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Le journal de l'info

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21 septembre 2009

Mandriva Linux 2010 : la Release Candidate 1 disponible

Après Ubuntu ce matin, passons à la distribution Linux française Mandriva. On se rapproche un peu plus de l’arrivée de la version 2010 avec la publication de la Release Candidate 1. Ceux qui attendaient une mouture stable pour se lancer dans un test peuvent maintenant céder à la tentation.

mandriva 2010


Pour ceux qui testaient la suite des bêtas, il n’y pas réellement de changement majeur à apporter, en dehors d’une nouvelle intégration de Nepomuk. Cette fonctionnalité permet d’ajouter des notes générales, des annotations précises ainsi que des étiquettes sur l’ensemble des fichiers accessibles. En clair, il s’agit d’ajouter des métadonnées sur ce que vous souhaitez, Nepomuk offrant une interface qui permet ensuite de chercher et fouiller dans ces données.

Plus généralement, voici les changements intervenus depuis la dernière bêta :
  • Multiples corrections de bugs sur les outils de Mandriva, et plus particulièrement dans ceux liés au réseau
  • Multiples corrections dans les environnements de bureau GNOME et KDE
  • Kernel Linux 2.6.31 en version finale
Voici maintenant les nouveautés principales pour Mandriva 2010 par rapport à la version précédente :
  • Remplacement de Splashy par Plymouth pour la gestion du fond d’écran durant le démarrage. Les avantages sont une plus grande personnalisation, un fonctionnement en mode noyau ou encore l’utilisation d’un framebuffer VESA et l’utilisation d’un langage de script.
  • KDE 4.3
  • GNOME 2.27.90
  • Xfce 4.6.1
  • Kernel 2.6.31
  • Serveur X.org 1.6.3
  • Nombreuses améliorations pour Urpmi et URPM
  • Réécriture complète de l’outil de gestion des profils réseau Netprofile avec création simplifiée de profils dépendants du lieu où l’utilisateur se trouve.
  • Tomoyo-gui, une interface graphique pour gérer Tomoyo, un nouveau framework de sécurité qui remplace AppArmor
  • MDKonline, permettant de régler la fréquence des mises à jour
  • Python 3
  • VirtualBox 3
Attention : Mandriva prévient que les choix graphiques au niveau de l’interface ne doivent pas être considérés comme finaux.

Pour le téléchargement, il faudra passer par la liste des miroirs disponibles en Europe. On trouvera les habituelles versions 32 et 64 bits des DVD, des CD pour les deux architectures à la fois, les versions One pour KDE et GNOME ou encore les images VirtualBox.

Source PCINpact

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21 septembre 2009

Netgear Stora : le stockage en réseau enfin accessible

Netgear_Stora

D'une annonce à l'autre, les NAS se rapprochent inéluctablement du grand public. Si ces serveurs de stockage peuvent rendre de précieux services aux particuliers gourmands en stockage (photographes et vidéastes amateurs, cinévores) ou aux foyers abritant plusieurs ordinateurs, la plupart de ces dispositifs restent destinés à un public averti. Netgear compte bien changer la donne avec le Stora, un nouveau serveur domestique pour lequel l'accent a été mis sur la simplicité d'utilisation.

« Netgear a déjà pris ses marques sur les marchés des professionnels et des particuliers avertis avec sa gamme ReadyNAS, mais Stora s'adresse résolument à tout le monde, » déclare-t-on chez le fabricant, sans entrer dans les détails. Tout juste sait-on qu'une interface intuitive permet de partager facilement ses contenus sur son réseau local, via iTunes notamment, et sur internet, sur Facebook ou Flickr par exemple.

Il s'agit par ailleurs d'un NAS conventionnel, offrant une connectique Gigabit Ethernet, un port USB et deux emplacements pour disques durs SATA de 3,5 pouces, dont l'un est occupé par un modèle de 1 To. Il abrite 256 Mo de mémoire vive et prend en charge le RAID 1.

Le Netgear Stora et son disque dur de 1 To sont d'ores et déjà commercialisés en Amérique du Nord au tarif alléchant de 230 dollars, soit la moitié d'un ReadyNAS Duo de même capacité. Les informations quant à son lancement en Europe n'ont pour l'heure pas filtré.

