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17 janvier 2008

Mac OS reprend du terrain à Windows, selon Xiti

La dernière version du système d'exploitation de Microsoft « semble avoir du mal à convaincre », constate la société Xiti dans sa dernière étude sur le marché des systèmes d'exploitation. « Si la part des visites de Vista progresse au fil des mois, plus ou moins mécaniquement via les achats d'ordinateurs, cette dernière version ne contribue pas à renforcer la position de Windows ».

L'étude a été réalisée du 1er janvier au 31 décembre 2007 sur un périmètre de 152 867 sites web, à majorité francophones, audités par Xiti. Il s'agit des parts de visites, c'est-à-dire la proportion d'accès à ces sites à partir d'une machine équipée de tel ou tel système d'exploitation.         

Au cours de l'année 2007, Vista est passé de 0,19 % de parts de visites en janvier à 11,57 % en décembre. Dans le même temps, celles des autres versions de Windows ont baissé, à l'exception de Windows 2003 dont la présence reste cependant très confidentielle (0,43 % des visites avec Windows en décembre 2007). Ainsi, Windows XP, qui demeure l'OS le plus utilisé, a vu sa part de visites passer de 91,8 % en janvier à 83,7 % en décembre 2007.

Malgré la progression de Vista relevée par Xiti, la part globale de Windows perd 0,5 point entre juillet et décembre 2007, alors que la tendance est inverse pour les OS Linux et surtout Mac OS : respectivement + 0,11 point et + 0,49 point.

Xiti s'interroge : « La sortie du Service Pack 1 de Vista, prévue pour le 1er trimestre 2008, lui permettra-t-il de s'affirmer, alors que sur la même période le SP3 de XP sera mis sur le marché ? »

Microsoft a récemment passé la barre des 100 millions de licences Vista vendues. Pour Gartner, cette adoption de Windows Vista « est plus lente que prévue ». L'OS deviendra dominant seulement en 2009 au lieu de 2008, précisait récemment la société d'études.


Source zdnet

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15 janvier 2008

L'iPhone fait bondir le trafic des sites mobiles de Google

Le moteur de recherche a vu la part de trafic générée par l’iPhone augmenter de manière significative à la fin de 2007. Une tendance qui confirme que le développement de services mobiles dédiés au téléphone d’Apple est un enjeu de taille.

Le succès de l'iPhone va-t-il accélérer le développement de l'internet mobile ? Durant les fêtes de Noël, Google a enregistré des courbes de trafic inhabituelles sur ses sites et services mobiles : la part d'audience générée par le téléphone d'Apple y a dépassé celle de n'importe quel autre type d'appareil mobile.

Selon des données internes consultées par le New York Times, le trafic produit par le combiné d'Apple est ensuite retombé à des proportions inférieures à celui des téléphones équipés d'un OS Symbian, installé notamment sur les combinés Nokia. Mais il se place en deuxième position, devant les téléphones Windows Mobile, ou les BlackBerry.         

De son côté, Yahoo confirme que le smartphone génère une quantité disproportionnée de trafic sur ses sites mobiles, sans toutefois donner plus de précisions.

Des données étonnantes lorsqu'on regarde les parts de marché des OS mobiles. Les téléphones équipés d'un OS Symbian s'arrogent 63 % de parts, devant les téléphones sous Windows Mobile (11 %) et les Blackberry (10 %), selon les chiffres fournis par le cabinet IDC. Quant à l'iPhone, il n'occupe que 2 % du marché dans le monde.

« Il s'agit d'usage, pas simplement d'unités vendues. Ces données prouvent que les gens utilisent le navigateur de l'iPhone. » explique à CNET News.com Vic Gundotra, vice-président de la division mobile chez Google.

Faciliter l'usage et la navigation

Lors du lancement de l'iPhone (en juin aux États-Unis, en novembre en Europe), la fonction de navigation sur internet de l'iPhone a fait l'unanimité. « L'iPhone a supprimé la frustration que l'on pouvait ressentir en navigant sur un téléphone mobile », confirme au quotidien américain Charles Wolf, analyste chez Needham & Company.

Rappelons qu'il n'est pas compatible avec l'internet mobile haut débit 3G, seulement Edge, mais il peut se connecter aux réseaux Wi-Fi.

