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12 mai 2008

L'iPhone d'Apple en rupture de stock : la version 3G imminente ?

Les stocks de l'iPhone d'Apple seraient presque épuisés. C'est en tout cas ce que laissent penser les versions américaine et britannique de l'Apple Store, qui toutes deux indiquent que le smartphone n'est plus disponible, tant dans sa version 8 Go que 16 Go.

Au Royaume-Uni, le revendeur Carphone Warehouse informe également le public que le téléphone ne peut plus être acheté. L'opérateur britannique O2 annonce pour sa part avoir écoulé tous les stocks de la version la plus ancienne - 8 Go -, sans aucun réassort au programme. En revanche, la version 16 Go est encore disponible.

Il n'en fallait cependant pas plus pour raviver les rumeurs de lancement précipité de la version 2 de l'iPhone, 3G en Europe, qui pourrait doper des ventes plutôt décevantes. Habituellement, lorsqu'un produit Apple est indisponible sur son magasin en ligne, c'est le signe qu'il va être remplacé par un nouveau modèle.

Personne n'était joignable dans l'immédiat chez Apple Europe. Mais un responsable de Telecom Italia Mobile (TIM) vient de confier que l'iPhone 3G sera disponible en juin en Italie, sans plus de détails.

En France, l'iPhone est toujours disponible chez Orange, dont les ventes se situent dans la fourchette basse des prévisions. Selon les analystes, Steve Jobs pourrait présenter le nouvel iPhone, doté de fonctions 3G, le 9 juin prochain à San Francisco lors de son discours d'ouverture du WWDC (Worldwide Developers Conference 2008), la conférence destinée aux développeurs Apple.



Source ZDNet

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16 janvier 2008

5 millions de Leopard et 4 millions d'iPhone vendus

Depuis sa sortie en octobre 2007, Apple a vendu 5 millions d'exemplaires de son nouveau Mac OS X - Leopard - dans le monde, comme l'a annoncé Steve Jobs en introduction de son discours d'ouverture du salon MacWorld de San Francisco (15-18 janvier).

Ces chiffres incluent les exemplaires vendus dans les Apple Retail Stores, auprès des revendeurs Apple et sur le site Apple Store, ainsi que ceux livrés dans le cadre de contrats de maintenance et, enfin, ceux intégrés aux nouveaux ordinateurs Mac.         

Sixième version majeure de Mac OS X, Leopard réunit plus de 300 nouvelles fonctionnalités.

Autre chiffre : l'iPhone s'est écoulé à 4 millions d'unités depuis son lancement en juin 2007 aux Etats-Unis, avec une moyenne de 20 000 unités par jour.

Le P-DG d'Apple a précisé que le kit de développement de l'iPhone sera bien proposé le mois prochain.  Il a, par ailleurs, présenté un nouveau firmware pour le combiné, disponible dès aujourd'hui ; il permet l'envoi de SMS à plusieurs utilisateurs simultanément, intègre des cartes Google avec géolocalisation, permet la personnalisation de la page d'accueil du combiné, la création de Webclips (raccourcis web sur la page d'accueil du combiné) et la gestion des paroles de chansons.

Source zdnet

15 janvier 2008

L'iPhone fait bondir le trafic des sites mobiles de Google

Le moteur de recherche a vu la part de trafic générée par l’iPhone augmenter de manière significative à la fin de 2007. Une tendance qui confirme que le développement de services mobiles dédiés au téléphone d’Apple est un enjeu de taille.

Le succès de l'iPhone va-t-il accélérer le développement de l'internet mobile ? Durant les fêtes de Noël, Google a enregistré des courbes de trafic inhabituelles sur ses sites et services mobiles : la part d'audience générée par le téléphone d'Apple y a dépassé celle de n'importe quel autre type d'appareil mobile.

Selon des données internes consultées par le New York Times, le trafic produit par le combiné d'Apple est ensuite retombé à des proportions inférieures à celui des téléphones équipés d'un OS Symbian, installé notamment sur les combinés Nokia. Mais il se place en deuxième position, devant les téléphones Windows Mobile, ou les BlackBerry.         

De son côté, Yahoo confirme que le smartphone génère une quantité disproportionnée de trafic sur ses sites mobiles, sans toutefois donner plus de précisions.

Des données étonnantes lorsqu'on regarde les parts de marché des OS mobiles. Les téléphones équipés d'un OS Symbian s'arrogent 63 % de parts, devant les téléphones sous Windows Mobile (11 %) et les Blackberry (10 %), selon les chiffres fournis par le cabinet IDC. Quant à l'iPhone, il n'occupe que 2 % du marché dans le monde.

