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5 janvier 2008

Les Chinois s'intéressent plus aux Bourses qu'au sexe sur Google

Les valeurs boursières et des noms de banques chinoises ont été des termes plus recherchés que le mot "sexe" sur Google l'année dernière, au regard de la liste communiquée par la branche chinoise du moteur de recherche sur internet.                               

"En Chine continentale, ce sont l'argent et la technologie qui ont eu les honneurs cette année", rapporte le quotidien China Daily, soulignant que "sexe" était le mot le plus recherché sur Google dans d'autres pays.                               

La China Merchants Bank, l'Industrial and Commercial Bank of China et la China Construction Bank sont classés respectivement deuxième, troisième et sixième, indique Google China sur son site www.google.cn.                               

Le mot "action" se place quatrième, ce qui n'est pas forcément une surprise quand on sait que la Bourse de Shanghai a progressé de 97% sur l'année 2007. Au premier rang des recherches se place "QQ", un service de messagerie instantanée chinois, également marque automobile.                               

Dans une liste consacrée aux recherches de connaissances, les questions "que sont les technologiques" et "comment investir sur le marché des actions" ont été les plus fréquemment posées sur le portail chinois de Google, tandis que "qu'est-ce que l'amour" et "comment embrasser" remportent la palme tous types de questions confondus.                              

La Chine reste vigilante quant à l'usage du web et a lancé plusieurs campagnes pour éradiquer la pornographie sur internet.                               

Rédaction de Pékin, version française Patrice Mancino

Source Lycos

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21 novembre 2007

Google prêt à investir dans le futur réseau haut débit mobile ?

Le moteur de recherche va devoir abattre ses cartes dans le secteur de la téléphonie mobile : il a jusqu'au début de décembre pour dire s'il participe ou non au processus d'enchères pour l'attribution de fréquences hertziennes dans la bande des 700 mégahertz, aux États-Unis. Un processus qui devrait permettre aux bénéficiaires de créer un nouveau réseau haut débit mobile, à partir de 2009.

Selon les informations du Wall Street Journal, Google a déjà arrêté sa décision : il travaillerait actuellement sur un plan de financement car l'enchère minimale pour obtenir des fréquences se monte à 4,6 milliards de dollars.         

La société ne cache guère ses ambitions dans la téléphonie ; elle a levé le voile il y a deux semaines, sur Android, sa plate-forme mobile open source sur laquelle travaillent 33 partenaires, dont des fabricants, des équipementiers et des opérateurs télécoms. Une technologie qui pourrait permettre à Google de se retrouver dans de nombreux téléphones sur le marché, via ses services publicitaires.

Source zdnet

30 septembre 2007

Google et Microsoft s'affrontent devant le Sénat américain

Les sénateurs ont entendu les dirigeants de Google sur le rachat de Doubleclick, spécialiste de la publicité en ligne. Un rachat auquel s’oppose Microsoft qui dénonce le risque d’une mainmise sur ce marché par le moteur de recherche.

Les sénateurs américains sont face à un sérieux dilemme : ils doivent trancher entre Microsoft et Google, qu'ils ont auditionnés vendredi 27 septembre à Washington, dans le cadre d'une commission. Le moteur de recherche s'est s'expliqué sur son rachat de la société DoubleClick, spécialiste de la gestion des publicités en ligne. La transaction, en cours d'examen par les autorités américaines de la concurrence, se monte à 3,1 milliards de dollars. Microsoft, de son côté, a tenu à démontrer que cette opération fait peser un danger sur le marché de la publicité en ligne.

David Drummond, directeur juridique de Google, s'est efforcé de prouver que les activités de DoubleClick étaient complémentaires et non concurrentes à celles du moteur de recherche. Selon lui, DoubleClick est un prestataire technique, tandis que Google a des activités dans l'achat et la vente de publicités en ligne. Il a donc réfuté toutes les accusations relatives à l'antitrust. Il a aussi souligné que Microsoft avait les moyens de répliquer à son offensive puisque l'éditeur a lui-même racheté en mai 2007 aQuantive, un des rivaux de DoubleClick, pour 6 milliards de dollars.         

