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Le journal de l'info

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24 janvier 2008

Il etait une fois le 11 Septembre 2001 partie 5

Il etait une fois le 11 Septembre 2001 partie 5
Vidéo envoyée par sulaymane

 

Il etait une fois le 11 Septembre 2001 partie 1 est un reportage sur l'un des plus gros complot americain

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24 janvier 2008

Bill Gates sur BFM TV

Salut,
Le Dimanche 3 Fevrier a 18 H, il y aura Bill Gates

BFM

24 janvier 2008

11 septembre 2001 flashs de 15 h non intégrale

11 septembre 2001 flashs de 15 h non intégrale
Vidéo envoyée par ssff13800

Flash de LCI et France 2 non integrale du pire attentats qu'a connu l'amérique Merci a interactv.online.fr pour cette vidéo

24 janvier 2008

Attentats du 11 septembre 2001 : le Parlement japonais pose les questions de Thierry Meyssan

Les téléspectateurs japonais ont eu le privilège, le 11 janvier 2008, d’assister en direct à une surprenante audition sénatoriale : le président d’une commission parlementaire a pris a partie le Premier ministre, les ministres des Affaires étrangères, des Finances et de la Défense pour leur faire constater que, six ans après les attentats du 11 septembre, ils n’étaient toujours pas en mesure d’expliquer les faits et de confirmer que les attentats avaient été commandités depuis une grotte afghane. Nous reproduisons l’intégrale de ce crime de lèse-majesté états-unienne.

 

Pour lire la suite clique ICI

24 janvier 2008

La France est devenue « un pays phare pour le logiciel libre »

Selon le cabinet Pierre Audoin Consultants, le marché français du logiciel libre génère le plus de revenus en Europe. Sur un an, le secteur a progressé de 66 %, tiré notamment par les programmes d’équipements des services publics.                        

Avec un chiffre d'affaires de 730 millions d'euros, le marché français des logiciels libres et des services associés est le plus important sur le Vieux Continent, esime le cabinet Pierre Audoin Consultant (PAC). Ce chiffre, en augmentation de 66 % par rapport à 2006, représente le cumul des investissements des entreprises et des administrations dans les solutions non propriétaires.

Rapporté au revenu total du secteur des logiciels et services (libre comme propriétaire), soit 30 milliards d'euros en 2007, le segment du libre en France représente 2,4 % ; ce ratio était de 1,5 % l'année dernière.

À titre de comparaison, le même segment a pesé, en Allemagne et au Royaume-Uni, respectivement 444 et 448 millions d'euros. Soit moins de 1 % du CA global du secteur des logiciels et services dans ces deux pays (44,7 et 54,6 milliards d'euros).

« La France est devenue le pays européen le plus "intensif " en matière de logiciels libres, que ce soit par l'importance de ses contributions, l'expérience acquise, l'industrialisation des offres ou la taille des projets », indique à ZDNet.fr, Mathieu Pujol, consultant senior pour le cabinet PAC.

Un marché français soutenu par les programmes publics

Une explication à cela : « Le marché français du libre est dynamisé depuis plusieurs années par les programmes de modernisation de l'État qui font la part belle aux technologies issues du logiciel libre », souligne le cabinet d'études.

Les exemples d'adoption de solutions non propriétaires dans la fonction publique ne manquent pas. Rien que sur le poste client : les gendarmes sont passés à OpenOffice, tout comme les fonctionnaires du ministère de l'Agriculture et de la Pêche ou encore ceux du ministère de la Justice. Et depuis la dernière rentrée parlementaire, les députés disposent également de PC dotés de la suite libre.

Quant à l'outil de messagerie libre Thunderbird, il équipe plusieurs dizaines de milliers de boîtes e-mail de la Caisse nationale d'assurance maladie ; le ministère de l'Équipement et celui de la Défense y ont également recours.

Enfin, s'agissant des systèmes d'information, le logiciel libre est largement représenté. Depuis quelques années, la Direction générale des impôts (DGI) est passée à l'open source pour la télédéclaration de revenus ; le ministère de l'Éducation nationale utilise également l'OS Linux de Mandriva sur une partie de ses serveurs.

« Les investissements publics ont servi d'amorce au marché et ont eu un fort effet d'entraînement  sur le privé », poursuit-on chez PAC. D'autant qu'il existait déjà une longue expérience du logiciel libre dans des secteurs dépendants des commandes publiques, comme les systèmes embarqués dans l'aérospatial et la défense.

