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19 mai 2008

Asus dope le démarrage de ses PC avec Linux sur la carte mère

Les PC du constructeur américain vont être progressivement équipés d'une solution de démarrage rapide. Embarquée sur leur carte mère, elle est basée sur Linux et permet d'accéder en quelques secondes aux applications web basiques, sans lancer l'OS.

Faire démarrer sa machine en quelques secondes pour accéder presque immédiatement à ses applications web favorites : c'est ce que va proposer sur ses machines le constructeur Asus en intégrant, sur leur carte mère, une version allégée et rapide de Linux, appelée « Splashtop ».

Splashtop est un environnement propriétaire dit de « pré-boot » (ou prédémarrage), développé par la société DeviceVM. Il permet de gagner du temps au démarrage de la machine, puisqu'il évite de lancer le système d'exploitation ; il s'exécute ainsi à partir du BIOS de la carte mère, et est capable d'exécuter certaines applications telles qu'un navigateur web dérivé de Firefox et le programme de VoIP Skype.

Splashtop permet aussi de consulter une messagerie, visionner des vidéos ou encore converser par messagerie instantanée.

Un million de cartes mères équipées chaque mois

Lors du démarrage de l'ordinateur, un écran invite l'utilisateur à choisir entre les applications Splashtop (dont Skype et le navigateur de Splashtop) et l'exécution de l'OS principal. L'opération peut se faire en quelques secondes selon la configuration de la machine, assurent Asus et DeviceVM.

Asus a déjà adopté cette solution pour ses cartes mères haut de gamme depuis octobre dernier (P5E3 Deluxe/WiFi-AP@n). Et c'est suite à des commentaires très positifs de ses utilisateurs qu'il a décidé d'en équiper progressivement l'ensemble de ses cartes. Il compte charger en masse cette solution, qu'il a rebaptisée « Express Gate », sur un million de cartes mères par mois.

Dès ce trimestre quatre modèles vont en bénéficier : P5Q Deluxe, P5Q-WS, P5Q3 Deluxe et P5Q-E.

                               

Par David meyer, Silicon.com

Source ZDNet

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12 mai 2008

Le concours Lépine 2008 récompense un PC Linux pour les seniors

Technologie - Pour la première fois, un ordinateur remporte le 1er prix du concours Lépine qui récompense les principaux inventeurs indépendants français de l’année. Magui est un PC simplifié dédié aux personnes âgées, et basé sur un OS Linux.

La meilleure invention de l'année est un PC sous Linux doté d'une interface simplifiée destinée aux seniors. Baptisé « Magui », il a remporté ce week-end le 1er prix du concours Lépine 2008, celui du président de la République, parmi plus de 500 inventions présentées.

Ordinateur Magui dédié aux seniors« Notre système a pour but de réduire l'isolement des seniors en leur permettant de communiquer avec leur famille de manière très simple grâce à l'informatique », explique à ZDNet.fr, son inventeur Fabrice Guibaud. Cet ingénieur informatique de 24 ans a fondé la société Simplistay et commercialise Magui depuis quelques mois, principalement auprès de maisons de retraites.

La machine se présente sous la forme d'un ordinateur monobloc, avec l'unité centrale intégrée à l'écran (voir photo). Il s'agit d'un écran tactile (équipé d'une webcam) grâce auquel toute la navigation se fait donc sans souris ni clavier. L'utilisateur tape sur des gros boutons colorés.

La visioconférence, lecture via synthèse vocale des mails...

Parmi les fonctions proposées : la vioconférence avec ses proches (un logiciel complémentaire doit être installé sur le PC de la famille), la réception d'e-mails avec lecture audio via synthèse vocale, la réception de photos présentées en diaporama, une fonction répondeur permettant de recevoir des messages texte, audio ou vidéo. Des jeux, notamment collectifs autour d'anagrammes, sont aussi intégrés.

