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5 décembre 2008

Client léger : IBM part à l'assaut de la suprématie de Microsoft en entreprise

Big Blue va lancer une offre de bureau virtuel sous Linux tournant depuis un serveur distant et fournissant un système d'exploitation et des applications sur client léger. Sa promesse : une alternative économique aux solutions Microsoft en entreprise.

IBM veut écrire un nouvel épisode de la "saga du client léger". D'après le Wall Street Journal, Big Blue finalise une offre de bureau virtuel sous Linux destinée à des clients légers, sans disque dur ou processeur puissant. Fonctionnant depuis un serveur d'applications distant, ces bureaux pourront être livrés avec une ou plusieurs applications, elles aussi hébergées sur un serveur.

Côté prix, Big Blue opte pour une approche assez agressive : de 59 à 289 dollars par utilisateur, suivant le nombre de logiciels installés sur ces bureaux virtuels et les services qui leur sont associés. Selon le quotidien américain, qui cite des estimations fournies par IBM, ce type de solution pourrait faire épargner jusqu'à 800 dollars par poste à une entreprise, par rapport aux coûts d'acquisition et de maintenance d'un PC équipé de Vista, de la suite Office et d'outils de travail collaboratif fournis par Microsoft. 

Une politique tarifaire agressive

« Déployer votre technologie de cette façon va vous faire économiser environ 50 % de vos coûts totaux. Comme les clients font face à une situation économique de plus en plus compliquée, ils font attention à tous les éléments dans lesquels ils dépensent de l'argent. » a déclaré Jeff Smith, vice-président chez IBM en charge de l'open source et de Linux,   au Wall Street Journal

Le principe de proposer des machines de bureau sous Linux aux entreprises n'est pas nouveau. Mais le contexte de crise économique est certainement le bon moment pour le relancer. Utiliser des applications légères hébergées sur un serveur en entreprise est une option qui peut convaincre à la fois les DSI et les directeurs administratifs et financiers. Peut-on imaginer meilleure période pour attaquer frontalement le prix des licences Microsoft sur le marché des applications bureautiques et collaboratives ?

                               

Par Vincent Birebent, ZDNet France

Source ZDNet

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4 décembre 2008

Oracle veut empêcher la corruption de données sous Linux

Oracle et la société Emulex, spécialisée dans les bus de connexions de données, ont récemment contribué à l'élaboration du noyau 2.6.27 de Linux, dernière version stable en date. Leur contribution dans ce kernel consiste en un petit bout de code destiné à empêcher la corruption de données entre un serveur d'applications et une base de données, ou entre un ordinateur sous Linux et un périphérique de stockage qui lui est connecté.

Ce code se base sur le standard T10 Data Integrity Field et sur les Data Integrity Extensions, mises au point par Oracle, permettant de vérifier l'intégrité des données, à la fois de façon logicielle mais aussi grâce au matériel, domaine où le concours d'Emulex a été primordial. Le but est de vérifier au niveau des entrées et sorties en mémoire que les données ne sont pas corrompues, alors que pour le moment ce type de vérification était plutôt du ressort au mieux du système d'exploitation, au pire des applications. Soit trop tard.

Tester le système en conditions réelles

Les deux sociétés se sont engagées dans un programme de validation technique auprès d'utilisateurs sélectionnés, afin de tester ce système en conditions réelles.

Impliqué dans le développement de Linux via la distribution Unbreakable (issue des travaux de Red Hat), Oracle a donc privilégié cet OS plutôt qu'un Unix ou Windows pour la première intégration de cette technologie « anti-corruption ». Néanmoins elle pourrait aussi arriver prochainement dans d'autres systèmes d'exploitation utilisés dans des datacenters et des serveurs de base de données.

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

28 novembre 2008

Testez une distribution Linux sur votre PC

 

À l'occasion de la sortie de Fedora 10, distribution Linux gérée par Red Hat, nous vous proposons une sélection de six distributions parmi lesquelles Debian, Ubuntu ou encore MandirvaLinux. Elles vous permettront de tester Linux sans avoir besoin de l'installer sur votre système.

Une distribution Linux est un ensemble cohérent de logiciels, généralement libres, assemblés autour du système d'exploitation Linux. Il en existe une très grande variété, ayant chacune des finalités particulières. Les distributions Linux peuvent être élaborées et maintenues par des entreprises (Mandriva, RedHat ou Ubuntu) ou des communautés (Debian, Gentoo ou Slackware).

Disponibles en téléchargement gratuit, les distributions que nous vous proposons vous permettront de tester Linux, sans avoir besoin de l'installer sur votre système grâce à des distributions dites Live CD.