« Il s'agit d'usage, pas simplement d'unités vendues. Ces données prouvent que les gens utilisent le navigateur de l'iPhone. » explique à CNET News.com Vic Gundotra, vice-président de la division mobile chez Google.

Faciliter l'usage et la navigation

Lors du lancement de l'iPhone (en juin aux États-Unis, en novembre en Europe), la fonction de navigation sur internet de l'iPhone a fait l'unanimité. « L'iPhone a supprimé la frustration que l'on pouvait ressentir en navigant sur un téléphone mobile », confirme au quotidien américain Charles Wolf, analyste chez Needham & Company.

Rappelons qu'il n'est pas compatible avec l'internet mobile haut débit 3G, seulement Edge, mais il peut se connecter aux réseaux Wi-Fi.

Cette tendance avait été anticipée par Google : il y a six semaines, le moteur de recherche a sorti une interface dédiée pour permettre aux utilisateurs d'accéder à ses services via l'iPhone. Basée sur des technologies telles qu'Ajax, elle donne accès aux fonctions de recherche de Google, à la messagerie Gmail, au service de photos Picasa, ou encore à l'agenda Calendar et aux fils d'actualités. D'autres éditeurs de sites avaient fait de même our profiter de l'énorme bruit médiatique provoqué par le smartphone.

Google va profiter du Macworld, qui se tient à San Francisco du 15 au 18 janvier, pour y présenter une première mise à jour de son interface, notamment avec son portail iGoogle, optimisé pour l'iPhone. Une interface qui fonctionnera aussi parfaitement sur Android, la plate-forme logicielle mobile de Google, rappelle Vic Gundotra.

Source zdnet

10 janvier 2008

L'iPhone cible d'un cheval de Troie

Symantec et F-Secure ont décelé un cheval de Troie affectant le smartphone d'Apple. Pas véritablement dangereux, il concerne uniquement certains possesseurs de l'iPhone qui ont installé des applications tierces, et non le grand public.       

Un peu plus d'un mois après sa sortie en France, l'iPhone est déjà la cible d'auteurs de programmes malveillants. Un cheval de Troie, portant les noms « iPhone firmware 1.1.3 prep » ou « 113 prep », a été repéré par les spécialistes de la sécurité Symantec et F-Secure.

Tous les possesseurs de l'iPhone ne sont cependant pas concernés. Seuls ceux ayant effectué des manipulations spécifiques pour installer des applications tierces sur leur smartphone pourraient en avoir été victimes.

Le programme n'est pas très dangereux, affichant seulement le mot « shoes » lorsqu'il est installé par l'utilisateur. En fait, il devient un peu plus gênant lorsqu'on cherche à le désinstaller, puisque l'opération efface du répertoire « /bin » des utilitaires de lignes de commande spécifiques pour l'iPhone, tels que « sendfile ». Selon Symantec, le cheval de Troie écraserait aussi le protocole de chiffrement open source OpenSSH. Des éléments qui ne font toutefois pas partie des fichiers système.

« Une mauvaise plaisanterie »

« Il s'agit, d'un point de vue technique, du premier cheval de Troie pour l'iPhone décelé. Cependant, il semble s'agir plus d'une mauvaise plaisanterie que d'une réelle création malveillante », explique Orla Cox de Symantec. « Les conséquences de la désinstallation de l'application ne semblent pas avoir été voulues par l'auteur. »

Pour s'en débarrasser, les utilisateurs affectés doivent la désinstaller puis réinstaller les fichiers supprimés. À ce jour, les chances de retrouver ce cheval de Troie sur son iPhone sont très minimes, puisque le site d'où il était téléchargé, caché sous un faux nom, a été désactivé, indique Symantec.

Comme F-Secure, l'éditeur d'antivirus appelle à la prudence lors de l'installation de logiciels tiers sur l'iPhone. Apple ne permet pas encore l'ajout d'applications optionnelles, mais une annonce en ce sens pourrait être faite au salon MacWorld Expo, qui se tiendra du 14 au 18 janvier à San Francisco.

Source zdnet

                               

14 décembre 2007

Windows 7 sera optimisé pour les écrans tactiles

Microsoft communique au compte-gouttes les axes de développement de son prochain OS attendu pour 2010 et répondant au nom de code Windows 7. Le dernier en date concerne le développement du support des écrans tactiles dans Windows, comme l'a indiqué sur son blog, Hilton Locke, un des ingénieurs de Microsoft.

