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1 mai 2008

Eee PC 900

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4 mars 2008

Vente liée : Mandriva fait une ristourne sur ses OS Linux

Afin de lutter contre la vente liée du système d'exploitation avec les PC, l'éditeur français de solutions Linux lance une initiative commerciale baptisée « OS Réfugié ». Il s'agit en fait d'une promotion sur ses produits destinés aux utilisateurs souhaitant désinstaller l'OS livré avec leur PC (en général Windows) pour le remplacer par Mandriva Linux.

« Mandriva  remboursera à hauteur de 35 % du montant de tout achat dans la gamme de  produits faisant l'objet de cette offre, aux utilisateurs envoyant une preuve de détention de licence d'un autre OS », indique l'éditeur. Parmi les produits éligibles à cette offre : Mandriva Powerpack 2008, qui est l'édition commerciale de Mandriva Linux, vendue à partir de 49 euros.

Cette opération s'étalera du 3 mars au 8 avril. L'éditeur rappelle qu'il est signataire de la pétition « Non aux racketiciels », portée par le « groupe de travail Détaxe » de l'AFUL soutenu par l'April (*). Mandriva avait déjà réalisé une opération similaire en décembre 2002. Il relance son initiative alors que la justice française vient de donner raison à trois particuliers réclamant le remboursement de Windows.

(*) Aful : Association francophone des utilisateurs de Linux et des logiciels libres ;
April : Association de promotion et de défense du logiciel libre.

Source ZDNet

1 février 2008

Mandriva 2008.1 est disponible dès maintenant en bêta 1

 

Fidèle au planning de développement, Mandriva a annoncé cette semaine la disponibilité de la Mandriva 2008.1 bêta 1 au téléchargement.

Plusieurs avancées ont été faites depuis la sortie de l'alpha 2, notamment:

  • Un tout nouveau système d'informations complémentaires pour les paquetages, en XML, depuis les miroirs. Il semble que ce système permette un gain en rapidité lors de la configuration de la base URPMI
  • Le support des touches de nombreux claviers multimédia. Voici une fonctionnalité qui en ravira plus d'un, en particulier les propriétaires d'ordinateurs portables !
  • Perl a été mis à jour en version 5.10
  • Les pilotes propriétaires NVIDIA 169.09 et ATI 8.45.2 (Catalyst 8.1) sont intégrés
  • Le bureau KDE 4.0.0 est disponible au téléchargement dans le dépôt contrib
  • Et bien sûr la présence du noyau "dernier cri" en version 2.6.24 RC8 ainsi que le serveur de son ALSA 1.0.16 RC1.

Pour obtenir plus de détails sur la Beta 1, rendez-vous sur cette page.

mandrivamandriva

Plusieurs versions sont disponibles au téléchargement, notamment:

  • Les Mandriva Free 32 et 64 bits (en version DVD ou 3 CD). Notez que l'édition Free est à réserver plutôt aux habitués, tandis que les nouveaux sur Linux porteront leur choix vers l'édition One.
  • Les Live CD Mandriva One KDE et Gnome (32 bits uniquement) qui permettent de tester Linux en toute sécurité, car ils ne modifient rien sur l'ordinateur, tout en laissant la possibilité d’installer le système

Rappelons que la Mandriva 2008.1 sera la première version profitant des innovations communes avec la distribution TurboLinux, au travers du laboratoire Manbo. Ces avancées se situent sur « les couches basses » de la distribution, notamment : gcc, glibc, rpm, kernel, bin-utils, mkinitrd et udev.

Pour télécharger une des éditions de Mandriva Linux 2008.1 bêta 1, cliquez ici.

Source de l'INformation : Mandriva

1 février 2008

Linus Torvalds estime que Linux est désormais plus vert

Lors de la conférence « linux.conf.au », qui est la plus grande manifestation Linux en Australie, Linus Torvalds a été interviewé sur des sujets divers, notamment la gestion de l’énergie par les distributions.

Torvalds a joué la carte de l'honnêteté en annonçant d’emblée que les systèmes Linux ont été en retard pendant bien des années en ce qui concernant la gestion de l’énergie et donc des économies qui en découlent. Il indique cependant que le plus gros du travail a été fait et qu’une infrastructure solide a été mise en place : « Nous avons les outils pour mesurer la consommation, relever quand elle est supérieure et pourquoi, ce qui est relativement important ».

