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23 juillet 2008

Va-t-on vers une nouvelle crise des missiles entre Washington et Moscou?

Un bombardier Tupolev TU-160 au salon d’aviation MAKS-2007 à Zhukovsky vers Moscou

REUTERS/Denis Sinyakov   ¦ Un bombardier Tupolev TU-160 au salon d’aviation MAKS-2007 à Zhukovsky vers Moscou

 

La Russie pourrait envoyer ses bombardiers, capables de transporter des armes nucléaires à Cuba, selon le quotidien «Izvestia», proche du Kremlin, réveillant le souvenir de la crise des missiles de Cuba de 1962. Le point sur la situation.

Rumeurs ou vraie info?
Une «source militaire et politique» aurait confirmé, à l’agence russe Interfax, que des bombardiers stratégiques russes pourraient faire escale à Cuba pour se ravitailler lors de patrouilles au-dessus de l’Atlantique, ajoutant que des spécialistes russes avaient déjà effectué une mission de reconnaissance. Mais il n’a pas précisé si la Russie allait rouvrir une base à Cuba ou utiliser une base cubaine pour ses escales. Un porte-parole du ministère russe de la Défense a refusé tout commentaire à ce sujet, sans réfuter l’information. La Maison Blanche a également refusé de commenter ces informations.

Quelles peuvent être les raisons derrière une telle annonce?
«Pendant qu’ils déploient le bouclier anti-missiles en Pologne et en République Tchèque, nos bombardiers stratégiques seront déjà entrain d’atterrir à Cuba», a affirmé cette source. Le déploiement de bombardiers serait donc une réponse à la décision d’installer des boucliers anti-missiles américains en Europe de l’Est, l’un des principaux facteurs de tensions entre Washington et Moscou, qui y voit une menace directe.

Les bombardiers stratégiques, qu’est-ce que c’est?
Les Tupolev (Tu-160 et Tu-95) peuvent transporter des bombes nucléaires et peuvent déjà techniquement patrouiller près des côtes américaines à partir des bases russes. Longtemps mis au placard, ils ont repris leurs vols en 2002 après une décision du Président de l’époque, Vladimir Poutine. Ils ont d’ailleurs survolé un porte-avion américain dans l’Océan Pacifique en début d’année.

Y a-t-il un risque d’escalade?
Certains experts russes ont rejeté le risque d’une nouvelle crise des missiles. Un spécialiste militaire indépendant, Alexander Golts, a déclaré au «Washington Post» que ce n’était qu’une «stupide guerre psychologique. Poutine et Medvedev sont très agressifs dans leurs paroles mais très prudents en pratique.»
Les Américains prennent pourtant ces rumeurs très au sérieux. Le nouveau chef d’Etat-major de l’Armée de l’Air a d’ailleurs indiqué qu’une telle décision reviendrait à franchire «une ligne rouge pour les Etats-Unis».

La crise des missiles de Cuba de 1962
Ces informations rappellent la crise de 1962, en pleine guerre froide, quand les Etats-Unis et l’Union Soviétique ont été pendant 12 jours au bord d’une guerre atomique après le déploiement de missiles nucléaires soviétiques à Cuba. Au final, l’URSS a accepté de retirer ses missiles en échange de la promesse secrète des Etats-Unis de retirer leurs missiles basés en Turquie. Vladimir Poutine a d’ailleurs souvent utilisé la menace d’une nouvelle crise des missiles pour faire monter l’opposition contre le bouclier anti-missile.

                                                       

REUTERS/Denis Sinyakov   ¦ Un bombardier Tupolev TU-160 au salon d’aviation MAKS-2007 à Zhukovsky vers Moscou                    

                  
Kéthévane Gorjestani

Source 20Minutes.fr          

                  

 
                        20Minutes.fr, éditions du 23/07/2008 - 15h55                  

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23 juillet 2008

Mobuzz TV

Merci a Mobuzz TV pour le lien de mon blog dans leur reportage.

Blog

Mobuzz TV

23 juillet 2008

Vista n'est pas optimisé pour les disques à mémoire Flash, selon Sandisk

L'OS de Microsoft ne tirerait pas le meilleur des disques Flash, remplaçant les disques durs dans les nouveaux PC portables. Le fournisseur Sandisk estime qu'il va devoir développer une nouvelle génération de disques pour compenser ces faiblesses de Vista.

