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30 janvier 2008

PC Linux : les grands constructeurs s'y mettent

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26 janvier 2008

Passe d'armes entre éditeurs de logiciels propriétaires et libres autour du rapport Attali

En préconisant de renforcer l’adoption des solutions open source dans le secteur public, le rapport Attali relance la polémique entre les défenseurs du logiciel propriétaire et ceux du libre.

Les éditeurs de logiciels propriétaires s'élèvent contre les recommandations du rapport Attali sur la « libération de la croissance », qu'ils accusent de faire la part belle aux logiciels libres.

Ce rapport préconise en effet de mettre en concurrence logiciels propriétaires et logiciels libres dans les appels d'offres, notamment publics. Et fixe comme objectif d'avoir 20 % des applications « nouvellement développées ou installées au profit du secteur public en open source » d'ici à 2012.         

Une proposition qui n'est pas du goût des éditeurs propriétaires. « En défendant la promotion exclusive et discriminatoire du logiciel libre, la Commission Attali fait manifestement, à l'inverse de nos partenaires européens, le choix du désinvestissement dans l'innovation », commente l'Association française des éditeurs de logiciels (Afdel).

L'Afdel, qui se revendique comme le « porte-parole de l'industrie du logiciel en France »,  est née en octobre 2005, sous l'impulsion notamment des éditeurs français Cegid et Dassault Systèmes ainsi que Microsoft.

Des marchés publics « fermés à l'industrie du logiciel propriétaire »

« Reposant économiquement sur un modèle de service, le logiciel libre n'a ainsi, de l'avis des spécialistes, pas débouché à ce jour sur des innovations de rupture », poursuit-elle. L'association souligne ainsi que la plupart des logiciels libres sont des clones parfois améliorés de produits déjà existants sous modèle propriétaire. Un modèle de développement qui ne participerait que marginalement à l'innovation. Et d'affirmer que les éditeurs propriétaires investissent entre 20 et 30 % de leur chiffre d'affaires en R&D, une source de création d'emplois et de valeur.

Autre critique : l'Afdel estime que les appels d'offres publics sont déjà discriminants vis-à-vis des solutions propriétaires, et le rapport Attali ne fait qu'accentuer cette « discrimination dont pâtissent déjà  les 2 500 entreprises françaises dans leur accès aux marchés publics ».

Après ces attaques à charge, l'association souhaite que « la France sorte définitivement de ce débat stérile et franco-français qui veut opposer les différents modèles » et favorise plutôt leur convergence.

Des allégations infondées de l'Afdel, pour les éditeurs libres

Dans le camp de l'open source, on réagit très vivement à ces déclarations. « Les éditeurs de logiciels libres français dénoncent les allégations infondées de l'Afdel », peut-on lire dans une lettre commune signée par une dizaine d'éditeurs de logiciels libres français, dont Mandriva et Nuxeo, et soutenue par l'association Aful (*).

Ils considèrent que l'Afdel caricature les propositions du rapport Attali et mène un « combat d'arrière-garde contre une des tendances lourdes du marché de l'informatique ».

« L'Afdel est de mauvaise foi et ne défend pas les intérêts de ses membres. Elle devrait voir les logiciels libres comme une opportunité et non une menace », commente pour ZDNet.fr, Stéfane Fermigier, président de l'Aful. Il rappelle que, selon le cabinet Gartner, au moins 80 % des logiciels commerciaux contiendront des briques open source en 2011.

« Le libre profite donc même au éditeurs français "traditionnels" qui l'intègre de plus en plus dans leurs solutions. Mais il est vrai que ceux qui n'entreprennent pas dès maintenant de s'appuyer sur le logiciel libre risquent de se voir très fortement marginalisés dans les années à venir », analyse-t-il.

(*) Association francophone des utilisateurs de Linux et des logiciels libres                               

Par Christophe Guillemin, ZDNet France

25 janvier 2008

Les PC Linux de Lenovo débarquent en France

Comme annoncé en août dernier, le constructeur chinois Lenovo a décidé de proposer des PC portables équipés non pas de Windows, mais de l'OS libre Suse Linux. Les premières machines entrant dans le cadre de cette initiative arrivent en France. Il s'agit des Thinkpad T61 et R61, deux modèles pour professionnels. Ils sont d'ailleurs équipés de Suse Linux Enterprise Desktop 10 de Novell.

