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2008
7 décembre 2008

En 2020, 40 % des emplois informatiques seront liés à l'open source

A l'occasion du Forum mondial du libre, qui s'est tenu à Paris du 1er au 2 décembre, un groupe de 38 spécialistes a présenté une sorte de manifeste de l'open source. Intitulé « Feuille de route des logiciels libres pour 2020 », ce document de 78 pages se propose de fournir une « réflexion prospective » sur l'état du secteur, avec une série de prévisions et de recommandations pour les douze prochaines années.

Parmi les nombreux thèmes abordés, l'un est particulièrement intéressant : l'emploi. Ainsi, l'étude prévoit que, en 2020, 40 % des emplois dans l'informatique dépendront des logiciels libres, pour un total de 1,2 million de nouveaux postes.

Une telle prédiction peut étonner, surtout dans le contexte actuel d'instabilité économique. Les auteurs se fondent sur des chiffres publiés par Gartner et par la Communauté européenne. Ils présupposent une croissance annuelle de 2 % dans le secteur informatique, avant de procéder à une   extrapolation. « En fait, le taux de 40 % est même une estimation assez conservatrice », souligne Jean-Pierre Laisné, coauteur de l'étude et responsable de la stratégie open source de   Bull.

Créer des formations spécialisées

L'arrivée massive de professionnels de l'open source soulève, nécessairement, un problème : celui de la formation. Selon l'étude, il n'y a pas assez de personnes compétentes sur le marché pour assurer la croissance envisagée, et les formations actuelles sont, dans l'ensemble, mal adaptées. « Il faut créer des filières spécialisées dans l'open source, explique Jean-Pierre Laisné. Les logiciels libres remettent en question les processus classiques de gestion et de développement. Etre développeur open source, c'est travailler en équipe et à distance, savoir intégrer des codes d'origines diverses, gérer des contributeurs externes, connaître les aspects juridiques et économiques, etc. » L'étude préconise également la création d'un système de certifications professionnelles permettant de valider les compétences dans l'open source.

Source O1net

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7 décembre 2008

Reconnaissance faciale : une techno loin d'être fiable sur PC portable

Plus pratique et rapide que la saisie du login-mot de passe ou que le contrôle de l'empreinte digitale, la reconnaissance faciale laisse pourtant à désirer en terme de sécurité. Une photo suffit pour la duper, comme l'a démontré un éditeur d'antivirus.

Les technologies de reconnaissance faciale ne sont pas encore aussi sûres qu'elles le prétendent. Selon les algorithmes qu'elles utilisent actuellement, les visages sont aussi plats qu'une feuille de papier, comme l'a vérifié notre confrère de News.com, Dong Ngo, en se basant sur des alertes de l'éditeur d'antivirus vietnamien, BKIS.

Cette société a fait la démonstration de vulnérabilités de ces systèmes, intégrés dans certains ordinateurs portables, de marque Lenovo, Asus et Toshiba. Ce type de dispositif, qui fonctionne de pair avec la webcam intégrée, vient se substituer au traditionnel duo login-mot de passe, ou à l'autre technique biométrique plus répandue de reconnaissance digitale.

La reconnaissance faciale a un avantage sur le contrôle de l'empreinte digitale enregistrée, qui impose d'avoir le doigt propre et sec. En revanche, n'importe qui peut se connecter au portable d'une tierce personne en se munissant simplement de la photo imprimée du possesseur de la machine.

En faisant le test avec le système Veriface III de Lenovo, le processus est simple : l'utilisateur légitime est enregistré par un scan de son visage pour capturer des zones clés, telles que ses yeux (voir photo ci-après). Une fois l'opération effectuée, le contrôle se fait en une seconde.


Le système Veriface III  du Lenovo Y430 procède à l'enregistrement en tant qu'utilisateur légitime (crédit photo : Dong Ngo, News.com/CBS Interactive)


Le problème c'est qu'une simple photo, prise par un interlocuteur via sa webcam, suffit pour berner le système, comme l'a constaté notre confrère. Une fois imprimée, la photo a satisfait le dispositif de reconnaissance faciale, qui n'y a vu que du feu (démonstration ci-dessous).
La société BKIS assure avoir obtenu le même résultat avec des machines signées Asus et Toshiba.

La photo n'a pas besoin d'être de grande qualité, affirme un de ses spécialistes. Elle doit cependant être un peu retouchée pour accentuer le contraste sur certaines zones du visage, conformément à ce que contrôle le système de reconnaissance, en mode 2D.