Windows Vista n'est pas optimisé pour les disques à mémoire Flash (SSD - Solid State Drives), qui remplacent les bons vieux disques durs sur le MacBook Air d'Apple ou l'Eee PC d'Asus. C'est ce qu'affirme l'américain Sandisk, qui revendique être le leader mondial des produits à mémoire flash.

« Les performances des disques SSD dans l'environnement Vista sont largement en dessous de ce que le marché a besoin. Et c'est pourquoi nous allons développer une nouvelle génération de produits qui devraient être commercialisés l'année prochaine », a déclaré Eli Harari, P-DG de Sandisk.

Il s'exprimait lors d'une conférence téléphonique détaillant les résultats de son deuxième trimestre 2008, en recul de 1 % au niveau du chiffre d'affaires (816 millions de dollars) et présentant une perte de 68 millions de dollars - contre 28 millions de bénéfices en 2007 sur la même période.

Un contexte économique difficile pour Sandisk

Ces déclarations ont donc été faites dans un contexte difficile pour Sandisk, qui doit donner des explications au marché sur ses mauvaises performances et tenter de le rassurer sur ses produits à venir. « La prochaine génération de contrôleurs pour disque SSD devra compenser les lacunes de Vista », a-t-il poursuivi.

Eli Harari a précisé que cette prochaine génération de disques durs à mémoire flash utilisera la technologie MLC (Multi Leval Cell) ; elle doit permettre d'atteindre les 160 et 256 Go de capacité, donc au-delà des 128 Go actuels. Ces nouveaux produits devraient arriver sur le marché début 2009.

Contacté par ZDNet.fr, Microsoft France n'avait aucune information sur une éventuelle lacune de Vista vis-à-vis des disques Flash. « Microsoft est à l'écoute de tous les partenaires constructeurs afin d'améliorer l'expérience utilisateur de ses clients », a indiqué un porte-parole.

                               

Par Christophe Guillemin, ZDNet France

Source ZDNet

23 juillet 2008

Fin de la TV analogique : les premiers tests démarrent à Coulommiers

Plusieurs communes de Seine-et-Marne vont servir de villes pilotes pour organiser la fin de la TV analogique en France. La première d'entre elles, Coulommiers, qui recevait aujourd’hui Éric Besson, secrétaire d’État chargé de mener à bien cette opération.

Coulommiers, en Seine-et-Marne (77), va être la première ville française à passer à la télévision tout numérique. Un test grandeur nature qui doit permettre ensuite d'organiser au mieux la fin de la TV analogique dans l'Hexagone, programmée au 30 novembre 2011. Après cette date, ce sera l'écran noir pour les foyers n'ayant pas opté pour la TNT, le câble, le satellite ou la TV par ADSL.

Afin d'éviter un passage trop brutal au tout-numérique, notamment pour les personnes âgées et les foyers les plus démunis, le gouvernement et le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) ont prévu un plan de basculement, qui débutera donc par Coulommiers et ses 14 000 habitants. D'autres communes environnantes sont également concernées : Mouroux, Saint-Germain-sous-Doue, Chauffry, Pommeuse, Giremotiers, Chailly-en-Brie, Aolnoy et Boissy-le-Chatel.

Elles devront avoir toutes basculé d'ici à la fin du premier trimestre 2009, a expliqué Éric Besson, Secrétaire d'État en charge de l'Économie numérique, présent ce mardi 22 juillet à Coulommiers. « Ma tâche sera de conduire cette transition vers le numérique à l'ensemble de la France, en généralisant ce qui aura été fait ici. »

Mobilisation des professionnels et des associations

Le dispositif qui devrait servir de modèle prévoit d'abord une phase d'information. Elle a débuté en juin par la mise en place d'un point d'information sur le sujet dans les locaux de la mairie. Elle doit se poursuivre par une vaste campagne de communication, relayée par la presse régionale, la radio, par voix d'affichage et dans les magasins. Elle sera gérée par l'organisme France Télé Numérique, créé pour l'occasion, avec le soutien des pouvoirs publics, d'associations locales et des professionnels du secteur (revendeurs électroniques, antennistes et autres installateurs TV).