Contacté par ZDNet.fr, Lenovo France a indiqué que la préinstallation d'OS Linux sur ses machines grand public n'était, quant à elle, pas à l'ordre du jour.

Le constructeur assurera directement le support technique, tant pour le matériel que pour le système d'exploitation de Novell. Ce dernier, pour sa part, fournira les mises à jour aux clients de Lenovo.

Lenovo n'est pas le premier à installer Linux sur ses machines. Depuis mai 2007, Dell propose des configurations basées sur le système d'exploitation Ubuntu, sur certains de ses PC portables et de bureau.

Source : ZDNet

24 janvier 2008

La France est devenue « un pays phare pour le logiciel libre »

Selon le cabinet Pierre Audoin Consultants, le marché français du logiciel libre génère le plus de revenus en Europe. Sur un an, le secteur a progressé de 66 %, tiré notamment par les programmes d’équipements des services publics.                        

Avec un chiffre d'affaires de 730 millions d'euros, le marché français des logiciels libres et des services associés est le plus important sur le Vieux Continent, esime le cabinet Pierre Audoin Consultant (PAC). Ce chiffre, en augmentation de 66 % par rapport à 2006, représente le cumul des investissements des entreprises et des administrations dans les solutions non propriétaires.

Rapporté au revenu total du secteur des logiciels et services (libre comme propriétaire), soit 30 milliards d'euros en 2007, le segment du libre en France représente 2,4 % ; ce ratio était de 1,5 % l'année dernière.

À titre de comparaison, le même segment a pesé, en Allemagne et au Royaume-Uni, respectivement 444 et 448 millions d'euros. Soit moins de 1 % du CA global du secteur des logiciels et services dans ces deux pays (44,7 et 54,6 milliards d'euros).

« La France est devenue le pays européen le plus "intensif " en matière de logiciels libres, que ce soit par l'importance de ses contributions, l'expérience acquise, l'industrialisation des offres ou la taille des projets », indique à ZDNet.fr, Mathieu Pujol, consultant senior pour le cabinet PAC.

Un marché français soutenu par les programmes publics

Une explication à cela : « Le marché français du libre est dynamisé depuis plusieurs années par les programmes de modernisation de l'État qui font la part belle aux technologies issues du logiciel libre », souligne le cabinet d'études.

Les exemples d'adoption de solutions non propriétaires dans la fonction publique ne manquent pas. Rien que sur le poste client : les gendarmes sont passés à OpenOffice, tout comme les fonctionnaires du ministère de l'Agriculture et de la Pêche ou encore ceux du ministère de la Justice. Et depuis la dernière rentrée parlementaire, les députés disposent également de PC dotés de la suite libre.

Quant à l'outil de messagerie libre Thunderbird, il équipe plusieurs dizaines de milliers de boîtes e-mail de la Caisse nationale d'assurance maladie ; le ministère de l'Équipement et celui de la Défense y ont également recours.

Enfin, s'agissant des systèmes d'information, le logiciel libre est largement représenté. Depuis quelques années, la Direction générale des impôts (DGI) est passée à l'open source pour la télédéclaration de revenus ; le ministère de l'Éducation nationale utilise également l'OS Linux de Mandriva sur une partie de ses serveurs.

« Les investissements publics ont servi d'amorce au marché et ont eu un fort effet d'entraînement  sur le privé », poursuit-on chez PAC. D'autant qu'il existait déjà une longue expérience du logiciel libre dans des secteurs dépendants des commandes publiques, comme les systèmes embarqués dans l'aérospatial et la défense.

Le phénomène devrait s'accentuer dans les années à venir. En Europe, le marché des logiciels libres a représenté 2,2 milliards d'euros en 2007, et devrait atteindre 12,7 milliards en 2011. À cette date, il grimperait alors en France, à 3 milliards d'euros.

                               

Par Christophe Guillemin, ZDNet France

24 janvier 2008

Offensive tous azimuts de Microsoft sur le front de la virtualisation

Pour s'imposer sur un marché mené par VMWare, l'éditeur de Redmond ne lésine pas : rachat d’une start-up spécialisée, Calista ; élargissement de son partenariat avec Citrix pour son hyperviseur ; et « virtualisation » de toutes les versions de Vista.