Il est vrai que les demandes dans ce domaine ont été très nombreuses pendant des années, car les états de veille des processeurs n’étaient par exemple pas bien gérés. Il faut compter également avec la course folle du renouvellement matériel très rapide et des nouvelles technologies qui l’accompagnent. Avec l’explosion de l’informatique mobile et des ventes d’ordinateurs portables, la création d’une infrastructure solide de gestion de l’énergie était très attendue.

Interrogé également sur le futur de Linux, Torvalds s’est estimé satisfait que la pression ait largement diminué concernant le kernel, car la plupart des grands éléments sont en place : « Nous travaillons toujours sur un grand nombre de choses, en particulier avec le nouveau matériel. Mais je pense, globalement, que beaucoup de bases sont présentes. Nous travaillons sur une meilleure capacité de maintenance et l’amélioration du code pour ajouter ensuite plus tard de nouvelles fonctionnalités plus facilement. »

Enfin, le père de Linux a estimé que la machine était désormais lancée et pouvait très bien fonctionner sans lui s’il devait partir, ce qu’il ne compte pas faire pour le moment. Selon lui, d’autres peuvent très bien reprendre le flambeau, avant d’ajouter avec humour « J’aimerais pouvoir dire qu’ils sont moins bons. »


Source de l'INformation : ZDnet

31 janvier 2008

La gendarmerie passera ses 70 000 PC sous Ubuntu d'ici à 5 ans

Terminé Windows. Dans 5 ans, tous les ordinateurs des gendarmes seront équipés de l'OS Linux. Ce changement répond à la nécessité de réduire le budget informatique et au besoin de recouvrer une plus grande indépendance face aux éditeurs.

En 2013, les 70 000 postes informatiques de la gendarmerie ne fonctionneront plus avec Windows XP mais avec l'OS libre Ubuntu, comme l'ont annoncé ce matin plusieurs représentants du ministère de la Défense au salon Solutions Linux (29-31 janvier CNIT Paris-la-Défense).

Dès 2008, 5 000 nouvelles machines seront livrées sans système d'exploitation, et Ubuntu sera installé par la gendarmerie. Dans les appels d'offres qui suivront, les PC devront être équipés de l'OS de la start-up sud-africaine Canonicalt

« C'est un bon choix. Nous poursuivons notre logique », a confié à ZDNet.fr, le colonel Nicolas Geraud, de la direction générale de la gendarmerie nationale. Une logique entamée en 2005, avec la migration des postes vers la suite bureatique OpenOffice.org, au détriment de Microsoft Office. Elle est aujourd'hui bouclée, et permet de réaliser une économie annuelle de 2 millions d'euros sur les licences.

En 2006, la gendarmerie est ensuite passée au navigateur libre Firefox et à l'outil de messagerie Thunderbird, tous deux issus du projet Mozilla. Aujourd'hui, 100 % des PC sont équipés de Firefox ; il en sera de même pour Thunderbird en 2009 (15 000 postes utilisent encore Outlook).

À l'image des premières migrations, le passage à Ubuntu est présenté comme une opportunité pour réaliser des économies sur les licences (pas d'estimation précisée) et pour « renforcer l'indépendance vis-à-vis des éditeurs ».

Source ZDNet

Au total, le choix pour les logiciels libres devrait, à terme, réduire la facture de 7 millions d'euros par an.

Ubuntu : le système le plus accessible

Pourquoi Ubuntu ? La gendarmerie utilise déjà le système Debian pour ses serveurs et souhaitait « rester dans la continuité » ; l'OS est un dérivé de Debian en plus accessible. L'objectif est que les gendarmes puissent facilement utiliser Ubuntu également à leur domicile, comme ils le font déjà avec OpenOffice.

La version retenue est la 8.04, encore en développement et dont la mouture finale devrait être publiée en avril prochain. « Nous enlevons certains éléments et rajoutons notre pack gendarmerie », a précisé le colonel Geraud. Quant à l'interface, il s'agit du bureau GNOME encore une fois légèrement modifié. « Il ressemble le plus possible à celui de Windows XP. »

Déjà testé sur deux cents postes, le passage à Ubuntu s'est fait de manière très naturelle, indique la gendarmerie. Aussi, elle ne prévoit pas de formation particulière ; un simple didacticiel sera publié sur l'intranet.

