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6 octobre 2007

les majors américaines font condamner une internaute à 222 000 dollars d'amende

L'organisation RIAA, qui défend les majors aux États-Unis, a porté pour la première fois devant la justice, une affaire de téléchargement illégal. Une Américaine a été condamnée à verser 222 000 dollars pour avoir téléchargé 1702 fichiers.

Les maisons de disques américaines viennent de remporter une victoire pour l'exemple. Une Américaine du Minnesota, Jammie Thomas, a été condamnée par la justice à leur verser 222 000 dollars de dommages pour violation de copyright.

L'intéressée, mère de deux adolescents, aurait, selon les majors, mis à disposition en 2005, 1 702 morceaux de musique sur le Net via le réseau Kazaa ; le puissant syndicat RIAA (*), qui les représente, a focalisé ses poursuites sur vingt-quatre titres seulement.

Jammie Thomas a pourtant toujours clamé son innocence, assurant ne pas avoir de compte Kazaa. Convaincue de pouvoir prouver sa bonne foi, elle avait ainsi écarté l'idée d'un règlement à l'amiable, optant pour le procès.

Devant les jurés, la RIAA a affirmé lui avoir envoyé des courriers d'avertissement en 2005, à la suite desquels l'accusée aurait changé le disque dur de sa machine pour effacer toute trace de ses actes. Un changement de disque confirmé par Jammie Thomas, et rendu nécessaire par un problème informatique rencontré avec son PC.

« Qui paie les factures au FAI est responsable »

Cette affaire établit un précédent juridique pour deux raisons. D'abord, c'est la première fois qu'un différend entre un internaute et la RIAA est porté devant les tribunaux. Depuis 2003, le consortium s'en est pris à 26 000 personnes, lesquelles, pour éviter un procès, ont pour la plupart préféré un règlement amiable en versant plusieurs milliers de dollars chacune.

Ensuite, les jurés, non convaincus par les arguments de l'accusée, ont passé outre le fait qu'il est presque impossible de prouver qu'une personne en particulier utilisait la machine de Jammie Thomas à une heure précise. Selon eux, peu importe qui dans son foyer a partagé de la musique sur le PC en question : la propriétaire est l'unique responsable puisque les factures de l'accès internet sont à son nom.

Dans le détail, elle doit donc débourser 9 250 dollars pour chaque titre pointé par la RIAA, soit 222 000 dollars.

« Une mère de famille, chez elle, n'a rien à voir avec un presseur de CD pirates, mais la loi sur le copyright ne fait pas la différence », a réagi l'organisation de défense des libertés civiles EFF (Electronic Frontier Foundation), qui déplore la décision et espère voir l'affaire passer en appel.

De son côté, Ira Rothken, avocat qui défend des sites tels que TorrentSpy, dénonce l'absence de preuve de partage délibéré de musique. « Beaucoup de gens mettent à disposition des fichiers sur un réseau souvent sans intention de le faire ou à leur insu. Cela ne suffit pas pour prouver une violation de copyright. »

Source zdnet

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3 octobre 2007

Sony commercialisera le premier téléviseur OLED en décembre

Le géant de l'électronique grand public sera le premier à commercialiser un écran de salon basé sur la technologie OLED (Organic Light-Emitting Diode), au Japon le 1er décembre. Il sera vendu environ 1 200 euros (200 000 yens) avec une diagonale plutôt modeste de 11 pouces, soit l'équivalent d'un 40 pouces actuel.

Équipant déjà des baladeurs, téléphones mobiles ou appareils photo numériques, les écrans OLED sont considérés comme les successeurs des écrans à cristaux liquides (LCD). Ils ne nécessitent pas de système de rétroéclairage, incontournable dans un écran LCD à matrice active.

         

Ils sont composés de diodes électroluminescentes (LED) organiques, qui génèrent leur propre luminosité sous tension, une caractéristique synonyme d'économie d'énergie et de gain de place dans l'appareil. Cela permet d'augmenter la taille de l'écran tout en diminuant son épaisseur de près de 50 % par rapport à son équivalent LCD. Dans le cas de Sony, la dalle de l'écran ne mesure ainsi que 3 millimètres d'épaisseur.