Microsoft intensifie ses initiatives pour concurrencer VMWare, le leader du secteur de la virtualisation. Premières annonces de taille, lundi 21 janvier : le rachat de l'éditeur californien Calista Technologies (pour un montant non communiqué), et le renforcement de son partenariat avec Citrix Systems.

Calista propose une technologie brevetée qui améliore les performances des bureaux distants virtualisés. Spécialiste des clients légers, Citrix Systems développe, quant à lui, un outil censé améliorer la compatibilité entre ses produits XenServer et Hyper-V, la fonctionnalité de virtualisation du futur Windows Server 2008, attendu dans les semaines qui viennent.         

Les versions grand public de Vista sur machines virtuelles

Une troisième décision de Microsoft a des conséquences plus immédiates pour les utilisateurs. L'éditeur américain élargit le spectre des versions de Vista ouvertes à la virtualisation : les versions grand public de son OS - la familiale basique et la familiale Premium - pourront être exécutées sur des machines virtuelles, en tant qu'hôtes.

Une décision bienvenue pour de nombreux utilisateurs, notamment ceux de Macintosh désireux de faire tourner la toute dernière version de Windows à moindre coût. Jusqu'à présent, ils devaient se procurer les versions haut de gamme de Vista - Professionnel ou Intégrale de Vista, les plus chères -, Microsoft indiquant craindre des problèmes de sécurité en cas de mauvaises configurations. Il préférait limiter la virtualisation aux versions plus onéreuses, pour que seuls les utilisateurs chevronnés techniquement s'y risquent.

Les éditeurs tiers de produits de virtualisation y trouveront également leur compte, en voyant les coûts de licence nettement réduits. C'est le cas de Parallels, dont les logiciels permettent d'exécuter Windows sur un Mac. « Cela montre que Microsoft s'investit sur le marché de la virtualisation, et nous ouvre de nouvelles possibilités de partenariats » sans avoir à s'acquitter de frais de licences colossaux, s'est réjoui l'un de ses dirigeants, Benjamin Rudolph.

Séduire et reconquérir aussi les utilisateurs de Mac ou Linux

Et de pointer aussi l'intérêt pour Microsoft. « C'est une bonne chose pour les utilisateurs qui ne sont pas ses clients (Mac et Linux notamment), puisqu'ils ont désormais un moyen d'accéder, à moindre coût, à Windows et à sa colossale gamme de logiciels », indique Benjamin Rudolph, faisant allusion aux 6 % d'ordinateurs qui ne tournent pas sous Windows actuellement. « Cela va l'aider à viser les 100 % de parts de marché », en tentant de séduire ou de reconquérir ceux notamment attirés par l'univers Mac, pour la simplicité d'usage et de maintenance des machines.

Enfin, la dernière décision annoncée lundi vise à faciliter le déploiement de Vista dans les grandes entreprises qui souhaitent l'installer sur un serveur, en l'utilisant sur un terminal distant - PC ou client léger. Les tarifs des licences baissent considérablement pour les clients de la Software Assurance, de l'ordre de 25 à 50 %, passant désormais à 23 dollars par machine et par an pour les PC sous Windows, et à 110 dollars pour les clients légers.                               

Par Ina Fried, News.com et Mary-Jo Foley,  ZDNet.com,

Source  ZDNet

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23 janvier 2008

Plasma running on a Neo1973

23 janvier 2008

Microsoft recrute un spécialiste linuxien de la sécurité

Crispin Cowan, expert Linux à l'origine de logiciels de sécurité réputés, a rejoint les rangs de la firme de Redmond. Il travaillera sur la sécurité des produits Windows, au sein de l'équipe dédiée à cette question.

Ce spécialiste a contribué au développement des logiciels StackGard et AppArmor, et est également le cofondateur de la société Immunix, qui propose une distribution Linux du même nom. Immunix a été rachetée en 2005 par Novell, intéressé par le potentiel de ses technologies.         

Ces dernières années, peut-on lire sur son blog personnel, il s'est attaché à renforcer la sécurité des systèmes en cas d'attaques. Un travail qui a abouti à la création de l'Immunix OS, protégé par StackGuard contre les dépassements de la mémoire tampon (buffer overflow), conséquences de nombreuses attaques lancées de l'extérieur.

Son embauche a été saluée par la communauté, même si certains parlent d'une grande perte pour le monde Linux étant donné ses compétences.                               

