Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Le journal de l'info

Le journal de l'info
Newsletter
8 abonnés
Derniers commentaires
Visiteurs
Depuis la création 330 473
7 mai 2008

Yahoo-Microsoft : le plus dur est peut-être à venir pour le portail

Yahoo pourrait connaître une période de turbulences : son P-DG doit convaincre des actionnaires critiques, ses alliés potentiels AOL et Time Warner semblent aux abonnés absents, et Microsoft pourrait revenir à la charge dans quelques mois.

Le retrait, samedi 3 mai, de l'offre de rachat de Microsoft, place aujourd'hui le portail américain dans une position inconfortable, qui lui a valu d'être sanctionné dès hier en Bourse.

À deux mois de l'assemblée annuelle des actionnaires de Yahoo, son P-DG Jerry Yang, critiqué ouvertement par certains, doit, s'il veut conserver son poste, convaincre désormais que son plan B peut valoriser Yahoo bien au-delà de 33 dollars (prix par action proposé par Microsoft) d'ici à un an.

En attendant, le titre a cédé 15 %, et Steve Balmer, le patron de Microsoft, pourrait n'avoir fait que reculer pour mieux sauter et envisager de faire une nouvelle offre inférieure à la première avant la fin de l'année, si Yahoo ne se redresse pas d'ici là.

Jerry Yang, P-DG de Yahoo, sous pression

Sous pression depuis trois jours, Jerry Yang se dit prêt, dans ses confidences à la presse financière, à engager de nouvelles discussions avec Redmond. En fait, une nouvelle bataille s'engage, au cours de laquelle il va devoir démontrer qu'un partenariat avec Google ou une alliance avec le fournisseur d'accès AOL pouraient faire croître la valeur de son groupe. Une stratégie qui dissuaderait définitivement Microsoft, si Yahoo venait à sous-traiter la publicité de son moteur de recherche à Google.

« De notre point de vue, un tel arrangement avec le moteur de recherche dominant rendrait toute acquisition de Yahoo indésirable pour nous », écrit Steve Balmer dans une lettre adressée à Jerry Yang, dont se fait l'écho Times Online.

Pour certains observateurs, comme Martin Sorrel, P-DG du groupe publicitaire WPP, les vrais perdants dans cette affaire, pour l'instant, sont les annonceurs et les agences de publicité « pour qui la perspective de voir le marché s'équilibrer un peu mieux s'éloigne ».

Que vont faire AOL et News Corp ?

La direction de Yahoo se dit convaincu que l'offre de Microsoft était sous-évaluée. « Nous avons toujours eu le sentiment que la plate-forme Yahoo était sous-valorisée ou sous-estimée par le marché », a expliqué Jerry Yang.

Mais depuis le rejet de l'offre, il pourrait voir certains de ses alliés potentiels lui tourner le dos. Ainsi AOL, filiale de Time Warner en quête de fusion, aurait-elle contacté Microsoft dans le dos de Yahoo, à l'issue du week-end, en vue d'un possible  rapprochement avec le géant du logiciel. Quant aux intentions de News Corp., avec qui Yahoo discute également, elles ne sont pas plus claires.

Au final, Google, détenteur de près de 30 % du marché mondial de la publicité en ligne, et face auquel ni Microsoft (7 %), ni Yahoo (15 %) ne peuvent faire barrage seuls, reste pour l'instant le grand gagnant de cette OPA avortée.

                               

Par Philippe Astor, ZDNet France

Publicité
7 mai 2008

Yahoo signe avec McAfee pour marquer les sites dangereux

Le portail américain a passé un accord avec l'éditeur de logiciels de sécurité McAfee afin de pouvoir signaler, dans les pages de résultats de son moteur de recherche, les sites web qui sont potentiellement dangereux.

C'est la solution SiteAdvisor qui doit permettre à Yahoo d'ajouter systématiquement, à la référence de ces sites dangereux dans ses pages, un message d'alerte en rouge avec un lien vers des informations plus explicites sur le péril qu'ils représentent. En retour, l'éditeur de logiciels assurera la publicité de ses outils de diagnostic auxquels l'internaute peut accéder d'un clic de souris depuis la bulle d'information attachée aux messages d'alerte.

