Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Le journal de l'info
Le journal de l'info
Newsletter
8 abonnés
Derniers commentaires
Visiteurs
Depuis la création 330 471
open source
21 décembre 2008

Adobe AIR pour Linux passe en version finale

Adobe a mis un terme à la phase de bêta test de AIR sous Linux. La version finale intègre le support complet de Flash 10 et les DRM. La prochaine étape est l'adaptation d'AIR pour les appareils mobiles.

Déjà disponible depuis quelques mois en version finale pour Mac OS et Windows, la technologie AIR (Adobe Integrated Runtime) est désormais finalisée sous Linux... ou presque. En effet, cette version n'est compatible qu'avec trois grandes distributions : Ubuntu 7.1 et ultérieurs, Fedora 8.1 et ses successeurs, et OpenSUSE à partir de la version 10.3.

Rappelons que Air permet aux développeurs de concevoir des applications RIA (Rich Internet Applications) utilisables en ligne et hors ligne, et proposant des contenus dits « riches » tels que de la vidéo. Chacune d'elles peut être sortie du navigateur pour être intégrée directement au bureau de Windows, de Mac OS et désormais de Linux.

Outre la correction de quelques bugs présents sur les versions de test, Adobe a introduit quelques changements d'importance. Le premier concerne la prise en charge de Flash 10 et de son système de DRM pour les vidéos. Ce support de Flash 10 apporte aussi la prise en charge d'animation 3D et des textes en haute résolution.

Une même plate-forme sous Mac OS, Windows et Linux

Avec cette version finale, Adobe remplit enfin sa promesse envers les développeurs : leur proposer une même plate-forme quel que soit le système d'exploitation sur laquelle elle tourne. Ils peuvent ainsi composer des applications AIR sans se soucier d'éventuelles différences entre leur rendu sous Mac OS, Windows ou Linux. Et même si « moins de 2 % des clients utilise Linux » selon Adrian Ludwig, chef de produit plate-forme chez Adobe, AIR pour Linux est essentiel dans la stratégie de l'éditeur américain qui veut être présent sur tous les marchés.

La prochaine étape pour les développeurs d'Adobe est de porter AIR sur des appareils mobiles, en commençant par les terminaux « mid-mobiles », c'est-à-dire à mi-chemin entre le téléphone portable et le netbook. Aucun calendrier n'a été divulgué sur la disponibilité de ces version mobiles.

Suivez l'actualité d'Adobe sur ZDNet.fr

               

Par Vincent Birebent, ZDNet France

Source ZDNet

Publicité
17 décembre 2008

L'Open Source dans tous ses états

Si la part de marché des logiciels libres reste limitée en valeur – à savoir moins de 10 % des logiciels et services en cette fin d’année 2008 –, les freins à leur adoption sont désormais dépassés.

Source ZDNet

16 décembre 2008

Le fondateur de Netvibes planche sur un OS pour Netbook

À peine six mois après avoir quitté la présidence de Netvibes, qu'il avait fondé en 2005, Tariq Krim annonce un projet de système d'exploitation pour netbook prévu pour sortir en 2009. Baptisé JoliCloud, cet OS sera basé sur Linux et devrait être optimisé pour le surf et le Cloud computing, d'après la page d'accueil de son site.

Si assez peu d'informations ont filtré sur le sujet, Tariq Krim, contacté par ZDNet.fr, nous a indiqué qu'une version bêta de ce système d'exploitation sera disponible début 2009, ainsi qu'un blog pour indiquer l'avancé du projet. Et Tariq Krim de nous donner rendez-vous à ce moment-là pour détailler JoliCloud.

               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

12 décembre 2008

400 téraoctets de données pour étudier le réchauffement climatique

Les changements climatiques passés permettent de connaître ceux à venir, estiment des scientifiques européens qui travaillant sur un projet de simulation. Les données collectées pour analyse sont stockées dans une base de données sous Linux de 400 téraoctets.

Comprendre l'avenir du climat en étudiant les changements qui se sont produits dans le passé : c'est l'idée du projet scientifique de grande envergure lancé par l'Union européenne pour lutter contre le réchauffement climatique. L'objectif est d'aider les gouvernements à prendre des décisions à la lumière de résultats considérés comme fiables.

