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france
22 janvier 2009

France tv

France télévision a lancer un nouveau site internet pour les téléphones mobiles, compatible avec iPhone / iPod touch et les smartphones comme sur mon Nokia E65.

http://m.francetv.fr/index.php

France_tv

PS : Une connexion Wifi ou 3G est recommander

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24 décembre 2008

François Fillon confirme l'arrêt de la TV analogique en 2011

Le Premier ministre a approuvé aujourd'hui le schéma directeur pour l'extinction de la télévision analogique et la réutilisation des fréquences libérées par l'arrêt de la télévision analogique hertzienne, appelé aussi dividende numérique.

Dans deux documents publiés ce 23 décembre au Journal officiel, François Fillon fixe la fin de la TV analogique au 30 novembre 2011 (avec une incertitude néanmoins pour les DOM-TOM) et confirme l'attribution du dividende numérique pour constituer, d'une part, onze multiplex « pour la généralisation de la télévision haute définition » et, d'autre part, deux autres pour la TMP (télévision mobile personnelle).

Ce dividende numérique permettra aussi l'essor de la radio numérique, qui se verra attribuer l'intégralité des fréquences de la bande III VHF, et de l'Internet haut débit mobile. La vente aux enchères de ces fréquences pourrait rapporter à l'Etat entre 1,4 et 3 milliards d'euros suivant les estimations.

Le gouvernement a également confirmé qu'un dispositif d'aides aux foyers les plus démunis, ainsi qu'aux handicapés et aux plus de 70 ans, sera mis en place pour accompagner cette transition de la TV analogique vers le numérique, sans donner plus de détails.

               

Par la rédaction, ZDNet France


Source ZDNet

21 décembre 2008

Vilaine - Bande-annonce (VF)

16 décembre 2008

Les DSI français se disent prêts à adopter les équipements réseaux sans fil

Selon une étude menée auprès de 400 DSI en Europe, les équipements réseaux sans fil séduisent les décideurs informatiques. En France, 70 % des DSI comptent faire migrer leur réseau entièrement vers des technologies sans fil à l’horizon 2010.

Malgré des problèmes de fiabilité, de rapidité et de sécurité, les directeurs des services informatiques dans leur grande majorité semblent prêts à migrer vers les réseaux sans fil. C'est ce qui ressort d'une étude du cabinet d'études Vanse Bourne, pour le compte de Motorola, où quatre cents DSI européens (*) de sociétés de mille salariés (et plus) ont été interrogés sur leur équipement actuel et leurs intentions pour le proche avenir.

Concernant la France, si à peine 20 % des sondés ont déjà à disposition un réseau entièrement sans fil (8 %) ou majoritairement sans fil (12 %) au sein de leur entreprise, 70 % d'entre eux envisagent de passer complètement leur infrastructure réseau en Wi-Fi ou à d'autres normes de communication sans fil d'ici à 2010. Un chiffre légèrement supérieur à la moyenne européenne qui s'établit à 69 %. Reste que pour effectuer cette transition, les DSI espèrent d'abord voir certaines de leurs interrogations levées au sujet des technologies sans fil.

Par exemple, pour les directeurs informatiques français interrogés, les principaux sujets d'inquiétude concernent la sécurité (61 %) et les coûts (41 %) d'une telle migration. Dans une moindre mesure, la vitesse (31 %), la performance (33 %) et la fiabilité (33 %) de ces réseaux sont aussi des problématiques qui les inquiètent.

Répondre au besoin de mobilité des salariés

Quand on les interroge sur les raisons d'une migration vers les technologies sans fil, 48 % d'entre eux mettent en avant le besoin stratégique de mobilité des salariés, à égalité avec la mise à jour ou l'amélioration des infrastructures réseaux existantes.

Reste que les sondés voient définitivement l'avenir sans fil dans les trois années à venir. Pour 86 % des DSI français interrogés, une majorité des périphériques réseaux sera sans fil d'ici à 2011. Là aussi, ils sont dans la moyenne européenne qui s'établit à 88 %, avec des pointes en Italie (96 %) ou en Grande-Bretagne (93 %), alors qu'à l'inverse, 28 % des DSI outre-Rhin doutent que le sans fil s'impose aussi vite.