La cible de ce marquage au fer rouge ? Tous les sites qui hébergent des spywares, malwares et autres adwares ou fichiers vérolés, ceux qui pointent vers eux, et ceux qui sont connus pour collecter des adresses e-mail à des fins de spamming.

                               

Par La rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

7 mai 2008

Riposte graduée : le projet de loi préconise un an de suspension de l'abonnement internet

Le projet de loi destiné à lutter contre le téléchargement illégal, actuellement devant le Conseil d'Etat, prévoit un an de suspension d’abonnement à un FAI, sauf si l’internaute reconnaît les faits. Dans ce cas sa suspension sera plus courte, d'un ou de six mois.

Les internautes qui téléchargent de manière illicite des oeuvres protégées par le droit d'auteur pourraient voir leur abonnement suspendu pendant un an. Une période durant laquelle ils continueraient de payer leur FAI et seraient dans l'incapacité de « souscrire un autre contrat de même nature auprès de tout fournisseur ».

Cette nouvelle disposition pour lutter contre le piratage est inscrite dans le projet de loi « relatif à la Haute Autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur internet (Hadopi) ». Du moins dans sa version la plus récente, c'est-à-dire celle étudiée actuellement par le Conseil d'État, et dont le collectif « La Quadrature du Net » s'est procurée une copie.

« Cette version confirme l'extrémisme de ses rédacteurs » estime Christophe Espern, cofondateur du collectif. « « Ce texte est contraire au droit communautaire, que ce soit sur le terrain des droits fondamentaux ou de la libre concurrence. Il nie la réalité sociale, économique et technique démontrant l'absence totale de réflexion des pouvoirs publics français sur les enjeux du numérique.» poursuit-il.

Collaborer pour réduire la sanction

Le texte prévoit toutefois un moyen pour échapper aux douze mois de coupure d'internet : collaborer avec l'autorité administrative chargée de lutter contre le piratage. La personne en infraction se verrait proposer « une transaction » donnant lieu à « la suspension de l'accès au service pour une durée plus courte, d'un mois ou de six mois ».

Pour en bénéficier, l'abonné devrait reconnaître les faits qui lui sont reprochés et s'engager à respecter la loi. Mais, en reconnaissant les faits, il perd du coup ses possibilités de recours et de contestation.

Dans le cadre d'un abonnement à une offre triple play, seul l'accès internet pourra être coupé, mais pas celui au téléphone ou à la télévision. « La suspension de l'accès s'applique strictement et limitativement à l'accès à des services de communication au public en ligne. Lorsque ce service d'accès est acheté selon des offres commerciales composites incluant d'autres types de services, tels que services de téléphonie ou de télévision, les décisions de suspension ne s'appliquent pas à ces services », peut-on lire dans le texte.

Les abonnés au triple-play à l'abri

Sauf que techniquement, il pourra être difficile de ne couper que l'accès au Net. C'est pourquoi, dans le cas où l'isolement d'un service en particulier, n'est pas possible, le projet de loi prévoit qu'aucun des accès ne soit coupé.

Les abonnés au triple play seraient donc relativement à l'abri de ces mesures. « Ce qui constitue une rupture du principe d'égalité devant la loi et est donc anticonstitutionnel », estime-t-on à La Quadrature du Net.

Enfin, le texte précise que toute personne ayant porté atteinte à « au moins une oeuvre ou un objet protégé par un droit d'auteur ou par un droit voisin » peut être visé par ces mesures. L'idée d'un contrôle dépendant du volume de fichiers échangés n'est donc plus d'actualité. En outre, il n'y a pas de différence faite entre le téléchargement et la mise à disposition.

Après le Conseil d'État, le texte doit passer en Conseil des ministres ce printemps, puis devant le Parlement au plus tard à l'automne.