En outre, cette technologie permet d'atteindre des niveaux de contraste bien supérieurs aux écrans LCD ou plasma.

« Je ne pense pas que les téléviseurs OLED remplacent les modèles LCD du jour au lendemain. Mais je crois fermement qu'il s'agit d'une technologie avec un très grand potentiel, quelque chose qui viendra après le LCD », a déclaré à Reuters le directeur général adjoint de Sony Katsumi Ihara.

Après Sony, Toshiba devrait proposer des écrans OLED d'ici à 2010 ; Sharp, Philips et Hitachi testent également cette technologie.

                       

Source zdnet 

3 octobre 2007

L'adoption de Windows Vista en recul dans les entreprises européennes

Alors qu'il est préinstallé sur une écrasante majorité des PC grand public, Windows Vista équipe moins d'un ordinateur professionnel sur sept vendu en Europe. En août dernier, les PC Vista représentaient ainsi 13 % des machines vendues par les principaux distributeurs européens à destination des entreprises, selon la société d'études britannique Context. Un chiffre en recul par rapport à juillet où il atteignait 17 %.

Dans le même temps, les ventes de PC équipés de Windows XP Professionnel « baissent de seulement 4 points », note Context. En août, ils représentaient encore 27 % de ce marché, soit le double de Vista.

         

« Depuis mai 2007, les ventes de PC professionnels équipés de Vista ne progressent plus autant qu'espéré, ce qui positionne Windows XP encore comme le premier choix des entreprises », commente la société d'études.

Rappelons que l'éditeur de Redmond vient, sous la pression des constructeurs de PC, de prolonger de cinq mois la distribution de son système d'exploitation Windows XP.

Source zdnet

30 septembre 2007

Leopard trop gourmand pour les Mac à puces 800 MHz ?

Les utilisateurs de Macintosh achetés il y a plus de quatre ans ne pourront peut-être pas installer Leopard, la prochaine version de Mac OS X (10.5). À quelques semaines de sa sortie, en octobre, Apple a revu les spécifications système minimales, rapporte le site AppleInsider  en citant une source proche du dossier: il faudra désormais disposer « d'un processeur Intel ou PowerPC G4 (867 MHz ou plus) ou G5 ».

Jusqu'à présent, Apple avait fixé comme seuil les 800 MHz pour la fréquence d'horloge, mais ses développeurs auraient déploré des problèmes de lenteur. La firme de Steve Jobs n'a pas encore communiqué sur le sujet officiellement.         

Ce changement exclurait de fait un certain nombre de Mac dont le processeur est cadencé à 800 MHz : les PowerBook Titanium G4 , PowerMac G4 (Quicksilver), iMac G4, iBook G4 et l'eMac par exemple.

Source zdnet

30 septembre 2007

Sous la pression, Microsoft donne encore cinq mois de plus à Windows XP

La campagne menée par les constructeurs de PC pour convaincre Microsoft de prolonger encore la distribution de son système d'exploitation Windows XP a porté ses fruits. L'éditeur l'a repoussée à juin, leur accordant ainsi cinq mois supplémentaires.

C'est la deuxième fois qu'il décide d'allonger la durée de commercialisation du prédécesseur de Windows Vista. Les constructeurs pourront ainsi proposer XP - versions professionnelles comme familiale - jusqu'au 30 juin 2008, au lieu du 30 janvier.         

La prolongation concerne également les magasins pour la vente des versions boîtes, ainsi que la version Windows XP Starter Edition. Mais pour cette dernière, le délai est plus long puisque les fabricants de PC pour pays émergents pourront l'installer jusqu'en juin 2010.