Des arguments qui ont fait mouche, puisque les sénateurs ont renvoyé la balle à Microsoft : « Où y a-t-il un problème avec la loi antitrust ? », a demandé l'un d'entre à Brad Smith, le directeur juridique de l'éditeur. « Pourquoi ne créez-vous pas simplement un meilleur produit ? »

Google opaque sur les données personnelles ?

« Si nous pensions qu'il s'agit d'un marché sur lequel une meilleure technologie ou meilleure valeur en elle-même pourrait faire l'affaire, nous ne serions pas ici », a répliqué Brad Smith. Microsoft se retrouve ainsi à déployer des arguments que ses concurrents ont longtemps utilisé à son encontre.

Contre Google, se sont également exprimés les représentants de plusieurs grandes organisations américaines de défense des libertés civiles, comme l'EPIC (Electronic Privacy Information Center). Elles reprochent au moteur de recherche son opacité sur un point précis : l'avenir des données personnelles des utilisateurs et des informations collectées en temps réel une fois la fusion avec DoubleClick réalisée.

Au final, cette audition ne semble pas avoir éclairé les sénateurs présents. « Les deux camps ont des arguments très forts, je ne sais pas moi-même où se trouve l'équilibre », a expliqué l'un d'entre eux. Ils indiquent vouloir continuer à examiner le dossier, afin de pouvoir rendre leurs recommandations à la FTC et au ministère de la Justice américain, qui enquêtent officiellement sur le sujet.

Parallèlement, Google attend également le feu vert des autorités européennes pour cette opération. La Commission a indiqué cette semaine qu'elle rendrait ses conclusions d'ici à la mi-novembre.

                               

28 septembre 2007

Les utilisateurs de Gmail et de Picasa menacés de vol de données

En quelques jours, plus d'une dizaine de failles ont été découvertes dans les services en ligne de Google. Des pirates pourraient s'en servir pour dérober les données des utilisateurs.
 


 

Série noire pour Google. En l'espace de quelques semaines, le moteur de recherche a été épinglé une dizaine de fois pour des failles découvertes dans plusieurs de ses services en ligne, sa messagerie Gmail et Picasa. Ces vulnérabilités sont loin d'être anodines pour les utilisateurs, puisqu'elles pourraient conduire au vol de leurs données personnelles : courriers électroniques, pièces jointes, carnet d'adresses, clichés privés, etc.

Elles ont été mises à jour par des amateurs avertis, passionnés de micro ou informaticiens. Ils les ont rendues publiques après en avoir informé Google, qui assure travailler à colmater ces failles. En attendant, les internautes sont à la merci des pirates ou même de bidouilleurs mal intentionnés. Il leur est conseillé d'utiliser les outils Google avec des pincettes, en limitant la mise en ligne de données sensibles.

Des animations flash piégées

La plus récente de ces vulnérabilités a été révélée le 26 septembre par Billy (BK) Rios. Cet informaticien a montré qu'il était possible d'utiliser un simple objet flash (bannière publicitaire, animation, vidéo...) pour intercepter la totalité des données stockées par un utilisateur sur Gmail (courriels, signets, carnet d'adresses...). Il propose même une démonstration de la manoeuvre sur son blog.

Une autre faille a été découverte le 24 septembre par Petko D.Petkov. Ce chercheur en sécurité informatique, à qui l'on doit déjà des découvertes de vulnérabilités dans QuickTime ou encore dans le format PDF, a révélé que les utilisateurs de Gmail pouvaient être piégés s'ils cliquaient sur une adresse Internet bien particulière contenant un code pirate. Ils risquent alors le détournement de tous leurs courriers électroniques, pièces jointes comprises.

Il y a quelques jours, Billy (BK) Rios, encore lui, épinglait cette fois-ci Picasa. Selon lui, un pirate peut utiliser le logiciel de partage de photos de Google pour mettre la main sur les clichés privés d'un autre utilisateur du service. Il suffit de manipuler une adresse (URI) du type « picasa:// ». La même menace plane sur le système de vote Blogspot présent dans Gmail. En quelques clics, un pirate peut transférer l'ensemble des courriels d'une victime vers son propre compte. « Impensable, s'étonne Eric Romang, architecte réseau dans une importante société luxembourgeoise. Et pourtant Google semble être tombé dans des travers informatiques   qu'il devrait maîtriser. »

12 septembre 2007

La Mozilla Fondation organise 24 heures de débats non stop sur le Net

L’organisme gérant le développement de Firefox va inaugurer le week-end prochain Mozilla 24 : une suite de conférences et de débats en Asie, aux États-Unis et en Europe retransmis en ligne pendant 24 heures. Thématique : l’avenir du web.