                               

Par Christophe Guillemin, ZDNet France

Source ZDNet

6 mai 2008

Crash Test


 

6 mai 2008

Photo du jour

sarkozy lagarde niche fiscale faillite
Merci à Delucq

sarkozy lagarde niche fiscale faillite
Merci à Placide

Source



Publicité
6 mai 2008

Après le rejet de Microsoft, Yahoo va devoir convaincre

Après trois mois de suspens, Steve Ballmer a retiré le 3 mai son offre d'achat sur Yahoo. Pourtant, la veille, le WSJ annonçait, de source proche du dossier, la forte probabilité que le P-DG de Microsoft lance une OPA hostile, prenant acte de l'échec des dernières discussions avec les dirigeants du portail internet.

Des discussions qui ont porté sur une augmentation du montant de l'offre de l'éditeur de Redmond. Steve Ballmer accepte de payer 33 dollars par action Yahoo soit 47,5 milliards de dollars (30,8 milliards d'euros) : 5 milliards de mieux que l'offre initiale du 1er février (31 dollars). Pas suffisant pour Yahoo qui réclame 37 dollars par action et pousse Microsoft à jeter l'éponge.

Duel Ballmer vs Yang

"Nous estimons que les exigences financières de Yahoo ne sont pas raisonnables pour nous et qu'il est dans le meilleur intérêt des actionnaires, des employés et des autres détenteurs de parts de Microsoft de retirer notre proposition", indique Steve Ballmer dans un communiqué.

Réponse de Jerry Yang, P-DG de Yahoo : "Depuis le début de ce processus, notre conseil d'administration et notre management ont été fermes dans notre conviction que l'offre de Microsoft sous évalue l'entreprise et nous sommes heureux de voir que tant de nos actionnaires se sont joints à nous pour exprimer ce point de vue".

Une dialogue de sourds entre les deux patrons qui aura duré trois mois mais qui ne signifie pas pour autant la fin de l'opération. Quelques heures après l'annonce de l'échec, des actionnaires de Yahoo donnent de la voix pour reprocher l'attitude de ses dirigeants face à la dernière proposition de Microsoft qu'ils jugeaient satisfaisante. Autre mauvaise nouvelle, les analystes financiers prévoient une forte chute du cours de l'action Yahoo dès l'ouverture des marchés le 5 mai.

Deux évènements qui pourraient créer un climat propice à une nouvelle phase de l'histoire de l'ex future plus grande fusion de l'histoire de l'économie internet. 

                       

       

Par La rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

6 mai 2008

L'e-mail et la recherche d'infos toujours en tête des usages du Net

La messagerie et la recherche d'informations continuent de dominer les usages d'internet au niveau mondial, observe une récente étude de Gartner. Le cabinet a enquêté auprès de 4 779 internautes âgés de 13 à 64 ans dans 18 pays (*) au quatrième trimestre 2007. Le questionnaire leur demandait simplement de noter de 1 à 10 les principaux usages qu'ils faisaient du Net.

Résultats : envoyer et recevoir des e-mails obtient la note de 8,3 et la recherche d'informations 7,6. Mais « il est surprenant de constater que les services de banque en ligne arrivent en troisième position », remarque Gartner. Ils obtiennent en effet la note de 6,3.

Les réseaux sociaux et les blogs en bas de tableau

Suivent ensuite, à égalité, le partage de vidéos, de photos et de fichiers, les services de navigation tels que Google Earth et les achats en ligne, avec chacun une note de 6. Bien que très populaires, les services communautaires évolués tels que les réseaux sociaux de type Facebook n'obtiennent qu'une note de 5, et que les blogs arrivent quasiment en dernière position (voir le détail avec le graphique ci-dessous).

Chez les 13-18 ans en revanche, le classement diffère puisqu'ils mettent en première position, le partage d'images, de vidéos et de fichiers, suivi du téléchargement de musique, de la messagerie instantanée, de la vidéo en ligne, des réseaux sociaux, des jeux en ligne, du chat et les blogs.

 

 

 

 

 

 

 

 

 



(*) Australie, Chine, Inde, Indonésie, Japon, Corée du Sud, Allemagne, Italie, Pologne, Russie, Espagne, Royaume-Uni, France, Canada, Etats-Unis, Brésil, Nigeria et Turquie.

