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23 février 2008

Google veut Photoshop sur Linux et engage CodeWeavers

oogle s’intéresse de près au fonctionnement de certaines applications très utilisées sur environnement Linux. À tel point que la société a décidé d’engager l’un des développeurs de Wine, implémentation libre de certaines interfaces de programmation de Windows pour faire fonctionner sous Linux des logiciels qui d’ordinaire ne fonctionneraient que sur le système de Microsoft.

photoshop cs3

Dan Kegel, désormais employé de Google, est donc accompagné d’une équipe et a en charge de pouvoir faire fonctionner iTunes sous Linux. Il ne s’agit que d’un défi parmi d’autres, car la société a officiellement engagé CodeWeavers, la société éditrice de Wine, pour faire fonctionner Photoshop CS et CS3 sur le système d’exploitation libre.

Ce lien rapproché entre Google et CodeWeavers n’a rien d’étonnant puisque Wine est déjà utilisé pour faire fonctionner la version Linux de Picasa. Mais pourquoi Photoshop ? Parce qu’une étude réalisée par Novell a révélé que c’était de loin l’application que les utilisateurs de Linux réclamaient le plus.

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22 février 2008

Google condamné pour la diffusion du « monde selon Bush »

Google France et sa maison mère américaine ont été condamnés mercredi 20 février pour contrefaçon par le tribunal de commerce de Paris. Les deux sociétés sont accusées d'avoir diffusé sans autorisation le documentaire « Le monde selon Bush », sur le service Google Vidéo. Et la note est salée : elles devront verser 150 000 euros de dommages et intérêts au producteur du documentaire, Flach Film et à son distributeur, Les Editions Montparnasse.

Selon nos confrères du Journal du Net, le tribunal a confirmé que Google était bien soumis au statut d'hébergeur en France, et que sa responsabilité dans la diffusion du documentaire était donc engagée. Le moteur de recherche doit supprimer toute copie résiduelle de l'ensemble de ses sites, sous peine de se voir infliger 15 000 euros par infraction constatée.

La plainte concernait également Dailymotion au début de la procédure, en 2006. Cette dernière a toutefois été abandonnée en cours de route, le site français ayant accepté de retirer le documentaire de ses pages. Il vient d'ailleurs d'annoncer un partenariat avec Flach Film, qui accepte de lui fournir le catalogue d'empreintes numériques de ses films, pour aider la plate-forme à filtrer les contenus illicites.

                               

Par La rédaction, ZDNet France

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22 février 2008

Google recense 3 millions de pages web infectées par des programmes malveillants

Pendant un an et demi, le moteur de recherche a inspecté son index pour évaluer le nombre de sites potentiellement dangereux, qui installent des «malware» sur les PC des internautes. Google en comptabilise 180 000 et la tendance augmente.

Google a mené une enquête approfondie dans son index pour tenter d'évaluer l'importance d'un phénomène dangereux : l'utilisation de sites web pour exploiter les vulnérabilités des navigateurs des internautes. Les escrocs intègrent un code malveillant dans leurs pages, qui va tenter de s'installer sur la machine du visiteur pour ensuite lui voler ses données personnelles, par exemple. Cette technique permet en particulier de passer outre les protections des pare-feu.

Un premier volet de cette étude (*), terminée en avril 2007, indiquait que moins de 0,4 % des requêtes réalisées dans son moteur faisaient remonter au moins un site dangereux. Cette proportion est passée à 1,3 % en janvier 2008, prévient Niels Provos, un des ingénieurs de Google sur le blog du moteur de recherche.

Selon lui, sur les milliards de pages inspectées en un an et demi, les spécialistes de Google ont trouvé trois millions d'url, correspondant à 180 000 sites internet, qui installent automatiquement des programmes malveillants lors des visites des internautes. Les pages les plus susceptibles de contenir ce type de malware sont celles qui proposent des contenus pour adultes, souligne Google.

La Chine, source principale des sites corrompus

Mais le moteur de recherche met aussi en cause la sécurisation des serveurs web, pour expliquer l'augmentation de ce phénomène. Ses ingénieurs pointent en particulier une absence de mise à jour de certains serveurs Apache ou PHP, qui deviennent ainsi vulnérables aux attaques malveillantes. « Ces résultats soulèvent de graves questions au sujet des pratiques en matière de sécurité de certains administrateurs de sites », écrivent-ils dans leur étude.

Une étude qui a montré, par ailleurs, que 67 % des serveurs compromis et 64 % des sites qui y sont rattachés sont situés en Chine.

Selon une source interrogée par ZDNet UK au sein de Google, les ingénieurs du moteur de recherche signalent tous les sites infectés qu'ils repèrent auprès de l'organisation StopBadware.org, gérée par la Harvard School Law, l'université d'Oxford, avec le soutien de Lenovo, Sun ou Google lui-même.

