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9 février 2008

Identité numérique : Microsoft rallie la cause OpenID

L'éditeur formalise son soutien à la technologie OpenID, qui permet aux internautes d'utiliser le même identifiant pour se connecter à tous les sites compatibles. Il rejoint l'OpenID Foundation pour la promouvoir avec Google, Yahoo, IBM et Verisign.

La technologie d'identifiant unique open source OpenID, commun à tous les sites web, gagne le soutien grandissant d'acteurs majeurs des TIC. Le dernier en date est Microsoft, qui vient de rejoindre le comité de direction de l'OpenID Foundation, en même temps que Yahoo, Google, Verisign et IBM.

La fondation comptait déjà des membres tels que Scott Kveton (Vidoop), David Recordon (Six Apart), Dick Hardt (Sxip Identity), Artur Bergman (Wikia) ou encore Johannes Ernst (NetMesh).

Microsoft formalise ainsi son soutien à la technologie, après avoir participé à des groupes de travail sur certains de ses aspects. Elle connaît d'ailleurs bien le sujet du contrôle d'identité en ligne, pour avoir développé Passport, une initiative sur le même principe très critiquée et finalement abandonnée.

Le principe d'OpenID est d'alléger le processus de connexion aux sites, en recourant à un unique « log-in/mot de passe » pour tous. Il suffit à l'internaute de se créer un compte sécurisé une fois, pour ensuite utiliser le même identifiant sur tous les sites compatibles OpenID. À la différence de Passport, cette technologie est le fruit de développements communautaires, supervisés et promus depuis juin 2007 par la fondation dédiée.

Plus de 10 000 sites partenaires OpenID

Après une période de scepticisme, l'adhésion au projet de poids lourds du secteur IT laisse présager une adoption à grande échelle. D'autres acteurs devraient être entraînés par le mouvement, et le public séduit. Selon l'OpenID Foundation, plus de 10 000 sites web y adhèrent déjà. En France, Orange est partenaire.

Le standard OpenID a été mis au point en 2005 par Brad Fitzpatrick, un ingénieur qui travaillait alors au sein de la société Six Apart. Il a depuis rejoint Google, où il a participé à la création de la plate-forme OpenSocial.

« L'OpenID Foundation a la vision d'un Web facile à utiliser et reposant sur des standards ouverts accessibles à tous », indique-t-il. « OpenID ayant été conçu pour être un système d'identification décentralisé, c'est fantastique de rejoindre une fondation oeuvrant pour qu'il reste libre de toute extension propriétaire (...) Il ne doit appartenir à personne. »

                               

Par Caroline McCarthy, News.com, avec Béatrice Gay, ZDNet.fr,

Source ZDNet

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2 février 2008

David Mitchell, Ovum : « Il est peu probable que Google décide de faire une contre-offre sur Yahoo »

Interrogé par ZDNet.fr, le cabinet de conseil Ovum voit deux raisons à l'OPA de Microsoft sur Yahoo : préserver les revenus de Microsoft Office et renforcer ses positions sur le marché publicitaire face à Google, qu'il ne voit pas surenchérir pour des problèmes concurrentiels.

ZDNet.fr - Pourquoi Microsoft a-t-il décidé de lancer une OPA sur Yahoo ?
David Mitchell (*) -
Je vois deux raisons : il s'agit tout d'abord d'une stratégie de défense à long terme de sa part de marché et de ses revenus, et de ses marges liées à sa suite bureautique Microsoft Office. Sur le court-terme, Google ne lui a pas encore réellement causé de problèmes, car peu d'entreprises ont adopté ses applications en ligne. Mais sur le long terme, ces applications sont une menace potentielle pour Microsoft, dans le contexte de substitution des logiciels sur le PC par des logiciels en ligne.

La seconde raison est de renforcer ses positions sur le marché publicitaire : actuellement, Microsoft est troisième, derrière Yahoo, et Google dispose d'une confortable avance sur ces deux poursuivants. Mais malgré tout, la combinaison des forces de Yahoo, avec celles de Microsoft et Fast (tout récemment acquis par l'éditeur) représente un chiffre d'affaires moindre sur le secteur des liens sponsorisés, que celui généré par Google seul.