Source Clubic

21 septembre 2009

Arrêt de la TV analogique : des zones d'ombre persistent

La première phase du basculement de certaines régions de la TV analogique au tout numérique a été officialisé par le CSA. Mais il demeure des questions sans réponse, notamment au sujet des zones d'ombres TV et du dispositif d'aides prévu par le gouvernement.

Dernière ligne droite pour le basculement de la TV vers le tout numérique dans de nombreuses régions. Le CSA a officialisé la semaine dernière le calendrier pour l'arrêt de la TV analogique dans sept régions.

Les premières à éteindre le signal analogique étant l'Alsace dés le 2 février 2010 et la Basse Normandie un mois plus tard (le 9 mars 2010). Suivront la plupart des régions du grand Ouest (Pays de la Loire, Bretagne, Poitou Charente) ainsi que l'Est de la France et le Nord courant 2010 (voir calendrier complet).

Pour les autres régions de métropole, le passage au numérique se fera tout au long de l'année 2011, les dernières concernées seront la Provence, les Alpes, le Midi-Pyrénées et le Languedoc-Roussillon

Chèque de remboursement, crédit d'impôts ?

Le gouvernement a lancé le 17 septembre une campagne de publicité pour préparer les téléspectateurs à ce changement, mais de nombreuses questions restent en suspens. Quid des zones d'ombres de la diffusion numérique, en particulier en montagne et dans certaines zones rurales ? Par ailleurs, si un dispositif d'aides financières pour accompagner les foyers les plus modestes à l'adoption du numérique est prévu par le gouvernement, on n'en connaît pas encore les modalités, ni les conditions d'attribution. Chèque de remboursement à l'achat de matériel de réception satellite, crédit d'impôts, toutes les options restent ouvertes.

Une autre interrogation concerne la TNT HD. Si le calendrier de l'extinction de l'analogique est fixé pour la diffusion des chaînes SD sur la TNT, du côté de TF1, France2 et M6 HD, les téléspectateurs de nombreuses régions ne savent pas encore quand leur diffusion débutera, faute de calendrier précis fourni par le CSA et les diffuseurs.

Les zones d'ombres, une opportunité pour les opérateurs satellites

Ces incertitudes devraient au moins faire le jeu des opérateurs satellites. Le luxembourgeois Astra (via TNT Sat) et le conglomérat européen Eutelsat (Via Fransat) proposent déjà l'accès aux chaînes de la TNT, y compris les chaînes nationales diffusées en HD, via leurs satellites respectifs Astra 1 (19,2° est) et Atlantic Bird 3 (5° ouest). Et ils pourraient profiter de l'afflux de nouveaux clients situés en zones d'ombres TV pour conquérir des abonnés à l'Internet via la parabole.

En effet, les zones d'ombres TV sont aussi généralement des zones peu ou mal desservies par l'ADSL. Si bien que chez Astra, qui commercialise un accès à Internet bidirectionnel par satellite via des prestataires comme Nordnet ou Vivéole, on considère l'arrêt de l'analogique comme une véritable opportunité de croissance pour l'activité Internet.

Interrogé par ZDNet.fr lors du salon IBC 2009 à Amsterdam, un porte-parole du groupe a indiqué qu'une montée en débit courant 2010 était à l'étude pour leurs offres Internet par satellite, celles-ci étant pour le moment bridées à 2048 kbit/s en réception et 128 kbit/s en émission.

               

Par Vincent Birebent, ZDNet France

Source ZDNet

21 septembre 2009

P2P : les Français largement à la traîne selon une étude...

Les partisans de la loi Hadopi ne vont pas apprécier : les internautes français sont de petits joueurs en matière de piratage de musique.

"La France est la championne du monde du piratage", s'enflammait Christine Albanel, ancienne ministre de la Culture pour défendre la loi Hadopi. "Des milliards de fichiers sont échangés chaque jour de manière illégale", tonnait le gouvernement pour faire passer sa loi.

Mais encore une fois, la réalité des chiffres vient contredire ce bel argumentaire. On savait déjà que le piratage n'était pas la cause essentielle de la chute du marché du disque. On apprend aujourd'hui que les internautes français ne sont pas, et de loin, les plus grands pirates de la planète...

