Mise a jour de la PSP 4.05
Les nouveautés sont :
- De nouveaux effets ont été ajoutés au visualiseur sous [Musique]
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Le navigateur de Google n'a pas la cote en Allemagne. Le BSI, l'autorité pour la sécurité des technologies de l'information, se montre très critique : Chrome « ne devrait pas être utilisé pour une utilisation quotidienne et généraliste », a affirmé au Berliner Zeitung, le porte-parole du BSI Matthias Gärtner.
Selon lui, il est problématique que Google, qui détient une si grande part de marché, mette à disposition du grand public une version test de ce navigateur, qui n'est pas encore entièrement sécurisée.
Mais ce qui pose surtout problème au BSI, c'est la collecte de données à laquelle Google risque de se livrer par le biais de Chrome. Le moteur de recherche a reconnu que jusqu'à 2 % des informations tapées dans sa barre de navigation Omnibox, même si elles ne sont pas validées, pourraient être enregistrées. « Pour des raisons de sécurité technique, l'accumulation de données par un fournisseur pose problème », prévient Matthias Gärtner
Par la rédaction, ZDNet France
Microsoft change de stratégie pour s'imposer sur le secteur de la virtualisation, face à VMware, numéro un mondial. Son outil phare, l'Hyper-V Server 2008, sera désormais proposé en téléchargement gratuit, d'ici trente jours (informations à venir sur ces pages). Disponible pour les machines sous Windows ou Linux, l'Hyper-V, auparavant facturé 28 dollars, est accompagné d'une version allégée Server Core de Windows Server 2008.
Une décision annoncée à l'occasion d'autres présentations de
nouveautés, toujours dans le champ de la virtualisation. Un secteur que
Microsoft investit en frappant fort puisqu'il s'est entouré d'une
vingtaine de partenaires pour l'épauler et promouvoir ses solutions,
dans le cadre du programme « Get Virtual ». Dans la liste, on trouve AMD, Citrix, Dell, HP, IBM, Novell ou encore Sun Microsystems.
L'éditeur a également levé le voile sur son System Center Virtual Machine Manager (SVCMM) 2008, qui permet aux entreprises de centraliser l'administration de leurs infrastructures virtuelles. L'outil est compatible avec les produits Microsoft (Windows Server 2008 Hyper-V, Server 2008 Hyper-V ou Virtual Server 2005 R2), mais aussi avec VMware Virtual Infrastructure 3, solution de VMware.
Microsoft a pris un virage résolument offensif dans sa stratégie de virtualisation, après avoir pendant longtemps freiné les entreprises qui en étaient adeptes ; l'éditeur leur facturait un temps des frais pour l'utilisation de différents systèmes d'exploitation virtuels.
Par la rédaction, ZDNet France
Fort du succès de son PC portable à bas coût, l'Eee PC, Asus en commercialisera une version PC de bureau à la fin de septembre. Baptisé EeeBox, il s'agit d'un ordinateur de faible encombrement : 223 mm x 178 mm x 27,4 mm pour un poids de 1,3 Kg.
Dans ce boîtier, Asus a intégré un processeur Intel Atom N270 cadencé à 1,6 GHz, épaulé par 1 Go de mémoire RAM (DDR2), un disque dur de 80 Go, un module de connexion Wi-Fi (b/g/n), une connectique Ethernet 10/100/1000 et quatre ports USB.
L'EeeBox est équipé de Windows XP Édition Familiale. Asus assure que la machine démarre environ en 7 secondes grâce à sa technologie Express Gate. Autre point mis en avant par le constructeur : l'aspect silencieux de la machine avec environ 26 dB d'émission sonore. Enfin, elle consommerait jusqu'à 90 % d'énergie en moins qu'un PC de bureau classique.
L'Asus EeeBox sera disponible au prix de 229 euros (contre un peu moins de 300 euros pour l'Eee PC 4G BK036), sans clavier, souris, ni écran.
Par la rédaction, ZDNet France
Si tout se passe comme prévu, demain commencera la plus grande expérience de physique de tous les temps : l'observation en laboratoire des conditions qui régnaient à la toute première seconde de la création de l'univers, il y a plus de treize milliards d'années. Comment ? Grâce à une machine infernale baptisée « Large Hadron Collider » (LHC) et située à 150 m sous terre, à la frontière franco-suisse, près de Genève.
Fonctionnant comme un accélérateur géant, elle permettra à deux faisceaux de particules circulant en sens contraire, dans un anneau de 27 km de circonférence, de se heurter de plein fouet, à une vitesse exceptionnelle, proche de celle de la lumière (300 000 km/s). A quoi bon ? s'interrogeront certains. Tout simplement à découvrir, dans les gerbes de particules qui résulteront de cette formidable collision, les secrets de la matière.
A l'image de policiers sur une scène de crime, les physiciens du Cern (Centre européen de recherche nucléaire) espèrent découvrir, en fouillant dans ces « débris », le trésor qu'ils recherchent depuis les années 1960 sans jamais avoir prouvé son existence : la « particule divine », plus savamment appelée le boson de Higgs, autrement dit la particule élémentaire qui expliquerait comment toutes les autres fonctionnent ensemble.
Mettre la main sur cette pièce manquante permettrait de terminer le « puzzle » de l'univers et de valider ou non les différents scénarios de big-bang retenus actuellement pour expliquer sa création.
Formidable machine à découvertes, le LHC permettra de résoudre également beaucoup d'autres énigmes, comme de mieux cerner la « matière noire », qui représente 22 % de la densité de l'univers, ou de prouver, ou non, l'existence d'univers parallèles. « Avec les expérimentations du LHC, le visage de la physique ne sera plus jamais le même ! », s'enthousiasme le physicien et philosophe Etienne Klein.
Polémique: et si des trous noirs s'échappaient du labo?
La fin du monde est pour demain! C'est du moins ce que pense
l'association américaine Citizens against the Large Hadron Collider,
qui craint que notre planète ne finisse engloutie par une erreur de
calcul des physiciens. Arguant de thèses - non publiées - d'un
physicien allemand, elle a porté plainte devant un tribunal fédéral et
exige l'arrêt du collisionneur au nom du principe de précaution.
Elle craint en effet que le LHC ne produise de microscopiques « trous noirs », des sphères massives mangeuses de matière qui, si elles s'échappaient du laboratoire, pourraient « dévorer » notre planète.
Au Cern, on admet que « quelques théories de type spéculatif prédisent la production de trous noirs », mais les chercheurs précisent que « ces théories prévoient aussi qu'ils se désintégreraient aussitôt et resteraient sans effets ». Rassurant.
Yaroslav Pigenet - ©2008 20 minutes