La Mozilla Foundation organise les 15 et 16 septembre un événement international sur le thème de « l'avenir du web ». Intitulé Mozilla 24, il consistera en une suite de conférences et de débats retransmis en direct sur le Net pendant 24 heures.

Au programme, des intervenants de marque tels que Vinton Cerf, vice-président de Google mais surtout coïnventeur avec Bob Khan du protocole TCP/IP, et considéré comme l'un des pères fondateurs d'internet.

Bien entendu, bon nombre d'intervenants sont des responsables de la Mozilla Foundation, dont Mitchell Baker, la P-DG de Mozilla Corporation, et Tristan Nitot, fondateur et président de Mozilla Europe. L'ensemble des interventions se feront en anglais.

« Notre ambition est de monter un événement fédérateur international autour du projet Mozilla mais aussi, plus généralement, autour des tendances et des technologies qui feront le futur de l'internet », explique à ZDNet.fr, Tristan Nitot.

Mozilla Japon, maître d'oeuvre

Les conférences se dérouleront successivement sur quatre sites : l'université Keio de Tokyo (Japon), l'Asian Institute of Technology (Thaïlande), la Stanford University de  Palo Alto (Californie) et l'école d'ingénieurs parisienne ENST - Sup' Telecom (1). Les réservations pour y assister sont ouvertes à tous, précise Mozilla.

« Les partenaires publics ont été intéressés par nos projets autours des logiciels libres et par le partage des savoirs qu'un tel événement permet », poursuit le président de Mozilla Europe.

En France, un amphithéâtre de l'ENST sera ouvert pour l'occasion. Les conférences seront filmées par les équipes du service audiovisuel dépendant du ministère de l'Éducation national (Cerimes - 2) et les images seront acheminées sur les principaux réseaux très haut débit de l'enseignement et de la recherche (Corap et Renater - 3).

L'organisation et la réalisation de cet événement ont été confiées à Mozilla Japon. Le budget n'a pas été communiqué, mais est « très modeste » indique Tristan Nitot.

(1) ENST - Sup' Telecom : Ecole nationale supérieure des télécommunications
(2) Centre de ressources et d'information sur les multimédias pour l'enseignement supérieur.
(3) Centre opérationnel du réseau académique parisien
- Réseau national de télécommunications pour la technologie l'enseignement et la recherche français.

Source zdnet

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29 août 2007

Allemagne : YouTube risque des poursuites pour avoir hébergé des vidéos néo-nazies

Le Conseil central juif d'Allemagne envisage de poursuivre Google Allemagne, dont la filiale YouTube héberge des vidéos néo-nazies, rapporte Reuters. L'agence de presse cite principalement les auteurs d'un reportage diffusé lundi en Allemagne dans l'émission Report Mainz.

Selon eux, la plate-forme d'échange vidéo aurait servi à héberger des extraits d'un film de propagande antisémite de 1940, « Le Juif Süss », et deux clips du groupe de rock allemand d'extrême-droite Landser, qui insèrent des images d'opérations militaires nazies de la Seconde Guerre mondiale.

Jusqu'à présent, l'organisme allemand de protection de la jeunesse Jugendschutz.net s'était plaint plus de cent fois, en vain, auprès de Google Allemagne en lui demandant de retirer les vidéos. Certaines d'entres elles sont restées en ligne presque un an.

Interrogé dans le cadre du reportage, le député social-démocrate Dieter Wiefelspütz a jugé scandaleux d'éditer ces vidéos sur YouTube en Allemagne. De quoi alimenter la polémique vis-à-vis du système d'échange de vidéos qui jusque-là était surtout poursuivi par les ayants droit pour l'hébergement de contenus protégés par le droit d'auteur.

Contacté par Reuters, Google Allemagne se refuse à tout commentaire.

Source zdnet

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