                               

Par La rédaction, ZDNet France

                                       

 

À propos de cet article
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30 janvier 2008

PC Linux : les grands constructeurs s'y mettent

26 janvier 2008

Passe d'armes entre éditeurs de logiciels propriétaires et libres autour du rapport Attali

En préconisant de renforcer l’adoption des solutions open source dans le secteur public, le rapport Attali relance la polémique entre les défenseurs du logiciel propriétaire et ceux du libre.

Les éditeurs de logiciels propriétaires s'élèvent contre les recommandations du rapport Attali sur la « libération de la croissance », qu'ils accusent de faire la part belle aux logiciels libres.

Ce rapport préconise en effet de mettre en concurrence logiciels propriétaires et logiciels libres dans les appels d'offres, notamment publics. Et fixe comme objectif d'avoir 20 % des applications « nouvellement développées ou installées au profit du secteur public en open source » d'ici à 2012.         

Une proposition qui n'est pas du goût des éditeurs propriétaires. « En défendant la promotion exclusive et discriminatoire du logiciel libre, la Commission Attali fait manifestement, à l'inverse de nos partenaires européens, le choix du désinvestissement dans l'innovation », commente l'Association française des éditeurs de logiciels (Afdel).

L'Afdel, qui se revendique comme le « porte-parole de l'industrie du logiciel en France »,  est née en octobre 2005, sous l'impulsion notamment des éditeurs français Cegid et Dassault Systèmes ainsi que Microsoft.

Des marchés publics « fermés à l'industrie du logiciel propriétaire »

« Reposant économiquement sur un modèle de service, le logiciel libre n'a ainsi, de l'avis des spécialistes, pas débouché à ce jour sur des innovations de rupture », poursuit-elle. L'association souligne ainsi que la plupart des logiciels libres sont des clones parfois améliorés de produits déjà existants sous modèle propriétaire. Un modèle de développement qui ne participerait que marginalement à l'innovation. Et d'affirmer que les éditeurs propriétaires investissent entre 20 et 30 % de leur chiffre d'affaires en R&D, une source de création d'emplois et de valeur.

Autre critique : l'Afdel estime que les appels d'offres publics sont déjà discriminants vis-à-vis des solutions propriétaires, et le rapport Attali ne fait qu'accentuer cette « discrimination dont pâtissent déjà  les 2 500 entreprises françaises dans leur accès aux marchés publics ».

Après ces attaques à charge, l'association souhaite que « la France sorte définitivement de ce débat stérile et franco-français qui veut opposer les différents modèles » et favorise plutôt leur convergence.

Des allégations infondées de l'Afdel, pour les éditeurs libres

Dans le camp de l'open source, on réagit très vivement à ces déclarations. « Les éditeurs de logiciels libres français dénoncent les allégations infondées de l'Afdel », peut-on lire dans une lettre commune signée par une dizaine d'éditeurs de logiciels libres français, dont Mandriva et Nuxeo, et soutenue par l'association Aful (*).

Ils considèrent que l'Afdel caricature les propositions du rapport Attali et mène un « combat d'arrière-garde contre une des tendances lourdes du marché de l'informatique ».

« L'Afdel est de mauvaise foi et ne défend pas les intérêts de ses membres. Elle devrait voir les logiciels libres comme une opportunité et non une menace », commente pour ZDNet.fr, Stéfane Fermigier, président de l'Aful. Il rappelle que, selon le cabinet Gartner, au moins 80 % des logiciels commerciaux contiendront des briques open source en 2011.

« Le libre profite donc même au éditeurs français "traditionnels" qui l'intègre de plus en plus dans leurs solutions. Mais il est vrai que ceux qui n'entreprennent pas dès maintenant de s'appuyer sur le logiciel libre risquent de se voir très fortement marginalisés dans les années à venir », analyse-t-il.