D'ores et déjà, ils sont 62 % en France à indiquer que dans leurs dépenses actuelles d'équipements réseaux, la part du sans-fil dépasse celle des équipements filaires, une proportion largement supérieure à celles de leurs homologues européens qui s'établit à 54 % - avec les Pays-Bas (42 %) et le Royaume Uni (44%) en queue de peloton.

(*) Une diziane de pays européens a participé à l'étude : Grande-Bretagne, Allemagne, France, Italie, Espagne, Pays-Bas, Suède, Danemark, Norvège et Finlande.

               

Par Vincent Birebent, ZDNet France

Source ZDNet

12 décembre 2008

Contestation officielle pour l'éléction de Miss France 2009

COMMUNIQUE DE PRESSE

Marine BEAURY qui avait été élue 1ère Dauphine de Chloé MORTAUD ( MISS FRANCE 2009 ) lors de son élection Régionale « MISS ALBIGEOIS MIDI-PYRENEES 2008 » qui s’est déroulé à LISLE-sur-TARN le 20 septembre dernier, annonce qu’elle va demander à la Justice d’invalider le résultat de cette élection.

Selon une déclaration faite pour un grand magazine, Marine a déclarée : « J’ai rendu mon écharpe parce que pour moi, le vote était truqué… »

Marine conteste le résultat du vote essentiellement constitué après le recueil, la compilation puis le comptage des bulletins de vote du public présent dans la salle.

Le jury n'intervenant qu'en cas d'ex-aequo.

En effet, après la proclamation des résultats, Marine a immédiatement demandé à voir le détail des résultats, ce qui lui a été refusé par les membres de l’organisation, ceux-ci prétextant que personne ne pouvait vérifier les votes dès lors que le dépouillement était fini.

Étant donné qu’aucun Huissier de Justice n’était présent pour valider officiellement le vote et après avoir recueilli certains éléments qui pourraient mettre en cause la régularité du vote, Marine BEAURY constate le manque de transparence de cette élection et de ce fait qu’elle est en droit de la contester.

Pour cela, Marine compte bien introduire une action en Justice en demande d’annulation du résultat de l’élection « MISS ALBIGEOIS MIDI-PYRENEES 2008 »qui a eu lieu le 20 septembre 2008.

Marine BEAURY sera présente dans les prochains jours à PARIS lors d’une conférence de presse lors de laquelle elle s’expliquera devant les journalistes…

Elle rejoint par la même occasion le « Collectif des MISS en colère ».

Rappel du COMMUNIQUE DE PRESSE de l 'A.I.C.B.P.F.

Un « collectif » constitué, entre autres, d’anciennes « MISS FRANCE » vient de se créer afin de rétablir la vérité sur l’historique du « COMITE MISS FRANCE » et sur le palmarès officiel des élections « MISS FRANCE » depuis la création du concours.

C’est à l’initiative de Claudine CASSEREAU devenue officiellement « MISS FRANCE 1972 » après la démission de Chantal BOUVIER de LAMOTTE intervenue quelques semaines seulement après son élection, que ce « collectif » se constitue actuellement.

Claudine CASSEREAU demande par voie de Référé devant le Tribunal de Grande Instance de Draguignan que soit rectifié le palmarès des « MISS FRANCE » qui aurait été « indûment modifié » par Madame Geneviève de FONTENAY. (Audience mercredi 17 décembre 2008 à 13 heures 30).

Claudine CASSEREAU a été rejointe par « MISS FRANCE 1961 » Luce AUGER qui a également déposé plainte contre Madame de FONTENAY pour injures et diffamation publiques par voie de presse.

Ce procès est en cours au Tribunal Correctionnel de Marseille où Luce AUGER est représentée par Maître Gilbert COLLARD.