Un geste qui prouve que neuf mois après la sortie de Vista, la demande pour XP reste importante. « Pour nous, on ne peut pas vraiment parler de forte demande », dément cependant Kevin Kutz, directeur au sein de la division client Windows de Microsoft. « Il s'agit plutôt de laisser plus de temps à un produit qui en a besoin. »

Et de souligner qu'il en a été de même pour les précédents OS Windows, restés disponibles environ 18 mois après l'arrivée de leur successeur. « Les ventes de Windows Vista sont bonnes, mais nous reconnaissons qu'une partie de nos clients ont besoin de plus de temps. »

Le support technique de Windows XP reste inchangé : il court jusqu'en 2009, ou 2014 (support étendu payant).

zdnet

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30 septembre 2007

Google et Microsoft s'affrontent devant le Sénat américain

Les sénateurs ont entendu les dirigeants de Google sur le rachat de Doubleclick, spécialiste de la publicité en ligne. Un rachat auquel s’oppose Microsoft qui dénonce le risque d’une mainmise sur ce marché par le moteur de recherche.

Les sénateurs américains sont face à un sérieux dilemme : ils doivent trancher entre Microsoft et Google, qu'ils ont auditionnés vendredi 27 septembre à Washington, dans le cadre d'une commission. Le moteur de recherche s'est s'expliqué sur son rachat de la société DoubleClick, spécialiste de la gestion des publicités en ligne. La transaction, en cours d'examen par les autorités américaines de la concurrence, se monte à 3,1 milliards de dollars. Microsoft, de son côté, a tenu à démontrer que cette opération fait peser un danger sur le marché de la publicité en ligne.

David Drummond, directeur juridique de Google, s'est efforcé de prouver que les activités de DoubleClick étaient complémentaires et non concurrentes à celles du moteur de recherche. Selon lui, DoubleClick est un prestataire technique, tandis que Google a des activités dans l'achat et la vente de publicités en ligne. Il a donc réfuté toutes les accusations relatives à l'antitrust. Il a aussi souligné que Microsoft avait les moyens de répliquer à son offensive puisque l'éditeur a lui-même racheté en mai 2007 aQuantive, un des rivaux de DoubleClick, pour 6 milliards de dollars.         

Des arguments qui ont fait mouche, puisque les sénateurs ont renvoyé la balle à Microsoft : « Où y a-t-il un problème avec la loi antitrust ? », a demandé l'un d'entre à Brad Smith, le directeur juridique de l'éditeur. « Pourquoi ne créez-vous pas simplement un meilleur produit ? »

Google opaque sur les données personnelles ?

« Si nous pensions qu'il s'agit d'un marché sur lequel une meilleure technologie ou meilleure valeur en elle-même pourrait faire l'affaire, nous ne serions pas ici », a répliqué Brad Smith. Microsoft se retrouve ainsi à déployer des arguments que ses concurrents ont longtemps utilisé à son encontre.

Contre Google, se sont également exprimés les représentants de plusieurs grandes organisations américaines de défense des libertés civiles, comme l'EPIC (Electronic Privacy Information Center). Elles reprochent au moteur de recherche son opacité sur un point précis : l'avenir des données personnelles des utilisateurs et des informations collectées en temps réel une fois la fusion avec DoubleClick réalisée.

Au final, cette audition ne semble pas avoir éclairé les sénateurs présents. « Les deux camps ont des arguments très forts, je ne sais pas moi-même où se trouve l'équilibre », a expliqué l'un d'entre eux. Ils indiquent vouloir continuer à examiner le dossier, afin de pouvoir rendre leurs recommandations à la FTC et au ministère de la Justice américain, qui enquêtent officiellement sur le sujet.

Parallèlement, Google attend également le feu vert des autorités européennes pour cette opération. La Commission a indiqué cette semaine qu'elle rendrait ses conclusions d'ici à la mi-novembre.

                               

28 septembre 2007

Les utilisateurs de Gmail et de Picasa menacés de vol de données

En quelques jours, plus d'une dizaine de failles ont été découvertes dans les services en ligne de Google. Des pirates pourraient s'en servir pour dérober les données des utilisateurs.
 