(*) Association francophone des utilisateurs de Linux et des logiciels libres                               

Par Christophe Guillemin, ZDNet France

25 janvier 2008

Les PC Linux de Lenovo débarquent en France

Comme annoncé en août dernier, le constructeur chinois Lenovo a décidé de proposer des PC portables équipés non pas de Windows, mais de l'OS libre Suse Linux. Les premières machines entrant dans le cadre de cette initiative arrivent en France. Il s'agit des Thinkpad T61 et R61, deux modèles pour professionnels. Ils sont d'ailleurs équipés de Suse Linux Enterprise Desktop 10 de Novell.

Contacté par ZDNet.fr, Lenovo France a indiqué que la préinstallation d'OS Linux sur ses machines grand public n'était, quant à elle, pas à l'ordre du jour.

Le constructeur assurera directement le support technique, tant pour le matériel que pour le système d'exploitation de Novell. Ce dernier, pour sa part, fournira les mises à jour aux clients de Lenovo.

Lenovo n'est pas le premier à installer Linux sur ses machines. Depuis mai 2007, Dell propose des configurations basées sur le système d'exploitation Ubuntu, sur certains de ses PC portables et de bureau.

Source : ZDNet

24 janvier 2008

La France est devenue « un pays phare pour le logiciel libre »

Selon le cabinet Pierre Audoin Consultants, le marché français du logiciel libre génère le plus de revenus en Europe. Sur un an, le secteur a progressé de 66 %, tiré notamment par les programmes d’équipements des services publics.                        

Avec un chiffre d'affaires de 730 millions d'euros, le marché français des logiciels libres et des services associés est le plus important sur le Vieux Continent, esime le cabinet Pierre Audoin Consultant (PAC). Ce chiffre, en augmentation de 66 % par rapport à 2006, représente le cumul des investissements des entreprises et des administrations dans les solutions non propriétaires.

Rapporté au revenu total du secteur des logiciels et services (libre comme propriétaire), soit 30 milliards d'euros en 2007, le segment du libre en France représente 2,4 % ; ce ratio était de 1,5 % l'année dernière.

À titre de comparaison, le même segment a pesé, en Allemagne et au Royaume-Uni, respectivement 444 et 448 millions d'euros. Soit moins de 1 % du CA global du secteur des logiciels et services dans ces deux pays (44,7 et 54,6 milliards d'euros).

« La France est devenue le pays européen le plus "intensif " en matière de logiciels libres, que ce soit par l'importance de ses contributions, l'expérience acquise, l'industrialisation des offres ou la taille des projets », indique à ZDNet.fr, Mathieu Pujol, consultant senior pour le cabinet PAC.

Un marché français soutenu par les programmes publics

Une explication à cela : « Le marché français du libre est dynamisé depuis plusieurs années par les programmes de modernisation de l'État qui font la part belle aux technologies issues du logiciel libre », souligne le cabinet d'études.

Les exemples d'adoption de solutions non propriétaires dans la fonction publique ne manquent pas. Rien que sur le poste client : les gendarmes sont passés à OpenOffice, tout comme les fonctionnaires du ministère de l'Agriculture et de la Pêche ou encore ceux du ministère de la Justice. Et depuis la dernière rentrée parlementaire, les députés disposent également de PC dotés de la suite libre.

Quant à l'outil de messagerie libre Thunderbird, il équipe plusieurs dizaines de milliers de boîtes e-mail de la Caisse nationale d'assurance maladie ; le ministère de l'Équipement et celui de la Défense y ont également recours.

Enfin, s'agissant des systèmes d'information, le logiciel libre est largement représenté. Depuis quelques années, la Direction générale des impôts (DGI) est passée à l'open source pour la télédéclaration de revenus ; le ministère de l'Éducation nationale utilise également l'OS Linux de Mandriva sur une partie de ses serveurs.

« Les investissements publics ont servi d'amorce au marché et ont eu un fort effet d'entraînement  sur le privé », poursuit-on chez PAC. D'autant qu'il existait déjà une longue expérience du logiciel libre dans des secteurs dépendants des commandes publiques, comme les systèmes embarqués dans l'aérospatial et la défense.

Le phénomène devrait s'accentuer dans les années à venir. En Europe, le marché des logiciels libres a représenté 2,2 milliards d'euros en 2007, et devrait atteindre 12,7 milliards en 2011. À cette date, il grimperait alors en France, à 3 milliards d'euros.

                               

Par Christophe Guillemin, ZDNet France

23 janvier 2008

Plasma running on a Neo1973

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