Les travaux ont lieu au Max Planck Institute for Meteorology, basé à Hambourg (Allemagne), auquel participent des scientifiques de tous les pays. Ils utilisent un outil de modélisation, baptisé Millennium Simulations, qui retrace les changements climatiques qui ont eu lieu au cours du millénaire écoulé, et fait des prévisions pour les cent prochaines années ou plus.

Une multitude de facteurs sont pris en compte : l'impact de l'activité humaine - empreinte écologique humaine, cultures, déforestation ou brûlis par exemple - et les phénomènes naturels, notamment volcaniques. L'outil de simulations contient des modèles pour l'atmosphère, les océans, la surface de la planète et la biogéochimie marine.

Déjà 50 téraoctets de données obtenus...

Pour décortiquer les résultats obtenus par les modélisations et simulations, des scientifiques de toute l'Europe exploitent Géant2, un réseau de réseaux nationaux reliant universités et centres de recherche dans toute l'Europe. Géant2 est également exploité par les scientifiques travaillant sur le LHC du Cern, le plus grand accélérateur de particules au monde.

A ce stade, les simulations ont déjà produit plus de 50 téraoctets (To) de données, indique Reinhard Budich, responsable projet au Max Planck Institute for Meteorology. « Une des simulation que nous faisons, sur une période de 1000 ans, a livré environ 2,5 To de données que nous nous partageons, pour les analyser. Or nous n'en faisons pas qu'une, plusieurs étant nécessaires pour réaliser différentes modélisations selon différents critères de changement climatique ».

...stockés dans la plus grande base Linux au monde

L'ensemble des données générées par Millennium Simulations est stocké au World Datacentre for Climate, lui aussi situé à Hambourg au German Climate Computing Centre. Cette base de données, qui représente pas moins de 400 To, est la plus grande base au monde sous Linux. Avec une vitesse de transfert entre ce centre et le Max Planck Institute de 655 Mb/s théoriques. « Nous ne pouvons pas nous permettre mieux, car c'est une question de coûts », ajoute Reinhard Budich.

En effet, l'urgence de décisions pour lutter contre le réchauffement pâtit de freins techniques. « Les chercheurs doivent partager la bande passante. Nous sommes 400 utilisateurs enregistrés rien que dans notre centre, alors le transfert en pâtit, variant selon l'heure, l'usage qui en est fait etc. Dans l'idéal, il faudrait pouvoir réserver de la bande passante pour une application, avec un créneau horaire et une quantité de données définis ».

Le projet a également besoin d'améliorations au niveau de la récupération de données, qui peut prendre des heures. « Une grande partie des données est stockée sur bande car nous n'avons pas assez d'espace disque. Les données les fréquemment sollicitées pour analyse sont donc conservées sur disque, l'autre support étant privilégié pour les données les moins demandées ».

Les résultats seront autant d'informations pour produire le rapport du Intergovernmental Panel on Climate Change, organe qui éclaire les gouvernements sur les décisions à prendre concernant l'environnement. Elles sont aussi une mine d'or pour les scientifiques, météorologistes et historiens.

Avec Béatrice Gay, ZDNet.fr

               

Par Jo Best, Silicon.com

Source ZDNet

7 décembre 2008

En 2020, 40 % des emplois informatiques seront liés à l'open source

A l'occasion du Forum mondial du libre, qui s'est tenu à Paris du 1er au 2 décembre, un groupe de 38 spécialistes a présenté une sorte de manifeste de l'open source. Intitulé « Feuille de route des logiciels libres pour 2020 », ce document de 78 pages se propose de fournir une « réflexion prospective » sur l'état du secteur, avec une série de prévisions et de recommandations pour les douze prochaines années.

Parmi les nombreux thèmes abordés, l'un est particulièrement intéressant : l'emploi. Ainsi, l'étude prévoit que, en 2020, 40 % des emplois dans l'informatique dépendront des logiciels libres, pour un total de 1,2 million de nouveaux postes.

Une telle prédiction peut étonner, surtout dans le contexte actuel d'instabilité économique. Les auteurs se fondent sur des chiffres publiés par Gartner et par la Communauté européenne. Ils présupposent une croissance annuelle de 2 % dans le secteur informatique, avant de procéder à une   extrapolation. « En fait, le taux de 40 % est même une estimation assez conservatrice », souligne Jean-Pierre Laisné, coauteur de l'étude et responsable de la stratégie open source de   Bull.