Les 'pirates' achètent des disques

Selon une étude Ipsos Allemagne menée auprès de 6 500 internautes, seulement 15% des internautes français déclarent avoir téléchargé illégalement de la musique contre une moyenne mondiale de 44%. La France est loin, très loin de la Chine (78% des sondés avouent avoir piraté de la musique), la Russie (68%), ou encore l'Espagne (44%), l'Italie (34%) et même les Etats-Unis (18%).

Bien sûr, ces réponses sont déclaratives et le taux réel doit être, pour chaque pays, bien supérieur. Mais cela ne changera pas la hiérarchie des pays, et le fait que les internautes français sont plutôt plus 'sages' que leurs collègues Internaute du reste du monde.

Mieux, l'étude montre que les 'pirates' français utilisent beaucoup plus les voies légales de téléchargement et achètent davantage de disques que les internautes ne pratiquant pas le P2P...

Cette affirmation corrobore une autre étude du cabinet de recherche Interpret, qui a interrogé pas moins 64 millions d'internautes (une première à notre connaissance). Si 36% d'entre eux (soit la bagatelle de 24 millions de personnes) avouent avoir téléchargé illégalement un fichier au moins une fois ces trois derniers mois, 9% (de ces 36%) ont acheté un album complet sur un kiosque de téléchargementet et 16% déclarent avoir acheté des chansons individuelles.

De quoi prouver, une fois encore, que les Majors et le gouvernement se trompent de cible...

               

Par Olivier Chicheportiche, ZDNet France

Source ZDNet

20 septembre 2009

Le visiteur du futur EPISODE 1



 

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19 septembre 2009

Les candidats qui sont en finale

emilie sabrina jonathan Cindy

Émelie, Sabrina, Jonathan et Cindy
 

19 septembre 2009

Cindy est en finale

Cindy francois_xavier

Cindy vs FX

18 septembre 2009

Elles sont en finale

emilie sabrina

Émelie et Sabrina

18 septembre 2009

ils quittent la maison

Bruno Alicia_Didier

Bruno vs Didier

18 septembre 2009

Windows 7 : la mise à jour à 30 dollars pour tous les étudiants

30 dollars au lieu de 120 : c'est la promotion spéciale que Microsoft va accorder aux collégiens et étudiants sur l'achat d'une mise à jour de Windows 7 Familial Premium. Mais pourquoi seulement les étudiants ?

Les étudiants du collège à l'université vont bénéficier d'une promotion sur l'achat d'une mise à jour de Windows 7 Familial Premium qu'ils paieront 29,99 dollars (Microsoft France n'a pas été en mesure de nous dire si ce prix sera converti en 29,99 euros) au lieu de 120 dollars.

Cette offre a débuté hier aux Etats-Unis ; elle sera disponible à partir du 30 septembre pour l'Angleterre et le 22 octobre en Allemagne, Australie, Canada, Corée, France et Mexique. Elle prendra fin le 3 janvier.

Si elle est à saluer, l'initiative de Microsoft soulève une question : pourquoi ne pas appliquer cette promotion à tous les utilisateurs ?

Quatre bonnes raisons pour élargir cette promotion

  • Beaucoup d'observateurs pensent que les tarifs de Windows 7 sont trop élevés. 120 dollars pour une mise à jour, cela risque de refroidir pas mal de clients possédant une machine récente et qui préfèreront attendre d'en changer.
  • Windows 7 est, à n'en pas douter, bien né mais son principal argument est qu'il est plus rapide et plus sûr. Cela suffira-il à justifier la dépense ?
  • Windows 7 est avant tout une grosse mise à jour de Vista et beaucoup de spécialistes estiment que les consommateurs ne devraient pas avoir à payer le prix fort pour les erreurs commises par Microsoft.
  • En faisant profiter tout le monde de cette promotion, Microsoft connaîtrait sans doute le même succès qu'Apple avec Snow Leopard dont les ventes battent des records grâce à des tarifs très attractifs (29 dollars pour une licence unique, 49 dollars pour le pack familial).

Rappelons, par ailleurs, que Microsoft a déjà mis en place une offre spéciale à destination des entreprises, qui pourront acquérir à prix réduit (- 35%), via les programmes de licences en volume Open ou Select, Windows 7 Professionnel            

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

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