Debian 4.0 rev5
Une distribution Linux non commerciale
Télécharger

Fedora 10
La distribution Linux du projet Fedora
Télécharger

FreeBSD 7.0
Système Unix orienté serveur
Télécharger

Gentoo 2008.0 r1
Une méta-distribution Linux
Télécharger

Mandriva Linux One 2009
Une distribution de Linux avec installation et configuration automatisées
Télécharger

OpenSUSE 11
Une distribution Linux très performante
Télécharger

Ubuntu 8.10 Desktop Edition
Version Desktop du système d'exploitation libre et gratuit Ubuntu
Télécharger

Source ZDNet

11 novembre 2008

La Matrice tourne sous Windows XP

Description : Les gars de CollegeHumor ont imaginé que la matrice de Matrix tournait sous Windows XP. Neo et ses amis ne sont pas au bout de leurs surprises. Version avec sous-titres en français.
15 octobre 2008

Eee All-in-One d'Asus : un PC low cost tout intégré

Asus veut s'imposer sur le segment des machines à bas prix. Le fabricant taïwanais sortira en novembre, au Royaume-Uni pour le moment, un mini PC de bureau tout intégré avec écran tactile : l'Eee All-in-One

Après l'EeeBox sorti le mois dernier, Asus s'apprête à compléter sa gamme de PC de bureau low cost avec l'Eee All-In-One. Déjà disponible en précommande au Royaume-Uni, ce PC tout intégré avec écran tactile de 15,6 pouces, devrait y être livré à partir du 20 novembre.

Sous le capot, on retrouve sensiblement les mêmes composants que dans l'EeeBox : un processeur Intel Atom cadencé à 1,6 GHz, 1 Go de mémoire vive, un disque dur de 160 Go (le double du disque de l'EeeBox) et un circuit pour les réseaux WiFi à la norme 802.11b/g/n. Le tout propulsé par Windows XP SP3 en version Familiale et proposé à 400 livres (soit 512 euros environ).

Le PC à écran tactile du constructeur Asus : l'Eee All in One

Tactile, ce PC pourrait venir concurrencer des produits plus haut de gamme comme le Touchsmart IQ500 de HP (même si ce dernier présente des spécifications bien plus impressionnantes) ; mais il préfigure surtout ce que pourrait être la future version tactile de l'EeePC, prévue l'an prochain. Contacté par ZDNet.fr, personne chez Asus France n'a été en mesure de nous indiquer si ce PC tactile serait aussi commercialisé dans l'Hexagone.

Un obectif pour Asus : intégrer le top 5 des ventes de portables

Car plus que le marché des PC de bureau, c'est toujours du côté des portables que se portent les ambitions du fabricants taïwanais. Dans une interview au quotidien économique Les Echos, Jerry Shen, le P-DG d'Asus, a indiqué vouloir intégrer en 2009 le top 5 des vendeurs de portables - voire avant la fin d'année. D'après les derniers chiffres des instituts Gartner et IDC, Asus occupe aujourd'hui le sixième rang mondial, derrière HP, Acer, Dell, Toshiba et Lenovo.

Selon une estimation interne, le constructeur pense vendre 5 millions de Netbooks Eee PC sur l'année 2008, sur un total de 11 millions de PC portables livrés tous segments confondus, soit plus du double des 4,5 millions d'unités écoulées en 2007.

Asustek a réalisé un chiffre d'affaire de 22,3 milliards de dollars en 2007, en progression de 39 % par rapport à 2006, et dont la moitié provient de la vente de PC sous sa marque.

Suivez l'actualité des Netbooks sur ZDNet.fr

                               

Par Vincent Birebent, ZDNet France

Source ZDNet

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13 octobre 2008

Cyberlink adapte PowerDVD et PowerCinema à Linux

Preuve de l’engouement des éditeurs de logiciels pour Linux, le taïwanais Cyberlink adapte ses outils de lecture de DVD et fichiers vidéo à l’OS libre. Une disponibilité qui concerne uniquement les fabricants de Netbooks.

Cyberlink va proposer aux fabricants de Netbooks sous Linux, tels Acer ou Asus, des versions de ses deux best-sellers pour la lecture de DVD et fichiers audio-vidéo : PowerDVD et PowerCinema. Avantage sur des concurrents open source comme VLC, ces logiciels sont plus conviviaux pour les utilisateurs et supportent des standards reconnus comme le Dolby Surround pour PowerDVD.

L'autre objectif est de proposer des outils de lecture de vidéo HD plus adaptés aux configurations minimalistes des PC portables low cost que les logiciels disponibles actuellement.