Le système se contente d'une photo imprimée pour valider l'utilisateur enregistré (crédit photo : Dong Ngo, News.com/CBS Interactive)

BKIS recommande aux utilisateurs de portables équipés d'un tel dispositif de s'en passer pour rester au traditionnel login-mot de passe. La sécurité de la reconnaissance faciale, souligne l'entreprise, est en fait victime de sa simplicité. Son utilisation deviendrait plus compliquée et pénible si l'on rendait ces systèmes plus durs à duper.

Contactés, Toshiba, Asus et Lenovo n'ont pas donné de réponse.

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

6 décembre 2008

Microsoft met à jour sa plate-forme Windows Live Photos

La firme de Steve Ballmer a mis à jour sa plate-forme de photos Live Photos pour tenter de rattraper Flickr. Les similitudes sont désormais plus évidentes : sa capacité de stockage passe à 25 Go, avec un maximum de 500 photos par mois à déposer ; comme Flickr, Live Photos permet de voir les photos mises en ligne par ses contacts, et propose notamment un nouveau mode diaporama, toutefois limité en taille contrairement au site de Yahoo.

De son côté, le portail  lance une nouvelle version de son site mobile optimisée pour les téléphones - m.flickr.com - qui permet désormais de visionner des vidéos. Une possibilité pour l'instant réservée à l'iPhone et à l'iPod Touch, mais qui devrait être élargie à d'autres téléphones.

Les vidéos sont hébergées sur les serveurs de Flickr ; seuls les membres enregistrés peuvent en déposer, et d'une durée maximum de 90 secondes. Le site indique aussi à l'internaute les dernières vidéos mises à disposition par ses contacts, et rattrape son retard en proposant ce que l'on trouvait déjà sur la version web. Yahoo table sur une hausse du trafic sur Flickr

Une vidéo lue sur l'iPhone grâce à la nouvelle version mobile de Flikr (crédit photo : Flikr)

 

Le mode diaporama de la nouvelle version de Live Photos (crédit photo : Microsoft)


                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

6 décembre 2008

Le Microsoft Store français a ouvert ses portes

Après les Etats-Unis, la Corée, l'Allemagne et l'Angleterre, Microsoft a levé le rideau sur son site marchand français.

On y trouve, entre autres, toutes les versions de Windows Vista et des outils Office (en téléchargement ou sur CD et DVD), des jeux PC (Flight Simulator X), les trois versions de la Xbox 360 (Arcade, Pro, Elite) et les claviers, souris et autres webcams.

Prix alignés sur les distributeurs

A noter que Windows Live OneCare 2.0, le logiciel de sécurité est aussi au catalogue, alors que ces jours sont comptés.

Coté prix, ne comptez pas dénicher la bonne affaire. Selon nos observations, Microsoft pratique les mêmes prix que dans les enseignes de distribution.

                               

Par Vincent Birebent, ZDNet France

Source ZDNet

6 décembre 2008

Le donneur de sperme le plus engagé d’Europe est un Hollandais père de 46 enfants

Maastricht, Pays-Bas – Un Hollandais a la réputation d’être le donneur de sperme le plus engagé d’Europe car il est le père de 46 enfants sans jamais avoir eu de relations sexuelles avec leurs mères.

Depuis l’arrêt des dons anonymes au Royaume-Uni il y a 3 ans, il y a une grande pénurie de donneurs de sperme. Certaines cliniques ont même cessé de proposer aux hommes de faire don de leur semence.

Les couples trouvent donc de nouveaux moyens pour être parents, comme aller à l’étranger ou faire venir du sperme de l’étranger. Ed Houben, volontaire dans une clinique spécialisée dans la fécondation in-vitro, avait atteint le nombre maximal de 25 dons et cessé ses dons.

Désormais, les couples le trouvent sur Internet et par le bouche-à-oreille. M. Houben, guide touristique, n’a jamais rencontré les mères de sa progéniture plus d’une fois et n’a jamais fait payer ses services : « J’ai donné mon sperme car je sais à quel point il est difficile et cher de vouloir désespérément un enfant et de subir des traitements pour la fertilité.»

M. Houben a voyagé dans toute l’Europe pour offrir ses services, laissant la femme procéder à l’insémination elle-même. Si chaque famille vit dans des lieux différents et a donc peu de chances de rencontrer les autres, M. Houben a récemment réuni douze de ses enfants chez lui.

Source Lycos

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5 décembre 2008

Client léger : IBM part à l'assaut de la suprématie de Microsoft en entreprise

Big Blue va lancer une offre de bureau virtuel sous Linux tournant depuis un serveur distant et fournissant un système d'exploitation et des applications sur client léger. Sa promesse : une alternative économique aux solutions Microsoft en entreprise.