D’autres anciennes « MISS » et des ex-Délégués Régionaux du « Comité Miss France » ont déjà annoncé leur « ralliement » à cette cause en demandant également le départ de Madame de FONTENAY et l’abandon de ses fonctions au sein de l’organisation du concours « MISS FRANCE ».

Service de presse de l’A.I.C.B.P.F. en France

Posté par AICBPF, jeudi 11 décembre 2008 à 21:51

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3 décembre 2008

Le Forum mondial du Libre s'ouvre à Paris

La première édition du Forum mondial du libre s'est ouverte pour deux jours à Paris. Plus d'un millier de participants et 160 intervenants de plus de vingt pays sont attendus selon les organisateurs. (Voir le programme des 2 journées )

« Les logiciels libres pourraient représenter 30% des investissements logiciels et des services informatiques d'ici 2012, soit l'équivalent de 2% du PIB d'un pays comme la France » indiquent-ils.

Entre 15% et 24% des entreprises nord-américaines et européennes utilisent aujourd'hui ce type de logiciels, selon une étude du cabinet Forrester réalisée pour l'occasion, à la demande du groupe Bull.

La France bien placée 

La France est le pays le plus avancé en termes d'usage, grâce notamment aux initiatives du secteur public, suivie de l'Allemagne, note cette enquête.

« En période de crise économique, la motivation première pour l'adoption de l'Open Source est la réduction des coûts » pour 56% des utilisateurs interrogés, souligne Forrester. Mais d'autres facteurs entrent en ligne de compte, comme l'« indépendance vis-à-vis des éditeurs » de logiciels sous licence (43%), « la flexibilité » ou encore « l'innovation ».

Cette conférence a également pour objectif de délivrer une feuille de route fixant les lignes directrices du secteur à horizon 2020.

Tous les livres blancs consacrés aux FLOSS (Free Libre Open Source Software) sur ZDNet.fr

                       

       

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

6 novembre 2008

TNT HD : pourquoi ça démarre mal

Une petite semaine après son lancement, la TNT HD connaît quelques ratés. Téléviseurs incompatibles, zone de couverture réduite, chaînes qui ne jouent pas forcément le jeu de la HD... Il faudra encore du temps avant que le public en bénéficie pleinement.

Lancée le 30 octobre, la TNT HD provoque déjà quelques frustrations et déceptions. Alors que la France est le premier pays à lancer des chaînes haute définition via son réseau hertzien, toutes les conditions nécessaires à leur réception ne sont pas réunies. Trois facteurs principaux expliquent cette mise en route poussive.

D'abord, la zone de réception limitée. Pour le moment, seules une trentaine de grandes agglomérations sont desservies par la TNT HD (voir la carte au bas de l'article), principalement dans l'Ouest, le Sud et le bassin parisien. Le Centre et l'Est de la France sont totalement absents de ce premier lancement ; il faudra attendre le 31 mai 2009 et le déploiement de la seconde phase de déploiement pour couvrir environ 60 % de la population. La TNT HD impose une réorganisation des multiplex utilisés par la télévision hertzienne numérique et, dans certains endroits, une mise à niveau des émetteurs.

Autre souci, la compatibilité de son téléviseur. Le choix de la norme de diffusion MPeg-4, alors que la plupart des chaînes gratuites de la TNT est diffusée en MPeg-2, impose de posséder un téléviseur ou un adaptateur doté d'un double tuner : le premier pour le gratuit, le second pour la HD et les chaînes payantes.

Confusion dans l'esprit des consommateurs

Ce choix du MPeg-4, motivé à la fois pour des raisons techniques (meilleur facteur de compression donc diffusion de plus de chaînes qu'en MPeg-2 à bande passante égale) et politiques (la France fut la première en 2004 à retenir le MPeg-4 pour une partie de sa télévision numérique hertzienne) a créé une vraie confusion dans l'esprit des consommateurs, pour qui écrans plats étaient forcément synonymes de HD.