         

Microsoft parle également de grandes synergies en terme de R&D
Une fusion permettra effectivement aux deux groupes de mettre sur le marché des produits innovants plus rapidement qu'ils ne le font actuellement individuellement. La puissance de Yahoo en terme de base d'utilisateurs, combinée à la technologie de Microsoft, peut permettre le décollage rapide de nouveaux produits. À mes yeux, s'il devait y avoir une bataille entre les services de R&D de Yahoo et ceux de Microsoft, le dernier serait clairement vainqueur. C'est pourquoi le principal atout de Yahoo est sa base d'utilisateurs.

Quelle conséquence une telle opération pourrait-elle avoir sur le marché ?
Il y a toujours sur le marché un grand nombre de petites start-up, de nouveaux acteurs qui créent des technologies sur des marchés très spécialisés, et cela ne les empêchera pas de se développer. De son côté, Google pourrait répliquer, il ne va de toute façon pas arrêter d'innover, et on ne connaît pas quelle sera sa stratégie en terme d'acquisition. En revanche, il est peu probable que Google décide de faire une contre-offre sur Yahoo, d'une part à cause du montant engagé, et d'autre part parce qu'une telle acquisition de sa part provoquerait sûrement des problèmes concurrentiels.

David Mitchell (*) est senior vice-président pour la recherche IT chez Ovum.

                               

Par Estelle Dumout, ZDNet France

Source

                                       

 

2 février 2008

Microsoft-Yahoo : les raisons d'une OPA

Atteindre la masse critique sur le secteur publicitaire et être plus réactif en terme de R&D sont les principales motivations des dirigeants de Microsoft pour justifier l'OPA sur Yahoo. Des arguments décryptés par Vincent Bonneau, analyste à l'Idate.

« C'est la prochaine étape majeure dans le processus de transformation de Microsoft. » Steve Ballmer présente ainsi l'offre de rachat lancée ce vendredi 1er février par son groupe sur son rival Yahoo. « Nous discutons déjà depuis plus de dix-huit mois », a indiqué le P-DG de l'éditeur lors d'une conférence de presse téléphonique. « Microsoft et Yahoo partagent la même vision concernant la publicité en ligne. »

Jusqu'à présent, le portail internet a toujours refusé les avances de son rival - de la mise en place d'un partenariat commercial à la fusion. Mais la publication de résultats annuels en berne et l'annonce de la suppression de 1 000 postes en début de semaine, ont fragilisé Yahoo. « Nous pensons qu'il n'y a pas de meilleur moment pour faire cette offre », reconnaît Steve Ballmer.

« Nous sommes prêts au dialogue », ajoute-t-il, sans préciser si Microsoft acceptera de revoir sa proposition à la hausse dans le cas où les dirigeants et les actionnaires de Yahoo font la sourde oreille.

Une offre trop faible pour Yahoo ?

Pour Vincent Bonneau, analyste à l'Institut de l'audiovisuel et des télécommunications en Europe (Idate), « si Yahoo croît vraiment à la réussite de Panama, sa plate-forme lancée il y a quelques mois, il n'est pas certain que l'OPA fonctionne à la première tentative. L'offre de Microsoft est basée sur un niveau de l'action au plus bas ».

Un sentiment renforcé par les révélations de la presse américaine. Au printemps dernier, Microsoft aurait approché les administrateurs de Yahoo avec une offre à 50 milliards de dollars.

Microsoft +Yahoo = 988 millions de visiteurs uniques

La firme de Redmond affirme que cette acquisition est essentielle pour les deux groupes dans leur course derrière Google. « Atteindre une masse critique est essentiel sur le secteur de la publicité en ligne », argumente Kevin Johnson, président de la division Plates-formes et services. Selon lui, si Microsoft et Yahoo sont capables de proposer une plate-forme publicitaire unifiée, cela ne sera que bénéfique pour les annonceurs. En particulier sur le long terme lorsque les deux groupes auront développé des solutions pérennes en terme de publicité comportementale.

« L'opération fait sens si on regarde les points forts de Microsoft et de Yahoo qui se complètent bien sur les services - portail, webmail, messagerie instantanée - et sur la répartition géographique - USA, Europe et Asie » analyse Vincent Bonneau. « Les deux groupes ont le même modèle publicitaire basé sur l'audience. En se rapprochant, ils créent un leader mondial du display (bannières, carré, etc.) car le marché est très fragmenté en termes d'audience. N'oublions pas que chacun dispose en plus de partenaires forts, notamment Microsoft avec Facebook.

