Le journal de l'info

Près de 80 000 identifiants et mots de passe auraient été publiés par des pirates sur un site finnois. C'est ce qu'indique la société de sécurité en informatique F-Secure. Ces informations confidentielles appartenaient à des utilisateurs finlandais qui fréquentaient des forums. Un fichier de 4.5 Mo, contenant toutes les informations était proposé sur le site des pirates. La plupart des mots de passe étaient encore cryptés mais des techniques par force brute devraient très vite les découvrir, mettant ainsi en danger des dizaines de milliers d'internautes. Et pour couronner le tout, ce fichier a été envoyé sur les réseaux peer-to-peer. Pour éviter que les mots de passe soient trop facile à décrypter il faut veiller à ce qu'ils contiennent un mélange de chiffres avec des majuscules et des minuscules et qu'ils fassent au moins 8 caractères. Puis il ne faut pas choisir le même mot de passe pour tous les services auxquels vous êtes inscrit sur le Web.

Source

Sandisk ne devrait pas tarder à annoncer officiellement sa Sansa TakeTV, et malgré son nom, il n'intègre pas un tuner TV mais une mémoire de 8Go et la capacité de lire les fichiers au format MEPG-4, DivX et Xvid, et ainsi se brancher sur un dock qui, lui, sera relié à votre téléviseur. Oui, une sorte d'Archos mais ne plus petit !

Alors que le GPS made in Sony pour sa PSP ne sert pas à grand chose, voici que les hackers se sont amusés à brancher sur leur PSP Slim&Lite une vraie tête Bluetooth Holux. Un jour peut-être, la PSP pourra servir de PND

Vous n'aimez pas les lampes USB actuels, vous savez, les loupiottes au bout d'un cou cygogne bien flashy, et bien ce modèle vous plaira peut-être grâce à sa lumière tamisée et sa discrétion ! Allez, je vais me sortir un petit verre de cognac pour la peine ! Comptez 7,99£ ICI soit 11,50€.

Source le journal du Geek

Après Tux Droïd, voici le caméléon USB. Certes, il fait beaucoup moins de chose que Tux Droïd, mais franchement, pour accompagner sa ch'tite SUSE, y a rien de tel qu'un ch'tit caméléon :

Ses pattes et sa queue se bougent à loisir, probablement grâce à une quelconque articulation, mais la grande merveille de cet objet, c’est qu’une fois connecté en USB, ses yeux roulent et sa langue sort.
Source : PC Inpact

Asus prend à son tour le train de l'ordinateur simplifié à destination des marchés de l'éducation, des débutants, ou de ceux qui veulent simplement une machine légère et fonctionnelle pour des besoins basiques. Son Eee PC vient en effet de débarquer dans les boutiques de Taïwan.

L'apparence adoptée est celle d'un ordinateur portable classique, mais en beaucoup plus petit et léger. L'écran ne fait en effet que 7 pouces (en 800×480), il mesure à peine plus que la moitié d'une feuille A4 : 22,5×16,5 cm, et pèse tout juste 920 grammes !

Il faut dire qu'il est dépourvu de disque dur mécanique : tout est stocké sur la mémoire Flash d'un disque SSD, de 2 à 8 Go selon le modèle. Le processeur est un Intel Celeron 353 ultra-basse consommation, cadencé à 900 Mhz. L'affichage est dévolu au chipset Intel 910GML. Le réseau n'est pas en reste : Wi-Fi 802.11g et Ethernet 100 Mbits/s sont là. Une webcam VGA (sur certains modèles), 3 ports USB, un port SD Card et une sortie VGA complètent le tout.

Le système d'exploitation fourni est un dérivé de la distribution Linux Xandros, équipée de tout ce qu'il faut pour utilisation au sortir de la boîte : Firefox, messagerie instantanée multi-protocole Pidgin, suite OpenOffice, Skype, gestion des photos, lecteurs multimédia et de PDF, et même un anti-virus.

L'appareil est néanmoins vendu comme étant compatible avec Windows XP. Il est en outre évolutif : on peut changer la mémoire vive, et un port miniPCI libre est accessible sous le châssis.

Le Eee PC avait été annoncé cet été au salon Computex. Il devait coûter moins de 200$. Hélas, à l'arrivée, le premier prix monte à 360 $ US. Pour ce prix-là, on bénéficie du modèle 4 Go de disque SSD, 512 Mo de RAM et webcam intégrée.

Après le marché asiatique, l'Eee PC devrait sortir aux États-Unis puis, courant novembre, au Royaume-Uni, en Allemagne et en France.

Les ordinateurs simplifiés sous Linux ne sont pas totalement inconnus du public français : ainsi des Ordissimo, Easy Gate et Open Gate de Neuf, Linutop et autres Ordipost. Mais jusqu'à présent, leur diffusion a été plus que restreinte. D'autres projets, encore plus ambitieux, comme les Classmate PC ou le XO de One Laptop Per Children ont encore plus de mal à voir le jour."

Source : www.svmlemag.fr

Le système d'exploitation à base de noyau Linux est disponible dans une nouvelle version : la 7.10 (pour octobre 2007). Canonical, la start-up sud-africaine qui encadre son développement, respecte ainsi son rythme d'un nouvel OS tous les six mois.

Ubuntu 7.10 (surnommé « Gutsy Gibbon ») surfe sur la vague de l'interface avec effets 3D, que l'on retrouve notamment dans Mac OS Leopard d'Apple. C'est son bureau qui, par défaut, est activé en 3D et représenté en mode cube avec ses six faces. L'utilisateur peut ainsi passer d'une face à l'autre pour rassembler, par exemple toutes les applications bureautiques sur l'une, celle dédiées au Net sur une autre et les logiciels de loisir sur une troisième, etc. (voir image ci-contre).

Il faut cependant disposer d'une configuration minimale pour en bénéficier : un processeur 32 ou 64 bits cadencé à 800 Mhz, 256 Mo de RAM, 4 Go de disque dur et une carte graphique dotée de 64 Mo de mémoire.

La nouvelle mouture de l'OS intègre également une meilleure gestion des périphériques (notamment les imprimantes), un outil de recherche locale avancé, la suite bureautique OpenOffice.org en version 2.3,  Firefox en version 2.0.0.6, le bureau GNOME (version 2.20.1), l'application Apparmor (qui permet à l'administrateur d'associer à chaque logiciel un profil de sécurité spécifique), et des fonctions avancées d'affichage en double écran.

Notons que Canonical publie aussi une version pour serveurs d'Ubuntu 7.10 compatible avec les architectures x86, AMD64 et UltraSPARC T1. Ubuntu 7.10 est disponible en téléchargement sur le site de l'éditeur.

Par la rédaction, ZDNet France