Une confusion que les pouvoirs publics et les fabricants ont consciencieusement entretenue, avec la création des logos HD Ready et Full HD, censés garantir une compatibilité avec les contenus HD mais absolument pas avec la norme de diffusion MPeg-4. La parade pour les possesseurs de TV LCD ou Plasma non compatibles réside dans l'achat d'un adaptateur supplémentaire ou d'un module PC Card compatible (si le téléviseur dispose d'une trappe idoine). Cela impose une dépense supplémentaire et les matériels adéquats ne sont pas encore largement diffusés dans le commerce.

Un nouveau logo TV HD

La création d'un nouveau logo pour désigner la TNT HD  (voir l'image) permettra de certifier aux consommateurs que le téléviseur qu'ils choisiront est bien compatible avec les déclinaisons HD de TF1, France2, Arte et M6 sur la TNT, mais il arrive un peu tard. En outre, l'obligation d'intégrer un tuner MPeg-4 dans les TV de plus de 66 cm (26 pouces) n'entrera en vigueur que le 1er décembre 2009 ; et pour les écrans de taille inférieure, il faudra attendre 2012 pour voir cette obligation étendue.

Enfin, dernier facteur pénalisant pour une adoption rapide de la TNT HD, les chaînes elles-mêmes ne jouent pas vraiment le jeu : diffusion de programmes HD natifs en quantité réduite, investissements timides dans des structures et des contenus HD, voire frein à la reprise de leur signal HD par certains FAI pour combler les zones d'ombres de la diffusion hertzienne.

Dommage, car la TV HD est un vrai progrès au même titre que l'arrivée de la couleur, et ce lancement en grande pompe aurait mérité un autre sort afin de transformer l'essai en réussite.

Sélection de cinq TV dotées d'un tuner TNT HD testées sur ZDNet.fr

Les zones de couverture de la TNT HD                                

Par Vincent Birebent, ZDNet France

Source ZDNet

2 octobre 2008

Les start-up françaises pourront-elles échapper à la crise ?

Selon l’indicateur Chausson Finance, les investissements dans les start-up au premier semestre 2008 n'ont pas fléchi, malgré une conjoncture peu favorable. Et la crise qui s'installe ne devrait pas trop secouer le secteur, estiment les analystes.

Alors que la crise américaine déferle sur les marchés européens, la société de conseil en levée de fonds Chausson Finance publie son indicateur semestriel pour le début de 2008. Et ses données sont plutôt positives : les investissements dans les starts-up en France ont atteint 470 millions au cours des six premiers mois, en augmentation de 18 % sur un an.

Certes, ils diminuent de 17 % par rapport au second semestre 2007, mais cette baisse est à relativiser estime Chausson Finance : « Historiquement, les montants investis au cours du premier semestre sont généralement inférieurs à ceux investis au second semestre. » Au total, 312 sociétés ont reçu des capitaux, pour un montant moyen d'investissement de 1,5 million d'euros.

Selon la société, ces chiffres confirment qu'il y a « une décorélation entre cycles boursiers et capital-risque ». « Malgré la période actuelle, il y a un îlot de tranquillité dans le capital-risque, car [les investisseurs] travaillent avec des fonds propres et pas avec de la dette », souligne Christophe Chausson, président et fondateur de Chausson Finance. « De plus, les fonds de capital-risque sont levés pour des périodes allant de sept à dix ans, donc les équipes sont sereines quant à la disponibilité de l'argent pour les prochaines années. C'est une période plus difficile, mais il n'y a aucune panique dans les équipes. »

Une analyse partagée par Pascal Mercier, directeur associé et cofondateur de la société Aelios Finance. « Lorsqu'on investit dans une start-up, c'est pour aider une société qui va avoir une valeur de marché à l'horizon 2011-2012. C'est la conjoncture de sortie qui importe, et l'on sait, d'expérience, qu'un cycle de crise dure généralement deux ou trois ans. Ce fut le cas pour les crises de 1992-93, puis de 2000-2001. »

Les Cleantech à la hausse

Pascal Mercier table seulement sur un ralentissement des investissements en provenance des business angels, pour lesquels le capital-risque n'est pas forcément le métier de base ; ils devraient se recentrer sur d'autres classes d'actifs. Pour les FCPR (fonds communs de placement à risque) et les FCPI (fonds communs de placement dans l'innovation), il ne faudra compter que sur un très faible ralentissement des investissements.