En revanche, ils ne reviendront pas sur Google sur le « search » et le marché des liens sponsorisés. « Dans le secteur de la publicité en ligne, ce sont deux marchés différents ». Selon les  chiffres de l'institut Comscore, l'audience mondiale cumulée des sites de Microsoft et Yahoo serait de 988 millions de visiteurs uniques par mois contre 528 millions pour les  sites de Google.

Quid de la marque Yahoo ?

Microsoft compte également sur des synergies entre les équipes de recherche et développement (R&D). « Actuellement, Yahoo et Microsoft ont des ingénieurs qui planchent sur les mêmes sujets, nous pourrions combiner ces talents pour accélérer l'innovation », poursuit Kevin Johnson. « Nous aurions pu embaucher des ingénieurs, nous savons très bien le faire, mais parallèlement, nous avons le leader du marché (Google, Ndlr), qui gagne rapidement des parts de marché », renchérit Steve Ballmer.

Une équipe de R&D renforcée permettra à Microsoft et Yahoo de plancher sur de nouvelles technologies de recherche, comme les moteurs verticaux ou la recherche sémantique, rappelle Ray Ozzie, le « Chief Software Architect » de Microsoft. Mais aussi et surtout de plancher sur les dimensions sociales des applications et des sites internet, afin de créer « un web plus ouvert ». « Yahoo a des atouts énormes en terme de communauté et de contenu », rappelle-t-il.

En revanche, les dirigeants de Microsoft sont restés vagues sur les conséquences en terme d'emploi, si l'opération aboutit. De même, ils auront à prendre des « décisions spécifiques » en terme de marques, a prévenu Steve Ballmer, car entre Yahoo, MSN, Windows Live, le futur groupe se retrouvera avec un ensemble de marques très renommées.

Avec Philippe Leroy

                               

Par Estelle Dumout, ZDNet France

Source

                                       

 

1 février 2008

Microsoft offre 44,6 milliards de dollars pour racheter Yahoo

Microsoft propose aujourd'hui 44,6 milliards de dollars pour racheter Yahoo. Alors que l'action Yahoo fermait hier à 19,18 dollars, l'offre de la firme de Redmond est plutôt généreuse : 31 dollars par action.

C'est la plus grosse offre jamais effectuée par Microsoft, pour une entreprise dont l'action a baissée de presque 32 % ces 12 derniers mois. Cependant, la stratégie de Microsoft pourrait aussi s'avérer très efficace face à Google, un géant qu'il faut absolument concurrencer.

Microsoft explique être en discussion avec Yahoo depuis jeudi pour parler d'une éventuelle fusion des deux firmes. Une idée qui semble bien plaire aux investisseurs, puisque l'action Yahoo a augmenté aujourd'hui de 59 %, vers 29,95 dollars dans les pré-négociations de marché avant l'ouverture de la bourse américaine. En face, l'action de Google perd 1,2 % par rapport à sa valeur à la fermeture des marché jeudi.

Yahoo n'est pas au mieux de sa forme en ce moment. Les derniers rapports financiers de la firme, publiés mardi dernier, montrent des bénéfices trimestriels en baisse, et la firme annonçait au même moment son intention de s'alléger d'un millier d'employés.

Source

1 février 2008

Le Service Pack 1 de Vista dès le lundi 4 février ?

Selon le site Tech ARP, Microsoft fait circuler une information importante à propos du Service Pack 1 de Vista. Ce dernier serait en effet disponible dès le 4 février, soit dans trois jours (lundi prochain). Le lancement de la mise à jour tant attendue se ferait en deux phases, comme prévu :

  • Phase 1 : disponibilité immédiate de la mise à jour en anglais, français, espagnol, allemand et japonais
  • Phase 2 : entre une et deux semaines plus tard, 36 autres langues, dont le chinois

Rappelons que le Service Pack 1, en plus d’intégrer toutes les mises à jour disponibles depuis la sortie de Vista, améliorera les éléments suivants :

Support du matériel :

