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16 juin 2009

L’Europe demande la suppression des images originales de Google Street View

La conservation des logs par le moteur de recherche n’est plus le seul centre d’intérêt d’Article 29. Le groupe de travail européen s’intéresse aussi au stockage des images utilisées dans Google Street View.

Le groupe Article 29 composé des CNIL (ou leur équivalent) des 27 pays membres de l'Union européenne demande à Google de détruire les photos originales, c'est-à-dire non anonymisées, utilisées pour son service Street View.

Sur son service Web, pour se conformer à la législation européenne, Google affiche des photos dont des éléments ont été préalablement floutés. Il s'agit des visages et des plaques d'immatriculation des véhicules photographiés. Mais les photos originales, c'est-à-dire avant floutage, sont également conservées par Google.

Google tenu d'informer le public avant de photographier

Le groupe de travail Article 29 sur la protection des données, présidé par Alex Türk (président en France de la CNIL), demande à Google de s'engager sur la suppression de ces images originales. La société américaine se déclare prête à respecter cette requête, mais à long terme.

Les applications utilisées pour flouter les contenus génèrent encore parfois des faux positifs, explique Google sur son blog. Il lui est donc nécessaire de conserver un certain temps les images originales pour remédier à ces erreurs lors du traitement automatique des images.

Toujours sur son blog, Google indique que ses ingénieurs vont collaborer avec le groupe Article 29 afin d'aboutir à une période de conservation des images la plus courte possible et conforme aux lois européennes.

Enfin Google assure qu'il continuera de se conformer à la première demande du groupe de travail consistant à informer le public avant toute opération de capture d'images dans un pays membres. La firme américaine affirme avoir commencé dès le début de l'année à travailler avec la presse pour signaler le passage de ses véhicules, les Google cars munies d'appareils de photographie panoramique.                

Par Christophe Auffray, ZDNet France

Source ZDNet

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25 mai 2009

YouTube attaqué à coup de milliers de clips pornos

Le site de partage de vidéos a été la proie d’une attaque inédite qui a consisté à l’inonder de milliers de vidéos pornos, cachées sous des noms de célébrités pour adolescents.

L'attaque menée contre YouTube ce week end serait l'oeuvre d'un forum américain, 4chan qui disait vouloir protester contre la suppression des vidéos clips avec un « porn day ».

Les auteurs ont submergé le site avec des milliers de vidéos pornos dissimulées dans des contenus pour adolescents comme ceux de Miley Cyrus ou les Jonas Brothers. Une astuce qui a permis de contourner les systèmes d'alerte de YouTube. Le site dit avoir supprimé « la plupart » des vidéos incriminées. Une tâche gigantesque sachant que l'équivalent de 20 heures de vidéo sont uploadés chaque minute. La BBC a pu interroger l'un des membres de 4chan pour qui le fait d'avoir exposé des adolescents à la pornographie n'est pas grave.

« Les enfants vont de toute façon trouver du porno partout sur le Web », a-t-il affirmé. (Eureka Presse)               

ZDNet France

Source ZDNe

22 mai 2009

Chrome 2 disponible en version finale

Google a mis en ligne la nouvelle version finale de son navigateur qui apporte une vitesse accrue et propose de nouvelles options comme le mode plein écran ou la possibilité de supprimer les miniatures présentes à l’ouverture d’un nouvel onglet.

Déjà sorti vainqueur de notre test de rapidité JavaScript, Chrome aurait encore gagné en vélocité avec la toute dernière mise à jour (2.0.172.28) qui vient d'être publiée.

Google annonce une nouvelle version du WebKit ainsi qu'une mise à jour du moteur JavaScript V8 pour un gain de vitesse de 30%. Sur son blog, la firme donne un lien vers un benchmark pour en faire le test. Moins visibles sont les 300 bugs que Google annonce avoir corrigé depuis le lancement du navigateur il y a 8 mois.

Cette mise à jour apporte aussi son lot de nouvelles options. A commencer par la possibilité de supprimer les miniatures des sites les plus visités qui apparaissent lorsque l'on ouvre un nouvel onglet. Enfin, le mode plein écran et la saisie semi-automatique des formulaires arrivent aussi pour mettre Chrome à niveau de ses concurrents. 

En revanche, toujours pas de système d'extensions mais on annonce leur arrivée pour la prochaine version. (Eureka Presse)

               

ZDNet France

Source ZDNet

15 mai 2009

La migration vers IPv6 responsable de la panne de Google ?

La panne des services du moteur de recherche serait consécutive à un incident durant ses opérations de migration d’IPv4 vers IPv6. Les opérateurs dont les réseaux sont interconnectés avec ceux de Google auraient été les plus affectés.