                       

        Par la rédaction,

Source ZDNet

6 mai 2008

Une voiture Google sillonne Paris pour cartographier ses rues

Les voitures de Google, permettant de cartographier les villes pour le service Street View, parcourent depuis quelques jours les rues de Paris, comme en témoignent de premières images postées sur le Net.

Selon zorgloob.com, un blog spécialisé dans l'univers Google, ces véhicules informatisés sillonnent plusieurs autres grandes villes européennes dont Turin, Londres, Rome, Amsterdam et Nice. Des véhicules similaires ont été utilisés aux Etats-Unis, en Australie ou en Nouvelle-Zélande et probablement au Japon.

Ils possèdent tous un système similaire de caméras embarquées, permettant a priori de prendre des clichés à 360 degrés durant le parcours. En France, il s'agit d'une Opel Astra noire ; sur certaines photos, le logo Google Maps apparaît sur les portières ; sur d'autres, il n'y a pas de logo

Visualiser des rues à 360°

Street View, est une application accessible depuis le service de cartographie Google Maps. Elle permet de visualiser des rues et immeubles au niveau de l'oeil, et non plus vues du dessus. Cet outil est agrémenté d'un système de vision à 360°, avec des photos panoramiques : l'utilisateur a ainsi la sensation de pouvoir regarder la totalité de la rue, à l'aide des fonctions directionnelles.

Comme nous l'évoquions récemment, dans le cas de Navteq France, les véhicules de cartographie sont en général équipés d'un ordinateur intégrant de gros disques durs connectés aux caméras qui prennent des clichés tous les 6 à 7 mètres (peut être plus dans le cas de Google). La situation des clichés sur le parcours est repérée par un système DGPS (Differential Global Positioning System), une amélioration du GPS classique.

La Google Maps Car

(crédit photo : onsecroyaitchic@gmail.com)

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

6 mai 2008

La Bourse sanctionne Yahoo après le retrait de l'offre de Microsoft

Après avoir refusé l'offre de rachat de 47,5 milliards de dollars proposée par Microsoft, Jerry Yang se prépare à mener une nouvelle bataille contre la Bourse. Enjeu : convaincre que l'avenir de Yahoo sera plus radieux sans la tutelle de la firme de Redmond.

Si il y a une prévision sur laquelle tous les observateurs sont tombés d'accord à l'issue du retrait de l'offre de Microsoft, c'est la chute du cours de l'action Yahoo dès l'ouverture de Wall Street le 5 mai. Et ils ont eu raison. A une heure de la fin de la séance, au moment de la rédaction de ces lignes, le titre cédait près de 15 %.

Fragilisé avant l'offre initiale de Microsoft rendue publique le 1er février , le titre Yahoo s'est apprécié au cours des trois mois de discussions passant de 19 dollars à une fourchette entre 26 et 28 dollars.  Les analystes reprochent au portail d'avoir fait de la surenchère sur la proposition de Microsoft et d'avoir refusé une plus value confortable pour les actionnaires.

En effet, lors des dernières discussions le 3 mai entre Yahoo (représenté par ses fondateurs, Jerry Yang, l'actuel P-DG et David Filo) et Microsoft (réprésenté par Steve Ballmer, P-DG et Kevin Johnson, responsable de l'activité Plateformes et Services), le prix proposé a atteint 33 dollars par action Yahoo soit 47,5 milliards de dollars (30,8 milliards d'euros). Soit 5 milliards de mieux que l'offre initiale du 1er février (31 dollars).

Après avoir demandé jusqu'à 40 dollars les semaines précédentes, Yahoo s'est dit prêt à céder pour 37 dollars par action. Une offre refusée par Microsoft.

Quel plan B pour Yahoo ?

Autre reproche formulé par les marchés financiers : l'absence d'un plan B stratégique et lisible à son leitmitiv des trois derniers mois "Tout sauf Microsoft". Car mis à part un test de deux semaines consistant à sous-traiter à Google la vente de publicité sur son moteur de recherche, Jerry Yang n'a proposé aucune alternative pour contrer la proposition de Redmond.

