Sauvadet
François Sauvadet, né le 20 avril 1953 à Dijon (Côte-d'Or), est un homme politique français.
Biographie
Fils d'agriculteurs, après un diplôme en gestion d'entreprise, il devient en 1977 journaliste au service politique du Bien public, quotidien bourguignon qu'il quitte en 1993, lorsqu'il est élu député de la 4e circonscription de Côte-d'Or.
Le 9 juin 2002, il est réélu député au 1er tour, face à un jeune candidat du Parti radical de gauche, Patrick Molinoz[1]. Le même schéma se reproduit le 10 juin 2007, où François Sauvadet est largement réélu dès le 1er tour[2]. Ancien adhérent du Pôle républicain indépendant et libéral, il fait partie jusqu'en 2007 du groupe UDF, dont il a été le porte-parole.
Le 29 mai 2007, il crée, avec Hervé Morin et d'autres députés centristes ayant fait le choix de soutenir Nicolas Sarkozy à l'élection présidentielle, le Nouveau Centre. Il en devient officiellement président du groupe parlementaire à l'Assemblée nationale, le 19 juin 2007. Il est désigné vice-président du NC au sein de son organisation provisoire[3]. Il est membre du groupe d'études sur le problème du Tibet de Assemblée nationale.[4]
François Sauvadet est élu président du conseil général de la Côte-d'Or le 20 mars 2008. De fait, il doit abandonner son mandat de maire de Vitteaux, mais devient premier adjoint au maire[5].
François Patriat
François Patriat, né le 21 mars 1943 à Semur-en-Auxois (Côte-d'Or), est un homme politique français.
Vétérinaire de formation, François Patriat milite depuis 1974 au PS après avoir quitté, en compagnie de Michel Rocard, le PSU.
Depuis le 2 avril 2004, il est président du Conseil régional de Bourgogne, fonction dans laquelle il a succédé à Jean-Pierre Soisson, après la victoire de sa liste aux élections régionales le 28 mars.
Depuis le 21 septembre 2008, il est sénateur de la Côte-d'Or.
Il est marié et père de deux enfants.
Sénateur de Côte d'Or
Il est depuis le 21 septembre 2008 sénateur de la Côte-d'Or.
Assemblée nationale
Il fut élu député de la Côte-d'Or pour la première fois en juin 1981, se présentant comme candidat dissident contre le candidat MRG soutenu par son parti. Il fut quelque temps exclu du Parti socialiste, avant de s'inscrire comme apparenté, puis d'être finalement réintégré.
Il fut réélu (à la proportionnelle) en mars 1986, puis en juin 1988 (au scrutin uninominal).
Il fut battu en mars 1993, à nouveau élu en juin 1997 puis à nouveau battu en juin 2002.
Source Wikipedia
Pourquoi cette tempête s'appelle-t-elle Xynthia?
DECRYPTAGE - La tempête qui a balayé la France et l'Europe a en fait été baptisée par un inconnu. Explications...
Xynthia. On entend beaucoup parler d’elle, mais on ne sait pas pourquoi on l’appelle ainsi. Au même titre que les cyclones tropicaux (Katrina, Gustav), les tempêtes météorologiques européennes majeures reçoivent un nom, donné par l'Institut de Météorologie de l’Université libre de Berlin.
En 1954, Karla Wege, alors étudiante de l'Université, a proposé de nommer les dépressions et anticyclones qui causaient des dommages importants en Europe, pour rendre les cartes météorologiques plus lisibles pour le grand public. Elle devint ensuite une météorologiste célèbre à la télévision allemande, et démocratisa cette pratique. Ces noms varient habituellement d'un pays à l'autre, mais certaines tempêtes célèbres passent dans le vocabulaire de l'Europe entière.
500 000 décodeurs TNT en passe d'être hors service
Selon l’UFC-Que choisir, la mise en place d’une nouvelle norme pourrait rendre inutilisables une partie des décodeurs TNT en service. Les fabricants sont au courant mais restent discrets.
De 300 000 à 500 000 décodeurs TNT pourraient tomber en panne lors du passage au tout-numérique. C'est le journal Que choisir, édité par l'association de consommateurs UFC-Que choisir, qui vient de révéler l'affaire. En cause : une incompatibilité de normes, qui agirait comme une bombe à retardement.
Car, si ces boîtiers fonctionnent parfaitement avec les normes de diffusion numériques actuelles, ils ne seraient pas adaptés à la nouvelle segmentation des chaînes qui sera instaurée à partir du 5 mai prochain. A cette date, de nouveaux protocoles vont être utilisés pour prendre en compte une augmentation des données diffusées sur la télévision numérique terrestre (TNT).
Cette étape devrait se passer de manière indolore. C'est lors du passage au tout-numérique, lorsque le consommateur devra procéder à la nouvelle mémorisation des chaînes sur son décodeur, qu'il risque d'être privé de télévision.
« Soit certaines chaînes ne seront pas numérotées correctement soit toutes les chaînes ne seront pas présentes », précise l'article de Que choisir. Dans certains cas, plus rares, l'appareil serait même inutilisable.
N’oublions pas la double dette de la France envers Haïti
Lors de son voyage en Haïti la semaine dernière,
Nicolas Sarkozy a annulé la dette de 56 millions d’Euros d'Haïti envers
la France.
S'il
convient de saluer cette annulation, il faut rappeler aussi, que la France a une double dette envers Haïti : une dette
morale au titre de la colonisation, et une dette pour avoir imposé à
Haïti, qui était la première république noire au monde, un tribut
d’indépendance de 150 millions de francs-or.
Après la
proclamation par le General-en-chef Jean-Jacques Dessalines de la
République d'Haïti le 1er janvier 1804, Haïti s'est vue imposer en 1825
par une ordonnance royale le paiement à la France
de 150 millions de francs-or destinés à "dédommager les
anciens colons" !
Le montant de cette dette "à
la liberté" a été ramené à 90 millions de francs en 1838. Cette
somme représente environ six années de recettes budgétaires de l'Etat
haïtien.
Cette honteuse dette a considérablement grevé le
budget d'Haïti, qui a dû recourir à de nombreux et très onéreux emprunts
auprès de banques notamment françaises pour honorer cette "rançon".
Haïti a, en outre, été contraint de lever de lourdes impositions sur la
population haïtienne.
La dette payée pour son indépendance a
été l’une des causes du retard économique et social en Haïti. Elle a
limité le développement de ce pays.
Nicolas Sarkozy
devrait restituer cette dette et abroger le traité du 18 février 1838.
La France honorerait ainsi sa double dette envers la
République d'Haïti.