« Cette crise n'aura qu'un effet marginal sur l'argent disponible à investir », confirme Philippe Collombel, associé du fonds de capital-risque Partech International « Les investisseurs se montreront seulement un peu plus prudents et un peu plus sélectifs, à court terme. Mais la loi absolue est la suivante : lorsqu'il y a un bon projet, il faut le financer. » Et si la crise se poursuit sur le plus long terme, il pourrait malgré tout y avoir un équilibre naturel : les start-up hésiteront à se lancer dans l'aventure, la demande en capital va donc baisser, selon lui, régulant ainsi le marché.

Selon Chausson Finance, le secteur de la santé est celui qui a attiré le plus les capitaux, avec 120,6 millions d'euros (26 % du total), au premier semestre 2008. Suivent les logiciels (73,7 millions d'euros, 16 %), les « Cleantech » (technologies dites propres, liées aux énergies renouvelables - 67,6 millions, 14 %), les télécoms (61,7 millions - 13 %), l'internet et l'e-commerce (49,5 millions, 11 %).

Les Cleantech sont le secteur en plus forte croissance : 44 entreprises ont reçu un financement, contre seulement 27 le semestre précédent, de la part de 18 fonds de capital-risque. En revanche, « après une année faste, en 2007, le secteur internet et e-commerce connaît ce semestre une chute de 46 % des montants investis », précise l'indicateur.

Les sociétés plus matures, plus rassurantes

Selon les stades de développement des entreprises, les deuxièmes tours représentent 67 % du montant total des investissements, soit 315,7 millions d'euros. « La raison de cette tendance est toujours à trouver du côté de la Bourse, actuellement fermée à toute introduction, qui conduit nombre d'entreprises à se rabattre sur un tour supplémentaire de private equity », explique Chausson Finance.

« En période de gros temps à l'extérieur, les entreprises lèvent généralement le pied face à leur développement, et elles risquent de reporter leur décision de lever des fonds », note Christophe Chausson. « Mais sachant que les banques vont faire de moins en moins de crédit, qu'il n'y a pas la possibilité d'entrer en Bourse, le capital restera la seule façon d'obtenir des financements. »

Les premiers tours sont en forte chute (-35 %), mais représentent toutefois 112 millions d'euros, tandis que l'amorçage enregistre une croissance de 35 % et atteint 42,2 millions d'euros.

L'arrivée de la crise en Europe ne devrait pas forcément bousculer ces tendances : « Traditionnellement dans une période trouble, les investisseurs ont tendance à se tourner vers des sociétés plus matures, pour avoir une sensation de sécurité », souligne Pascal Mercier, d'Aelios Finance. « Mais il n'y en aura pas assez pour tout le monde », note-il. Et de rappeler que le critère le plus rassurant pour un investisseur est en priorité l'équipe qui pilote la start-up.

Le choix se fera en fonction du modèle économique des start-up

« Certains investisseurs préfèreront les tours tardifs de financement, mais à l'inverse, c'est dans les périodes difficiles que l'on trouve les meilleures opportunités », rappelle Christophe Chausson. Et de souligner que Price Minister et Meetic, deux des start-up françaises les plus en vue dans le domaine de l'internet, sont nées au moment de l'éclatement de la bulle du début des années 2000.

Ainsi, même le secteur internet, dans lequel les sociétés s'appuient généralement sur un modèle économique publicitaire fragile, ne semble pas inquiéter outre mesure les fonds de capital-risque : « Les nouveaux médias ont la faveur des investisseurs », note Christophe Chausson, en rappelant par exemple que sa société vient d'accompagner la start-up Pure People, qui a levé 3,5 millions d'euros pour proposer une alternative aux Voici et autres Gala sur internet.