Cette tendance avait été anticipée par Google : il y a six semaines, le moteur de recherche a sorti une interface dédiée pour permettre aux utilisateurs d'accéder à ses services via l'iPhone. Basée sur des technologies telles qu'Ajax, elle donne accès aux fonctions de recherche de Google, à la messagerie Gmail, au service de photos Picasa, ou encore à l'agenda Calendar et aux fils d'actualités. D'autres éditeurs de sites avaient fait de même our profiter de l'énorme bruit médiatique provoqué par le smartphone.

Google va profiter du Macworld, qui se tient à San Francisco du 15 au 18 janvier, pour y présenter une première mise à jour de son interface, notamment avec son portail iGoogle, optimisé pour l'iPhone. Une interface qui fonctionnera aussi parfaitement sur Android, la plate-forme logicielle mobile de Google, rappelle Vic Gundotra.

Source zdnet

10 janvier 2008

L'iPhone cible d'un cheval de Troie

Symantec et F-Secure ont décelé un cheval de Troie affectant le smartphone d'Apple. Pas véritablement dangereux, il concerne uniquement certains possesseurs de l'iPhone qui ont installé des applications tierces, et non le grand public.       

Un peu plus d'un mois après sa sortie en France, l'iPhone est déjà la cible d'auteurs de programmes malveillants. Un cheval de Troie, portant les noms « iPhone firmware 1.1.3 prep » ou « 113 prep », a été repéré par les spécialistes de la sécurité Symantec et F-Secure.

Tous les possesseurs de l'iPhone ne sont cependant pas concernés. Seuls ceux ayant effectué des manipulations spécifiques pour installer des applications tierces sur leur smartphone pourraient en avoir été victimes.

Le programme n'est pas très dangereux, affichant seulement le mot « shoes » lorsqu'il est installé par l'utilisateur. En fait, il devient un peu plus gênant lorsqu'on cherche à le désinstaller, puisque l'opération efface du répertoire « /bin » des utilitaires de lignes de commande spécifiques pour l'iPhone, tels que « sendfile ». Selon Symantec, le cheval de Troie écraserait aussi le protocole de chiffrement open source OpenSSH. Des éléments qui ne font toutefois pas partie des fichiers système.

« Une mauvaise plaisanterie »

« Il s'agit, d'un point de vue technique, du premier cheval de Troie pour l'iPhone décelé. Cependant, il semble s'agir plus d'une mauvaise plaisanterie que d'une réelle création malveillante », explique Orla Cox de Symantec. « Les conséquences de la désinstallation de l'application ne semblent pas avoir été voulues par l'auteur. »

Pour s'en débarrasser, les utilisateurs affectés doivent la désinstaller puis réinstaller les fichiers supprimés. À ce jour, les chances de retrouver ce cheval de Troie sur son iPhone sont très minimes, puisque le site d'où il était téléchargé, caché sous un faux nom, a été désactivé, indique Symantec.

Comme F-Secure, l'éditeur d'antivirus appelle à la prudence lors de l'installation de logiciels tiers sur l'iPhone. Apple ne permet pas encore l'ajout d'applications optionnelles, mais une annonce en ce sens pourrait être faite au salon MacWorld Expo, qui se tiendra du 14 au 18 janvier à San Francisco.

Source zdnet

                               

10 janvier 2008

Apple prêt à répondre aux exigences de Bruxelles sur iTunes Store

Il faut vraisemblablement s'attendre à des modifications dans la politique de distribution de l'iTunes Store en Europe. Selon les informations de Reuters, Apple rendra public dans les jours à venir les mesures prises pour répondre aux exigences de la Commission européenne.

En avril 2007, suite à une plainte déposée deux ans auparavant par l'association de consommateurs britannique Which, les fonctionnaires européens ont ouvert une enquête accusant Apple d'entraver la liberté des internautes en les empêchant d'acheter leurs morceaux dans le pays de leur choix.         

Pour sa défense, la marque à la pomme avait expliqué que les clauses des contrats avec les maisons de disques l'avaient contraint à ouvrir plusieurs plates-formes iTunes Store en Europe, avec des catalogues et des prix variant d'un pays à l'autre (notamment entre le Royaume-Uni, qui paie en livre sterling et la France et l'Allemagne, qui paient en Euros).

Une fois les modifications publiées, la Commission européenne devrait annoncer la fermeture de son enquête sur les pratiques d'Apple, a expliqué une source proche du dossier à Reuters.

Source zdnet

10 janvier 2008

Apple veut forcer les maisons de disques à uniformiser leurs tarifs en Europe

Le groupe américain menace de ne plus distribuer sur sa plate-forme iTunes les morceaux des majors au Royaume-Uni, si elles n’alignent pas leurs prix sur ce qui est pratiqué ailleurs en Europe. La Commission européenne est satisfaite de cette décision.       

