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4 janvier 2008

Mac OS reprend des couleurs face à Windows

Selon NetApplications, les systèmes d'exploitation Mac OS retrouvent une certaine vigueur, en affichant 8 % de parts de marché fin 2007, tandis que Windows en perdait 2 %. Des données basées sur les OS utilisés pour lancer des requêtes en ligne.

L'année 2007 a enregistré une progression de l'usage des systèmes d'exploitation Apple. En décembre, les différentes versions de Mac OS représentaient au moins 8,01 % du trafic sur le web, grignotant des parts à Windows, rapporte la société américaine d'audience en ligne Net Applications.

Globalement, le second semestre a davantage réussi à l'OS d'Apple, après ses 6 à 6,5 % des visites sur la première moitié de l'année. Sur les mêmes périodes, Net Applications fait état d'un usage de Windows en baisse, perdant 2 % sur l'ensemble de l'année.

La société d'analyse a étudié les OS utilisés pour accéder à des sites web professionnels ou non, totalisant environ 160 millions de visiteurs par mois. Des données récoltées via des moteurs de recherche dans plusieurs régions du monde - Amérique du Nord et du Sud, Europe, Australie / Pacifique et certaines parties
d'Asie.

Succès de Leopard d'Apple

Des résultats qui, précise Net Applications, restent des sous-estimations. L'usage de Windows sur Macintosh, grâce au logiciel Boot Camp, ne rentre ainsi pas en ligne de compte. Fourni séparément au départ, cet outil est désormais intégré en tant que fonctionnalité dans Leopard (Mac OS X 10.5), dernier Mac OS en date. Il permet de faire cohabiter sur un ordinateur Apple à la fois Mac OS et Windows, dans des partitions dédiées, afin d'exécuter des applications Microsoft.

La progression des Macintosh, relève Net Applications, coïncide avec l'arrivée de Leopard - sorti en octobre - qui remporte un grand succès. Pendant le premier mois de lancement, ses ventes ont augmenté de 20,5 % en volume par rapport à celles de la version précédente, OS X 10.4 (Tiger).

L'engouement relatif pour Vista, un an après sa sortie, profiterait également à l'OS d'Apple. De nombreux professionnels envisagent de migrer vers d'autres systèmes, notamment Mac OS X, peu convaincus par les atouts du nouveau Windows.

En France, selon les derniers chiffres de la société d'analyses Xiti (août 2007), si l'on prend en compte l'ensemble des systèmes d'exploitation, les différents Windows représentaient 95,5 % des visites sur le seul mois d'août. « Mac OS, fidèle second, affiche 3,2 % des visites et Linux complète ce trio avec 0,8 % des visites. »

Source zdnet

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14 décembre 2007

Windows 7 sera optimisé pour les écrans tactiles

Microsoft communique au compte-gouttes les axes de développement de son prochain OS attendu pour 2010 et répondant au nom de code Windows 7. Le dernier en date concerne le développement du support des écrans tactiles dans Windows, comme l'a indiqué sur son blog, Hilton Locke, un des ingénieurs de Microsoft.

« Si vous êtes impressionnés par les fonctions tactiles de l'iPhone, vous serez soufflés par ce qui sera proposé dans Windows 7 », écrit-il. Locke précise que l'éditeur devra toutefois convaincre les fabricants de PC que cette technologie d'écran tactile - Windows Touch Technology - pourrait améliorer leurs ventes.

       

C'est loin d'être le cas aujourd'hui avec Vista, qui intègre déjà une interface pour écran tactile, exploitée par peu de fabricants. Il y a la tablette PC de Dell (Latitude XT Tablet) qui devrait être sous peu commercialisée aux États-Unis, ou le TouchSmart PC de HP, un véritable PC tactile (voir photo ci-dessus).

Autre exemple d'exploitation des fonctions tactiles de Vista : la table interactive Surface, qui cible les marchés de la restauration et de l'hôtellerie (bientôt chez Novotel en France).

Source zdnet

                               
10 décembre 2007

Nokia N95 8Go face à l'iPhone d'Apple

Confrontés à la déferlante iPhone, les fabricants « historiques » de téléphones mobiles, smartphones et PDA tentent d'organiser la résistance. Le N95 8Go fait partie de ces appareils qui veulent barrer la route au phénomène d'Apple. C'est l'occasion de les confronter.

Fonctions audio, vidéo, photo, mémoire embarquée de 8Go, surf sur internet, consultation de mails... les points communs poussant à la comparaison du Nokia N95 8Go et de l'Apple iPhone sont nombreux. Elle permet déjà de vérifier le bien-fondé des discours marketing qui opposent ces deux produits en challengers.