Le phénomène devrait s'accentuer dans les années à venir. En Europe, le marché des logiciels libres a représenté 2,2 milliards d'euros en 2007, et devrait atteindre 12,7 milliards en 2011. À cette date, il grimperait alors en France, à 3 milliards d'euros.

                               

Par Christophe Guillemin, ZDNet France

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24 janvier 2008

Le MacBook Air salué par Greenpeace

L'association de défense de l'environnement est satisfaite des efforts d'Apple consentis dans le cadre de la réalisation de son ultraportable MacBook Air. Ce produit ne contient ni arsenic ni mercure, et Greenpeace note également l'absence dans la carte mère de retardateurs de flamme bromés (RFB) et de plastique chloré (PVC).

« Apple est sur la bonne voie. Elle doit maintenant généraliser cette nouvelle démarche d'éco-conception à tous ses produits, qu'ils soient anciens ou nouveaux », commente Yannick Vicaire, chargé de campagne toxiques à Greenpeace.

 

L'association avait épinglé la firme à la pomme à plusieurs reprises. En octobre dernier, Greenpeace déplorait que l'iPhone intègre du brome et des phtalates, deux substances très toxiques. Six mois plus tôt, l'association plaçait Apple à la dernière place son classement des fabricants de produits électroniques respectueux de l'environnement.

Le groupe américain s'était alors engagé à être « plus vert ». S'il ne l'a pas fait avec l'iPhone, le MacBook Air semble être la première concrétisation de ces engagements.

« Le "couac" de l'iPhone prouve que nous devons maintenir notre pression et continuer à motiver Steve Jobs le patron d'Apple dans cette voie. Le MacBook Air n'est pas encore complètement exempt de substances chimiques nocives, mais Apple se place aujourd'hui en position de doubler ses concurrents en matière de conception écologique », conclut Yannick Vicaire.

Par la rédaction, ZDNet France

24 janvier 2008

Flickr expose une tranche d'histoire des États-Unis

Dans le cadre d'un partenariat avec la bibliothèque du Congrès américain, des photos datant des années 1910 à 1940, sont à disposition sur le site de photo communautaire. Le public est invité à leur ajouter des tags pour augmenter leurs chances d'être vues.

Le site de partage de photos Flickr veut faire connaître l'histoire des États-Unis. Grâce à une collaboration avec la bibliothèque du Congrès américain, mémoire de l'histoire du pays, il ouvre ses pages aux images d'archives.

Au total, 3 115 sont mises en ligne, datant des années 1910, 1930 et 1940 (en couleurs), dans le cadre du projet « The Commons ». Autant de témoignages des événements et de la vie dans les villes et campagnes des États-Unis, notamment en temps de guerre.         

L'initiative fait partie d'un projet pilote de la Library of Congress, qui souhaite mettre à la portée d'un très large public ses collections, en expérimentant les possibilités que lui offrent des technologies Web 2.0, à moindres frais.

Les internautes ne sont pas que spectateurs, puisqu'ils sont invités à participer activement en commentant ces photos, et surtout en leur attribuant des tags ou mots-clés. Une opération qui permet ensuite lors d'une recherche sur ces mots-clés d'afficher les photos concernées. Chacune peut se voir doter d'un maximum de 75 tags, ce qui augmente d'autant ses chances d'être vue.

« Cette initiative vise à ouvrir les yeux du public sur les trésors cachés de l'immense collection de la bibliothèque, et à montrer à quel point un tag ou deux peuvent apporter une réelle valeur ajoutée », précise Flicker. « Je souhaite voir si l'on peut établir la pertinence de l'approche folksonomique adoptée par Flickr (classification du contenu par le public, Ndlr), associée à l'expertise de ces institutions », indique George Oates, responsable chez Flickr du programme « The Commons ».

Le site compte par la suite ajouter à ses bases les photos d'autres institutions, comme les musées notamment.                               

Par Daniel Terdiman, CNET News.com

Source zdnet

24 janvier 2008

Facebook dans le collimateur de la Cnil

La Cnil considère que le réseau social présente des risques au regard de la protection des données privées. Elle lui réclame des informations sur la conservation des données de ses membres et sur leur utilisation à des fins publicitaires.   