Apple se dit prêt à baisser, d'ici à six mois, le prix des morceaux sur sa plate-forme iTunes Store, afin de proposer une politique de tarification harmonisée aux consommateurs européens. C'est la réponse du groupe américain aux griefs communiqués en avril 2007 par la Commission européenne.

« Apple doit actuellement payer plus cher certaines maisons de disques pour distribuer leur musique au Royaume-Uni, qu'il ne le fait pour distribuer les mêmes morceaux ailleurs en Europe », explique la firme de Steve Jobs, qui va donc mettre la pression sur ses partenaires. Elle se dit prête à « reconsidérer ses partenariats au Royaume-Uni avec tout label qui n'accepterait pas d'aligner ses prix de gros sur ceux pratiqués ailleurs en Europe d'ici à six mois ».         

« Il s'agit d'une étape importante pour la création d'une place de marché paneuropéenne pour la musique », se réjouit Steve Jobs dans un communiqué. « Nous espérons que chaque grande maison de disques aura une vision paneuropéenne sur la question des prix. »

La Commission européenne, de son côté, se dit satisfaite de cette proposition : « Cela met un terme au traitement différent que subissaient les consommateurs britanniques, qui doivent payer plus chers pour télécharger de la musique. »  Les téléchargements de musique via iTunes au Royaume-Uni sont actuellement plus chers de 10 % que dans le reste de l'Europe, note Bruxelles.

Pas encore de libéralisation totale en vue

Un morceau coûte 79 pences sur l'iTunes Store UK (soit 1,055 euro au taux de change d'aujourd'hui), contre 99 centimes d'euro dans tous les autres pays européens où Apple gère sa plate-forme (Autriche, Belgique, Danemark, Allemagne, Finlande, France, Grèce, Italie, Irlande, Luxembourg, Pays-Bas, Norvège, Portugal, Suisse, Suède et Espagne).

En revanche, le groupe américain ne modifiera pas en profondeur le fonctionnement d'iTunes Store en Europe, qui impose, par exemple, à internaute français d'acheter sur la version française et pas sur son équivalent étranger. Pour cela, Apple vérifie le lieu de résidence des clients à travers leurs informations bancaires.

« L'enquête antitrust menée par la Commission européenne a montré que les accords entre les majors et Apple ne déterminent pas la façon dont l'iTunes Store est organisé en Europe », indiquent les services de la concurrence. « La structure de l'iTunes Store a été choisie par Apple pour prendre en compte les spécificités de chaque pays concernant les lois sur le droit d'auteur. »

Bruxelles n'a donc pas de raison de sanctionner Apple à cause de ce système ; la Commission se déclare en faveur de « solutions qui permettraient aux consommateurs d'acheter via l'iTunes Store sans aucune restriction, mais est consciente que certaines maisons de disques, éditeurs ou encore sociétés de gestion collective délivrent toujours des licences qui peuvent compliquer la tâche d'Apple pour rendre ses plates-formes accessibles aux internautes quelle que soit leur localisation ».

La question des licences paneuropéennes fait d'ailleurs partie des chantiers sur lesquels les fonctionnaires de Bruxelles planchent actuellement.

Source zdnet

                               

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4 janvier 2008

Mac OS reprend des couleurs face à Windows

Selon NetApplications, les systèmes d'exploitation Mac OS retrouvent une certaine vigueur, en affichant 8 % de parts de marché fin 2007, tandis que Windows en perdait 2 %. Des données basées sur les OS utilisés pour lancer des requêtes en ligne.

L'année 2007 a enregistré une progression de l'usage des systèmes d'exploitation Apple. En décembre, les différentes versions de Mac OS représentaient au moins 8,01 % du trafic sur le web, grignotant des parts à Windows, rapporte la société américaine d'audience en ligne Net Applications.

Globalement, le second semestre a davantage réussi à l'OS d'Apple, après ses 6 à 6,5 % des visites sur la première moitié de l'année. Sur les mêmes périodes, Net Applications fait état d'un usage de Windows en baisse, perdant 2 % sur l'ensemble de l'année.

La société d'analyse a étudié les OS utilisés pour accéder à des sites web professionnels ou non, totalisant environ 160 millions de visiteurs par mois. Des données récoltées via des moteurs de recherche dans plusieurs régions du monde - Amérique du Nord et du Sud, Europe, Australie / Pacifique et certaines parties
d'Asie.