S'ils sont placés en concurrence, il ne faut pas pour autant occulter leurs différences. La première, là où réside toute la force de l'iPhone, est  l'interface de navigation. Le N95 se contente de proposer une utilisation classique. A l'instar de l'iPod et de sa molette cliquable qui a révolutionné l'univers des baladeurs MP3, l'iPhone réinvente l'écran tactile. Il ne s'agit plus de toucher un écran du bout du doigt ou avec un stylet (cette dernière action ne fonctionne d'ailleurs pas avec l'iPhone), mais véritablement « d'inter-réagir » avec lui.

Pour contrer l'ergonomie de l'iPhone, le N95 avance des arguments technologiques : présence d'un module GPS, capteurs photo de 5 mégapixels, compatibilité 3G+. Il est vrai, que sur le point purement technologique (écran et interface tactile mise à part), l'iPhone semble un peu en retard sur son temps.

Le N95 est indubitablement un objet pratique bourré de fonctionnalités, mais il passe pour un « utilitaire », comparé au vent de nouveauté apporté par l'iPhone, dont l'interface et le caractère fun nous ont finalement séduits.

Source zdnet

30 novembre 2007

Sorti de L'iPhone

30 novembre 2007

comment Apple a imposé un modèle économique inédit aux opérateurs

Pour distribuer son iPhone, Apple mise sur un nouveau modèle économique basé sur des rentes régulières, rompant avec le modèle traditionnel. Orange va lui reverser une part des revenus tirés des forfaits et services, pouvant représenter 240 euros par client sur 24 mois.

Et si l'interface n'était pas la principale innovation de l'iPhone ? Son modèle économique tranche lui aussi avec ce qui existe sur le marché de la téléphonie mobile. « Dans son principe, le modèle est unique car il prévoit des revenus récurrents pour Apple, générés par la consommation des clients utilisant l'iPhone », explique Vincent Poulbère, analyste télécoms chez Ovum.

Apple va au-delà de la seule revente, comme c'est le cas habituellement sur le marché, en recevant un reversement compris entre 10 et 30 % des revenus générés par l'opérateur sur l'iPhone. En contrepartie, la firme de Steve Jobs accorde une exclusivité de longue durée (plus de 24 mois).         

Le cabinet Sia Conseil a modélisé ce reversement pour le marché français. Avec des abonnements facturés par Orange de 49 à 119 euros, Apple encaissera au minimum 100 à 240 euros en moyenne par client sur 24 mois, estime le cabinet, sur la base d'un reversement de 10 %, et sans compter les dépassements de forfaits et les autres services utilisés.

Une marge additionnelle de 60 à 150 %

Apple gagne déjà environ 140 euros avec la vente de l'appareil selon les calculs du cabinet d'études iSuppli. Avec le reversement d'Orange, il ajoute une marge additionnelle de 60 à 150 % par rapport à celle réalisée sur la vente du terminal.

« Sur les abonnements les plus chers, Apple réalisera bien plus de revenus sur le reversement de l'opérateur que sur la vente de l'iPhone », souligne Stéphane Dubreuil, directeur du pôle Médias et Télécoms chez SIA Conseil. « Cela n'a jamais été fait ».

La firme de Steve Jobs va également obtenir sa part sur les ventes d'accessoires et des recettes de certains partenaires, comme YouTube, qui lui reversent une portion des revenus générés sur leur trafic. Sans compter les ventes directes de sonneries ainsi que les morceaux de musique à télécharger pour les fonctions baladeurs, via sa plate-forme iTtunes Store.

Pour Orange, un impact sur ses autres offres

Dans le tandem, le rôle d'Orange est donc considérablement réduit. Habituellement, les opérateurs achètent des combinés en grandes quantités, appliquent une subvention pour en faire baisser le prix de vente (via les programmes de renouvellement ou les promotions, notamment, Ndlr), et génèrent des revenus sur les abonnements et l'ensemble des autres services dont ils sont également les principaux fournisseurs.  Mais Apple lui a demandé de n'appliquer aucune subvention sur l'appareil.

Même si France Télécom espère vendre entre 400 000 et 500 000 abonnements liés au smartphone à compter de 2008, l'iPhone ne sera sans doute pas le plus gros succès financier d'Orange. Mais il bénéficie d'un énorme pouvoir d'attraction. « Le trafic additionnel généré dans les magasins grâce la force d'attractivité de la marque, aura un effet d'entraînement sur le reste de la gamme Orange. En effet, l'opérateur va compléter sa gamme pour cibler l'ensemble des budgets, avec d'autres offres plus abordables ciblant le coeur du marché », estime SIA.

Un modèle qui fera difficilement des émules

         

Le modèle innovant d'Apple peut-il être récupéré par d'autres fabricants ? « Je ne pense pas que le modèle de l'iPhone soit susceptible d'être généralisé », estime Vincent Poulbère, d'Ovum.