Par la rédaction, ZDNet France

 

Source zdnet

 

17 janvier 2008

Mandriva et Turbolinux développent une base commune d'OS Linux

Le français Mandriva et le japonais Turbolinux travaillent à la création d'une base logicielle commune pour leurs futures distributions Linux. Les deux éditeurs viennent de rendre public un accord signé en octobre dernier, qui a mené à la création d'un laboratoire commun de développement, nommé Manbo-Labs.

 

L'équipe Manbo-Labs est constituée de plus de dix développeurs venus des sites français et brésiliens de Mandriva, de chez Turbolinux au Japon, ainsi que des programmeurs tiers issus de leur communautés. « Ensemble, ils travaillent à la mise au point d'un système de base Linux commun, dont le lancement est prévu pour avril 2008 », indiquent les deux éditeurs. Il servira d'ores et déjà de base à la distribution Mandriva Linux 2008 Spring, attendue au printemps prochain.

 

« En mettant en commun leurs ressources d'ingénierie, Mandriva et Turbolinux vont pouvoir investir davantage en technologie et qualité de produit », poursuivent-ils. La base commune sera sous licence GPL. Les deux sociétés souhaitent élargir leur partenariat à d'autres éditeurs de distribution Linux.

Source zdnet

17 janvier 2008

Mac OS reprend du terrain à Windows, selon Xiti

La dernière version du système d'exploitation de Microsoft « semble avoir du mal à convaincre », constate la société Xiti dans sa dernière étude sur le marché des systèmes d'exploitation. « Si la part des visites de Vista progresse au fil des mois, plus ou moins mécaniquement via les achats d'ordinateurs, cette dernière version ne contribue pas à renforcer la position de Windows ».

L'étude a été réalisée du 1er janvier au 31 décembre 2007 sur un périmètre de 152 867 sites web, à majorité francophones, audités par Xiti. Il s'agit des parts de visites, c'est-à-dire la proportion d'accès à ces sites à partir d'une machine équipée de tel ou tel système d'exploitation.         

Au cours de l'année 2007, Vista est passé de 0,19 % de parts de visites en janvier à 11,57 % en décembre. Dans le même temps, celles des autres versions de Windows ont baissé, à l'exception de Windows 2003 dont la présence reste cependant très confidentielle (0,43 % des visites avec Windows en décembre 2007). Ainsi, Windows XP, qui demeure l'OS le plus utilisé, a vu sa part de visites passer de 91,8 % en janvier à 83,7 % en décembre 2007.

Malgré la progression de Vista relevée par Xiti, la part globale de Windows perd 0,5 point entre juillet et décembre 2007, alors que la tendance est inverse pour les OS Linux et surtout Mac OS : respectivement + 0,11 point et + 0,49 point.

Xiti s'interroge : « La sortie du Service Pack 1 de Vista, prévue pour le 1er trimestre 2008, lui permettra-t-il de s'affirmer, alors que sur la même période le SP3 de XP sera mis sur le marché ? »

Microsoft a récemment passé la barre des 100 millions de licences Vista vendues. Pour Gartner, cette adoption de Windows Vista « est plus lente que prévue ». L'OS deviendra dominant seulement en 2009 au lieu de 2008, précisait récemment la société d'études.


Source zdnet

16 janvier 2008

Les PC Linux de Lenovo débarquent en France

Comme annoncé en août dernier, le constructeur chinois Lenovo a décidé de proposer des PC portables équipés non pas de Windows, mais de l'OS libre Suse Linux. Les premières machines entrant dans le cadre de cette initiative arrivent en France. Il s'agit des Thinkpad T61 et R61, deux modèles pour professionnels. Ils sont d'ailleurs équipés de Suse Linux Enterprise Desktop 10 de Novell.

Contacté par ZDNet.fr, Lenovo France a indiqué que la préinstallation d'OS Linux sur ses machines grand public n'était, quant à elle, pas à l'ordre du jour.         

Le constructeur assurera directement le support technique, tant pour le matériel que pour le système d'exploitation de Novell. Ce dernier, pour sa part, fournira les mises à jour aux clients de Lenovo.

Lenovo n'est pas le premier à installer Linux sur ses machines. Depuis mai 2007, Dell propose des configurations basées sur le système d'exploitation Ubuntu, sur certains de ses PC portables et de bureau.

Source zdnet

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