Magui permet également d'accéder au menu des repas, à des présentations des animations du jour, de visionner les photos prises durant les sorties ou toute autre information liée à la vie d'une maison de retraite.

Des évolutions à venir sont prévues, comme la connexion à certains sites internet, notamment d'information, mais toujours avec une interface simplifiée.

Le poste client comme le serveur associé au service fonctionnent sous Linux ; il s'agit de versions modifiées de la distribution du français Mandriva. La fabrication de Magui a été confiée à une société française dont le nom n'a pas été communiqué. Il en coûte de 3 000 à plus de 10 000 euros pour ce système vendu en fonction du nombre d'utilisateurs (nombre de résidants dans l'établissement). Un poste client peut être installé en salle d'accueil ou en salle commune.

« Le fait d'avoir gagné le concours Lépine est pour nous un moyen de nous faire connaître et la reconnaissance du fait que l'informatique peut être simple et accessible à tous », conclut Fabrice Guibaud. C'est la première fois que le concours Lépine distingue un ordinateur comme principale innovation de l'année.

Nathéa, une veilleuse multimédia, également récompensée

Veilleuse multimédia NathéaParmi les autres inventions liées aux nouvelles technologies, Nathéa a reçu le prix Oseo Innovation. Il s'agit d'une « veilleuse multimédia » (voir photo), qui réagit aux mouvements de la main. En passant sa main à proximité, l'utilisateur peut ainsi changer la couleur et la luminosité.

L'appareil est également doté d'un slot pour carte mémoire afin de lire les fichiers MP3 qui y sont stockés. Le contrôle du volume s'effectue également avec les mouvements de la main.

Nathéa a été développée par Sébastien Philippe qui a créé la société Néocréativ pour en assurer la future commercialisation, attendue dans l'année. Son prix n'a pas encore été communiqué.

                               

Par Christophe Guillemin, ZDNet France

Source ZDNet

1 mai 2008

Eee PC 900

1 mai 2008

Bureau au mois de Mai

image3

4 mars 2008

Vente liée : Mandriva fait une ristourne sur ses OS Linux

Afin de lutter contre la vente liée du système d'exploitation avec les PC, l'éditeur français de solutions Linux lance une initiative commerciale baptisée « OS Réfugié ». Il s'agit en fait d'une promotion sur ses produits destinés aux utilisateurs souhaitant désinstaller l'OS livré avec leur PC (en général Windows) pour le remplacer par Mandriva Linux.

« Mandriva  remboursera à hauteur de 35 % du montant de tout achat dans la gamme de  produits faisant l'objet de cette offre, aux utilisateurs envoyant une preuve de détention de licence d'un autre OS », indique l'éditeur. Parmi les produits éligibles à cette offre : Mandriva Powerpack 2008, qui est l'édition commerciale de Mandriva Linux, vendue à partir de 49 euros.

Cette opération s'étalera du 3 mars au 8 avril. L'éditeur rappelle qu'il est signataire de la pétition « Non aux racketiciels », portée par le « groupe de travail Détaxe » de l'AFUL soutenu par l'April (*). Mandriva avait déjà réalisé une opération similaire en décembre 2002. Il relance son initiative alors que la justice française vient de donner raison à trois particuliers réclamant le remboursement de Windows.

(*) Aful : Association francophone des utilisateurs de Linux et des logiciels libres ;
April : Association de promotion et de défense du logiciel libre.

Source ZDNet

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23 février 2008

Google veut Photoshop sur Linux et engage CodeWeavers

oogle s’intéresse de près au fonctionnement de certaines applications très utilisées sur environnement Linux. À tel point que la société a décidé d’engager l’un des développeurs de Wine, implémentation libre de certaines interfaces de programmation de Windows pour faire fonctionner sous Linux des logiciels qui d’ordinaire ne fonctionneraient que sur le système de Microsoft.

photoshop cs3

Dan Kegel, désormais employé de Google, est donc accompagné d’une équipe et a en charge de pouvoir faire fonctionner iTunes sous Linux. Il ne s’agit que d’un défi parmi d’autres, car la société a officiellement engagé CodeWeavers, la société éditrice de Wine, pour faire fonctionner Photoshop CS et CS3 sur le système d’exploitation libre.