Et l'analyste d'évoquer deux raisons. La première est qu'aucun autre acteur n'aurait la capacité d'Apple à susciter autant d'attractivité autour d'un produit, hormis peut-être Nokia. La seconde est que le rapport de force habituel entre les opérateurs et les fabricants ne serait pas suffisamment en faveur des constructeurs pour qu'ils obtiennent autant qu'Apple.  Dans le modèle traditionnel, les opérateurs sont les principaux acheteurs de combinés, et ils ne se plient donc pas forcément aux exigences des fabricants. Des positions qui expliquent les difficiles négociations entre Orange et Apple autour de l'iPhone.

Là encore, à part Nokia et ses 40% de parts de marché, aucun fabricant ne pèse assez lourd sur le marché pour imposer un nouveau modèle. Le géant finlandais serait donc le seul à pouvoir tenter d'obtenir des rentes régulières auprès des opérateurs, comme le fait Apple.
 
Pour la période des fêtes (jusqu'au 15 janvier), SIA Conseil estime qu'Orange est en mesure d'écouler entre 140 et 160 000 iPhone, soit environ 20 000 par semaine. Des prévisions correspondant à l'objectif de l'opérateur, qui espère déjà en vendre 100 000 en un mois.

Source zdnet

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29 novembre 2007

Steve Jobs, businessman le plus puissant de l'année selon Fortune

Le magazine américain a désigné Steve Jobs comme l'homme d'affaires le plus puissant de l'année dans son classement "Power 25". Principal argument : avoir bouleversé les marchés de l'ordinateur, de la musique, de la distribution, des téléphones sans fil et de Hollywood, sur lesquels il exerce désormais une grande influence.

Le trio de direction de Google - Eric Schmidt, Larry Page et Sergei Brin - respectivement P-DG et présidents en charge des produits et technologies - arrivent en quatrième position. Autres patrons du secteur IT figurant au classement : Bill Gates de Microsoft (7e), John Chambers de Cisco (11e) et Mark Hurd de Hewlett-Packard (16e).

Source zdnet

28 novembre 2007

Windows Vista loin derrière XP en termes de performances

Des tests indépendants de mesures des performances montrent que Windows Vista, avec ou sans son Service Pack 1, est plus lent que son prédécesseur. De quoi renforcer la longévité de Windows XP, qui disposera d'un ultime SP3, début 2008.

Nouveau coup dur pour Windows Vista : des tests indépendants (*) montrent que le système d'exploitation de Microsoft affiche de moins bonnes performances que Windows XP, même enrichi des nouveautés du premier Service Pack (SP1) qui arrivera début 2008.

Une société américaine de développement logiciel, Devil Mountain Software, a réalisé des tests comparatifs basés sur Office 2007, en utilisant Vista seul ou la version bêta de son SP1. Dans les deux cas, Vista a été beaucoup plus lent que XP, nécessitant jusqu'à 80 secondes pour terminer un test lancé, contre 35 secondes pour le SP3 de XP (attendu en même temps que Vista SP1).         

Autre observation, le SP1 augmente les performances de Vista de moins de 2 %, tandis que XP voit les siennes accrues de 10 % avec son SP3, également en version bêta.

Face à ces conclusions peu favorables, Microsoft a répondu que les Service Packs « sont encore en développement » et continueront d'évoluer d'ici leur sortie. « Notre but est toujours de fournir des Service Packs qui répondent le plus possible aux besoins des utilisateurs. »

Si le SP1 n'évolue cependant pas suffisamment, les entreprises qui l'attendent pour migrer ne seront pas enclines à franchir le pas. Un an après la sortie de sa version pour professionnels, Vista affiche un taux d'adoption nettement inférieur à celui de XP sur la même période. « Le monde n'était pas totalement prêt pour Windows Vista », a reconnu il y a quelques jours le vice-président de Microsoft, Mike Sievert, lors d'une conférence à Denver.

« Microsoft n'a pas assez communiqué sur Vista »

Les atouts de Windows Vista n'ont pas assez été mis en avant, commente l'analyste de NPD Chris Swenson. « Il y a de nombreux nouvelles fonctionnalités complexes dans Vista, nécessitant d'éduquer les consommateurs... Tout comme Apple a dû expliquer au grand public les possibilités offertes par l'iPhone ou celles des Macintosh face aux PC. Microsoft doit communiquer sur les nouveautés à grands renforts de publicités à la télé, radio et dans les journaux. Il l'a nettement moins fait que pour la sortie de XP. »

XP demeure toujours l'OS de référence tant pour les entreprises que pour les particuliers. Microsoft a d'ailleurs prolongé de 5 mois la disponibilité du logiciel dans les boutiques et auprès des constructeurs, qui pourront le proposer jusqu'au 30 juin 2008 avec leurs nouvelles machines.