La Commission nationale informatique et liberté (Cnil) se penche sur le dossier des réseaux sociaux sur internet, dont le plus connu est Facebook. Ces plates-formes « sont source de nouveaux enjeux en terme de protection de la vie privée » car « ils offrent des services innovants, et généralement gratuits, souvent en contrepartie d'une utilisation commerciale de vos données personnelles », souligne la commission.

Elle recommande donc la plus grande vigilance aux internautes. Concernant le cas Facebook, la Cnil demande aux responsables du célèbre réseau social des précisions sur la gestion des données personnelles de ses membres. Cela « afin d'évaluer les risques qu'un tel service peut comporter au regard de la protection des données ».         

La Cnil veut obtenir des informations sur la durée de conservation des données personnelles des utilisateurs, des adresses IP traitées et des adresses de courrier électronique des personnes invitées par un membre.

Par ailleurs, elle souhaite s'informer sur la manière dont Facebook analyse les profils de ses membres afin de leur délivrer des publicités ciblées. À ce sujet, elle indique que les utilisateurs concernés doivent être informés de la finalité des fichiers, des destinataires des données et de l'existence d'un droit d'accès et de rectification.

La Cnil a déjà rencontré à l'automne dernier des représentants de Facebook ; depuis elle leur a adressé un courrier, dont elle attend les réponses.

Rappelons qu'en décembre 2007, le réseau social a fait l'objet de nombreuses critiques lors du lancement de son programme publicitaire Facebook Ads, dont la fonctionnalité Beacon permettait de suivre le parcours de ses amis sur des sites partenaires de Facebook.

Depuis, les responsables du réseau social ont fait leur mea culpa et proposer à leurs membres de désactiver définitivement la fonction.                               

Par Christophe Guillemin, ZDNet France

Source ZDNet

24 janvier 2008

Offensive tous azimuts de Microsoft sur le front de la virtualisation

Pour s'imposer sur un marché mené par VMWare, l'éditeur de Redmond ne lésine pas : rachat d’une start-up spécialisée, Calista ; élargissement de son partenariat avec Citrix pour son hyperviseur ; et « virtualisation » de toutes les versions de Vista.

Microsoft intensifie ses initiatives pour concurrencer VMWare, le leader du secteur de la virtualisation. Premières annonces de taille, lundi 21 janvier : le rachat de l'éditeur californien Calista Technologies (pour un montant non communiqué), et le renforcement de son partenariat avec Citrix Systems.

Calista propose une technologie brevetée qui améliore les performances des bureaux distants virtualisés. Spécialiste des clients légers, Citrix Systems développe, quant à lui, un outil censé améliorer la compatibilité entre ses produits XenServer et Hyper-V, la fonctionnalité de virtualisation du futur Windows Server 2008, attendu dans les semaines qui viennent.         

Les versions grand public de Vista sur machines virtuelles

Une troisième décision de Microsoft a des conséquences plus immédiates pour les utilisateurs. L'éditeur américain élargit le spectre des versions de Vista ouvertes à la virtualisation : les versions grand public de son OS - la familiale basique et la familiale Premium - pourront être exécutées sur des machines virtuelles, en tant qu'hôtes.

Une décision bienvenue pour de nombreux utilisateurs, notamment ceux de Macintosh désireux de faire tourner la toute dernière version de Windows à moindre coût. Jusqu'à présent, ils devaient se procurer les versions haut de gamme de Vista - Professionnel ou Intégrale de Vista, les plus chères -, Microsoft indiquant craindre des problèmes de sécurité en cas de mauvaises configurations. Il préférait limiter la virtualisation aux versions plus onéreuses, pour que seuls les utilisateurs chevronnés techniquement s'y risquent.

Les éditeurs tiers de produits de virtualisation y trouveront également leur compte, en voyant les coûts de licence nettement réduits. C'est le cas de Parallels, dont les logiciels permettent d'exécuter Windows sur un Mac. « Cela montre que Microsoft s'investit sur le marché de la virtualisation, et nous ouvre de nouvelles possibilités de partenariats » sans avoir à s'acquitter de frais de licences colossaux, s'est réjoui l'un de ses dirigeants, Benjamin Rudolph.