Ce lien rapproché entre Google et CodeWeavers n’a rien d’étonnant puisque Wine est déjà utilisé pour faire fonctionner la version Linux de Picasa. Mais pourquoi Photoshop ? Parce qu’une étude réalisée par Novell a révélé que c’était de loin l’application que les utilisateurs de Linux réclamaient le plus.

Source

13 février 2008

Novell adapte Microsoft Silverlight pour Linux

Après .NET, l’équipe de Novell s’est attelée à créer une version Linux de Silverlight, rival du Flash d'Adobe, baptisée Moonlight. Grâce à elle, Microsoft couvre les principaux OS - Linux, Mac OS, Windows - et navigateurs - Safari, Firefox, et IE.

Miguel de Icaza et son équipe avaient défrayé la chronique il y a quatre ans en adaptant la plate-forme .NET pour Linux, dans le cadre du projet Mono. Les trublions de Novell ont réitéré cette fois l'opération avec Silverlight, le client riche de Microsoft, concurrent du Flash d'Adobe.

Baptisée Moonlight, cette implémentation de Silverlight 2.0 (ex-1.1) pour Linux poursuit plusieurs objectifs : « permettre aux applications Silverlight de fonctionner dans un navigateur au dessus de Linux, mettre un kit de développement à disposition des développeurs, et réutiliser Moonlight pour créer des applications de bureau », détaille Miguel de Icaza.

Un grand service rendu à Microsoft

Cette fois, Microsoft et Novell ont conclu un accord de coopération technique. Microsoft a en effet tout à y gagner puisqu'il laisse un partenaire améliorer la portabilité de son client riche. La version officielle de Silverlight n'est en effet disponible que pour Internet Explorer et Firefox sous Windows, Safari et Firefox sur Mac OS.

Microsoft a fourni à Novell la spécification technique complète de Silverlight (pour éviter un long travail de reverse engineering, ou décompilation) et une suite de tests qui permettront à l'équipe de Moonlight de garantir la compatibilité de leur implémentation. Ils disposeront également des versions binaires des codecs de Microsoft pour pouvoir lire des flux multimédias. Et même si ce sont les équipes de Novell qui développeront seules Moonlight, Microsoft leur promet le support de ses propres équipes techniques en cas de besoin. De son côté, Novell s'est engagé à redistribuer Moonlight au-delà d'OpenSuSE : des packages RPM et DEB seront également disponibles.

De nombreux langages supportés

Au-delà du support de Mac OS, Windows et désormais Linux, Silverlight 2.0 introduit un autre changement de taille. Tandis que la version 1.0 exécutait uniquement un code Javascript, Silverlight 2.0 supporte différents langages : C#, VB.NET, Ruby, Python, PHP, etc. Microsoft travaille avec Zend pour mettre au point un compilateur JIT PHP pour .NET (Phalanger). Et il a recruté John Lam, auteur du compilateur IronRuby qui convertit du code Ruby en code intermédiaire .NET (MSIL).

Les langages statiques sont traduits en code MSIL lors du déploiement de l'application. En revanche, un nouveau compilateur juste à temps (JIT) traduit les langages dynamiques (Python, Ruby, etc.) à la volée. « Le Dynamic Language Runtime (DLR) compile dynamiquement un code Python ou Ruby en MSIL qui est ensuite interprété par la machine virtuelle (CRL) de Silverlight 2.0 », explique Laurent Ellerbach, responsable marketing de la division plate-forme et écosystèmes.