Créer des formations spécialisées

L'arrivée massive de professionnels de l'open source soulève, nécessairement, un problème : celui de la formation. Selon l'étude, il n'y a pas assez de personnes compétentes sur le marché pour assurer la croissance envisagée, et les formations actuelles sont, dans l'ensemble, mal adaptées. « Il faut créer des filières spécialisées dans l'open source, explique Jean-Pierre Laisné. Les logiciels libres remettent en question les processus classiques de gestion et de développement. Etre développeur open source, c'est travailler en équipe et à distance, savoir intégrer des codes d'origines diverses, gérer des contributeurs externes, connaître les aspects juridiques et économiques, etc. » L'étude préconise également la création d'un système de certifications professionnelles permettant de valider les compétences dans l'open source.

Source O1net

Publicité
4 décembre 2008

Oracle veut empêcher la corruption de données sous Linux

Oracle et la société Emulex, spécialisée dans les bus de connexions de données, ont récemment contribué à l'élaboration du noyau 2.6.27 de Linux, dernière version stable en date. Leur contribution dans ce kernel consiste en un petit bout de code destiné à empêcher la corruption de données entre un serveur d'applications et une base de données, ou entre un ordinateur sous Linux et un périphérique de stockage qui lui est connecté.

Ce code se base sur le standard T10 Data Integrity Field et sur les Data Integrity Extensions, mises au point par Oracle, permettant de vérifier l'intégrité des données, à la fois de façon logicielle mais aussi grâce au matériel, domaine où le concours d'Emulex a été primordial. Le but est de vérifier au niveau des entrées et sorties en mémoire que les données ne sont pas corrompues, alors que pour le moment ce type de vérification était plutôt du ressort au mieux du système d'exploitation, au pire des applications. Soit trop tard.

Tester le système en conditions réelles

Les deux sociétés se sont engagées dans un programme de validation technique auprès d'utilisateurs sélectionnés, afin de tester ce système en conditions réelles.

Impliqué dans le développement de Linux via la distribution Unbreakable (issue des travaux de Red Hat), Oracle a donc privilégié cet OS plutôt qu'un Unix ou Windows pour la première intégration de cette technologie « anti-corruption ». Néanmoins elle pourrait aussi arriver prochainement dans d'autres systèmes d'exploitation utilisés dans des datacenters et des serveurs de base de données.

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

3 décembre 2008

Le Forum mondial du Libre s'ouvre à Paris

La première édition du Forum mondial du libre s'est ouverte pour deux jours à Paris. Plus d'un millier de participants et 160 intervenants de plus de vingt pays sont attendus selon les organisateurs. (Voir le programme des 2 journées )

« Les logiciels libres pourraient représenter 30% des investissements logiciels et des services informatiques d'ici 2012, soit l'équivalent de 2% du PIB d'un pays comme la France » indiquent-ils.

Entre 15% et 24% des entreprises nord-américaines et européennes utilisent aujourd'hui ce type de logiciels, selon une étude du cabinet Forrester réalisée pour l'occasion, à la demande du groupe Bull.

La France bien placée 

La France est le pays le plus avancé en termes d'usage, grâce notamment aux initiatives du secteur public, suivie de l'Allemagne, note cette enquête.

« En période de crise économique, la motivation première pour l'adoption de l'Open Source est la réduction des coûts » pour 56% des utilisateurs interrogés, souligne Forrester. Mais d'autres facteurs entrent en ligne de compte, comme l'« indépendance vis-à-vis des éditeurs » de logiciels sous licence (43%), « la flexibilité » ou encore « l'innovation ».

Cette conférence a également pour objectif de délivrer une feuille de route fixant les lignes directrices du secteur à horizon 2020.

Tous les livres blancs consacrés aux FLOSS (Free Libre Open Source Software) sur ZDNet.fr

                       

       

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

29 novembre 2008

Ubuntu 9.04 : première version alpha pour Jaunty Jackalope

Canonical, qui se tient derrière le développement de la distribution Ubuntu Linux, vient d’annoncer la sortie de la première version alpha de la version 9.04. Nommée pour l’instant Jaunty Jackalope, cette prochaine mouture devrait sortir d'ici environ six mois.

Il n’existe pas pour le moment une liste démentielle de nouveautés sur Ubuntu 9.04. Comme à chaque sortie d’une version finale, la suivante commence par intégrer tous les changements intervenus entre temps sur Debian, dont Ubuntu est issue. La distribution doit également tenir sa promesse du support de l’architecture matérielle ARM. L’annonce de l’arrivée de la version alpha 1 indique d’ailleurs que ce travail est en cours.