 

Série noire pour Google. En l'espace de quelques semaines, le moteur de recherche a été épinglé une dizaine de fois pour des failles découvertes dans plusieurs de ses services en ligne, sa messagerie Gmail et Picasa. Ces vulnérabilités sont loin d'être anodines pour les utilisateurs, puisqu'elles pourraient conduire au vol de leurs données personnelles : courriers électroniques, pièces jointes, carnet d'adresses, clichés privés, etc.

Elles ont été mises à jour par des amateurs avertis, passionnés de micro ou informaticiens. Ils les ont rendues publiques après en avoir informé Google, qui assure travailler à colmater ces failles. En attendant, les internautes sont à la merci des pirates ou même de bidouilleurs mal intentionnés. Il leur est conseillé d'utiliser les outils Google avec des pincettes, en limitant la mise en ligne de données sensibles.

Des animations flash piégées

La plus récente de ces vulnérabilités a été révélée le 26 septembre par Billy (BK) Rios. Cet informaticien a montré qu'il était possible d'utiliser un simple objet flash (bannière publicitaire, animation, vidéo...) pour intercepter la totalité des données stockées par un utilisateur sur Gmail (courriels, signets, carnet d'adresses...). Il propose même une démonstration de la manoeuvre sur son blog.

Une autre faille a été découverte le 24 septembre par Petko D.Petkov. Ce chercheur en sécurité informatique, à qui l'on doit déjà des découvertes de vulnérabilités dans QuickTime ou encore dans le format PDF, a révélé que les utilisateurs de Gmail pouvaient être piégés s'ils cliquaient sur une adresse Internet bien particulière contenant un code pirate. Ils risquent alors le détournement de tous leurs courriers électroniques, pièces jointes comprises.

Il y a quelques jours, Billy (BK) Rios, encore lui, épinglait cette fois-ci Picasa. Selon lui, un pirate peut utiliser le logiciel de partage de photos de Google pour mettre la main sur les clichés privés d'un autre utilisateur du service. Il suffit de manipuler une adresse (URI) du type « picasa:// ». La même menace plane sur le système de vote Blogspot présent dans Gmail. En quelques clics, un pirate peut transférer l'ensemble des courriels d'une victime vers son propre compte. « Impensable, s'étonne Eric Romang, architecte réseau dans une importante société luxembourgeoise. Et pourtant Google semble être tombé dans des travers informatiques   qu'il devrait maîtriser. »

25 septembre 2007

Microsoft contraint de redistribuer Windows XP

Confronté à une forte demande pour XP, l'éditeur fournit depuis cet été aux constructeurs des CD de son système d'exploitation.
Dell, HP, Lenovo, Gateway et Fujitsu le proposent, avec une sélection de PC déjà équipés de Vista.

Microsoft a du mal à imposer Windows Vista auprès des entreprises. L'éditeur américain a dû lancer discrètement cet été un programme pour permettre à tous les constructeurs de proposer encore Windows XP, en plus de Vista préinstallé sur leurs PC. Depuis juin, ils peuvent lui commander des CD à joindre avec leurs machines, ou à expédier aux clients par la suite.

Seules certaines versions de Vista cependant sont concernées par ce programme : Windows Vista Business et Ultimate, destinées aux entreprises.

Dell n'a pas attendu cette option puisque dès avril, il a réintégré XP sur certains de ses ordinateurs, en lieu et place de Vista. Désormais, il propose également à ses clients professionnels (via son offre Premier) de commander des PC équipés du nouvel OS de Microsoft, avec XP fourni à part. Une formule disponible sans frais supplémentaires, indique Anne Camden, porte-parole du constructeur.

Hewlett-Packard a, lui, repris l'OS dès août, « pour les PC de bureau professionnels, stations de travail, et certains portables et tablettes PC. Les clients peuvent ainsi configurer leur système de façon à disposer d'un CD XP Pro gratuitement ou pour une somme minime », explique Tiffany Smith, porte-parole de HP. Il est toutefois trop tôt pour juger de l'intérêt de l'offre sur les clients, précise-t-elle.

Windows XP indisponible après le 31 janvier 2008 ?