Dans la pratique, le moteur de recherche ne censure pas les sites infectés : ils remontent dans les pages de résultats, parmi tous les autres sites. Mais Google utilise les listes fournies par StopBadware.org pour insérer des messages de prévention lorsqu'un utilisateur tente de visiter un site dangereux. Une page spéciale s'affiche alors, lui indiquant que le site en question est probablement compromis : l'internaute peut ainsi choisir de stopper sa navigation ou bien d'aller visiter le site malgré tout.

(*) L'étude est titrée « All your iFrames point to us ». Elle est actuellement soumise aux commentaries de la communauté d'experts.

                               

Par Estelle Dumout, ZDNet France

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13 février 2008

Danger épaule Microsoft sur les logiciels mobiles

En attendant de voir si son projet de rachat de Yahoo finira par aboutir, Microsoft a mis la main sur la société californienne Danger, qui édite des logiciels pour l'internet mobile. La firme de Redmond n'a pas indiqué le montant de la transaction. Aux Etats-Unis, Danger fournit la suite logicielle dont est équipé le Smartphone Sidekick vendu par T-Mobile, qui a particulièrement séduit la catégorie des jeunes adultes. Sa force : des logiciels de navigation sur internet, de gestion d'e-mails ou de messagerie instantanée.

« Danger apporte de parfaits compléments à nos services et logiciels existants, et renforce aussi notre stratégie qui consiste à améliorer l'expérience mobile centrée autour de nos utilisateurs et de ce qu'ils aiment », explique dans un communiqué Robbie Bach, président de la division Entertainment de Microsoft.

Microsoft a besoin de ce type de partenariats pour revitaliser sa part de marché relativement faible sur le secteur des systèmes d'exploitation mobile. Il en détient 12 %, loin derrière les 65 % du leader Symbian, et doit faire face à de nouveaux concurrents de poids : Apple et surtout Google, avec son OS Android. Les premiers téléphones équipés d'Android doivent d'ailleurs être présentés cette semaine lors du 3GSM Mobile World Congress de Barcelone.

Retrouvez chaque jour l'actualité du 22e Mobile World Congress de Barcelone.

Téléphones mobiles : découvrez les nouveautés 2008 présentées au Mobile World Congress de Barcelone sur BusinessMobile.fr

                               

Par La rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

13 février 2008

Yahoo s'offre Maven

Le portail américain poursuit le développement de son portefeuille de technologies publicitaires. Quelques mois après le lancement de Pananma pour la gestion des liens sponsorisés, il rachète Maven Networks, une plate-forme d'hébergement de vidéos disposant d'une technologie de gestion des campagnes publicitaires.

Coût de l'opération : près de 160 millions de dollars.

Basée à Cambridge (Massachusetts), Maven dispose d'un portefeuille de clients composé d'une trentaine de groupes de médias, parmi lesquels on trouve notamment Fox News, CBS Sports et le Financial Times.

Avec cette acquisition, Yahoo souhaite améliorer sa capacité à monétiser des vidéos. Car si l'audience de ce type de contenus s'est considérablement développée ces trois dernières années, les annonceurs sont encore réticents à y insérer leur message. Ils reprochent notamment le manque d'efficacité des solutions proposées par les plates-formes.

Google (propriétaire de Youtube) et Microsoft travaillent d'arrache-pied pour améliorer la qualité de leur offre.

 

                               

Par La rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

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9 février 2008

Identité numérique : Microsoft rallie la cause OpenID

L'éditeur formalise son soutien à la technologie OpenID, qui permet aux internautes d'utiliser le même identifiant pour se connecter à tous les sites compatibles. Il rejoint l'OpenID Foundation pour la promouvoir avec Google, Yahoo, IBM et Verisign.

La technologie d'identifiant unique open source OpenID, commun à tous les sites web, gagne le soutien grandissant d'acteurs majeurs des TIC. Le dernier en date est Microsoft, qui vient de rejoindre le comité de direction de l'OpenID Foundation, en même temps que Yahoo, Google, Verisign et IBM.

La fondation comptait déjà des membres tels que Scott Kveton (Vidoop), David Recordon (Six Apart), Dick Hardt (Sxip Identity), Artur Bergman (Wikia) ou encore Johannes Ernst (NetMesh).

Microsoft formalise ainsi son soutien à la technologie, après avoir participé à des groupes de travail sur certains de ses aspects. Elle connaît d'ailleurs bien le sujet du contrôle d'identité en ligne, pour avoir développé Passport, une initiative sur le même principe très critiquée et finalement abandonnée.