Silverlight 2.0 pourra donc exécuter des applications écrites en PHP, Ruby, Python, C#, et VB.NET... sous Windows, Linux, et Mac OS. Il est ainsi possible de mélanger les langages au sein d'un même client Silverlight 2.0 pour réutiliser des librairies ou des logiciels existants. Cette flexibilité permet aussi « d'utiliser le meilleur langage dans un contexte précis ou d'utiliser le langage avec lequel on est le plus l'aise », complète Laurent Ellerbach.

                               

Par Carole Buret, ZDNet France

Source ZDNet

1 février 2008

Mandriva 2008.1 est disponible dès maintenant en bêta 1

 

Fidèle au planning de développement, Mandriva a annoncé cette semaine la disponibilité de la Mandriva 2008.1 bêta 1 au téléchargement.

Plusieurs avancées ont été faites depuis la sortie de l'alpha 2, notamment:

  • Un tout nouveau système d'informations complémentaires pour les paquetages, en XML, depuis les miroirs. Il semble que ce système permette un gain en rapidité lors de la configuration de la base URPMI
  • Le support des touches de nombreux claviers multimédia. Voici une fonctionnalité qui en ravira plus d'un, en particulier les propriétaires d'ordinateurs portables !
  • Perl a été mis à jour en version 5.10
  • Les pilotes propriétaires NVIDIA 169.09 et ATI 8.45.2 (Catalyst 8.1) sont intégrés
  • Le bureau KDE 4.0.0 est disponible au téléchargement dans le dépôt contrib
  • Et bien sûr la présence du noyau "dernier cri" en version 2.6.24 RC8 ainsi que le serveur de son ALSA 1.0.16 RC1.

Pour obtenir plus de détails sur la Beta 1, rendez-vous sur cette page.

mandrivamandriva

Plusieurs versions sont disponibles au téléchargement, notamment:

  • Les Mandriva Free 32 et 64 bits (en version DVD ou 3 CD). Notez que l'édition Free est à réserver plutôt aux habitués, tandis que les nouveaux sur Linux porteront leur choix vers l'édition One.
  • Les Live CD Mandriva One KDE et Gnome (32 bits uniquement) qui permettent de tester Linux en toute sécurité, car ils ne modifient rien sur l'ordinateur, tout en laissant la possibilité d’installer le système

Rappelons que la Mandriva 2008.1 sera la première version profitant des innovations communes avec la distribution TurboLinux, au travers du laboratoire Manbo. Ces avancées se situent sur « les couches basses » de la distribution, notamment : gcc, glibc, rpm, kernel, bin-utils, mkinitrd et udev.

Pour télécharger une des éditions de Mandriva Linux 2008.1 bêta 1, cliquez ici.

Source de l'INformation : Mandriva

1 février 2008

Linus Torvalds estime que Linux est désormais plus vert

Lors de la conférence « linux.conf.au », qui est la plus grande manifestation Linux en Australie, Linus Torvalds a été interviewé sur des sujets divers, notamment la gestion de l’énergie par les distributions.

Torvalds a joué la carte de l'honnêteté en annonçant d’emblée que les systèmes Linux ont été en retard pendant bien des années en ce qui concernant la gestion de l’énergie et donc des économies qui en découlent. Il indique cependant que le plus gros du travail a été fait et qu’une infrastructure solide a été mise en place : « Nous avons les outils pour mesurer la consommation, relever quand elle est supérieure et pourquoi, ce qui est relativement important ».

Il est vrai que les demandes dans ce domaine ont été très nombreuses pendant des années, car les états de veille des processeurs n’étaient par exemple pas bien gérés. Il faut compter également avec la course folle du renouvellement matériel très rapide et des nouvelles technologies qui l’accompagnent. Avec l’explosion de l’informatique mobile et des ventes d’ordinateurs portables, la création d’une infrastructure solide de gestion de l’énergie était très attendue.