« Si vous êtes impressionnés par les fonctions tactiles de l'iPhone, vous serez soufflés par ce qui sera proposé dans Windows 7 », écrit-il. Locke précise que l'éditeur devra toutefois convaincre les fabricants de PC que cette technologie d'écran tactile - Windows Touch Technology - pourrait améliorer leurs ventes.

       

C'est loin d'être le cas aujourd'hui avec Vista, qui intègre déjà une interface pour écran tactile, exploitée par peu de fabricants. Il y a la tablette PC de Dell (Latitude XT Tablet) qui devrait être sous peu commercialisée aux États-Unis, ou le TouchSmart PC de HP, un véritable PC tactile (voir photo ci-dessus).

Autre exemple d'exploitation des fonctions tactiles de Vista : la table interactive Surface, qui cible les marchés de la restauration et de l'hôtellerie (bientôt chez Novotel en France).

Source zdnet

                               
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10 décembre 2007

Nokia N95 8Go face à l'iPhone d'Apple

Confrontés à la déferlante iPhone, les fabricants « historiques » de téléphones mobiles, smartphones et PDA tentent d'organiser la résistance. Le N95 8Go fait partie de ces appareils qui veulent barrer la route au phénomène d'Apple. C'est l'occasion de les confronter.

Fonctions audio, vidéo, photo, mémoire embarquée de 8Go, surf sur internet, consultation de mails... les points communs poussant à la comparaison du Nokia N95 8Go et de l'Apple iPhone sont nombreux. Elle permet déjà de vérifier le bien-fondé des discours marketing qui opposent ces deux produits en challengers.

S'ils sont placés en concurrence, il ne faut pas pour autant occulter leurs différences. La première, là où réside toute la force de l'iPhone, est  l'interface de navigation. Le N95 se contente de proposer une utilisation classique. A l'instar de l'iPod et de sa molette cliquable qui a révolutionné l'univers des baladeurs MP3, l'iPhone réinvente l'écran tactile. Il ne s'agit plus de toucher un écran du bout du doigt ou avec un stylet (cette dernière action ne fonctionne d'ailleurs pas avec l'iPhone), mais véritablement « d'inter-réagir » avec lui.

Pour contrer l'ergonomie de l'iPhone, le N95 avance des arguments technologiques : présence d'un module GPS, capteurs photo de 5 mégapixels, compatibilité 3G+. Il est vrai, que sur le point purement technologique (écran et interface tactile mise à part), l'iPhone semble un peu en retard sur son temps.

Le N95 est indubitablement un objet pratique bourré de fonctionnalités, mais il passe pour un « utilitaire », comparé au vent de nouveauté apporté par l'iPhone, dont l'interface et le caractère fun nous ont finalement séduits.

Source zdnet

30 novembre 2007

Sorti de L'iPhone

30 novembre 2007

comment Apple a imposé un modèle économique inédit aux opérateurs

Pour distribuer son iPhone, Apple mise sur un nouveau modèle économique basé sur des rentes régulières, rompant avec le modèle traditionnel. Orange va lui reverser une part des revenus tirés des forfaits et services, pouvant représenter 240 euros par client sur 24 mois.

Et si l'interface n'était pas la principale innovation de l'iPhone ? Son modèle économique tranche lui aussi avec ce qui existe sur le marché de la téléphonie mobile. « Dans son principe, le modèle est unique car il prévoit des revenus récurrents pour Apple, générés par la consommation des clients utilisant l'iPhone », explique Vincent Poulbère, analyste télécoms chez Ovum.

Apple va au-delà de la seule revente, comme c'est le cas habituellement sur le marché, en recevant un reversement compris entre 10 et 30 % des revenus générés par l'opérateur sur l'iPhone. En contrepartie, la firme de Steve Jobs accorde une exclusivité de longue durée (plus de 24 mois).         

Le cabinet Sia Conseil a modélisé ce reversement pour le marché français. Avec des abonnements facturés par Orange de 49 à 119 euros, Apple encaissera au minimum 100 à 240 euros en moyenne par client sur 24 mois, estime le cabinet, sur la base d'un reversement de 10 %, et sans compter les dépassements de forfaits et les autres services utilisés.

Une marge additionnelle de 60 à 150 %

Apple gagne déjà environ 140 euros avec la vente de l'appareil selon les calculs du cabinet d'études iSuppli. Avec le reversement d'Orange, il ajoute une marge additionnelle de 60 à 150 % par rapport à celle réalisée sur la vente du terminal.

« Sur les abonnements les plus chers, Apple réalisera bien plus de revenus sur le reversement de l'opérateur que sur la vente de l'iPhone », souligne Stéphane Dubreuil, directeur du pôle Médias et Télécoms chez SIA Conseil. « Cela n'a jamais été fait ».