IBM veut écrire un nouvel épisode de la "saga du client léger". D'après le Wall Street Journal, Big Blue finalise une offre de bureau virtuel sous Linux destinée à des clients légers, sans disque dur ou processeur puissant. Fonctionnant depuis un serveur d'applications distant, ces bureaux pourront être livrés avec une ou plusieurs applications, elles aussi hébergées sur un serveur.

Côté prix, Big Blue opte pour une approche assez agressive : de 59 à 289 dollars par utilisateur, suivant le nombre de logiciels installés sur ces bureaux virtuels et les services qui leur sont associés. Selon le quotidien américain, qui cite des estimations fournies par IBM, ce type de solution pourrait faire épargner jusqu'à 800 dollars par poste à une entreprise, par rapport aux coûts d'acquisition et de maintenance d'un PC équipé de Vista, de la suite Office et d'outils de travail collaboratif fournis par Microsoft. 

Une politique tarifaire agressive

« Déployer votre technologie de cette façon va vous faire économiser environ 50 % de vos coûts totaux. Comme les clients font face à une situation économique de plus en plus compliquée, ils font attention à tous les éléments dans lesquels ils dépensent de l'argent. » a déclaré Jeff Smith, vice-président chez IBM en charge de l'open source et de Linux,   au Wall Street Journal

Le principe de proposer des machines de bureau sous Linux aux entreprises n'est pas nouveau. Mais le contexte de crise économique est certainement le bon moment pour le relancer. Utiliser des applications légères hébergées sur un serveur en entreprise est une option qui peut convaincre à la fois les DSI et les directeurs administratifs et financiers. Peut-on imaginer meilleure période pour attaquer frontalement le prix des licences Microsoft sur le marché des applications bureautiques et collaboratives ?

                               

Par Vincent Birebent, ZDNet France

Source ZDNet

5 décembre 2008

Moonlight : la bêta 1.0 du Silverlight version Linux est disponible

Le projet Mono visant à adapter la plate-forme vidéo de Microsoft à Linux avance à grands pas. Comme prévu, la version bêta 1 de Moonlight 1.0 est désormais en ligne et fonctionne sur la plupart des grandes distributions Linux du marché, à savoir Suse Linux Enterprise Desktop, OpenSuse 11, Ubuntu 8.04 ou encore Fedora Core 9.

Cette bêta fait néanmoins l'impasse sur l'intégration des codec Microsoft utilisés dans Silverlight 2.0 ; il faudra donc les télécharger à part pour permettre le visionnage ou l'écoute de médias les utilisant au sein d'une application Silverlight.

La version finale de Moonlight devrait être disponible le 20 janvier 2009, si on se fie à la feuille de route publiée par les responsables du projet Mono. La version 2.0 de ce plug-in est prévue pour le 18 mars en version alpha, puis à la mi-avril en bêta ; la version finale devrait être prête en septembre 2009. Elle sera entièrement compatible avec les applications Silverlight 2.0, et intégrera aussi le pack de codec Microsoft.

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

5 décembre 2008

Microsoft en léger retrait sur les OS comme sur les navigateurs

Pour la première fois depuis des années, la part de marché de Microsoft sur le segment des systèmes d’exploitation est passée sous la barre des 90 %. Le constat est semblable pour les navigateurs où Internet Explorer descend sous les 70 % de part de marché.

D'après le cabinet d'études des marchés Net Applications, pour la première fois depuis des années, Windows représente moins de 90 % des systèmes d'exploitation installés sur des ordinateurs dans le monde : très exactement, il n'équipe plus « que » 89,62 % des machines. il y a un an sa part de marché représentait 90,89 %.

Une légère baisse qui profite au premier chef à Mac OS, avec 8,87 % de PDM et dans une moindre mesure à Linux (0,83 %). Microsoft paie ici l'échec relatif de Vista, qui plus d'un an et demi après son introduction auprès du grand public n'équipe que 20,45 % des PC dans le monde. Le leader reste Windows XP avec 66,31 % de PDM ; mais les bonnes ventes d'Apple (et donc de Mac OS) sur le segment haut de gamme et des différents constructeurs de netbooks (dont une grande part tourne sous Linux) ont sérieusement attaqué l'omniprésence de Windows.

Windows 7 et IE 8 inverseront-ils la tendance ?

Sur le marché des navigateurs, la situation est encore pire pour la firme de Redmond : Internet Explorer, toutes versions confondues, passe sous la barre des 70 % de parts de marché (une première depuis dix ans et l'effondrement de Netscape), alors que dans le même temps, Firefox dépasse 20 % de PDM. Suivent Safari d'Apple, avec 7,13 %, Chrome avec 0,83 %, le navigateur de Google étant talonné par Opera qui totalise 0,73 % de PDM.