Steve Ballmer a d'ailleurs habilement pointé cette décision comme un acte de renoncement de Yahoo sur une partie de son activité. « Il porterait fondamentalement atteinte à la stratégie de Yahoo! et à sa viabilité à long terme en encourageant les annonceurs à utiliser Google par opposition à Panama, votre système de recherche payée » écrit-il dans sa lettre envoyée à Jerry Yang le 3 mai.

Et l'évocation d'un accord en cours de discussion pour le rachat d'AOL (Time Warner) ne suffit pas à changer la donne, tant elle ne permet d'espérer un gain significatif de parts de marché sur la publicité en ligne.

Réaction des actionnaires

Enfin, des représailles de certains actionnaires contre les dirigeants de Yahoo ne sont pas à exclure. Selon Reuters, un groupe de 140 investisseurs disposant de deux millions d'actions a indiqué son intention de sanctionner les dirigeants du portail lors de la prochaine assemblée générale. Une information qui n'a rien pour plaire aux marchés qui exècrent une chose : l'incertitude.

                               

Par Philippe Leroy, ZDNet France

Source ZDNet

6 mai 2008

GTA 4 : nouveau canal de distribution pour la musique ?

Avec pas moins de deux cents titres de musique rock et alternative, la bande-son du très attendu Grand Theft Auto IV ne fait pas dans la dentelle, comme le jeu lui-même qui permet à ses utilisateurs d'acheter ces musiques sur Amazon.

À la suite de Rock Band et de Guitar Hero III, GTA 4, la dernière version de Grand Theft Auto, pourrait consacrer les jeux vidéo comme nouveau canal de distribution émergent pour la musique.

À lui seul, MTV Games, l'éditeur de Rock Band, qui propose plus de 80 titres en téléchargement sur Xbox Live et Playstation Store, (en sus des 58 morceaux du jeu), en a vendu plus de six millions aux États-Unis en l'espace de trois mois ; et Activision, éditeur de Guitar Hero, plus de cinq millions en huit semaines.

Mais GTA 4 boxe dans une autre catégorie. Le seul jour de sa sortie, il s'est vendu à 2,5 millions d'exemplaires aux États-Unis, selon VGCharts, quand Guitar Hero II et III pour PS2 se sont écoulés à 4,6 millions d'unités sur l'année 2007.

Une « grosse affaire » pour les labels

Autre distinction, la bande-son prévue en illustration des cent heures de jeu de GTA 4 comporte pas moins de deux cents titres. Un record dans l'histoire du jeu vidéo ! Et cerise sur le gâteau pour les labels : un bouton « Acheter » permet à tout instant, en partenariat avec Amazon, d'identifier et de télécharger le titre diffusé en fond sonore.

« C'est une très grosse affaire pour nous, confie au magazine américain Billboard un haut responsable du marketing chez EMI Music North America. Il y a des millions de gens qui achètent Grand Theft Auto, et nous espérons qu'ils vont apprécier la musique et acheter ces chansons en retour. »

L'éditeur de GTA, qui ne s'appelle pas pour rien Rockstar, met un soin particulier au choix des musiques qui illustrent son jeu. Elles relèvent beaucoup plus de la playlist du DJ underground, ponctuée d'obscures raretés, que de la pop mainstream. Lorsque le partenariat avec Amazon a été signé, son catalogue n'était pourvu que de 40 % des titres de la bande-son de GTA

GTA prescripteur de nouveaux talents et musiques

C'est encore une fois ce qui distingue GTA de Rock Band ou Guitar Hero, qui redistillent surtout jusqu'à présent, non sans succès, tous les tubes des vieilles gloires.du heavy metal des années 70 et 80. GTA est bien plus prescripteur de nouveaux talents et de musiques jeunes et alternatives. Et plus politiquement incorrect aussi, comme avec ce nouveau mode « drunk » qui simule l'ivresse au volant dans la dernière version, au coeur d'une énième polémique.

GTA 4 s'est vendu à 4 millions d'exemplaires dans le monde le jour de sa sortie, dont 1,7 million de copies écoulées en Europe, et 25 % des gamers ont acheté la version collector du jeu.

                               

Par Philippe Astor, ZDNet France

Source ZDNet

Publicité
Publicité
Archives
Publicité