La firme de Steve Jobs va également obtenir sa part sur les ventes d'accessoires et des recettes de certains partenaires, comme YouTube, qui lui reversent une portion des revenus générés sur leur trafic. Sans compter les ventes directes de sonneries ainsi que les morceaux de musique à télécharger pour les fonctions baladeurs, via sa plate-forme iTtunes Store.

Pour Orange, un impact sur ses autres offres

Dans le tandem, le rôle d'Orange est donc considérablement réduit. Habituellement, les opérateurs achètent des combinés en grandes quantités, appliquent une subvention pour en faire baisser le prix de vente (via les programmes de renouvellement ou les promotions, notamment, Ndlr), et génèrent des revenus sur les abonnements et l'ensemble des autres services dont ils sont également les principaux fournisseurs.  Mais Apple lui a demandé de n'appliquer aucune subvention sur l'appareil.

Même si France Télécom espère vendre entre 400 000 et 500 000 abonnements liés au smartphone à compter de 2008, l'iPhone ne sera sans doute pas le plus gros succès financier d'Orange. Mais il bénéficie d'un énorme pouvoir d'attraction. « Le trafic additionnel généré dans les magasins grâce la force d'attractivité de la marque, aura un effet d'entraînement sur le reste de la gamme Orange. En effet, l'opérateur va compléter sa gamme pour cibler l'ensemble des budgets, avec d'autres offres plus abordables ciblant le coeur du marché », estime SIA.

Un modèle qui fera difficilement des émules

         

Le modèle innovant d'Apple peut-il être récupéré par d'autres fabricants ? « Je ne pense pas que le modèle de l'iPhone soit susceptible d'être généralisé », estime Vincent Poulbère, d'Ovum.

Et l'analyste d'évoquer deux raisons. La première est qu'aucun autre acteur n'aurait la capacité d'Apple à susciter autant d'attractivité autour d'un produit, hormis peut-être Nokia. La seconde est que le rapport de force habituel entre les opérateurs et les fabricants ne serait pas suffisamment en faveur des constructeurs pour qu'ils obtiennent autant qu'Apple.  Dans le modèle traditionnel, les opérateurs sont les principaux acheteurs de combinés, et ils ne se plient donc pas forcément aux exigences des fabricants. Des positions qui expliquent les difficiles négociations entre Orange et Apple autour de l'iPhone.

Là encore, à part Nokia et ses 40% de parts de marché, aucun fabricant ne pèse assez lourd sur le marché pour imposer un nouveau modèle. Le géant finlandais serait donc le seul à pouvoir tenter d'obtenir des rentes régulières auprès des opérateurs, comme le fait Apple.
 
Pour la période des fêtes (jusqu'au 15 janvier), SIA Conseil estime qu'Orange est en mesure d'écouler entre 140 et 160 000 iPhone, soit environ 20 000 par semaine. Des prévisions correspondant à l'objectif de l'opérateur, qui espère déjà en vendre 100 000 en un mois.

Source zdnet

28 novembre 2007

Windows Vista loin derrière XP en termes de performances

Des tests indépendants de mesures des performances montrent que Windows Vista, avec ou sans son Service Pack 1, est plus lent que son prédécesseur. De quoi renforcer la longévité de Windows XP, qui disposera d'un ultime SP3, début 2008.

Nouveau coup dur pour Windows Vista : des tests indépendants (*) montrent que le système d'exploitation de Microsoft affiche de moins bonnes performances que Windows XP, même enrichi des nouveautés du premier Service Pack (SP1) qui arrivera début 2008.

Une société américaine de développement logiciel, Devil Mountain Software, a réalisé des tests comparatifs basés sur Office 2007, en utilisant Vista seul ou la version bêta de son SP1. Dans les deux cas, Vista a été beaucoup plus lent que XP, nécessitant jusqu'à 80 secondes pour terminer un test lancé, contre 35 secondes pour le SP3 de XP (attendu en même temps que Vista SP1).         

Autre observation, le SP1 augmente les performances de Vista de moins de 2 %, tandis que XP voit les siennes accrues de 10 % avec son SP3, également en version bêta.

Face à ces conclusions peu favorables, Microsoft a répondu que les Service Packs « sont encore en développement » et continueront d'évoluer d'ici leur sortie. « Notre but est toujours de fournir des Service Packs qui répondent le plus possible aux besoins des utilisateurs. »

Si le SP1 n'évolue cependant pas suffisamment, les entreprises qui l'attendent pour migrer ne seront pas enclines à franchir le pas. Un an après la sortie de sa version pour professionnels, Vista affiche un taux d'adoption nettement inférieur à celui de XP sur la même période. « Le monde n'était pas totalement prêt pour Windows Vista », a reconnu il y a quelques jours le vice-président de Microsoft, Mike Sievert, lors d'une conférence à Denver.