Fin août, un centre d'appel téléphonique spécifique sera ouvert pour répondre aux questions, suivi en septembre de l'ouverture d'un site internet d'accompagnement.

Les foyers seront mis à contribution. Dans le cas d'un habitat individuel, ils devront eux-mêmes vérifier s'ils doivent procéder à des adaptations de leur télévision ou de leur antenne. Là encore ils pourront se faire aider par des associations ou des professionnels. Dans le cas d'un habitat collectif, ce sera au syndic de mener ce diagnostic.

Les foyers doivent vérifier leur installation

En novembre prochain, les relais locaux de télévision seront mis au niveau pour que l'ensemble de la population puisse recevoir la TNT. Des messages seront alors diffusés directement sur les postes de télévision recevant encore la TV analogique, pour les prévenir du passage au numérique. Il s'agira d'insertions à l'écran qui deviendront de plus en plus visibles et fréquentes à l'approche de Noël. Début 2009, la diffusion de la TV analogique sera définitivement arrêtée.

Après Coulommiers, une ville plus large, de 150 000 habitants, sera choisie pour effectuer un nouveau test au deuxième semestre 2009.

Parallèlement à ces pilotes, le gouvernement va lancer une « grande campagne d'information d'ici la fin de l'année » dans la presse, à la radio et la télévision, ainsi que sur les lieux de vente d'équipements. Et le calendrier du passage au tout-numérique, région par région, sera définit par le Premier ministre et publié d'ici à la fin de l'année.

                               

Par Christophe Guillemin, ZDNet France

                       

         

Source ZDNet
22 juillet 2008

La lettre des artistes pour le partage

Nous sommes inquiets, très inquiets, nous aussi. La France a créé les droits d’auteur, certes : enfin non : et il conviendrait d’être précis et ne pas dire n’importe quoi si l’on prétend défendre et illustrer le droit d’auteur (Statute of Ann & Petite histoire des batailles du droit d’auteur). La France adore la culture, certes. Mais l’État français s’apprête une fois de plus à défendre une poignée d’artistes et leur appareil de propagande, qui enrage de n’avoir pas su s’adapter à la nouvelle économie de la connaissance, du partage.

Au lieu d’adapter leur modèle économique, ces Industries du siècle dernier veulent nous offrir des minitels pour accéder à leurs contenus ! Au lieu de constater que la créativité n’a jamais été aussi vigoureuse, dynamique, ces Industries de loisirs avariés pensent encore que le monde entier se pâme devant leurs rengaines à la mode, sentimentales et formatées, ou leurs fonds de catalogue, acquis au détriment des créateurs qui les nourrissent ! Ces corporations à l’agonie agressive ne représentent pas la diversité culturelle, elles lui ont presque toujours fermé leurs portes, dans tous les domaines, ou l’ont pillée sans vergogne pour en tirer du profit. Cela dure depuis bien longtemps… Cela s’accentue même, et nous sommes peu à le dire voyez-vous.

L’ activité artistique a de tout temps toujours été fragile, mise en péril. La plupart de ceux qui ont apporté à la musique, à la culture en général, géants sur les épaules desquelles nous nous tenons, sont morts dans la misère, et parfois l’humiliation et les moqueries de leurs contemporains. Le phénomène touche toujours autant les jeunes créateurs de ce pays ou d’ailleurs. Ils vivent dans leur immense majorité bien en dessous du seuil de pauvreté, dans l’indifférence totale des pouvoirs publics, du public, et de leurs proches. C’est ça la vie des saltimbanques.

Ce n’est pas en légiférant pour perfuser une cinquantaine de millionnaires (enfin, surtout ceux qui en exploitent les revenus), que le problème du piratage sera règlé ! La cause du déclin de l’industrie culturelle n’est certainement pas le développement actuel des échanges d’œuvres, mais l’appétit féroce de leurs receleurs, qui aujourd’hui tirent les ficelles jusque au cœur notre parlement, proposent dans nos lois des mesures contraires aux droits de l’homme et du citoyen, et cherchent à imposer par force les modèles économiques surannés de leur morbide de fin de règne, aveuglés par la vision des gains qui leur filent entre les doigts. Cette crise à pour cause essentielle leur inadaptation aux nouveaux défis qui découlent du développement fulgurant de l’économie numérique.

