, d'aller acheter ou autre, même pour le déploiement de la fibre optique. »

                               

Par Estelle Dumout, ZDNet France

Source ZDNet

                       
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