Le principe d'OpenID est d'alléger le processus de connexion aux sites, en recourant à un unique « log-in/mot de passe » pour tous. Il suffit à l'internaute de se créer un compte sécurisé une fois, pour ensuite utiliser le même identifiant sur tous les sites compatibles OpenID. À la différence de Passport, cette technologie est le fruit de développements communautaires, supervisés et promus depuis juin 2007 par la fondation dédiée.

Plus de 10 000 sites partenaires OpenID

Après une période de scepticisme, l'adhésion au projet de poids lourds du secteur IT laisse présager une adoption à grande échelle. D'autres acteurs devraient être entraînés par le mouvement, et le public séduit. Selon l'OpenID Foundation, plus de 10 000 sites web y adhèrent déjà. En France, Orange est partenaire.

Le standard OpenID a été mis au point en 2005 par Brad Fitzpatrick, un ingénieur qui travaillait alors au sein de la société Six Apart. Il a depuis rejoint Google, où il a participé à la création de la plate-forme OpenSocial.

« L'OpenID Foundation a la vision d'un Web facile à utiliser et reposant sur des standards ouverts accessibles à tous », indique-t-il. « OpenID ayant été conçu pour être un système d'identification décentralisé, c'est fantastique de rejoindre une fondation oeuvrant pour qu'il reste libre de toute extension propriétaire (...) Il ne doit appartenir à personne. »

                               

Par Caroline McCarthy, News.com, avec Béatrice Gay, ZDNet.fr,

Source ZDNet

5 février 2008

Fusion Microsoft-Yahoo : Google s'inquiète d'éventuelles entraves à la concurrence

Le moteur de recherche n'a pas tardé à réagir à la proposition de Microsoft de racheter Yahoo pour 44,6 milliards de dollars. Une telle fusion pourrait menacer le principe d'ouverture sur lequel est basé l'internet, estime David Drummond, le directeur juridique de Google. Cette offre « hostile » soulève « des questions troublantes », écrit-il sur son blog.

« Est-ce que Microsoft voudrait essayer maintenant d'exercer la même sorte d'influence illégale et inappropriée sur l'internet que celle qu'il a eu sur les PC ? Alors que l'internet récompense l'innovation concurrentielle, Microsoft a souvent cherché à établir des monopoles propriétaires - et étendre sa domination à de nouveaux marchés adjacents », peut-on lire. « Est-ce que l'acquisition de Yahoo permettra à Microsoft, malgré son passif d'infractions judiciaires et réglementaires, d'étendre ses pratiques injustes sur les navigateurs et les systèmes d'exploitation à l'internet ? »

Selon lui, Microsoft et Yahoo disposent ensemble d'une part de marché énorme sur le secteur des e-mails et de la messagerie électronique, et opèrent deux des plus gros portails web. Le dirigeant de Google craint ainsi que Microsoft utilise sa domination sur le marché des PC pour limiter injustement l'accès aux services concurrents.

Par La rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

5 février 2008

Google semble prêt à aider Yahoo pour contrer Microsoft

Yahoo s’est contenté d’un communiqué lapidaire pour expliquer qu’il examinait l’offre de Microsoft, ainsi que toute autre possibilité. Selon le Wall Street Journal, l’une d’entre elles serait une alliance publicitaire avec Google.

Première réaction officielle prudente de Yahoo à l'annonce de l'OPA de Microsoft à son encontre : « Il va falloir du temps pour évaluer complètement cette proposition dans le contexte des projets stratégiques de Yahoo », affirme le portail sur son site.

La société entend étudier toutes les « alternatives stratégiques », y compris celle de rester indépendante ; ce processus pourra prendre « assez longtemps », peut-on lire. Pour l'instant, ses dirigeants refusent de commenter l'impact qu'aurait une telle fusion pour ses utilisateurs, ses annonceurs ou ses éditeurs partenaires.

Dans l'attente, la spéculation continue pour savoir qui serait en mesure de rivaliser avec l'offre de Microsoft. TechCrunch fait état de rumeurs selon lesquelles News Corp pourrait essayer de monter un groupe d'investisseurs pour faire une offre concurrente. Le géant des médias aurait considéré, il y a quelques temps, la possibilité de fusionner son réseau social MySpace avec Yahoo.

Un retour en arrière en forme de désaveu stratégique ?

Parallèlement, le Wall Street Journal croit savoir qu'une alliance stratégique entre Yahoo et Google pourrait être envisagée par le portail comme moyen de défense. Selon le quotidien, le P-DG de Google Eric Schimdt aurait appelé son homologue chez Yahoo Jerry Yang pour lui proposer son aide. Dans ce scenario, le moteur de recherche pourrait mettre de l'argent sur la table ou bien garantir une source de revenus au portail, via un pacte par lequel Yahoo utiliserait les services de recherche et de publicité de Google.