« Microsoft n'a pas assez communiqué sur Vista »

Les atouts de Windows Vista n'ont pas assez été mis en avant, commente l'analyste de NPD Chris Swenson. « Il y a de nombreux nouvelles fonctionnalités complexes dans Vista, nécessitant d'éduquer les consommateurs... Tout comme Apple a dû expliquer au grand public les possibilités offertes par l'iPhone ou celles des Macintosh face aux PC. Microsoft doit communiquer sur les nouveautés à grands renforts de publicités à la télé, radio et dans les journaux. Il l'a nettement moins fait que pour la sortie de XP. »

XP demeure toujours l'OS de référence tant pour les entreprises que pour les particuliers. Microsoft a d'ailleurs prolongé de 5 mois la disponibilité du logiciel dans les boutiques et auprès des constructeurs, qui pourront le proposer jusqu'au 30 juin 2008 avec leurs nouvelles machines.

Ce qui n'empêche pas l'éditeur de se féliciter, par ailleurs, des ventes de Vista réalisées depuis son lancement en janvier 2007 auprès du grand public :88 millions d'exemplaires.

(*) Pour les tests, un PC Dell XPS M1710 a été utilisé, équipé d'un processeur Core 2 Duo 2GHz et avec 1Go de RAM. Les tests ont inclus la création de documents complexes Office 2007.                               

Source zdnet

24 octobre 2007

Apple devient le troisième vendeur d'ordinateurs aux États-Unis

A la faveur d'une hausse de plus de 34% des ventes de Mac et de portables en un an, Apple se place se place sur la troisième marche du podium des constructeurs sur le marché américain, derrière Dell et HP.

Pour la première fois, Apple est entré dans le top 5 des vendeurs d'ordinateurs aux États-Unis. Selon les derniers chiffres de Gartner, datés d'octobre, la firme à la pomme s'est hissée à la troisième place au cours du troisième trimestre 2007, avec 8,1 % des ventes.

Il y a un an, précise Gartner, l'entreprise de Steve Jobs représentait 6,2 % de parts de marché, derrière Gateway (6,4 %). Apple passe donc devant le fabricant américain, en passe d'être racheté par Acer. Il y a d'ailleurs de grandes chances qu'Acer reprenne la troisième place au prochain trimestre, justement grâce au rachat de Gateway, indique le cabinet d'études.         

Il n'empêche que la performance américaine d'Apple est notable ; au niveau mondial comme européen, la firme de Cupertino n'apparaît toutefois pas parmi les cinq premiers dans les classements de Gartner.

Aujourd'hui les ventes d'ordinateurs représentent quasiment 50 % du chiffre d'affaires d'Apple, soit 3,1 milliards de dollars entre juillet et septembre 2007. Selon ses derniers résultats financiers, 2 164 000 ordinateurs Macintosh ont été vendus durant cette période ; un chiffre en progression de 34 % par rapport au même trimestre de l'exercice précédent. Apple a principalement écoulé des portables, soit 1,3 million contre 817 000 machines de bureau.

24 milliards de dollars de CA pour son exercice 2007

Le volume de ses ventes d'ordinateurs se place loin devant celles de l'iPhone qui s'est tout de même vendu à 1 119 000 exemplaires au cours du trimestre, ce qui porte ses ventes cumulées aux États-Unis à 1 389 000 unités à ce jour. La firme à la pomme semble donc bien en ligne avec les prévisions des analystes qui tablent sur 2 à 3 millions d'unités d'ici à la fin de l'année outre-Atlantique. L'iPhone a déjà généré plus de 120 millions de dollars de chiffre d'affaires.

Quant à l'iPod, il s'est écoulé à 10,2 millions d'exemplaires dans le monde entre juillet et septembre, ce qui représente une progression de 17 % par rapport au même trimestre de l'exercice précédent.

Sur son exercice clos le 29 septembre, Apple affiche 24 milliards de dollars de revenus contre 19,3 en 2006, et 3,4 milliards de bénéfices contre 1,9 l'année précédente.

« Nous attendons avec impatience les résultats du trimestre s'achevant au 31 décembre, car nous entrons dans la période des fêtes avec les meilleurs produits qu'Apple ait jamais eus», a déclaré Steve Jobs, P-DG d'Apple. Il table sur un chiffre d'affaires d'environ 9,2 milliards de dollars pour le premier trimestre de l'exercice fiscal 2008.

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