L’incompétence se paie !
Il faut vivre avec son temps !

Il faut admettre que le public, grâce à Internet, dispose désormais durablement d’une offre culturelle sans barrières. Il faut admettre aussi que toute tentative de contrôle des échanges virtuels n’aura pour effet que d’intensifier les méthodes de contournement, les portes dérobées, et donc de multiplier les contrefaçons, les excès, les dérives.

Il faut au contraire fermement faciliter l’accès aux œuvres, libérer les esprits, ouvrir à la connaissance, éduquer… Pour restituer la confiance ! car nous sommes nombreux à être persuadés que la liberté de créer dépend de plus en plus de la préservation de la liberté d’échange sur internet. Il ne fallait pas nous donner le pouvoir, c’est trop tard nous l’avons.

C’est pourquoi nous encourageons le public à télécharger nos œuvres, à les partager, à les découvrir, que ce soit gratuitement, ou en les achetant lorsque celles-ci l’ont touché. Oui, nous avons confiance en nos concitoyens, qui savent être reconnaissant de la générosité qu’on leur témoigne. Non, nous ne défendons pas la gratuité, mais le bien commun, socle de toute culture civilisée.

Le projet de loi, proposé par la ministre de la Culture, issu de la mission menée à l’automne dernier par Denis Olivennes, nous donne de très bonnes raisons de penser qu’internet risque de se transformer en tombeau de la liberté d’expression.

C’est pourquoi nous nous engageons à le combattre avec toute notre énergie, dans le respect des droits d’auteur, par l’utilisation des licences libres et ouvertes. Et l’exception culturelle qu’elles portent en elles. Cette exception réside dans leur forme de légalité, qui refuse les verrous et la criminalisation des usages culturels, et restitue à la culture son vrai rôle, qui ne se définit pas avec des frontières, des punitions ou des interdits.

Arrêtons de marcher sur la tête !

Nous ne laisserons pas 52 artistes qui ont eu la chance d’échapper à la misère endémique de leurs confrères, et leurs épiciers lobbyistes et avares, dicter leur loi au pays des droits de l’homme ! Nous sommes des musiciens, mais aussi et avant tout des citoyens !

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21 juillet 2008

La version papier de Wikipedia créditera 90 000 auteurs

La première version papier de Wikipedia, l'encyclopédie collaborative en ligne, devrait paraître en Allemagne en septembre. Le groupe allemand Bertelsmann et la Wikimedia Foundation espèrent en faire un événement dans l'histoire de l'édition en créant le livre réalisé par le plus grand nombre d'auteurs au monde, soit 90 000 environ, rapporte le New York Times.

Car le volume à paraître reprendra environ 25 000 des articles les plus recherchés sur le site allemand de Wikipedia. Autant d'articles qui ont été créés, améliorés et modifiés par de nombreux internautes, qu'il faut créditer dans le livre pour respecter les termes de la licence Wikipedia.

Selon Mathias Schindler, le représentant allemand de la Wikimedia Foundation qui travaille sur le partenariat avec Bertelsmann, il faut un total de 27 pages pour recenser tous les auteurs, avec une présentation serrée, une liste de noms séparés par des virgules. Le volume unique de cette encyclopédie devrait coûter 19,95 euros.

                       

        Par la rédaction,

Source ZDNet

21 juillet 2008

Gartner prévoit la fin de la souris d'ici cinq ans

Utilisée depuis 40 ans, la souris va laisser progressivement la place à d'autres technologies basées sur les interfaces tactiles ou la reconnaissance des mouvements. Une prévision de Gartner qui ne convainc pas le numéro un de la souris, Logitech.

Quarante ans après sa création, la souris informatique est une espèce en voie d'extinction, à en croire l'institut d'études Gartner. Dans un entretien accordé à BBC News, un analyste assure qu'elle est vouée à être remplacée par des technologies révolutionnaires basées sur la gestuelle, tels que les écrans tactiles et la reconnaissance faciale.