Google évoque un embouteillage en Asie, provoqué par une erreur sur ses systèmes, pour expliquer la panne du 14 mai sur plusieurs de ses services Web. 14% des utilisateurs de Google ont ainsi été affectés, soit par des interruptions totales, soit par des perturbations.

Selon le tableau de bord de Google, qui permet de juger de la disponibilité des services Google Apps, un premier incident a perturbé Google Sites le 13 mai. Le lendemain, c'est au tour de la messagerie (Gmail) et de Google Calendar d'être touchés. Mais selon les informations communiqués par le moteur de recherche, ces pannes auraient été résolues au maximum une heure plus tard.

Le 14 mai, ce sont aussi bien d'autres services qui en France ont pâti d'une erreur à propos de laquelle Google n'a jusqu'à présent communiqué aucun détail. Inaccessibles ou perturbés, les applications de messagerie, de recherche, d'actualités, de bureautique et de vidéo sont revenues à la normale vers 18 heures.

Lire suite sur ZDNet

15 mai 2009

YouTube débarque dans Google News après une panne générale

Après une nouvelle panne quasi générale pendant plusieurs heures de ses services jeudi, Google a identifié le problème. Et la firme en a profité pour ajouter des vidéos de YouTube à Google News.

Jeudi, plusieurs services phares de Google (Gmail, Maps, News, YouTube) y compris le moteur de recherche ont été inaccessibles pendant plusieurs heures, un peu partout dans le monde.

Après avoir reconnu le problème, Google a fini par en identifier la source : l'Asie. D'après les explications de la firme de Mountain View, une grosse partie de son trafic a été redirigé vers l'Asie, causant un vaste « embouteillage ». Google a reconnu que 14% des utilisateurs ont été affectés. « Une erreur dans l'un de nos systèmes nous a obligé à réacheminer une partie de notre trafic internet via l'Asie, ce qui a créé un embouteillage ».

« Nous sommes vraiment désolés de ce qui est arrivé et vous pouvez être assurés que nous allons travailler encore plus dur pour que cela ne se reproduise pas », a déclaré le groupe à ses utilisateurs.

Multiplication des pannes

Reste que Google multiplie les pannes depuis plusieurs mois : moteur en carafe, incidents dans GMail et dans Google Docs, autant d'incidents qui écornent gravement la crédibilité de Mountain View notamment envers les entreprises, cible majeure pour le géant.

Après que tout soit rentré dans l'ordre en fin de journée, une nouveauté importante est apparue dans Google News. Certains liens d'actualité proposent en plus des vidéos correspondantes en provenance de YouTube. Il s'agit de séquences issues de journaux télévisés de France 24, Associated Press et United Press International.

D'autres fournisseurs devraient suivre rapidement étant donné le potentiel attractif de Google News.(Eureka Presse)

               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

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27 avril 2009

Google en morse

google_en_morse

Google en morse

2 avril 2009

Google lève le secret sur ses centres de données

Google a toujours été avare d'information concernant ses centres de données. Le géant du Web tient ainsi secret la position et le nombre exacts de ces derniers. A l'occasion d'une conférence aux Etats-Unis, Google a néanmoins révélé quelques informations au sujet de ces fameux centres de données.

Le groupe a ainsi reconnu concevoir ceux-ci en connectant différents containers déjà équipés de leurs serveurs et de leur équipement de refroidissement. Cette architecture est exploitée par Google depuis maintenant 2005.

Chaque container peut accueillir un peu plus de 1000 serveurs. Le refroidissement est assuré grâce à un système d'eau réfrigéré. Les serveurs sont ainsi fixés au plafond du container, permettant à l'eau de circuler en-dessous, puis également au travers des différents racks.

Dans son nouveau centre de données de 7000m2 baptisé Data Center A, Google a installé en tout 45 de ces containers. Les révélations de Google ne sont pas sans rappeler le projet Blackbox de Sun qui propose lui aussi de fournir des containers avec leur infrastructure informatique intégrée.                

Par La rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

21 décembre 2008

Chrome peine à séduire les internautes européens

Les chiffres de Xiti Monitor pour le mois de novembre l'attestent : le navigateur open source de Google peine à s'imposer en Europe, où il ne représenterait que 1,1 % des visites sur les sites monitorés par la société d'audience web. Une progression minime par rapport au 1,07 % que Xiti lui attribuait lors de son lancement en septembre dernier.

Chrome reste donc bien loin d'Internet Explorer, leader avec 59,5 % de PDM, de Firefox deuxième avec 31,1 %, mais aussi d'Opera (5,1 %) et de Safari (2,5 %). Ces statistiques sont calculées en fonction des visites uniques sur les 121 919 sites web que surveille Xiti dans 32 pays européens.