Cyberlink annonce aussi une fonction d'amélioration lumineuse automatique pour PowerDVD (Cyberlink True Theater Lighting) ou des fonctions de diaporama et de retouche (basique) de photo avec PowerCinema. De plus, ce dernier logiciel devrait être capable de gérer des baladeurs audio-vidéo connectés au Netbook et d'accepter certains plug-in conçus à la base pour les versions Windows. Car ces versions Linux ne sont que des « portages » des versions Windows et non pas des créations de toutes pièces.

Des logiciels accessibles uniquement aux constructeurs

On regrettera néanmoins que ces logiciels ne soient accessibles qu'aux constructeurs de PC sous Linux et pas directement aux utilisateurs finaux. Ils sont donc destinés à être intégrés dans les offres logicielles préinstallées sur les Netbooks et pas sous forme de package à télécharger et installer soi-même. Un modèle économique que Cyberlink a éprouvé depuis de nombreuses années avec les fabricants de graveurs et lecteurs de CD/DVD : beaucoup d'entre eux intègrent PowerDVD dans la boîte de leurs produits.

Seule inconnue : pour le moment, Cyberlink n'a pas communiqué sur les éventuels constructeurs qui lui feraient déjà confiance.

                               

Par Vincent Birebent, ZDNet France

Source ZDNet

17 septembre 2008

Adobe Air disponible pour Linux

Après Windows et Macintosh, la plate-forme Air (Adobe Integrated Runtime) est désormais disponible pour les environnements Linux. En mars dernier, Adobe avait rejoint la Linux Foundation  afin de collaborer à l'intégration des technologies Web 2.0.

Air permet aux développeurs de concevoir des applications RIA (Rich Internet Applications) utilisables en ligne et hors ligne, et contenant des contenus dits riches tels que de la vidéo. Chacune d'elles peut être sortie du navigateur pour être intégrée directement au Bureau de Windows, de Mac et désormais de Linux.

L'application  reste perfectible puisqu'il s'agit d'une version bêta - toutes les fonctionnalités prévues ne sont pas encore au rendez-vous, comme la prise en charge des DRM, précise Adobe.

Ensuite, les seules distributions Linux prises en charge pour le moment sont Ubuntu 7.10, Fedora 8 et OpenSuSE 10.3.

Téléchargez Adobe Air pour Linux sur ZDNet.fr

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

29 août 2008

Serveurs : Linux grimpe à 13,4 % de parts du marché

Le système d'exploitation libre enregistre une belle croissance au deuxième trimestre sur le marché mondial des serveurs. Selon IDC, Linux occupe désormais 13,4 % du secteur (en valeur), soit une progression de 10 % par rapport à 2007 sur la même période. Les ventes de machines sous Linux ont généré 1,9 milliard de dollars sur ce trimestre.

Dans le même temps, Windows n'a progressé que de 1,7 %, mais représente 36,5 % du marché avec 5,1 milliards de dollars de revenus. Quant à Unix, il gagne 7,7 % de parts de marché et occupe 32,7 % du secteur avec 4,6 milliards de dollars.

Globalement, le marché des serveurs, lui, a gagné au deuxième trimestre 6,4 % en valeur pour atteindre 13,9 milliards de dollars de revenus. IBM maintient sa place de leader avec 33,2 % de parts de marché, suivi par HP (27,4 %), Dell (12,5 %), Sun (11,2 %) et Fujitsu Siemens (3,8 %).

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

4 août 2008

"Solutions Linux"

 

envoyé par krispac

25 juillet 2008

Le Conseil d'État sécurise l'usage et le développement de logiciels libres

L'association de promotion et de défense des logiciels libres, April, vient d'obtenir gain de cause auprès du Conseil d'État. La plus haute juridiction administrative a conclu que l'usage ou le développement d'un logiciel libre contournant des DRM, n'entrait pas en contradiction avec la loi Dadvsi de 2006.

L'April avait demandé l'annulation du décret n° 2006-1763 de cette loi, qui laissait entendre que l'usage et la détention d'un simple lecteur de DVD libre étaient passibles d'une amende de 750 euros. Motif : ce programme contourne une mesure de protection technique telles que les DRM. Or, la loi Dadvsi interdit le contournement des DRM. Cela était plutôt problématique pour les lecteurs multimédias libres, basés quasiment tous sur le système DeCSS qui contourne la mesure anticopie des DVD vidéo.

Clarification d'une interprétation juridique

Plutôt que d'annuler le décret en question, le Conseil d'État a clarifié l'interprétation juridique qui devait être fait de ce texte. Résultat : le développement ou l'utilisation d'un logiciel libre contournant une mesure de protection à des fins d'interopérabilité n'est pas illégal.

« Même si le décret n'est pas annulé, c'est le résultat que nous attendions », commente pour ZDNet.fr, Alix Cazenave, chargée de mission à l'April. « Cette décision sécurise juridiquement le développement et l'utilisation de logiciels libres ».

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

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