« La souris est parfait sur un PC de bureau, mais pour l'informatique de loisir à la maison ou pour le travail sur ordinateur portable, elle est déjà en voie de disparition », a déclaré l'analyste de Gartner Steve Prentice.

Le responsable est, selui lui, l'industrie de l'électronique qui élabore des produits dotés d'interfaces interactives inspirées de l'univers du jeu. Des systèmes de vidéo peuvent déjà, illustre-t-il, être contrôlés par un geste de la main, en remplacement de la traditionnelle télécommande. Sony et Canon utilisent, pour leur part, la reconnaissance faciale qui détecte les mouvements du visage, par exemple le sourire, en temps réel. Autre exemple, celui d'un système captant les émotions par la pensée, à l'aide d'un casque ; il sera commercialisé en septembre.

La convergence a pris réellement forme

Pour Logitech, leader mondial de la souris, ces prévisions sont fausses « et grandement exagérées », estime Rory Dooley vice-président de la société, qui en aurait vendu plus de 500 millions ces 20 dernières années.

Les technologies évoquées par Gartner sont toutefois d'actualité, reconnaît-il interrogé par BBC News, puisque l'utilisateur interagit de plus en plus avec ses équipements informatiques. Et de citer la Wii de Nintendo ou encore l'iPhone d'Apple.

« On parle de la convergence depuis des années. Aujourd'hui, la TV se comporte en ordinateur, et l'ordinateur en TV. Un constat qui ne remet cependant pas en question l'importance de la souris », poursuit-il. Idem pour le clavier, qui ne disparaîtra pas de sitôt. Ce que reconnaît l'analyste de Gartner.

Reste à voir si le public suivra, peinant déjà avec les pavés tactiles des portables, et plus encore avec le dispositif de pointage intégré appelé parfois trackball. Ce qui conduit dans nombre de cas à reprendre une souris. La technologie qui prétendra remplacer la souris devra donc être plus avantageuse, sans perdre en maniabilité et sans oublier les différentes populations d'utilisateurs, comme les joueurs par exemple.

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

21 juillet 2008

900 euros perdus dans la cuvette des toilettes, puis retrouvés

900 euros perdus dans la cuvette des toilettes, puis retrouvés

Une Néerlandaise, qui avait perdu accidentellement 900 euros en tirant la chasse d'eau des toilettes, a retrouvé son argent repêché dans les égouts.                                

Cette habitante de la ville d'Oldenzaal, dans l'Est du pays, venait juste de retirer 1.000 euros en coupures de 100 pour son anniversaire, quand les billets ont glissé de la poche arrière de ses vêtements, pour tomber dans la cuvette des toilettes alors qu'elle se relevait.                               

Prenant conscience de son geste, elle a aussitôt appelé la municipalité.                               

"Au départ, mes collègues étaient incrédules, mais cette femme était dans une telle panique qu'ils l'ont crue", a déclaré un porte-parole du département local des eaux usées.                               

Les ouvriers se sont alors servis d'une mini-caméra pour détecter les blocages dans les canalisations et les égouts avant de retrouver les neufs billets de 100 euros, dont l'un flottait à 15 mètres de la maison.                               

Leur propriétaire a ensuite suspendu les billets trempés pour les faire sécher avant de partir en vacances avec sa famille.                              
Tineke van der Struik, version française Claude Chendjou

Source Lycos

21 juillet 2008

Bientôt des billets de 100 milliards de dollars au Zimbabwe

Bientôt des billets de 100 milliards de dollars au Zimbabwe

La banque centrale du Zimbabwe a annoncé samedi qu'elle allait mettre en circulation des billets de 100 milliards de dollars zimbabwéens, dans le cadre d'une lutte désespérée contre l'hyperinflation.                                

Le gouverneur de la Banque centrale du Zimbabwe, Gideon Gono, avait déclaré mercredi dernier que le taux d'inflation dépassait les 2,2 millions pour cent en rythme annuel. Le pays, en pleine déconfiture économique, connaît de sévères pénuries.

                               

Cris Chinaka, version française Eric Faye

Source Lycos

20 juillet 2008

Grand Prix d'Allemagne

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Le gagnant

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