Succès de Leopard d'Apple

Des résultats qui, précise Net Applications, restent des sous-estimations. L'usage de Windows sur Macintosh, grâce au logiciel Boot Camp, ne rentre ainsi pas en ligne de compte. Fourni séparément au départ, cet outil est désormais intégré en tant que fonctionnalité dans Leopard (Mac OS X 10.5), dernier Mac OS en date. Il permet de faire cohabiter sur un ordinateur Apple à la fois Mac OS et Windows, dans des partitions dédiées, afin d'exécuter des applications Microsoft.

La progression des Macintosh, relève Net Applications, coïncide avec l'arrivée de Leopard - sorti en octobre - qui remporte un grand succès. Pendant le premier mois de lancement, ses ventes ont augmenté de 20,5 % en volume par rapport à celles de la version précédente, OS X 10.4 (Tiger).

L'engouement relatif pour Vista, un an après sa sortie, profiterait également à l'OS d'Apple. De nombreux professionnels envisagent de migrer vers d'autres systèmes, notamment Mac OS X, peu convaincus par les atouts du nouveau Windows.

En France, selon les derniers chiffres de la société d'analyses Xiti (août 2007), si l'on prend en compte l'ensemble des systèmes d'exploitation, les différents Windows représentaient 95,5 % des visites sur le seul mois d'août. « Mac OS, fidèle second, affiche 3,2 % des visites et Linux complète ce trio avec 0,8 % des visites. »

Source zdnet

10 décembre 2007

Nokia N95 8Go face à l'iPhone d'Apple

Confrontés à la déferlante iPhone, les fabricants « historiques » de téléphones mobiles, smartphones et PDA tentent d'organiser la résistance. Le N95 8Go fait partie de ces appareils qui veulent barrer la route au phénomène d'Apple. C'est l'occasion de les confronter.

Fonctions audio, vidéo, photo, mémoire embarquée de 8Go, surf sur internet, consultation de mails... les points communs poussant à la comparaison du Nokia N95 8Go et de l'Apple iPhone sont nombreux. Elle permet déjà de vérifier le bien-fondé des discours marketing qui opposent ces deux produits en challengers.

S'ils sont placés en concurrence, il ne faut pas pour autant occulter leurs différences. La première, là où réside toute la force de l'iPhone, est  l'interface de navigation. Le N95 se contente de proposer une utilisation classique. A l'instar de l'iPod et de sa molette cliquable qui a révolutionné l'univers des baladeurs MP3, l'iPhone réinvente l'écran tactile. Il ne s'agit plus de toucher un écran du bout du doigt ou avec un stylet (cette dernière action ne fonctionne d'ailleurs pas avec l'iPhone), mais véritablement « d'inter-réagir » avec lui.

Pour contrer l'ergonomie de l'iPhone, le N95 avance des arguments technologiques : présence d'un module GPS, capteurs photo de 5 mégapixels, compatibilité 3G+. Il est vrai, que sur le point purement technologique (écran et interface tactile mise à part), l'iPhone semble un peu en retard sur son temps.

Le N95 est indubitablement un objet pratique bourré de fonctionnalités, mais il passe pour un « utilitaire », comparé au vent de nouveauté apporté par l'iPhone, dont l'interface et le caractère fun nous ont finalement séduits.

Source zdnet

30 novembre 2007

Sorti de L'iPhone

30 novembre 2007

comment Apple a imposé un modèle économique inédit aux opérateurs

Pour distribuer son iPhone, Apple mise sur un nouveau modèle économique basé sur des rentes régulières, rompant avec le modèle traditionnel. Orange va lui reverser une part des revenus tirés des forfaits et services, pouvant représenter 240 euros par client sur 24 mois.

Et si l'interface n'était pas la principale innovation de l'iPhone ? Son modèle économique tranche lui aussi avec ce qui existe sur le marché de la téléphonie mobile. « Dans son principe, le modèle est unique car il prévoit des revenus récurrents pour Apple, générés par la consommation des clients utilisant l'iPhone », explique Vincent Poulbère, analyste télécoms chez Ovum.

Apple va au-delà de la seule revente, comme c'est le cas habituellement sur le marché, en recevant un reversement compris entre 10 et 30 % des revenus générés par l'opérateur sur l'iPhone. En contrepartie, la firme de Steve Jobs accorde une exclusivité de longue durée (plus de 24 mois).         

Le cabinet Sia Conseil a modélisé ce reversement pour le marché français. Avec des abonnements facturés par Orange de 49 à 119 euros, Apple encaissera au minimum 100 à 240 euros en moyenne par client sur 24 mois, estime le cabinet, sur la base d'un reversement de 10 %, et sans compter les dépassements de forfaits et les autres services utilisés.

