Julien quitter l'aventure
Myriam quitter l'aventure
Google invite les internautes français à choisir des sites pour Street View
Google et l'Agence de Développement Touristique de la France proposent aux internautes de soumettre des noms de sites qu'ils aimeraient voir apparaître dans le service Street View.
Les internautes ont jusqu'au 2 septembre seulement pour soumettre des suggestions en remplissant un formulaire en ligne. Des critères de sélection devrait a priori empêcher la ville (ou l'arrêt de bus) de Montcuq (qui avait tant embarrassé le Monopoly) de figurer dans les suggestions.
Un vote pour les sites préférés du 10 au 16 septembre
Le choix d'un site doit en effet se faire selon cinq catégories : châteaux, édifices d'architecture contemporaine, lieux naturels remarquables, bâtiments et monuments historiques et complexes sportifs.
La phase des suggestions bouclée, les internautes seront du 10 au 16 septembre sollicités de nouveau, cette fois pour voter pour leurs sites favoris. Les lieux sélectionnés seront ensuite photographiés grâce au tricycle de Google, et les images intégrées à Street View
« Cette fonctionnalité peut susciter l'envie de découvrir physiquement les sites présentés à l'écran. C'est un outil supplémentaire à disposition des visiteurs de notre pays et nous sommes ravis que les internautes français aient la possibilité d'élire leurs sites favoris », déclare Christian Mantei, directeur général d'ATOUT France dans un communiqué.
Les smartphones Android de Motorola présentés le 10 septembre
Le fabricant américain devrait très prochainement lever le voile sur un voire deux Google-phone lors d’une conférence de presse.
Pour Motorola, Android est la porte d'entrée vers le marché des smartphones sur lequel la marque s'est faite largement distancer et de planche de salut pour enfin renouer avec la croissance. Autant dire que l'enjeu pour l'américain est important.
Nous vous présentions il y a un mois les premières images des appareils. Motorola a opté pour le clavier coulissant dans les deux cas avec un pavé multipoint à la place du trackball.
Milieu de gamme
Le premier modèle connu sous le nom de code Heron devrait s'appeler Sholes et serait distribué par Verizon. Il présente un design très sobre avec un écran 4,7 pouces cachant un clavier coulissant.
D'après nos informations, il se positionnerait plutôt sur
le milieu de gamme avec des performances assez classiques pour ce genre
de produit : 256 Mo de mémoire vive, 512 Mo de mémoire de stockage,
carte MicroSD additionnelle de 8 Go, capteur photo 5 millions de
pixels, GPS, Bluetooth, Wi-Fi, prise audio mini-jack et compatibilité
avec les réseaux 3G/3G+.
Quant au second modèle, le Morrison,
on sait peu de choses si ce n'est que son aspect se rapprocherait du G1
et qu'il serait distribué par T-Mobile. (Eureka Presse)
La Free Software Foundation dénonce les 7 crimes de Windows
Dans une campagne d’information auprès des entreprises, administrations et des particuliers, l’association de défense du logiciel libre liste les 7 péchés commis par Microsoft avec Windows.
L'association de défense du logiciel libre fondée par Richard Stallman
vient de lancer une nouvelle campagne destinée à sensibiliser les
utilisateurs aux risques des systèmes propriétaires, et en particuliers
Windows.
La FSF tourne en dérision Windows 7, le prochain système d'exploitation de Microsoft, très présent dans la presse, en intitulant sa campagne Windows 7 sins
(ou les sept péchés de Windows). Outre la création d'un site Internet
dédié, la FSF a adressé aux 500 plus grandes entreprises un courrier
pour leur décrire les menaces auxquelles elles s'exposent en optant
pour Windows.
Premier crime identifié par l'association :
l'empoisonnement de l'éducation. Selon la FSF, les enfants sont dès
leur plus jeune âge éduqués, et ce exclusivement, à utiliser Windows.
Microsoft consacrerait d'importantes sommes d'argent en lobbying et en
marketing pour s'attacher les faveurs du milieu éducatif.
Une licence qui autorise les atteintes à la vie privée
Deuxième
péché : l'invasion de la sphère privée. Avant même d'utiliser Windows,
l'utilisateur doit déjà accepter les termes de la licence d'utilisation
du logiciel prévoyant la possibilité pour l'éditeur, sans information
préalable, d'inspecter le contenu du disque dur, avec un programme
comme WGA notamment (son application antipiratage).
La Free Software Foundation reproche ensuite à la firme de Redmond son attitude monopolistique qui lui permet de préinstaller Windows sur les ordinateurs, retirant ainsi aux consommateurs le droit de choisir librement.
Autre
grief : l'utilisateur devient captif de Windows. Avec l'abandon du
support, celui-ci doit procéder à des mises à jour, qui dans certains
cas (comme ce fut le cas avec Windows Vista) oblige à acquérir un nouvel ordinateur, même si le précédent était encore parfaitement opérationnel.
Le nombre d'applications exécutables bridé sur Windows 7 pour netbook
Enfin, la FSF milite contre Windows en raison des pratiques hostiles de Microsoft à l'encontre de la standardisation, notamment des formats de documents, de l'engagement de l'éditeur aux côtés des majors en faveur de DRM (bridant ainsi l'utilisation de Windows dans certains cas), et pour les risques de sécurité encourus par l'utilisateur.
Et
ce n'est pas Windows 7 qui changera la donne selon l'association. Même
si elle reconnaît que le nouvel OS ne devrait pas requérir autant de
ressources matérielles, les critiques demeurent. Avec l'édition netbook
de Windows 7,
Microsoft entendrait par exemple dicter aux utilisateurs les logiciels
qu'ils pourront utiliser sur le système et leur nombre en exécution
simultanée.