  • Support du nouvel UEFI pour les éditions 64 bits, qui permet à Vista de démarrer sur des disques durs formatés à l’aide de la GPT (GUID Partition Table), notamment utilisée par les Mac
  • Support du démarrage réseau EFI pour les éditions 64 bits
  • Support de DirectX 10.1
  • Support de l’exFat
  • Support du SD Advanced DMA (ADMA)
  • Ajout d’icônes pour les lecteurs Blu-ray et HD-DVD
  • Nouveau décodeur MPEG-2 qui améliore la lecture des DVD sur des machines un peu anciennes et supporte le contenu protégé pour les Media Center reliés à des services du câble
  • Possibilité de créer un disque de réparation depuis les Outils d’administration, capable de démarrer sur des machines équipés de BIOS ou EFI

Fiabilité :

  • Correction d’un grand nombre de bugs et de problèmes qui altéraient l’expérience utilisateur, notamment avec le Calendrier, Windows Media Player et un certain nombre de pilotes
  • Prévention de pertes de données lors de l’éjection de périphériques de stockage formatés en NTFS
  • Amélioration de la fiabilité des connexions IPSec sur IPv6
  • Corrige un problème qui permettait parfois à un pilote de se mettre en veille sans avoir terminé la transmission des données dont il s’occupait
  • Amélioration des connexions Wifi ad-hoc (d’ordinateur à ordinateur)
  • Amélioration des connexions peer-to-peer entre deux machines séparées par des pare-feux
  • Amélioration de la solution de sauvegarde en permettant l’intégration des fichiers chiffrés EFS
  • Le Startup Repair Tool peut désormais réparer les démarrages déficients du système quand certains fichiers importants manquent à l’appel

Performances et consommation d’énergie :

  • Meilleures performances pour la consultation de fichiers en réseau
  • Amélioration de la consommation en permettant au processeur de rester en état de sommeil lorsque l’affichage ne change pas et que la situation le permet
  • Meilleures performances lors de la création ou l’extraction de fichiers Zip
  • Amélioration significative des performances lors du déplacement d’un dossier contenant un nombre important de fichiers
  • Meilleurs performances lors des transferts utilisant BITS (Background Intelligent Transfer Service)
  • Meilleurs performances pour les copies de fichiers dans les cas suivants :    
    • Copie de fichiers sur le même disque et sur la même machine : 25 %
    • Copie de fichiers par le réseau d’un système non-Vista vers un système Vista SP1 : 45 %
    • Copie de fichiers par le réseau d’un système Vista SP1 vers un autre système Vista SP1 : 50 %
       
  • Amélioration générale de la réactivité lors de la manipulation de fichiers
  • Correction du temps d’attente estimé lors de la copie de fichiers
  • Amélioration d’environ 50 % du temps d’attente à l’affichage de grandes images
  • Améliorations des performances d’Internet Explorer 7 pour la lecture et l’exécution du code JScript
  • Correction d’un problème qui pouvait créer un temps d’attente de parfois cinq minutes avec certains disques ReadyDrive
  • Amélioration de l’efficacité de la technologie ReadyBoost
  • Amélioration générale de l’efficacité de SuperFetch
  • Réduction du temps d’extinction de la machine
  • Amélioration du temps de réveil pour certains concentrateurs USB d’environ 18 %
  • Correction d’un grand nombre de problèmes de performances liés aux imprimantes

Sécurité :

  • Inclusion de tous les correctifs de sécurité sortis jusqu’à présent
  • Le SP1 inclut le résultat d’un nouveau cycle de développement nommé Secure Development Lifecycle qui doit empêcher notamment les vulnérabilités de reparaître sous d’autres formes
  • Aménagements pour permettre aux sociétés de sécurité de travailler plus efficacement avec PatchGuard sur les éditions 64 bits
  • Améliorations de la Data Execution Protection (DEP)
  • Amélioration de la sécurité des réseaux câblés en utilisant une authentification unique plutôt que d’être interrogé deux fois, en local et à distance
  • Améliorations de BitLocker, en permettant notamment de choisir d'autres disques et partitions que le C:

Nouveaux standards et technologies :