Yahoo aurait déjà négocié, au cours des dernières semaines, pour confier la gestion de ses liens sponsorisés en Europe à Google, selon des sources proches du dossier interrogées par le quotidien financier. Le WSJ affirme que les investisseurs demandent à Yahoo d'abandonner son propre système de liens sponsorisés depuis l'année dernière, pour utiliser celui de Google. Toujours selon la même source, les discussions entre les deux groupes devraient donc se poursuivre, même s'ils sont en désaccord sur le partage des revenus.

Mais cette option sonnerait comme un désaveu cinglant de la stratégie poursuivie par le groupe depuis quatre ans. Si à  l'origine, Yahoo utilisait bien la technologie de recherche de Google, il avait décidé en 2004 de déployer son propre service. Et l'année dernière, il avait lancé sa plate-forme publicitaire Panama, fruit de longs mois de développement, pour tenter de rivaliser avec le service Adwords de Google.

De plus, il y a fort à parier qu'une telle implication de Google vis-à-vis d'un rival important sera considérée avec beaucoup d'attention par les régulateurs de la concurrence, aux États-Unis comme en Europe.

Par Estelle Dumout, ZDNet France

Source ZDNet

24 janvier 2008

Google et Publicis main dans la main dans la pub en ligne

Google et Publicis, quatrième groupe de publicité au monde, ont décidé de coopérer sur le marché du marketing en ligne. Ce partenariat a été annoncé le 22 janvier lors d'une rencontre avec la presse, à Paris. Pour l'occasion, le patron de Google Eric Schmidt, s'était déplacé pour rencontrer Maurice Lévy, le président de Publicis.

Très peu de détails ont été dévoilés sur la nature de cette coopération. Selon Reuters, les deux partenaires se sont contenté d'indiquer que Google apportera son savoir-faire technologique - comprendre ses solutions d'enchères sur mots-clés -, tandis que Publicis fournira « son expertise en matière d'analyse et de media planning ».                            

Selon le site Cercle Finances, qui cite des sources proches du dossier, le moteur de recherche va détacher une équipe qui sera chargé exclusivement de travailler avec Publicis. Eric Schmidt a révélé qu'environ 80 % des revenus de Google en Europe proviennent de l'achat de mots clé par des groupes de publicité, indique les Echos.

Les deux sociétés travaillent sur ce dossier depuis plus d'un an. L'objectif est de « développer les activités de ses clients grâce à une meilleure utilisation d'internet, en envoyant le bon message au bon moment », a expliqué Maurice Lévy, selon Reuters.

 

Par La rédaction, ZDNet France

Source zdnet

10 janvier 2008

Les banques virtuelles interdites de séjour dans Second Life

Linden Lab, l’éditeur du monde 3D, y interdit les activités bancaires suite à de nombreuses plaintes de résidents trompés par les promesses de banquiers peu scrupuleux. Exception faite pour les établissements accrédités par le gouvernement américain.       

Les dirigeants de Second life ont décidé d'exclure les banques virtuelles du monde 3D qu'ils ont créé. « À partir du 22 janvier 2008, il sera interdit d'offrir des intérêts ou n'importe quel retour sur investissement (que ce soit en monnaie virtuelle ou dans toute autre devise), à partir d'un objet tel qu'un distributeur, sans fournir la preuve d'une accréditation officielle auprès du gouvernement [américain] ou bien [de l'appartenance] à la charte d'une institution financière », explique Linden Lab, l'éditeur de la plate-forme.

La société affirme être obligée de mettre en place cette mesure à cause de nombreuses plaintes qu'elle a reçues de la part de résidents, qui se sont fait escroquer par les promesses de ces banques virtuelles. Certaines d'entre elles garantissaient des retours sur investissements faramineux, pouvant aller jusqu'à 60 % par an.         

L'un de ces établissements virtuels, Ginko Financial a d'ailleurs été  forcé de fermer ses portes au cours de l'été 2007, incapable de tenir ses promesses.

Rétablir la confiance

La décision de Linden Lab vise donc à rétablir des règles et de la confiance dans le fonctionnement de son économie virtuelle, au sein de laquelle s'échange de nombreux biens, et qui dispose même de plusieurs places de marché spéculatives. Une économie qui fait circuler près de 1,3 million de dollars chaque jour sur la plate-forme.

Linden Lab demande aux gestionnaires des banques virtuelles de prévenir leurs clients et de leur permettre de retirer leur capital. Après le 22 janvier, les dirigeants assurent qu'ils sanctionneront les contrevenants, en suspendant, voire en supprimant définitivement leur compte et en récupérant leur achat de terrain.

En août 2007, l'éditeur de la plate-forme avait déjà pris la décision d'exclure les casinos et les sites de jeux d'argent qui proliféraient dans Second Life. Il se mettait ainsi en conformité avec la législation américaine, qui interdit les sites de paris en ligne.

Source zdnet

                               

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