Lenovo s'y est également mis et consacre une page spéciale au programme XP, applicable dans le monde entier pour ses portables ThinkPad (ex-IBM). De son côté, Fujitsu inclut depuis le mois dernier un CD de Windows XP dans le carton de ses PC portables et tablettes PC. « Cela va aider les PME », a déclaré à News.com Brandon Farris, responsable marketing chez Fujitsu.

Enfin, Gateway n'est pas en reste puisqu'il vend toujours XP sur certaines machines.

La demande pour la précédente version de Windows reste importante, car entreprises comme particuliers redoutent notamment la lourdeur des graphismes et des besoins en mémoire de Vista. Rappelons que ce dernier est sorti en novembre 2006 dans ses versions pour professionnels, et en janvier 2007 pour le grand public.

Microsoft a fixé au 31 janvier 2008 la date limite de vente de Windows XP, avec un support technique jusqu'en 2009.
Mais certains constructeurs espèrent voir ce délai prolongé. « Nous faisons compagne en ce sens », indique Brandon Farris de Fujitsu.

Source zdnet

25 septembre 2007

Après Gateway, Acer reprend aussi Packard Bell

Gianfranco Lanci, président d'Acer, a annoncé le rachat de Packard Bell à l'occasion d'une réunion avec des journalistes ce week-end à Madrid. L'opération s'effectue via le droit de  préemption de Gateway sur l'acquisition de Packard Bell, détenu par l'homme d'affaires Lap Shun Hui.

Pour le moment, aucune communication officielle ne confirme l'opération mais le président d'Acer l'a fait dans une interview accordée au Monde daté du 24 septembre. « Sur le Vieux Continent, le rachat de Packard Bell va nous permettre d'accélérer sur le segment des ordinateurs de bureaux, dans lequel la marque a une bonne notoriété », précise-t-il. Le montant de l'opération n'est pas communiqué.         

En France, Packard Bell est crédité de la troisième place sur le marché des PC et de la quatrième sur celui des portables.

Avec Gateway et Packard Bell, Acer vise le rang de numéro 3 mondial des PC et numéro 2 sur les portables à la fin de l'année 2007. L'intégration des deux marques devant être finalisée en octobre.

Source zdnet

23 septembre 2007

Mandriva 2008 début octobre

Après la sortie de l’édition 2007 Spring, Mandriva Linux 2008 est la prochaine sortie majeure de Mandriva. Selon l’éditeur, elle va "tirer profit du cycle de développement de 6 mois." Disponibilité : début octobre.

A l’occasion de cette nouvelle sortie, Mandriva recentre son offre commerciale autour d’un seul produit unifié : Mandriva Linux Powerpack. Cette édition intègre une gamme unique de paquetages et services commerciaux. Le Powerpack est l’édition commerciale de Mandriva Linux et le prolongement logique pour les utilisateurs de l’édition communautaire, Mandriva Linux One.

Mandriva Linux Powerpack 2008 unifie les anciennes éditions Discovery et Powerpack+. Mandriva Linux Powerpack 2008 propose également tous les éléments serveurs et les intergiciels requis pour les développeurs et les petites entreprises, tels que les bases de données SQL ou les frameworks Web.

Mandriva Linux 2008 sera aussi disponible en CD live en téléchargement gratuit. Cette version propose tous les pilotes (libres et propriétaires) nécessaires au bon fonctionnement d’un environnement Linux complet.

Depuis 1998, Mandriva Linux est basée sur le projet de développement collaboratif Cooker, soutenu par Mandriva. Appelée Mandriva Linux Free 2008, la dernière édition ne contient aucun paquetage non libre tels que les pilotes propriétaires, les applications ou plugins à sources fermées. Elle sera disponible en ligne sur les miroirs publics de Mandriva dès le lancement de Mandriva Linux 2008.

Toutes les éditions Mandriva Linux 2008 seront disponibles en téléchargement à la même date. La Powerpack sera téléchargeable depuis le Mandriva Store en même temps que la One et la Free. La sortie de Mandriva Linux Powerpack 2008 est prévue début octobre à un nouveau prix très attractif.

Source toolinux

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