  • Support de nouveaux algorithmes de chiffrement fort : IPsec. SHA-256, AES-GCM, AES-GMAC pour ESP et AH, ECDSA, SHA-256, et SHA-384 pour IKE et AuthIP
  • Ajout d’un générateur de nombres pseudo-aléatoire NIST SP 800-90 Elliptical Curve Cryptography (ECC)
  • Ajout du support du dernier brouillon du protocole 802.11n

Administration et gestion :

  • Les utilisateurs peuvent désormais choisir quels disques seront défragmentés
  • Les diagnostiques réseaux peuvent désormais s'occuper des problèmes de partages de fichiers

Configuration et déploiement :

  • Possibilité de déployer facilement le SP1 sur un large réseau, ce qui contribue pour bonne part au poids important de la mise à jour
  • Support du « hotpatching », qui permet de mettre à jour des composants du système alors qu’ils sont encore utilisés
  • Un DVD de Vista SP1 64 bits pourra désormais être installé en mise à jour depuis un système 32 bits
  • Amélioration générale de la vitesse d’installation des mises à jour
  • Amélioration générale de la fiabilité d’installation des mises à jour
  • Amélioration du processus de désinstallation des mises à jour

Améliorations générales :

  • Mise en place d’un sélecteur de moteur local de recherche
  • Les systèmes 32 bits affichent désormais la véritable quantité de mémoire vive installée sur le système et non la seule quantité accessible au système
  • Le nombre de confirmations UAC passe de 4 à 1 quand on crée ou renomme des répertoires dans un emplacement protégé
  • L’utilisateur est désormais mieux guidé pour la procédure d’activation et nombre d’explications sont fournies
  • Le SP1 contient des mises à jour qui empêcheront les émulations de BIOS OEM et les cracks basés sur la période de grâce d’activation de fonctionner

Source de l'INformation : Tech ARP

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1 février 2008

Microsoft déconseille l'utilisation de vLite pour alléger Vista

Face à la popularité grandissante de vLite, un utilitaire gratuit qui désactive certains composants de Windows Vista, Microsoft a réagi. L'éditeur déconseille l'usage de cette application, qui séduit nombre d'utilisateurs découragés par la lenteur de Windows Vista.

vLite agit avant l'installation de Vista sur un ordinateur, en permettant de paramétrer les fonctionnalités à écarter afin qu'elles n'alourdissent pas le système. Tout en préservant les fichiers système indispensables. L'OS est censé être allégé de moitié et donc plus réactif.         

Les applications pouvant être mises de côté sont, par exemple, Windows Media Player, la galerie de photos Windows, MSN Installer, Wallpapers, le Diaporama et Windows Mail.

« Microsoft ne recommande pas l'usage de tout outil qui dépouille Windows Vista de ses applications avant son installation, car cela risque de nuire aux téléchargements de mises à jour de Windows et de ses Service Packs. Le système peut en outre devenir instable », a prévenu l'éditeur dans un e-mail à nos confrères de CNET News.com.

Dans les faits, les créateurs de vLite sont très clairs : leur outil n'est pas fait pour les néophytes, car les paramétrages sont définitifs.

Ils s'étaient déjà fait remarquer avec nLite, un utilitaire au principe similaire pour Windows XP.

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

31 janvier 2008

Microsoft sous la surveillance de la justice américaine pour deux ans de plus

La juge américaine Colleen Kollar-Kotelly va garder un oeil sur les pratiques concurrentielles de Microsoft, pour deux ans supplémentaires. C'est cette juge fédérale qui est en charge de faire appliquer l'accord à l'amiable conclu avec le ministère de la Justice américain en 2001, pour mettre un terme aux poursuites antitrusts contre l'éditeur. Elle continuera donc à examiner les relations de la firme de Redmond avec les fabricants de PC, ainsi que l'interopérabilité de ses logiciels propriétaires avec ceux des concurrents jusqu'en novembre 2009.

La surveillance de la justice américaine aurait dû être levée à la fin de l'année dernière, mais la juge Kollar-Kotelly justifie sa décision par le comportement actuel de Microsoft. L'éditeur tarde à fournir, comme il s'y était engagé, des documents techniques détaillés aux éditeurs de logiciels concurrents. Selon elle, il ne faut pas prendre sa décision comme une sanction à l'encontre de Microsoft. Mais son attitude implique que les objectifs inscrits dans l'accord à l'amiable n'ont pas été atteints.