Interrogé également sur le futur de Linux, Torvalds s’est estimé satisfait que la pression ait largement diminué concernant le kernel, car la plupart des grands éléments sont en place : « Nous travaillons toujours sur un grand nombre de choses, en particulier avec le nouveau matériel. Mais je pense, globalement, que beaucoup de bases sont présentes. Nous travaillons sur une meilleure capacité de maintenance et l’amélioration du code pour ajouter ensuite plus tard de nouvelles fonctionnalités plus facilement. »

Enfin, le père de Linux a estimé que la machine était désormais lancée et pouvait très bien fonctionner sans lui s’il devait partir, ce qu’il ne compte pas faire pour le moment. Selon lui, d’autres peuvent très bien reprendre le flambeau, avant d’ajouter avec humour « J’aimerais pouvoir dire qu’ils sont moins bons. »


Source de l'INformation : ZDnet

31 janvier 2008

La gendarmerie passera ses 70 000 PC sous Ubuntu d'ici à 5 ans

Terminé Windows. Dans 5 ans, tous les ordinateurs des gendarmes seront équipés de l'OS Linux. Ce changement répond à la nécessité de réduire le budget informatique et au besoin de recouvrer une plus grande indépendance face aux éditeurs.

En 2013, les 70 000 postes informatiques de la gendarmerie ne fonctionneront plus avec Windows XP mais avec l'OS libre Ubuntu, comme l'ont annoncé ce matin plusieurs représentants du ministère de la Défense au salon Solutions Linux (29-31 janvier CNIT Paris-la-Défense).

Dès 2008, 5 000 nouvelles machines seront livrées sans système d'exploitation, et Ubuntu sera installé par la gendarmerie. Dans les appels d'offres qui suivront, les PC devront être équipés de l'OS de la start-up sud-africaine Canonicalt

« C'est un bon choix. Nous poursuivons notre logique », a confié à ZDNet.fr, le colonel Nicolas Geraud, de la direction générale de la gendarmerie nationale. Une logique entamée en 2005, avec la migration des postes vers la suite bureatique OpenOffice.org, au détriment de Microsoft Office. Elle est aujourd'hui bouclée, et permet de réaliser une économie annuelle de 2 millions d'euros sur les licences.

En 2006, la gendarmerie est ensuite passée au navigateur libre Firefox et à l'outil de messagerie Thunderbird, tous deux issus du projet Mozilla. Aujourd'hui, 100 % des PC sont équipés de Firefox ; il en sera de même pour Thunderbird en 2009 (15 000 postes utilisent encore Outlook).

À l'image des premières migrations, le passage à Ubuntu est présenté comme une opportunité pour réaliser des économies sur les licences (pas d'estimation précisée) et pour « renforcer l'indépendance vis-à-vis des éditeurs ».

Source ZDNet

Au total, le choix pour les logiciels libres devrait, à terme, réduire la facture de 7 millions d'euros par an.

Ubuntu : le système le plus accessible

Pourquoi Ubuntu ? La gendarmerie utilise déjà le système Debian pour ses serveurs et souhaitait « rester dans la continuité » ; l'OS est un dérivé de Debian en plus accessible. L'objectif est que les gendarmes puissent facilement utiliser Ubuntu également à leur domicile, comme ils le font déjà avec OpenOffice.

La version retenue est la 8.04, encore en développement et dont la mouture finale devrait être publiée en avril prochain. « Nous enlevons certains éléments et rajoutons notre pack gendarmerie », a précisé le colonel Geraud. Quant à l'interface, il s'agit du bureau GNOME encore une fois légèrement modifié. « Il ressemble le plus possible à celui de Windows XP. »

Déjà testé sur deux cents postes, le passage à Ubuntu s'est fait de manière très naturelle, indique la gendarmerie. Aussi, elle ne prévoit pas de formation particulière ; un simple didacticiel sera publié sur l'intranet.

                               

Par La rédaction, ZDNet France

                                       

 

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