Une marge additionnelle de 60 à 150 %

Apple gagne déjà environ 140 euros avec la vente de l'appareil selon les calculs du cabinet d'études iSuppli. Avec le reversement d'Orange, il ajoute une marge additionnelle de 60 à 150 % par rapport à celle réalisée sur la vente du terminal.

« Sur les abonnements les plus chers, Apple réalisera bien plus de revenus sur le reversement de l'opérateur que sur la vente de l'iPhone », souligne Stéphane Dubreuil, directeur du pôle Médias et Télécoms chez SIA Conseil. « Cela n'a jamais été fait ».

La firme de Steve Jobs va également obtenir sa part sur les ventes d'accessoires et des recettes de certains partenaires, comme YouTube, qui lui reversent une portion des revenus générés sur leur trafic. Sans compter les ventes directes de sonneries ainsi que les morceaux de musique à télécharger pour les fonctions baladeurs, via sa plate-forme iTtunes Store.

Pour Orange, un impact sur ses autres offres

Dans le tandem, le rôle d'Orange est donc considérablement réduit. Habituellement, les opérateurs achètent des combinés en grandes quantités, appliquent une subvention pour en faire baisser le prix de vente (via les programmes de renouvellement ou les promotions, notamment, Ndlr), et génèrent des revenus sur les abonnements et l'ensemble des autres services dont ils sont également les principaux fournisseurs.  Mais Apple lui a demandé de n'appliquer aucune subvention sur l'appareil.

Même si France Télécom espère vendre entre 400 000 et 500 000 abonnements liés au smartphone à compter de 2008, l'iPhone ne sera sans doute pas le plus gros succès financier d'Orange. Mais il bénéficie d'un énorme pouvoir d'attraction. « Le trafic additionnel généré dans les magasins grâce la force d'attractivité de la marque, aura un effet d'entraînement sur le reste de la gamme Orange. En effet, l'opérateur va compléter sa gamme pour cibler l'ensemble des budgets, avec d'autres offres plus abordables ciblant le coeur du marché », estime SIA.

Un modèle qui fera difficilement des émules

         

Le modèle innovant d'Apple peut-il être récupéré par d'autres fabricants ? « Je ne pense pas que le modèle de l'iPhone soit susceptible d'être généralisé », estime Vincent Poulbère, d'Ovum.

Et l'analyste d'évoquer deux raisons. La première est qu'aucun autre acteur n'aurait la capacité d'Apple à susciter autant d'attractivité autour d'un produit, hormis peut-être Nokia. La seconde est que le rapport de force habituel entre les opérateurs et les fabricants ne serait pas suffisamment en faveur des constructeurs pour qu'ils obtiennent autant qu'Apple.  Dans le modèle traditionnel, les opérateurs sont les principaux acheteurs de combinés, et ils ne se plient donc pas forcément aux exigences des fabricants. Des positions qui expliquent les difficiles négociations entre Orange et Apple autour de l'iPhone.

Là encore, à part Nokia et ses 40% de parts de marché, aucun fabricant ne pèse assez lourd sur le marché pour imposer un nouveau modèle. Le géant finlandais serait donc le seul à pouvoir tenter d'obtenir des rentes régulières auprès des opérateurs, comme le fait Apple.
 
Pour la période des fêtes (jusqu'au 15 janvier), SIA Conseil estime qu'Orange est en mesure d'écouler entre 140 et 160 000 iPhone, soit environ 20 000 par semaine. Des prévisions correspondant à l'objectif de l'opérateur, qui espère déjà en vendre 100 000 en un mois.

Source zdnet

29 novembre 2007

Steve Jobs, businessman le plus puissant de l'année selon Fortune

Le magazine américain a désigné Steve Jobs comme l'homme d'affaires le plus puissant de l'année dans son classement "Power 25". Principal argument : avoir bouleversé les marchés de l'ordinateur, de la musique, de la distribution, des téléphones sans fil et de Hollywood, sur lesquels il exerce désormais une grande influence.

Le trio de direction de Google - Eric Schmidt, Larry Page et Sergei Brin - respectivement P-DG et présidents en charge des produits et technologies - arrivent en quatrième position. Autres patrons du secteur IT figurant au classement : Bill Gates de Microsoft (7e), John Chambers de Cisco (11e) et Mark Hurd de Hewlett-Packard (16e).

Source zdnet

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