Sur le marché de l'internet plus spécifiquement, le choix des investisseurs se fera en fonction du modèle économique des start-up : « Les modèles entièrement basés sur la publicité ne seront viables que pour les sites qui sont capables de drainer une forte audience, comme des site tels que Dailymotion. Pour les autres, il faudra d'autres modèles qui combinent plusieurs sources de revenus », explique de son côté Philippe Collombel.

Article mis à jour mercredi 1 octobre à 12h30, pour prendre en compte les commentaires de Christophe Chausson.

                               

Par Estelle Dumout, ZDNet France

Source ZDNet

14 septembre 2008

Edvige : Nicolas Sarkozy exige des modifications

Le président de la République demande à Michèle Alliot-Marie d’organiser une concertation pour désamorcer la polémique. Sont d’ores et déjà remis en cause le fichage des personnalités et les dispositions concernant l’orientation sexuelle ou la santé des personnes.

Face aux vives protestations soulevées par le fichier policier Edvige, Nicolas Sarkozy a tapé du poing sur la table : à l'issue d'une réunion organisée à l'Elysée hier soir, il a demandé à Michèle Alliot-Marie « d'ouvrir rapidement une concertation avec des personnes qualifiées » sur ce sujet. Il exige qu'ensuite des décisions soient prises pour « protéger les libertés ».

On connaît déjà une partie de ces décisions, soufflées par le chef de l'Etat lui-même : tout d'abord exit le fichage des « personnalités », c'est-à-dire des représentants politiques, syndicaux ou des acteurs économiques, institutionnels, sociaux ou religieux, au seul motif qu'ils étaient susceptibles de troubler l'ordre public. De même, les mentions concernant la sexualité ou la santé des personnes fichées pourraient à l'avenir disparaître.

Interrogée sur TF1 hier soir, Michèle Alliot-Marie a confirmé son intention de rencontrer, dans les jours à venir, « des personnalités afin de lever les inquiétudes ». Parmi celles-ci : Alec Türk, le président de la Commission nationale de l'informatique et des libertés, Laurence Parisot, la présidente du Medef, ou encore François Chérèque, le secrétaire générale de la CFDT. En revanche, les représentants des associations qui dénoncent le décret paru en juillet dernier ne devraient pas être associés à la négociation.

La finalité de cette concertation est d'inscrire « dans une loi toutes les garanties nécessaires » aux libertés publiques, a précisé la ministre de l'Intérieur, sur RTL. En revanche pas question de supprimer purement et simplement le fichier, comme le demandent certains.

Le collectif « Non à Edvige » n'est pas invité à négocier

Ce revirement n'est pas vraiment une surprise : déjà hier, en cours de journée, la ministre avait fait marche arrière sur l'une des mesures les plus contestées, le fichage des mineurs à partir de 13 ans. Elle a plaidé pour un « droit à l'oubli », qui entraînerait la suppression de ces fiches au bout d'un certain temps, afin qu'une erreur de jeunesse ne poursuive pas à vie une personne.

Malgré ces avancées, le collectif « Non à Edvige », qui rassemble une douzaine d'organisations (Ligue des droits de l'Homme, Syndicat de la Magistrature, Aides, CFDT...), tempête toujours, car ses représentants ne seront pas consultés : « Cette mise à l'écart va manifestement à l'encontre de la démarche d'apaisement et de dialogue mise en avant par le président de la République pour garantir les libertés », expliquent-ils dans un communiqué.

Selon eux, « le retrait du décret est un préalable à l'ouverture d'un débat parlementaire sur le respect des libertés publiques, débat dont l'annonce nous réjouit ». Ils vont rencontrer les groupes parlementaires à l'Assemblée et au Sénat, pour tenter de faire entendre leur voix.

Parallèlement, ils maintiennent leur appel « à fêter la sainte Edvige le 16 octobre en se rassemblant à Paris et en région pour faciliter le travail de la police et à déposer leur propre fiche individuelle de renseignements auprès des services concernés, afin de démontrer que l'absurdité sécuritaire aboutit, peu ou prou, à ficher toute la population. »

                               

Par Estelle Dumout, ZDNet France

Source ZDNet

15 août 2008

Les médailles de la France

France_JO

Source ICI

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