Shuttle X27 Ubuntu


En dehors du simple caractère informatif de cette annonce, il n’est pas recommandé aux utilisateurs de télécharger et d’installer cette version. Non seulement il ne s’agit que de la toute première version alpha, qui ne représentera donc pas du tout la version finale, mais elle est de plus instable, à cause de nombreux bugs. Le plus prudent est d’utiliser un outil de virtualisation comme VirtualBox, VMware Workstation, ou encore Parallels Desktop.

Les versions téléchargeables sont les mêmes qu’habituellement :

Rédigée par Vincent Hermann le lundi 24 novembre 2008 à 11h52 (14673 lectures)
Source de l'INformation : Canonical


Source PC INpact

28 novembre 2008

Testez une distribution Linux sur votre PC

 

À l'occasion de la sortie de Fedora 10, distribution Linux gérée par Red Hat, nous vous proposons une sélection de six distributions parmi lesquelles Debian, Ubuntu ou encore MandirvaLinux. Elles vous permettront de tester Linux sans avoir besoin de l'installer sur votre système.

Une distribution Linux est un ensemble cohérent de logiciels, généralement libres, assemblés autour du système d'exploitation Linux. Il en existe une très grande variété, ayant chacune des finalités particulières. Les distributions Linux peuvent être élaborées et maintenues par des entreprises (Mandriva, RedHat ou Ubuntu) ou des communautés (Debian, Gentoo ou Slackware).

Disponibles en téléchargement gratuit, les distributions que nous vous proposons vous permettront de tester Linux, sans avoir besoin de l'installer sur votre système grâce à des distributions dites Live CD.

Debian 4.0 rev5
Une distribution Linux non commerciale
Télécharger

Fedora 10
La distribution Linux du projet Fedora
Télécharger

FreeBSD 7.0
Système Unix orienté serveur
Télécharger

Gentoo 2008.0 r1
Une méta-distribution Linux
Télécharger

Mandriva Linux One 2009
Une distribution de Linux avec installation et configuration automatisées
Télécharger

OpenSUSE 11
Une distribution Linux très performante
Télécharger

Ubuntu 8.10 Desktop Edition
Version Desktop du système d'exploitation libre et gratuit Ubuntu
Télécharger

Source ZDNet

8 novembre 2008

Creative Labs sollicite la communauté open source pour les pilotes Linux de sa puce X-Fi

Creative Labs jette l'éponge, incapable de livrer des drivers fonctionnels sous Linux pour ses puces et cartes son X-Fi. Le constructeur publie donc leur code source afin que d'autres développeurs prennent le relais.

Deux ans d'efforts (modestes) pour s'apercevoir qu'il est plus simple de déléguer à d'autres que de faire soi-même. C'est en substance la morale de l'histoire de la création de pilotes Linux utilisables pour les puces et cartes son haut de gamme X-Fi, telle que l'a vécue le constructeur singapourien Creative Labs.

Il vient en effet de publier, sous licence gratuite GPL v2, le code source des pilotes Linux pour la gamme X-Fi, pilotes que Creative a sorti en septembre 2007.

Problème, ils ne fonctionnaient que sur des versions 64 bits de certaines distributions Linux, et comportaient de grosses lacunes, en particulier dans la gestion de procédés d'effets sonores avancés, comme l'EAX (Environmental Audio Extensions) ou le support de l'ALSA (Advanced Linux Sound Architecture), une partie du kernel Linux conçue pour gérer les différents matériels sonores.

La faute rejetée aussi sur Wndows Vista

En deux ans, Creative a mobilisé nombre de programmeurs en interne pour composer des pilotes utilisables, sans trop de succès, la faute incombant aussi à Windows Vista selon les porte-parole du constructeur. Creative concède donc avec cette publication sous licence GPL son échec, tout en espérant que des programmeurs indépendants seront plus inspirés que ses propres employés.

Pour découvrir ce code source (et potentiellement le retravailler), il est possible de télécharger le fichier contenant ce code se nommant XFiDrv_Linux_Public_US_1.00.tar.gz.

Les pilotes concernent les cartes son internes XtremeMusic, XtremeGamer, Fatal1ty, Platinum, Elite Pro, et Titanium, mais sont incapables en l'état de gérer le moindre module externe.

                               

Par Vincent Birebent, ZDNet France

Source ZDNet

Publicité
<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 > >>
Publicité
Archives
Publicité