Plusieurs Etats américains, comme la Californie et New York, demandaient une extension automatique de ces mesures jusqu'en 2012. La juge a rejeté leurs exigences. Mais elle indique que la surveillance pourrait être à nouveau prolongée après novembre 2009, si l'éditeur ne satisfait toujours pas les conditions qui lui sont imposées.

                               

Par La rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

31 janvier 2008

Windows Vista « manque de maturité » selon le ministère de la Défense

Les responsables des systèmes d'information du ministère de la Défense n'envisagent pas d'adopter Windows Vista à court terme. Ils ont ouvert un moratoire jusqu'en juin 2009 pour se donner le temps de la réflexion avant de migrer les 200 000 postes du ministère sous le dernier OS de Microsoft.

Une information donnée ce matin au salon Solutions Linux (29-31 janvier CNIT Paris-la-Défense). « Ce n'est pas un désaveu vis-à-vis de Microsoft, car Windows XP est largement déployé chez nous », a tenu à préciser Thierry Leblond de la DGSIC (*), direction chargée d'élaborer la politique du ministère en matière de systèmes d'information.

         

La DGSIC estime simplement que Windows Vista « manque de maturité » et qu'il « n'y a pas encore assez de retours d'expériences du monde de l'entreprise », à l'inverse de Linux. Ce qui explique que la DGSCI a validé le passage de la gendarmerie à Ubuntu sur ses 70 000 postes clients. Des validations similaires pourraient intervenir dans d'autres corps d'armée.

Outre Ubuntu, le système Mandriva fait parti des OS recommandés par la DGSIC.

(*) Direction générale des systèmes d'information et de communication.

                               

Par La rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

                                                 
26 janvier 2008

Windows Vista SP1 : Microsoft attend encore des feedbacks

L’éditeur de Redmond finalise le développement du Service Pack de la dernière version de Windows. Il continue de publier des versions d’évaluation afin d’obtenir des retours des consommateurs et bêta-testeurs. Une méthode également appliquée pour Windows XP.

Microsoft a publié cette semaine une nouvelle version de développement de Windows Vista SP1, première mise à jour majeure de son dernier OS. Baptisée « Windows Vista SP1 RC Refresh 2 », cette nouvelle mouture est disponible depuis cette semaine auprès de 15 000 bêta-testeurs.

Il s'agit d'une version légèrement modifiée de la première version « Refresh », disponible à la mi-janvier, cette fois aussi pour le grand public. Microsoft maintient donc son calendrier pour finaliser le SP1 de Vista ce trimestre. « La date de publication de la version finale dépendra de la qualité de notre produit, nous attendons encore des feedbacks des consommateurs et bêta-testeurs », a précisé l'éditeur de Redmond à notre rédaction américaine.         

Comme nous l'évoquions récemment, Vista SP1 est censé améliorer légèrement les performances générales du système (seulement de 1 à 2 %), mais surtout corriger des bugs comme la fonction « copier/coller » de gros fichiers, qui devrait être plus rapide, notamment d'un disque dur externe vers le disque local. Par ailleurs, le gestionnaire de mémoire de Vista a été optimisé pour être plus efficace, et l'OS doit se réactiver plus rapidement lorsqu'il est en mode de veille.

Notons que Microsoft a également publié cette semaine une nouvelle version de Windows XP SP3 (aussi la Refresh 2), disponible auprès du même réseau de bêta-testeurs. La version finale est attendue pour « la première moitié de l'année », souligne l'éditeur. Là encore, Microsoft indique ne pas avoir terminé d'étudier les retours des consommateurs et testeurs.

Dans le prochain Service Pack d'XP, la seule réelle nouveauté sera destinée aux entreprises puisqu'elle concernera l'intégration d'un client NAP (Network Access Protection). NAP est une plate-forme permettant de gérer à distance la sécurité des PC connectés à un réseau d'entreprise et de mettre, éventuellement, en quarantaine les postes présentant un risque.                               

Par Christophe Guillemin, ZDNet France

Source                                      

 

24 janvier 2008

Bill Gates sur BFM TV

Salut,
Le Dimanche 3 Fevrier a 18 H, il y aura Bill Gates

BFM

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