Une part de marché mondiale légèrement inférieure

Pour Chrome, le constat est donc sévère car ses parts de marché en Europe correspondent en gros à celles constatées mondialement par Net Applications : le navigateur de Google n'est crédité que de 0,83 % de PDM. On comprend mieux l'empressement de Google à voir Chrome proposé par défaut sur certains PC. D'autant qu'il est, depuis la semaine dernière, officiellement finalisé et donc candidat à une intégration dans des machines de constructeur.

Concernant plus précisément ZDNet.fr, la part des visites effectuée via Google Chrome est supérieure, avec 1,5%. Le premier navigateur reste IE 7 avec 33,3 %, suivi de Firefox 3 (31,5 %), de IE 6 (SP2) avec 15,2 %, de Firefox 2 avec 7,1 % et Safari 3 crédité de 3,3 %.

Autre enseignement du baromètre Xiti, Internet Explorer passe sous la barre des 60 % de PDM en Europe (contre 60,5% en juin 2008), confirmant là aussi la tendance constatée mondialement par Net Applications.

               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

16 décembre 2008

Google soupçonné de vouloir détourner la neutralité du Net

Selon le Wall Street Journal, le moteur de recherche négocie avec des opérateurs téléphoniques et du câble pour placer ses serveurs directement sur leurs réseaux. Un accord qui porterait un coup à la neutralité du Net. Google dément.

Google va-t-il tourner le dos au principe de Net Neutrality  (neutralité du Net) ? C'est la question que se pose le Wall Street Journal suite à l'annonce officieuse de négociations entre le moteur de recherche et des opérateurs téléphoniques et du câble, visant à faire héberger des serveurs Google directement sur les réseaux de ces opérateurs. Selon le quotidien, si ces négociations débouchaient sur un accord, Google abandonnerait un des piliers de la neutralité du Net : la non-préférence envers un opérateur ou un autre pour la transmission des données.

Piqué au vif par l'article du WSJ, Richard Whitt, conseiller pour les télécoms et les médias de Google à Washington, a répondu sur son blog : s'il concède que le moteur de recherche compte bien placer des serveurs de cache chez les opérateurs, il ne voit pas en quoi cela violerait la neutralité du Net. « Tous les accords de colocation de Google avec les FAI - que nous avons menés via des projets appelés OpenEdge et Google Global Cache - sont non exclusifs, ce qui implique que d'autres entités peuvent bénéficier du même type d'arrangement » explique-t-il. « De plus, aucun d'entre eux (les FAI, NDLR) ne réclame (ou n'encourage) que le trafic de Google soit traité prioritairement par rapport à d'autres trafics. »

Améliorer le temps de chargement des pages

Richard Whitt poursuit en affirmant que cela ne change en rien la position de Google sur la neutralité du Net, un principe auquel « Google reste solidement attaché ».

Il explique aussi que ces accords de colocation avec les opérateurs ne visent qu'à améliorer le temps de chargement des pages depuis leurs serveurs, en particulier pour le téléchargement et le visionnage de vidéos, et à éviter la redondance sur les noeuds de réseaux. En effet, ces serveurs de cache seront utilisés pour mettre rapidement à disposition des abonnés des câblo-opérateurs et fournisseurs d'accès internet à haut débit, les pages et vidéos les plus demandées par les internautes.

En dépit de ces déclarations, il est néanmoins légitime d'avoir des craintes sur la manière dont pourraient utilisés ces serveurs de cache : diriger les internautes vers certaines pages au détriment d'autres. Une autre menace que Google et les FAI pourraient faire peser sur le principe de neutralité du Net.

Suivez l'actualité de Google sur ZDNet.fr

               

Par Vincent Birebent, ZDNet France

Source ZDNet

9 septembre 2008

Une autorité de sécurité allemande déconseille l'utilisation quotidienne de Chrome

Le navigateur de Google n'a pas la cote en Allemagne. Le BSI, l'autorité pour la sécurité des technologies de l'information, se montre très critique : Chrome « ne devrait pas être utilisé pour une utilisation quotidienne et généraliste », a affirmé au Berliner Zeitung, le porte-parole du BSI Matthias Gärtner.

Selon lui, il est problématique que Google, qui détient une si grande part de marché, mette à disposition du grand public une version test de ce navigateur, qui n'est pas encore entièrement sécurisée.

Mais ce qui pose surtout problème au BSI, c'est la collecte de données à laquelle Google risque de se livrer par le biais de Chrome. Le moteur de recherche a reconnu que jusqu'à 2 % des informations tapées dans sa barre de navigation Omnibox, même si elles ne sont pas validées, pourraient être enregistrées. « Pour des raisons de sécurité technique, l'accumulation de données par un fournisseur pose problème », prévient Matthias Gärtner

                               

Par la rédaction, ZDNet France

Source ZDNet

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