Si le mouvement vers du « non-Microsoft » reste modeste, la tendance est bel et bien là et il faudra probablement attendre la sortie de Windows 7 fin 2009 et d'Internet Explorer 8 pour la voir peut-être s'inverser.

Les analystes de Net Applications font d'ailleurs remarquer que plus la crise économique progresse, plus la part des outils tiers augmente, en particulier dans le domaine des navigateurs Web. Et ces analystes de conclure que la part de marché de Firefox, en particulier, devrait encore progresser durant l'année 2009.

                               

Par Vincent Birebent, ZDNet France

Source ZDNet

5 décembre 2008

Plus de 98% des PC sous Windows ne sont pas à jour, selon Secunia

Menée sur 20 000 utilisateurs volontaires, une étude de l'éditeur Secunia montre que 98,1% des machines sous Windows ont un ou plusieurs logiciels installés présentant des défauts de sécurité. La faute principalement à des absences de mise à jour.

Éditeur du logiciel de vérification Personal Software Inspector, la firme danoise de sécurité Secunia a mené, sur les sept derniers jours, une étude sur 20 000 des 120 000 utilisateurs de son logiciel, pour connaître le niveau de sécurité de leurs machines tournant sous Windows.

Et les conclusions sont effarantes : 98,1 % de ces PC disposent d'une ou plusieurs applications non mises à jour et, pour certaines, présentant des failles de sécurité. Sur cette masse, Secunia a identifié 30,27 % d'utilisateurs possédant entre 1 et 5 applications non patchées ; 25,07 % disposant de 6 à 10 logiciels non mis à jour ; et 45,76 % d'utilisateurs avec plus de 11 programmes dans ce cas.

Une situation qui empire

Ces chiffres sont d'ailleurs plus mauvais que lors du dernier audit réalisé par Secunia en janvier dernier : à l'époque, seuls 4,54 % des PC scannés s'avéraient à jour, alors que 27,83 % hébergeaient entre 1 et 5 applications non mises à jour ; 25,69 % de 6 à 10 logiciels nécessitant un ou plusieurs patchs ; et 41,94 % plus de 11 applications concernées.

D'après Secunia, la situation serait pire encore sur la totalité du parc de PC sous Windows, car les utilisateurs qui se sont pliés à son audit étaient volontaires et soucieux de connaître l'état de mise à jour de leur machine, ce qui n'est pas franchement le cas de la majorité des utilisateurs de PC sous Windows.

Personal Software Inspector est un logiciel qui épluche le contenu d'un PC sous Windows pour vérifier les versions des logiciels installés et conseiller, le cas échéant, de les mettre à jour. Cet outil est gratuit et disponible en téléchargement sur ZDNet.fr.

Téléchargez Personal Software Inspector sur ZDNet.fr

                               

Par Vincent Birebent, ZDNet France

Source ZDNet

4 décembre 2008

Oracle veut empêcher la corruption de données sous Linux

Oracle et la société Emulex, spécialisée dans les bus de connexions de données, ont récemment contribué à l'élaboration du noyau 2.6.27 de Linux, dernière version stable en date. Leur contribution dans ce kernel consiste en un petit bout de code destiné à empêcher la corruption de données entre un serveur d'applications et une base de données, ou entre un ordinateur sous Linux et un périphérique de stockage qui lui est connecté.

Ce code se base sur le standard T10 Data Integrity Field et sur les Data Integrity Extensions, mises au point par Oracle, permettant de vérifier l'intégrité des données, à la fois de façon logicielle mais aussi grâce au matériel, domaine où le concours d'Emulex a été primordial. Le but est de vérifier au niveau des entrées et sorties en mémoire que les données ne sont pas corrompues, alors que pour le moment ce type de vérification était plutôt du ressort au mieux du système d'exploitation, au pire des applications. Soit trop tard.

Tester le système en conditions réelles

Les deux sociétés se sont engagées dans un programme de validation technique auprès d'utilisateurs sélectionnés, afin de tester ce système en conditions réelles.

Impliqué dans le développement de Linux via la distribution Unbreakable (issue des travaux de Red Hat), Oracle a donc privilégié cet OS plutôt qu'un Unix ou Windows pour la première intégration de cette technologie « anti-corruption ». Néanmoins elle pourrait aussi arriver prochainement dans d'autres systèmes d'exploitation utilisés dans des datacenters et des serveurs de base de données.

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

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