Séduire et reconquérir aussi les utilisateurs de Mac ou Linux

Et de pointer aussi l'intérêt pour Microsoft. « C'est une bonne chose pour les utilisateurs qui ne sont pas ses clients (Mac et Linux notamment), puisqu'ils ont désormais un moyen d'accéder, à moindre coût, à Windows et à sa colossale gamme de logiciels », indique Benjamin Rudolph, faisant allusion aux 6 % d'ordinateurs qui ne tournent pas sous Windows actuellement. « Cela va l'aider à viser les 100 % de parts de marché », en tentant de séduire ou de reconquérir ceux notamment attirés par l'univers Mac, pour la simplicité d'usage et de maintenance des machines.

Enfin, la dernière décision annoncée lundi vise à faciliter le déploiement de Vista dans les grandes entreprises qui souhaitent l'installer sur un serveur, en l'utilisant sur un terminal distant - PC ou client léger. Les tarifs des licences baissent considérablement pour les clients de la Software Assurance, de l'ordre de 25 à 50 %, passant désormais à 23 dollars par machine et par an pour les PC sous Windows, et à 110 dollars pour les clients légers.                               

Par Ina Fried, News.com et Mary-Jo Foley,  ZDNet.com,

Source  ZDNet

24 janvier 2008

Apple débute l'année en fanfare mais inquiète les marchés

La firme à la pomme a réussi son premier trimestre fiscal avec un bénéfice en hausse de 58%. Si les ventes de Macintosh et d'iPhone sont au beau fixe, l'iPod commence à montrer des signes de faiblesse. Et la mauvaise conjoncture économique américaine inquiète les analystes pour 2008.

Tous les voyants sont au vert pour Apple, qui se targue d'un chiffre d'affaires en hausse pour son premier trimestre fiscal, achevé fin décembre. Il culmine à 9,6 milliards de dollars, dépassant les prévisions des analystes tablant sur 9,5 milliards. Le bénéfice net se monte à 1,6 milliard, en hausse de 58 % par rapport au premier trimestre 2007.

Une excellente forme due notamment au succès des Macintosh, avec un chiffre d'affaires en hausse de 47 % d'une année sur l'autre, confirmant le retour en force d'Apple sur le marché des ordinateurs personnels. Au total, 2,319 millions de Mac ont été vendus entre octobre et décembre. Une croissance que l'entreprise impute principalement aux nouveaux modèles d'iMac pour le bureau, lancés l'été dernier.         

50 % de nouveaux clients

504 000 exemplaires ont été vendus via les magasins Apple, soit 64 % de plus d'une année sur l'autre. Et comme en 2007, leurs acheteurs étaient de nouveaux clients, selon la firme.

Sorti fin octobre, Leopard (Mac OS X 10.5) a généré en trois mois 170 millions de dollars de chiffre d'affaires, contre 100 millions pour son prédécesseur Tiger (Mac OS X 10.4) sorti en 2005. Le nouvel OS équipe déjà 19 % de la base installée des Macintosh selon Apple.

Déception en revanche du côté des iPod, écoulés à 22,12 millions d'exemplaires. Selon les analystes, qui tablaient sur 24,7 millions d'unités vendues, la fièvre autour du baladeur commence à retomber malgré un chiffre d'affaires en hausse de 17 %. Le haut de gamme, iPod Touch, a semble-t-il mieux résisté que les gammes Nano ou Shuffle.

« Un début prometteur pour le Touch », commente Peter Oppenheimer, directeur financier d'Apple, alors qu'il est « l'iPod le plus cher lancé à ce jour ». Mais il a un atout, souligne-t-il, pouvant devenir « la première plate-forme Wi-Fi mobile grand public ».

2,3 millions d'iPhone vendus en trois mois

Plus globalement, l'iPhone a lui aussi contribué aux résultats. Il s'est écoule à 2,3 millions sur le dernier trimestre, et à 4 millions dans le monde depuis son lancement (en juin 2007 aux États-Unis). L'objectif fixé demeure à 10 millions d'unités en 2008.

Les résultats d'Apple n'ont pas rassuré les marchés financiers, l'action de la firme chutant de 11 % dans la foulée de l'annonce. Les craintes d'une baisse des dépenses du public présagent un deuxième trimestre décevant, même si Peter Oppenheimer, directeur financier d'Apple, s'est dit confiant.                               

Par Béatrice Gay, ZDNet France

Source ZDNet

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