Ce qui n'empêche pas l'éditeur de se féliciter, par ailleurs, des ventes de Vista réalisées depuis son lancement en janvier 2007 auprès du grand public :88 millions d'exemplaires.

(*) Pour les tests, un PC Dell XPS M1710 a été utilisé, équipé d'un processeur Core 2 Duo 2GHz et avec 1Go de RAM. Les tests ont inclus la création de documents complexes Office 2007.                               

Source zdnet

23 novembre 2007

Apple verse 10 millions de dollars à Burst.com pour clore un litige

Après Microsoft, c'est au tour d'Apple de régler un litige pour violation de propriété intellectuelle avec la société californienne Burst.com, spécialisée dans la diffusion de contenus vidéo et audio sur le Net.

La firme à la pomme accepte de verser 10 millions de dollars à Burst.com qui, en échange, lui ouvre une partie de son portefeuille de brevets et renonce à toutes poursuites concernant certaines de ses technologies protégées.         

La société avait attaqué en avril 2006 la firme de Steve Jobs qu'elle accusait d'avoir violé quatre de ces brevets portant sur des techniques de compression de signal, de stockage, et de diffusion audio et vidéo (U.S. Patents 4,963,995; 5,995,705; 5,057,932 et 5,164,839). Des techniques utilisées par Apple dans QuickTime, iTunes Music Store, iTunes (le logiciel), iPod (la plate-forme) et iLife (suite logicielle incluant iTunes, iPhoto, iMovie, etc.).

Burst.com précise, qu'avec les frais de procédures et d'avocats, l'opération ne lui permettra de toucher que 4,6 millions de dollars sur les 10 payés par Apple.

En mars 2005, Microsoft lui avait versé 60 millions de dollars dans une affaire similaire.

Source zdnet

24 octobre 2007

Apple devient le troisième vendeur d'ordinateurs aux États-Unis

A la faveur d'une hausse de plus de 34% des ventes de Mac et de portables en un an, Apple se place se place sur la troisième marche du podium des constructeurs sur le marché américain, derrière Dell et HP.

Pour la première fois, Apple est entré dans le top 5 des vendeurs d'ordinateurs aux États-Unis. Selon les derniers chiffres de Gartner, datés d'octobre, la firme à la pomme s'est hissée à la troisième place au cours du troisième trimestre 2007, avec 8,1 % des ventes.

Il y a un an, précise Gartner, l'entreprise de Steve Jobs représentait 6,2 % de parts de marché, derrière Gateway (6,4 %). Apple passe donc devant le fabricant américain, en passe d'être racheté par Acer. Il y a d'ailleurs de grandes chances qu'Acer reprenne la troisième place au prochain trimestre, justement grâce au rachat de Gateway, indique le cabinet d'études.         

Il n'empêche que la performance américaine d'Apple est notable ; au niveau mondial comme européen, la firme de Cupertino n'apparaît toutefois pas parmi les cinq premiers dans les classements de Gartner.

Aujourd'hui les ventes d'ordinateurs représentent quasiment 50 % du chiffre d'affaires d'Apple, soit 3,1 milliards de dollars entre juillet et septembre 2007. Selon ses derniers résultats financiers, 2 164 000 ordinateurs Macintosh ont été vendus durant cette période ; un chiffre en progression de 34 % par rapport au même trimestre de l'exercice précédent. Apple a principalement écoulé des portables, soit 1,3 million contre 817 000 machines de bureau.

24 milliards de dollars de CA pour son exercice 2007

Le volume de ses ventes d'ordinateurs se place loin devant celles de l'iPhone qui s'est tout de même vendu à 1 119 000 exemplaires au cours du trimestre, ce qui porte ses ventes cumulées aux États-Unis à 1 389 000 unités à ce jour. La firme à la pomme semble donc bien en ligne avec les prévisions des analystes qui tablent sur 2 à 3 millions d'unités d'ici à la fin de l'année outre-Atlantique. L'iPhone a déjà généré plus de 120 millions de dollars de chiffre d'affaires.

Quant à l'iPod, il s'est écoulé à 10,2 millions d'exemplaires dans le monde entre juillet et septembre, ce qui représente une progression de 17 % par rapport au même trimestre de l'exercice précédent.

Sur son exercice clos le 29 septembre, Apple affiche 24 milliards de dollars de revenus contre 19,3 en 2006, et 3,4 milliards de bénéfices contre 1,9 l'année précédente.

« Nous attendons avec impatience les résultats du trimestre s'achevant au 31 décembre, car nous entrons dans la période des fêtes avec les meilleurs produits qu'Apple ait jamais eus», a déclaré Steve Jobs, P-DG d'Apple. Il table sur un chiffre d'affaires d'environ 9,2 milliards de dollars pour le premier trimestre de l'exercice fiscal 2008.

22 octobre 2007

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